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Je certifie sur l’honneur être le créateur de tous les tableaux que vous verrez dans ce dossier.
Patrick Rakotoasitera

Tel : 0641909103

site : www.patrick-rako.net

Patrick Rakotoasitera

2017 : début de cotation : vente de « assassinat d’un chef papou en Indonésie » par la maison de vente JONCQUET de Boulogne
Exposition « des signes, des symboles et des corps « ( 140 créations exposées) Ferme neuve à Grigny
Exposition à L’Eden, Brasserie de Boulogne
2016 : Exposition et vente aux enchères ; PIASA faubourg Saint Honnoré
2015 : 10 éme salon des arts Afro-caribéens de Grigny
Exposition collective : Mairie de Boulogne
2014 : Portes ouvertes, Mairie de Boulogne
: Participation prix André et berthe Noufflard, Nogent
2013 : « Prix coup de coeur » Chorum et handicap
2011 :Exposition galerie « ETAIS » Chatelet, Paris
« Art en Capitale » au Grand Palais
Exposition Mairie de Boulogne
2010 : Artiste permanent Galerie Everarts Paris
2009 : « Art en Capitale » au Grand palais
Exposition Mairie de Boulogne et atelier ouvert
5ème salon des arts Afro caribéens de Grigny
Salon des arts Plastiques de Grigny
2008 : 4eme Salon des arts Afro-caraibéen « Prix des artistes » pour le tableau « l’allégorie du secret du pouvoir de l’écriture »
2006 : Participation aux ateliers ouverts de Montreuil organisée par la Mairie de Montreuil
2005 : Participation aux ateliers ouverts de Montreuil
Exposition au Centre Culturel « l’Albatros » Montreuil
2004 : Exposition peinture à l’huile à l’Espace Culturel de Villejuif
Exposition « Les Hommes nus » dans un atelier à Boulogne
2003 : Exposition collective « For intérieur » au Centre Georges Gorse Boulogne
Exposition rétrospective au « chat perché » Montreuil
2002 : Exposition « perspective » Centre Georges Gorse Boulogne

Exposition Paris XIII restaurant « Sainte Marie »
2001 : IX Salon d’art plastique au Centre Culturel de Dreux
2000 : Exposition au Centre Culturel Georges Gorse de Boulogne
Exposition à la Mairie de Paris XIII
1999: Organisation d’une exposition d’art et d’artisanat malgache au Centre Culturel du Lièvre d’Or à Dreux
Rassemblement d’un collectif de jeunes peintres à Montreuil
« Vision de l’environnement »
1998 : Exposition salle des fêtes de Clamart
VIII ème Salon d’arts plastiques au Centre culturel de Dreux
1997 : Exposition en plein air Parc Eric Satie organisée par la Mairie d’Arcueil
Exposition Centre Culturel Wladimir d’Ormesson à Ormesson
VII ème Salon d’arts plastiques « Prix du jeune créateur »
pour « la marche vers le soleil »
Exposition malgache à la Mairie du XIV
1996 : Exposition au siège de la Poste à Montparnasse
Participation à la peinture du décor de la pièce théâtrale « Juste un cri » de Serge Poncelet au Lavoir Moderne Parisien
Exposition au VIème Salon d’Arts plastiques de Dreux
1983 : Exposition au Petit Palais pour concours Victor Hugo

Démarche artistique : l’ETHNO-SURREALISME
D’André Breton, à Salvador Dali, en passant par Marcel Duchamp, les surréalistes sont mes prédécesseurs sur les chemins de création que j’explore depuis plus de Vingt ans. Du surréalisme, j’ai hérité le goût de plonger dans la civilisation africaine, à laquelle m’enracinent mes origines malgaches. N’étant jamais retourné à Madagascar depuis ma naissance, mon propos sur l’Afrique ne pouvait qu’épouser la démarche surréaliste, comme il épouse les limites d’un rêve éveillé.

Le rêve d’une conscience qui placerait l’ Humain au cœur d’une forêt de symboles directement reliés aux signes de l’Univers. Le rêve d’une Humanité, une et indivisible, détentrice d’un savoir ésotérique que l’on retrouve universellement chez toutes les civilisations primordiales.

Depuis 1997, date de la remise du prix « jeune créateur » pour ma participation au VIIème salon d’arts plastiques de Dreux, récompensé alors pour le tableau ici présenté : « la marche vers le soleil » ; il s’est agi de rendre compte d’un maximum de peuples premiers, en un détour mystique et ethnographique qui compose, depuis, l’ETHNO-SURREALISME dont je suis le représentant.

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L’ETHNO-SURREALISME s’inscrit dans le courant de l’ART CONTEMPORAIN AFRICAIN. IL permet de procéder à des décalages des repères bibliques et mythologiques occidentaux grâce à la mise en avant des symboles primitifs et ancestraux, et à l’abondance de références à d’autres civilisations : ainsi dans « l’Allégorie du secret du pouvoir de l’Ecriture », tableau de 100 x 120 cm, des années 90, la question du rapport des intellectuels au pouvoir, et de leur usage de l’Ecriture dans leurs combats – est transférée dans un contexte égyptien et africain , où la question est explorée dans l’allégorie représentée ( Prix des artistes au salon afro-caribéen de Grigny en 2008 )

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Faute d’avoir pu entrer en contact avec les peuples premiers ou primordiaux , ma démarche repose pour l’instant sur l’étude des travaux d’anthropologue et de leur documentation photographique dont j’extirpe là un visage, là une main, ici une parure afin de reconstituer de toute imagination les personnages qui peuplent mes peintures suivant une création qui se veut toujours originale et inédite.

