• cette promenade dans les meandres de la Foli est un texte arlequin dont la chair nue est couverte par les mots que j ai ecrit ailleurs. Ces textes forment l » Ecrin de la Folie
  • Il n y règne que la folie conjuguée du patient-client gisant dans l’ implacable argumentaire du psychiatre et de l’ institution psychiatrique.
  • Il y regne aussi l’impossible histoire d’amour entre un patient et une jeune psychologue. ANNE  DARLET DONT LE SUJET DE THESE VIENT CLORE LA FOLIE … par Amour

MERCI à tous, si je réussi à calculer le montant de ma retraite,je pourrais enfin démissionner officiellement de tous mes mandas et let it be,comme il se faut en politique que lorsque que l’on est le problème et la solution avoir le courage de démissionner…

 

 

                ENONCE :

 

J’ai travaillé pour beaucoup de pays dont la France, suis de nationalité française ,seulement au regard de la LOI : Je n’ai le droit de révéler quels métiers j’ai exercé en France, je sais combien de point j’ai accumulé dans l’économie locale et légale, mais par discrétion,je ne préfère pas le révéler de suite. Voici le nombre de point que j’ai accumulé jusqu’à ce jour :

 

709014665EA57371984024108764127,x

Combien ai-je de point sachant que X= 3.20

                            Ou : 3,20c euros

 

                         ?

 

 

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A GAGNER : l’ équivalent du prix Nobel de mathématiques…

 

 

 

Www.patrick-rako.nuxit.net

 

 

As the ring bel I prononce this day, the great day where every body on earth can observe that we and the lovely people who live in Mali we reach the point after what all is possible even the truly peace for all our great country…

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               Qu’ est-ce que l’économie symbiotique ?

Qu’est-ce qui distingue l’économie du profit de l’économie symbiotique ?

Dans son essai sur l’économie symbiotique, Isabelle Delannoy tente de rendre compte d’une économie à mille lieues de l’économie du profit, celle décriée de la financiarisation extrême de tous les secteurs économiques dont le but principal est l’accumulation des gains à tous prix. A rebours, l’économie symbiotique qu’Isabelle Delannoy présente comme l’économie du futur, se veut respectueuse des conditions de production, de partage du capital et place au cœur de sa stratégie le respect de l’humain et de l’environnement.

Immédiatement l’économie symbiotique laisse deviner qu’elle est ce par quoi l’énergie issue de l’extraction fossile ( charbon, gaz, pétrole) qui totalise plus de 86% de l’énergie que nous consommons, sera supplantée par l’utilisation des énergies renouvelables, disponibles en quantité illimitée, que représente le solaire, l’éolien, ou l’énergie hydraulique. Mais l’économie symbiotique qui réalise la symbiose entre le travail, l’humain et l’écosystème dans lequel l’homme vit, est aussi une myriade d’innovations, d’entreprises collectives concernant tant l’organisation du travail qu’intéressant tous les secteurs d’activité, pêle-mêle, allant de l’industrie au tertiaire, de l’architecture à l’agriculture ; et qui peut théoriser aussi l’écoconstruction ou tous ce qui est relatif à la bonne utilisation des infrastructure, des machines, des outils ; ou concerner, ici, une végétalisation de façade ; là : l’invention d’une monnaie alternative.

En réalité, l’économie symbiotique est une économie responsable ; mieux : un projet de grande envergure révolutionnant le comportement de l’Homme vis-à-vis de la faune, la flore et vis-à-vis de l’humain lui-même ; tant elle redessine des relations sociales plus saines, moins distendues par la course à l’accaparement du capital, recentrées autour des valeurs de partage, d’entraide et de mise en commun des biens de consommation. Elle permet d’envisager un monde où la propriété individuelle cède le pas à une utilisation collective des biens, grâce à la généralisation de la location d’objets, la mutualisation des tâches d’entreprise à entreprise, fondé sur un accès à l’information universel et un partage généralisé des savoirs, qui vise au respect, au maintien et à la pérennisation des ressources de la Terre.

Il ne s’agit pas là que d’une théorie économique ou d’un nouvel eldorado idéologique, l’économie symbiotique de l’Occident à l’Asie en passant par l’Afrique est bel et bien entrain de transformer fondamentalement, partout dans le monde, nos modes de production agricole, comme elle est en passe de renouveler et remodeler les paysages urbains , en révolutionnant les règles de la production jusque là établies.

