Run run run
Breath breath breath 

Strong America
Fine China
Gong Russian

When your woomen cry , I cry cry cry with the wind with the light in the night
When blood’s Bloggers shine , I imagine-gine- Lime

May I be the sky’s tender , I’m not the only dreamer singer
The only blood of (the) Sun
To run in the swing of your shoulders
For you you and you Great Sister’s Love of Liberty

We can’t surrender cause we dance days and nights
Arround our little Chinese Boy
Arround our lovely Palestinian Girl
Arround our jewish Sisters crying and dreaming for millions and millions days until the beginning of the divine Light

Other dance dance dance night and day
Run run run without Him , or may let it be a Dream
So don’t let’s you investigate by bad mannings

Woomen are the greatest move for us which are not ready to try to cry and fly against since the lost days , When Good Mother making invisible signs , growing up we have forgotten

Ooooh when you meet the fire in your Heart her only tragedy
Ooooh whenyou respect the flow of her soul
Ooooh when you respect woomen good Love you God love you
And I don’t hate you

LOVE LOVE LOVE LOVE

Bientôt la vidéo …

 

<< ILE SAINT-GERMAIN : PARADIS DU PEUPLE PRIMITIF FACON ART BRUT >>

 

CHANSON BOULONNAISE : la la la la LA la la la la la

 

 

ALLONS DECOUVRIR

LES IDEES INDOCILES

DE NOS CHEUVEUX , DANS LA ROSEE DU MATIN !

OU LE BUFFET DU CHEMIN,

PLANTE DANS NOTRE JARDIN,

LA «TOUR AUX FIGURES » DES HACHURES DE L’ECRITURE DE DUBUFFET,

TRESOR COMMUNAL

DES ROUTES NATIONALES,

DES LIGNES SUR TES YEUX,

DES SIGNES POUR TES CHEVEUX,

CIEL DE VERS AUX REFLETS ROUGE BLANC BLEU,

DESSEIN SUR TES SEINS,

RAFRAICHIS DE LA ROSEE MATINALE,

POSEE SUR CETTE TOUR MACHINALE,

DEPOSES SUR LES CONTOURS DE L’ILE FLEURIE

PAR LES FLOTS DE TES CHEVEUX,

ASTICOTS, TULIPES NOIRES, OU ABSINTHE MARGUERITE,

DU CERCLE DE MA MAIN SUR TON COEUR, A LA FLEUR D’ARTICHAUD,

AUX CILS CHAUDS DE SAINT GERMAIN, MON AMI :

QUE LES BARQUES ENDORMIES

ABORDAIENT COMME UN PALAIS,

LE PALAIS OU FIGURE :

LES TOURS DE TA FIGURE

LES FLOUS DE LA MESURE,

LES TRIANGLES D’OR, AUX CILS INDOCILS,

L’ART BRUT DE SIMPLICITE, DES PENSEES ALLONGEES, SUR DES SABLES FERTILS,

JARDIN DE CITE,

PARENTHESE DE PENSEE,

OU POUSSE L’IMMENSE CITE,

BES BOUFFEES

DES BUFFETS

BOULONNES

DES BOULONNAIS

DES BOULONNAISES …

 

 

SI CETTE CHANSON VOUS A PLU, SUIVEZ LES ONDES DE SON ONDE, TAPEZ SUR LA GUEULE A « GOOGLE », EN ECRIVANT MON NOM SUR SON FRONTON, VENEZ DECOUVRIR, DECOUVRIR, les 2, 3, 4 OCTOBRE, LES PËINTURES DE MON ATELIERS BOULONNAIS, OU FREDONNEZ CETTE CHANSON, DANS LES COULOIRS DE LA MAIRIE DE BOULOGNE OU LA PEINTURE DE CETTE CHANSON, S’EXPOSE PARMI LES OEUVRES DE LA PENSEE A LA BOULONNAISE, DU 12 AU 4 OCTOBRE.

 

PATRICK RAKO ou PATRICK RAKOTO ou PATRICK RAKOTOASITERA

Note : -/10
“ J’AI COMPRIS POURQUOI BOUDDHA MAO MAIS ET TOI PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE “

VALSE de type : « Mais Amélie lit comme une douce mélodie, quand Alison sonne comme une douce mélodie ».