Ainsi animée par de plus en plus d’agriculteurs dans le monde, la permaculture agricole, comme on peut la voir pratiquée en Autriche dans la vallée de Lungau, rompt avec les monocultures extensives pratiquées depuis la seconde guerre mondiale, dont on connait maintenant l’effet désastreux sur l’appauvrissement des sols et l’intoxication aux pesticides des consommateurs de fruits et légumes. Bien souvent à l’échelle de la parcelle, ces exploitations «  à taille humaine «  consistent à faire coopérer en synergie un ensemble de plantes complémentaires engendrant des relations nutritives entre elles permettant de réduire au maximum les intrants, soit les engrais. Car ces plantes attirent une diversité d’hôtes et de prédateurs qui affranchissent l’agriculteur de l’utilisation de pesticides et autres produits phytosanitaires. Cette nouvelle forme d’agriculture qui multiplie les variétés et les espèces cultivées sur une même surface est d’autant amenée à se développer qu’elle aurait des rendements dix fois supérieurs à la moyenne des exploitations maraîchères spécialisées, a-t-on mesuré en France.

Agriculture des petits producteurs et des petites surfaces, dont on espère que d’ici à 2025 elle aura supplanté le modèle des monocultures des grandes exploitations en France, la permaculture va de paire avec les dits circuits courts de vente ( amap et autres ) qui furent lancé au Japon en 1965, après un scandale d’intoxication au mercure des populations de la baie de Minamata. Des mères de famille se réunirent pour initier un mouvement de réseaux locaux d’agriculteur alimentant un réseau local de consommateurs de leur production de fruits et légumes de saison : les »Teikei ». L’initiative a eu un tel succès qu’en 1993 les Teikei comptèrent 16 millions de membres.

L’économie symbiotique respectueuse dans l’utilisation des ressources essentielles est particulièrement performante dans la gestion de l’eau. A travers le monde, en Egypte, au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Italie, les eaux usées sont réutilisées pour faire pousser des forêts , ce qui en plus de végétaliser les abords de la ville, ou les zones désertiques améliore la qualité de vie des habitants en offrant de nouveaux débouchés pour l’agroforesterie. En Chine, sur les rives du Yangtsé, Wuhan, quartier littéralement posé sur l’eau est spécialisé dans l’épuration végétale qui consiste à filtrer les eaux usées uniquement grâce à une grande biodiversité de végétaux. Les joncs, les bambous, les roseaux y sont efficaces pour éliminer les charges organiques grossières. Les iris et les nénuphars dépolluent le cadmium, le zinc, le cuivre et   éliminent l’atrazine, le pesticide. Ce qui permet à ce parc de traiter 10000 mètres cube d’eaux usées journalièrement, en diminuant la consommation d’énergie, sans générer aucun rejet, ou déchet.

Dans le secteur industriel, l’économie symbiotique fourmille d’inventions révolutionnaires, tel celle réalisée par Rémy Lucas avec le goémon, l’algue des plages bretonnes, que cet industriel a réussi à transformer en bioplastique, potentiellement capable de remplacer 10% des plastiques actuels. Adrian Bowyer, lui, tente de révolutionner le secteur des imprimantes nouvelles génération avec son imprimante 3 D REPRAP entièrement autoréplicable qu’il distribue à faibles coûts dans le but de libérer les moyens de reproduction. L’écologie industrielle, elle, vise la réduction des émissions de carbone des systèmes productifs et économiques, quand l’écoconception cherche à concilier conception, fabrication de produit et protection de l’environnement et conservation des ressources en basant la production sur la durabilité et l’optimisation du cycle de vie de l’objet. Aussi, la frontière n’est plus si nette entre producteurs et consommateurs dans l’économie symbiotique, parce que avec des concepts comme l’open source, les entreprises s’ouvrent à une diversité d’acteurs extérieurs : chercheurs, entreprises partenaires, clients, étudiants etc, ayant droit d’utiliser , de modifier, de partager librement les logiciels de l’entreprise ; ou en étant invités à collaborer au processus d’innovation. Autre caractéristique, la production de biens et de services exercées par des sociétés ( principalement  coopératives ou ayant des visées sociales ) se distingue par le délaissement de la recherche de profit immédiat privilégiant plutôt la finalité du service rendu   à la collectivité ou aux membres de la société, selon de nouvelles formes de gouvernance en entreprise marquées par la démocratisation des décisions, tandis que dans la répartition des revenus, au capital est préféré la primauté des personnes et des bonnes relations de travail.

Sans nul doute, l’économie symbiotique est entrain de réussir la symbiose de la sphère technique , de la sphère vivante et de celle spécifiquement humaine dont la croissance de l’interconnexion entre les hommes a tissé une pellicule de pensée enveloppant la Terre d’un système complexe de communication. Or, impulsé par une communication virtuelle maillotant la Terre, l’économie symbiotique aura permis et la diffusion des savoirs et la mise en réseau des acteurs de son économie en constituant le noyau communicationnel autour duquel se diffusent toutes les nouvelles idées et s’agrègent toutes les bonnes volontés. Par le biais de l’économie symbiotique l’être humain opère une réconciliation avec son écosystème, capable dans un futur proche de réduire de quasiment 90% notre utilisation de matière, en remplaçant par exemple l’utilisation du métal et des minerais par le recours aux plantes accumulatrices propre à dépolluer les sols en agrégeant les minerais dans les feuilles de la plante … Il aurait encore fallut parler des Data-center où sont accumulées les données numériques relatives à chacun, dont la grande production de chaleur peut permettre d’alimenter des piscines chauffées, où de faire fonctionner des serres à légumes. Dire qu’il est possible de créer des villes autonomes en eau, en énergie, bordée d’immeubles-forêts, de jardins filtrant, sillonnées par des autoroutes à vélo et véhicules autoconstruits. Pour bien insister sur les qualités de cette nouvelle théorie économique qui réalise la symbiose entre l’intelligence humaine et la richesse des écosystèmes naturels grâce à l’ensemble des outils de la technosphère propre à minimiser l’impacte écologique de l’homme sur son environnement.

Tout reste à découvrir dans le livre « l’économie symbiotique » de Isabelle Delannoy…

 

Bonjour ROSE ,

cette lettre électronique que tu recevras sur ton portable ce 22 janvier 2014 n’est pas une blague : je suis un de tes descendants et je t’écris alors que je vis en l’an 2270. Cela te parait incroyable? Aussi, écoute attentivement ce que je vais te dire.

Le monde a bien changé si j’en juge par les bibliothèques électroniques qui permettent de compulser les données relatives à ton époque. Désormais et en matière de préfiguration des voyages dans le temps, il est possible d’envoyer des données numériques jusqu’au XXème siècle, soit jusqu’au moment où les télécommunications numériques étaient un moyen de communication de masse opérationnel. Poster un message destiné à une période plus lointaine n’est pas possible. Ou disons en la matière que seuls les progrès de la Science, en réalisant la téléportation d’êtres vivants , devraient permettre une communication avec les époques antérieures.

Sache que pour l’instant, tu vis dans un monde électromagnétique : ton téléphone, tes transmissions bancaires informatiques , au-dessus de toi : les satellites de télécommunication, d’observation météo, les satellites espions même – utilisent les ondes électromagnétiques.  C’est encore le cas. Cependant, ce qui a supplanté ce mode de communication dans le monde dont j’aimerais te parler, c’est la communication par bond dans l’espace que vous appelez  » TELE-PORTATION » dans vos films. Là , c’est comme si les ondes transperçaient l’espace pour réapparaitre au même moment dans un autre lieu. Les objets en bois, en fer, ou plus généralement issus des minéraux ; ainsi que les fruits, légumes et les ogémantiques ( de nouvelles sortes de fruits ou légumes produits grâce à des cellules  inconnues avant leur création ) – sont télé-transportables. Actuellement, cela permet de réserver les transports maritime à ce qui coute trop cher à téléporter. Mais des programmes cybernétiques et les chercheurs en charge d’explorer cette partie de la Science, font espérer que bientôt il sera courant de télé-transporter des humains. Par voie de conséquence: sitôt ce seuil technologique atteint, devraient débuter les voyages de mes contemporains  vers d’autres époques. Pour l’heure si seul le voyage de données électroniques dans l’espace-temps est un acquis , je sais que doit être tenté bientôt le voyage d’objets solides vers le XXème siècle, ou le début du XXIème siècle.