J’ai compris pourquoi des AIGLES NOIRS blanchissent un SOIR les longs cheveux de nos INFORTUNES.

Pourquoi BOUDDHA, MAO MAIS et puis TOI planez au-dessus de la LUNE.

Renonce à mes armes, mes papiers, à la LUNE,
Pour saisir ton regard a l’aune de ma PLUME
Et comprendre en MIROIR le surgissement des GARES des CHEMINEES IMPORTUNES.

O mon AMOUR de l’AUBE CLAIRE d’ici jusqu’à l’ouverture d’un JOUR
Dans les MURS jaunis de nos PAYS,
Nous mourrons un JOUR jauni allonges sur le BITUME.

Les PLAGES du SABLE de la FORTUNE n’intéresseront toujours pas la LUNE.

Mais nos ENFANTS un soir où le SOLEIL éclairera ses COUTUMES
Saisirons la BEAUTE des CATHEDRALE INVISIBLES de la MEMOIRE,
Rassemblée dans leur URNE.
Les OISEAUX NOIRS auront perdu leur PLUME
Mais les PLUMES, d’un REGARD, s’envoleront vers la LUNE.

Il y a des HOMMES plus grand que leur SOLITUDE,
Des FEMMES plus BELLE que leur modestes ATTITUDES,
Et d’un REGARD, d’un GESTE le SOLEIL abolira
Les vies RUDES et les rues VIDES de la VIE.

Mais sur ton REGARD la BEAUTE de l’AIGLE NOIR, contrôle en toi
L’incontrôlable ESPOIR et mon MIROIR abolira le SABRE NOIR du SOIR,
Si d’un REGARD, d’un GESTE tu fais voler ma PLUME jusqu’à la LUNE
Comme RECOMPENSE et UNIQUE FORTUNE.

O mon AMOUR retiens l’ESSENTIEL de mes YEUX dans tes YEUX,
BAISE mes MAINS et aspire leur TENDRESSE,
Quand sur tes SEINS se redressent mes CARESSES et que ta VOIX
Pardonne toutes mes MALADRESSES.

J’ai COMPRIS pourquoi l’AMOUR n’a pas d’ADDRESSE
Et ne réclame pas qu’on dresse l’ADRESSE contre la TENDRESSE.

Les FEMMES d’un GESTE, d’un REGARD fanent le DESESPOIR,
Enflamme le SOLEIL, la LUNE, le NOIR REGARD des OISEAUX NOIRS,
Et ne retiennent le SABRE, les GESTES de GLOIRE que lorsque SURGISSENT,
Un SOIR de CAFARD, les AIGLES NOIRS de leurs PLACARDS,
Les ONGLES de la MEMOIRE venue GRATTER le long sanglot des MOTS
Qui faisaient s’envoler les PLUMES des HOMMES vers toutes les LUNES,
Les INFORTUNES.

Elles ne sont pas COMMODE, ne suivent que la MODE
Et font des PROPHETES de faibles LUEUR d’ODES incapable d’éclairer
L’ERREUR de leur INEGALABLE BEAUTE,
En font des TUEURS EHONTES incapables de PLACER les ETRES dans leur juste MILIEU,
PEUPLE de l’EGAL AMOUR de leurs VENTRES,
Obligeant l’AIGLE à surgir de NULLE PART !

Qu’on me demande de REVEILLER les MURS Blanchis d’ENNUI,
D’ETRE attentif aux LARMES, a la FUREUR et puis au BRUIT,
D’EFFACER de nos VIES l’EMPREINTE de leurs CRIMES,
TOUT me parait REALISABLE.

J’ai COMpris pourquoi BOUDDHA, MAO MAIS et TOI planez AU-DESSUS de la LUUUNE !

Depuis que nos CORPS se sont CROISES dans un COULOIR j’ai vu en TOI
La possible GARE de ma MEMOIRE,
En moi le GARDIEN heureux de la BEAUTE de ton REGARD.