Sache que ces recherches ont débutées à ton époque et qu’il s’agissait alors de faire voyager des ondes sur quelques cinquantaine de Kilomètre, puis des cristaux et jusqu’à des cellules complexes. Ton époque aura été pionnière également concernant la BIOLOGIE de SYNTHÈSE. Je n’ai pas le droit de te renseigner plus avant sur les bouleversements dont tu vas être la contemporaine, il est un fait avéré pour autant : aujourd’hui la création d’êtres vivants issus de la biologie de synthèse est courante. Mon voisin qui fait parti de l’administration est un « être synthétique » comme on dit maintenant. La plupart des militaires de notre armée ont les même caractéristiques. Ce qui d’une certaine manière est pratique, puisque n’ayant ni père, ni mère, et étant issus d’embryons de synthèses : ils sont génétiquement déterminés pour occuper des fonctions particulières. Le débat qui agite notre société ces temps-ci , tient à l’égalité des droits qu’ils réclament en matière de procréation. Car, jusqu’à présent, la loi  limitait cette population en autorisant seulement la création d’être synthétiques stériles, ou dont la lignée serait dégénérescente. Pour ma part, quand bien même je redoute la création d’une sorte de caste, je ne pense pas que la situation empirerait si on les y autorisait.

En ce qui me concerne, je suis un homme de la deuxième génération, c’est à dire : augmenté par la machine. Comme tous les citoyens de première classe, il m’a été transmis à ma naissance un implant cybernétique, lequel me permet d’être connecté en permanence à l’environnement intelligent qui nous entoure. Cet implant me donne accès au cyberespace commercial vis à vis duquel il fonctionne comme une clef qui me permet d’accéder au 1/3 de ma personne : soit mon compte. Lorsqu’un médecin m’osculte avec son stéthoscope électronique, il se connecte à mon implant et ce dernier lui transmet des données en temps réel relatives à mes fonctions biologiques. En même temps qu’un générateur de codes personnels pour l’entrée de ma demeure, cette interface communique avec l’entité bio-électronique globale , laquelle, je te le signale , décode actuellement les données que tu lis afin d’être certaine d’avoir trouvé la bonne destinataire de cette lettre. Cette interface en moi est ce qui me donne accès à certain lieux, certains loisirs, et en plus de certains transports, à certaines protections personnelles et collectives.

Faut-il le préciser : tout est interconnecté dans les mégalopoles actuelles. Ainsi du réseau de transport collectif. Précisons tout de même que l’essence est une ressource que les sociétés avancées ont délaissée au profit du transport par sustentation magnétique. Les rues des villes et les voies de communication qu’empruntent les « véhicules automatiques inter-cité » , utilisent ce procédé : « une voiture avec des roues » est un vieil objet pour nous.

Autre domaine technologique vecteur de la communication directe que nous entretenons avec l’entité bio-électronique qui collabore au bon fonctionnement de la société moderne : tout ce qui est relatif à la domotique : par exemple  » la télé » ; enfin pas la votre, la notre. Car quand j’ai téléchargé un module informatif sur ton époque ( par le  moyen d’un vaporisateur nano-biologique : c’est à dire qui par voie orale envoie des cellules programmées pour se différencier en neurones colonisateurs porteurs de l’information téléchargée ) j’ai vu ce que vous avez appelée la « télévision ». Ça m’a amusée. A la rigueur je préfère voir les tubes cathodiques utilisés pour faire des radios… Enfin ce n’est pas le sujet. Et j’ai un exemple pour te faire partager l’impression que je ressens lorsque je compare « votre » télévision avec les moyens modernes de communication.

Si j’ai ri en apprenant que l’ancêtre du jeu vidéo a d’abord été ce jeu de tennis improbable où l’on voyait sur l’écran deux barres se faisant face, séparées par une ligne verticale et se renvoyant un grossier point lumineux en pixel. Si tu peux comparer avec la sophistication des jeux électroniques vendus sur le marché depuis, imagines donc que ma « télé » est une « boite » à hologramme, grâce à laquelle me sont restituées des images en 5 dimensions, toutes douées d’un potentiel inter-actif. Cette télé n’a donc plus rien à voir avec son ancêtre cathodique ou numérique : elle est officiellement en interconnexion avec l’entité mondiale.

Cette entité qui régule chaque connexion électronique est intelligente, consciente et mondiale, dans la mesure où toutes les mégalopoles en ont développé une en fonction des conceptions qu’elles avaient de la DEMOCRATIE. La plus discrète et non douée d’interface vocale intelligente officielle est en Europe. Elle génère des algorithmes autonomes destinés à réguler le circuit de transport sans volant et assisté par ordinateur. Là-bas, l’entité électronique se charge de la gestion de l’eau, des déchets, et des travaux d’infrastructure , en déployant des robots-ouvriers dévolus à la résolution des pannes du système, des travaux d’entretien et d’amélioration. Les données qu’elle collecte sur les individus sont centralisées et exploitées en collaboration avec les forces de l’ordre. Il n’y existe pas comme aux Etats-Unis , de robots-policiers  qui soient l’émanation directe dans le champ social de l’influence de cette entité. Le pays où la parité Homme / Machine est la plus avancée est le Japon. Après le XXème siècle, le Japon a résolvé son problème de vieillissement de la population en plusieurs étapes : une robotisation massive des fonctions administratives, et la création d’êtres hybrides, à la fois porteurs du capital génétique japonais et machine à part entière ayant le statut de citoyen. On peut réellement parler à leur sujet de robot-humain , et pas d’Homme augmenté par la machine comme ici. En revanche, la part des 100 % humain y est encore plus minoritaire qu’aux Etats-Unis. Du reste, si tu veux trouver un humain sans implant cybernétique, dans notre grande nation, il suffit de se rendre dans les bidonvilles qui jouxtent les mégalopoles pour y découvrir un mode de vie d’un autre temps indigne d’un citoyen de première classe.

Mais de mon point de vue : toutes ces différenciations que l’on fait entre les formes d’humanité sont malsaines et troublent le fonctionnement des nations du monde. Je te dis cela comme ma vie est menacée par la maladie de notre siècle. Or, depuis que j’en suis atteint la complexité de mon monde m’apparait relative. J’ai l’ I.D.P , l’ Immunodéficience Désoxyribose Processus. Il s’agit d’un virus, entre autre sexuellement transmissible, dont la composante nanotechnologique travaille a modifier le code génétique, ce qui produit des aberrations génétiques dans le corps, lequel, déjà affaibli en ses défenses immunitaires, est ainsi inexorablement précipité vers la mort. Non seulement avant, tu attrapes toutes les maladies , mais également, ton corps mute durant toute la maladie.

Bien sûr: sitôt que l’un de mes membres ou plusieurs seront condamnés, je porterai des prothèses commandées par le cerveau. Bien sûr : cette modification des gênes en masse que je subis est soignée par des programmes de clonage des tissus cellulaires reconstructifs sains … Mais même le macro-organisme mondiale biologique et informatique doit combattre ce virus. Or, si cet nouvelle particularité le rapproche de n’importe quel organisme vivant en le contraignant à lutter contre la mort, à mon niveau l’espoir est ténu. C’est pour cette raison que je veux te faire un signe qui à travers toi pourra me prolonger, si je puis dire… .

Je comprends mieux à présent . Le concurrent de ce que vous appelez  » WIFI » , transportant plus de données grâce au courant alternatif , et cette capacité à stocker des informations dans la lumière elle-même , en un langage universel, a permis d’envoyer des messages au-delà de la matière noire. Les algorithmes autonomes des ordinateurs ont réussis à calculer les paramètres des sauts dans le temps , depuis cette découverte. Et c’est la réédition de l’inverseur de gravité qui a permis d’en comprendre le mécanisme…

Tout cela si troublant soit-il a un sens, ROSE , et même si je n’ai guère le droit de t’en dire beaucoup plus, saches que j’espère vivre jusqu’au jour où je pourrais te rencontrer.

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SI vous désirez que la suite de la lettre de l’Homme du XXIIIème siècle aborde des sujets qui vous tiennent à coeur laissez un message relatif aux sujets que vous souhaiteriez voir traité…