Laisse moi être ton AIGLE NOIR, l’AMI de ton AMITIE,
Le VELOUR de ton AMOUR, qu’un JOUR
La VOLONTE ait la VOLONTE de la MUSIQUE
Que RIEN ne peut PLIER jusqu’au SILENCE,
Comme MEME la MORT est BRUYANTE…

OOOO mon AMOUR j’ai COMPRIS pourquoi MAO MAIS BOUDDHA et TOI
PLANEZ au-dessus de LA LUUUUUNE !!!

SI VOUS AVEZ AIME CETTE CHANSON vous AIMEREZ les ŒUVRES de la BEAUTE a la BOULONNAISE qui s’expose, du 12 SEPTEMBRE au 4 OCTOBRE, a la MAIRIE de BOULOGNE BILLANCOURT, comme mon tableau « PARADIS DU PEUPLE PRIMITIF FACON ART BRUT » : vous AIMEREZ inscrire sur la GUEULE du FRONTON a « GOOGLE », mon NOM : PATRICK RAKO ou PATRICK RAKOTO ou PATRICK RAKOTOASITERA, et je SERAI la les « 2,3 et 4 OCTOBRE » pour vous recevoir dans mon ATELIER BOULONNAIS.
Bientôt sur WWW.patrick-rako.nuxit.net : le POEME INTEGRALE de cette CHANSON.

POUR MONSIEUR SHIHIRO:

 

GULLY toujours à la recherche de son fantôme se réfugit dans un coin de ciel où il surprend un autre fantôme discuter avec CLARTE, le DIEU de Lumière:

 

GOTTHEIT :  << DOLY>> ko¨nnt ARISHE sein. Es ist ein kra¨nklich ZICK’ZACK, GeiBelung !

                   (  Doly ne peut pas être arienne. C’est trop un fragile détour, Chèvre! )

HITLEREICH : KEIN KULTUR !! …

                   ( Pas de culture !!… )

GOTTHEIT : CA¨IN KULTURE … AUSLESEN ! EINGEBOREN KU¨NTSLER !

                    ( Ou la culture de CÄin … Choisis et écoute : peintre aborigène ! )

LE COEUR OU LE VENT TRANSPORTE CETTE CHANSON JUSQU’A EUX TROIS:

<<  ARBEIT mart FREI die Aleine-SEIN ZEIT>>

<< Und ich SCHRIBE in die ALEINE NACHT>>

<< Ohne KUCHE,>>

<< Um zu EXISTIREN zu FIL ! >>

GOTTHEIT : Kein VERGESSEN, kein rude reise LACHEN

                   Arbeit macht frei die aleine-SEIN ZEIT

                   und ich SCHRIBE die ALEINE NACHT

                   Ohne KUCHE

                   Um zu EXISTIREN zu VIEL !

                  

LE COEUR : << KEIN VERGESSEN KEIN RUDE REISE LACHEN, KEIN, KEIN REIN REGE VERGESSEN !>>

                  << ARBEIT macht FREI die ALEINE-sein ZEIT>>

                  << Und ich SCHRIEBE die aleine NACHT>>

                  << Ohne KUCHE>>

                   << Um zu EXISTIREN zu VIEL…>>

GOTTHEIT s’adressant à HITLEREICH, et à GULLY qu’elle a vu derrière l’arbre : 

                 SEHEN : << EVE, CÄIN UND DIE SKLAVEREI >>

                 As EVE KAN NICHT ALEINE ODER MIT DASEIN,

                 SCHRIEBEN ohne UNTER’HALB

                                   ohne UNTER’HALT

                                   MITTERE MONDUMLAUF !

 

LE COEUR : << MOND von RINGELBLUM DOPPELGÄNGER SORGEN>>

                   << DOPPELGÄNGER und DENKEN>>

                    << Auf dieser IRDISCHEN WELT>> :

LE COEUR et GOTTHEIT: ARBEIT MARCHT FREI… DIE ALEINE-SEIN ZEIT !

GOTTHEIT : Arrbeit marrre FREI die Aleine-SEIN ZEIT !

GULLY: L’HALEINE de tes CHEVEUX mère, ondule les SAISONS

            Des IONS des PIONS de leur COULEUR,

            ET des ODEURS de leurs PEURS,

 

            Attachées au moteur de la TORPEUR,

            Aux boucliers de « l’appelez-moi raison »,

            En toutes saison de BOHNEUR,

             En toute LUEUR de RAISON,

             JASON du nom

              Du BRUIT du VIN

               Sur ton LEVIN

               Le PARCHEMIN

               De la GLOIRE, des MIROIRS, des AIGLES NOIRS,

               De la PENSEE pliée bizarrement par le BLIZARD,

               les NUITS et les BROUILLARDS,

               Les ZIGZAG de nos ARMOIRES,

               Les MIROIRS de nos MEMOIRES !

               Encombrés de SIGNES ABRUTIS !

               De SOLEIL d’Existence et de VIE,

                Sous la LUNE du SOUCIS !

 

                SOUCIS de LUNE et ORAISONS,

                INFORTUNES PLUMES,

                Summum BIBINDOMME, PLAY-MOBIL, et BEU BEUL GOMME, ne font pas HOMME :

               Maintenant dites moi où vous êtes ? Je ne vois qu’un fantôme !

               A toutes les tristesses, de toutes les FAIBLESSES du SOLEIL,

               Jet de GEANT, onguant d’HELIUM de BEU BEUL GOMME, et de bons VENTS,

               Dance dans tes CREUX les OCEANS !!!

 

LE COEUR : << ARBEIT MACHT FREI ALLEIN DICHT DICH

                                                        ALLEIN MEINUNGSVERSHIEDENHEIT

                         ARBEIT MARCHT FREI DIE ALEIN’SEIN ZEIT>>

 GULLY qui n’en tient plus sort de sa cachette s’adressant toujours au vent :

             ARBEIT MARCHT FREI NUR ICH KAN WERSTEHEN

             WARRUM BOUDDHA, MAHOMMET UND DICH PLANIEREN DARÜBER die LÜSTER

             GESHRIEBEN BY die MOND

              ARBEIT bei SICH

              SEHEN

             ELLE die MOND

             ELLE dich beim MONDSCHEIN,

             

LE COEUR : << MOND die TOT die TOT die TOT >>

                   << Die VERDEHT mein SEIN>>

                    << Am das TÜRMCHEN >>

                     << In die FLAMMEN SETZEN >>

                      << ZEN DENKEN VERGESSEN DANZEN !! >>

 

GULLY : MOND die HINGEBUNG

              Der KAUGUMMI

              Das PLAY-MOBIL

              Das BEU BEUL GOMME

              GEHEIMNISKRÄMEREI

              Des ARBEIT mÜhe MYTHOLOGISCH

              Ist OVERSTEHEN as OVERBEDANKEN

              In die LAGUNE fallstricken die HEIDE .

 

LE COEUR : << No « M » und eine GRÄSE GRAS >>

                  << EINKLEINDEN >>

                  << das KINGDOM >>

                  << RHUM der DOM >>

                  << KUPPEL DREHFFEIL >>

                  << DRECHSELBANK >>

                  << HERZ’ deine GEWIENEN >>

                  << GemÜtvoll HERZ-REICH >>

                  << Aus die eingute HERZTE HAFTIGHEIT ZEIT !! >>

 

HITLEREICH : Ich bin immer ÜBEL

GULLY : MIR gegen das LICHT BESEHEN

              Ohne bedenken der STECKEN, PFUI !!!

              DENKART der DENKER die NACHDENKLICHE aleine-sein ZEIT :

              ARBEIT MARCHT FREI die aleine-sein ZEIT …

              ARBEIT und FREI die aleine-sein ZEIT …

              REFLEX und REEPE die aleine-sein ZEIT !!!!

              OLE ! DENKEN !

Situation de l’extrait de cet opera electronique : Gulli le herault, apres avoir rencontre le fantome qu’il recherchait, decouvre Vaire sa fiancee future, la, il chante en anglais, continuant le chant entame par le coeur:

Gully

But what i have come todo in those gallows ?
here, i juste see your shadows
i want your saints shinning
to be your summer thinking
love me, love me please,
they are crying i’m the sky tender’s
instead of dreaming in the swing of your shoulders
but dont worry, i will never surender
it’s the indian summer time, in my mind…