Toile représentative de mon travail en l’an 2000 : « Eve, Caïn et les esclaves », peinture à l’huile sur toile de 200×150 cm, qui présente Eve et ses enfants sur un trône porté par des esclaves devant la mer, illustre cette intention ETHNO-SURREALISTE qui est aussi la mienne de provoquer chez autrui le déclenchement des spirales du rêve sans recourir à l’iconographie onirique habituelle du SURREALISME.
Ici (ci-dessous) Les verrous de l’imagination sont forcés grâce à l’utilisation de la « _8éme couleur » à savoir le titre du tableau qui doit sensibiliser le spectateur à une approche incongrue mais respectueuse de la GENESE. Eve est noire de peau , premier pied de nez surréaliste ; et l’on apprend qu’ADAM et EVE vivent au sein d’une humanité où règne l’esclavage…. La finalité de cette démarche étant d’interroger l’œil du spectateur autant que de stimuler la réflexion

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« Les penseurs », huile sur toile ( 120×120 cm), encadré de moulages de dents , fait partie de cette série de « TABLOBJET » ( tableau + OBJETS) que je présente sur mon site http://patrick_rako.nuxit.net depuis 2006 . Ou quand l’ETHNO-SURREALISME consiste aussi à provoquer des collisions non plus linguistiques au sein de l’image, mais également des collisions culturelles, vectrices de sens ou de non-sens, en mettant en scène l’antithèse de l’homme moderne : l’homme primitif aux prises avec des objets réels issus de la consommation de masse, par un jeu d’association entre objet réel, image peinte et titre évocateur.

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Cherchant à démultiplier la charge symbolique du tableau, dans mon approche plastique j’use des quatre éléments comme d’un révélateur. L’EAU est un élément que j’aime à représenter , ici avec : « les Trois grâces », grand tableau à l’huile sur toile de 100×170 cm, est évoqué l’aspect commercial de l’eau buvable sous forme de sodas ou de boissons alcoolisées.

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Et fidèle à la tradition surréaliste de détournement des objets je peins sur des supports inhabituels ( fenêtre, porte, fond de canapé … etc )
Car sitôt qu’une vision m’envahit il me faut la projeter sur le premier support que je trouve dans mon atelier. « Vision » étant un terme non parfait pour qualifier l’élément moteur de ma démarche. En fait s’agit-il de mots pensées, d’impressions, d’images , de concepts qui entrent en collision et qu’irrémédiablement je dois mettre en forme. « Totem » objet peint en relation avec l’ EAU : une planche de surf, est l’une de ces visions.

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Voici quelques tableaux primés en 2013 pour le concours « Chorum et handicap » : « Adam le chaman », encadré de briquets qui mêle les éléments : l’EAU et le FEU, l’EAU et la TERRE.

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« Vison d’EVE » encadré de cannettes, restitue une Eve dubitative entre la source originelle d’une EAU créatrice, et la réalité contemporaine d’une eau désacralisée.

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Autre tableau ayant reçu le « prix coup de cœur Chorum 2013 » : « Paradis du peuple primitif façon art brut » :

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Avec ce tableau qui a nécessité l’emploi de 9 pinceaux zéro, ma démarche est explicite : surréaliste, je cherche à propulser le spectateur dans un espace-temps où ce qui parait impossible et surréaliste se révèle à postériori : domaine du réalisable, du possible et du réel.
Dans « Paradis du peuple primitif façon art brut », une tribut de sauvages dont les chefs sont en sustentation au dessus de la SEINE , devant l’ILE SAINT-GERMAIN d’ISSY LES MOULINEAUX – se promènent devant la statue de DUBUFFET : « la Tour aux figures « bien connue des boulonnais. Surréaliste ? Impossible ? Non ! Pas même ! Le chef cérémoniel , son chaman et un prince sont debout sur un bateau que le tableau ne montre pas. Sur l’ILE SAINT-GERMAIN, dans cet espace-temps, on organise la réunion annuelle des peuples primordiaux … ( blague surréaliste : « et c’est sponsorisé par Coca-Cola ! « )

Mon travail plus récent m’a conduit, après avoir décliné ma démarche ETHNO-SURREALISTE, au-delà de l’utilisation de l’iconographie ethnologique, en « TABLOJET »ou rêve futuriste – à aborder un aspect plus réaliste , mais là en accentuant l’onirisme de la représentation du sujet par un trait proche de la bande dessinée.

Le tableau suivant traite d’une « Révolte Papoue en Papouasie-Nouvelle-Guinée » ( 2016 ) :

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« Papoose Genocide » rend hommage au courage du peuple INDIEN et au courage qu’il a fallut et qu’il faudra au peuple PAPOU.

PROPOSITION DE VISUEL POUR LA CARTE DE VŒUX :
« Eve,Abel et Caïn, assis sur le Trône de lumière au milieu du Grand Système Solaire »

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CHAPITRE VIII : La famille d’Elza

Elza avait très vite voulu présenter Alexandre à sa famille. Ainsi au cour d’un diner , légèrement intimidé avait-il rencontré Paul et France, respectivement son père et son amie avec qui il vivait maritalement. Le grand frère d’Elza et de Julie. Et fulvio, un cousin de la famille dont il compris qu’il avait perdu ses parents, et était souvent convié à leurs réunions, pour cela même qu’il n’avait plus sa propre famille.

Paul était superbe avec ses cheveux blancs, ses vestes noires ou ses cols roulés noirs, ses pantalons de flanelle noire aussi, et sa silhouette svelte. Il était aussi gentil qu’il était classe, et qu’est-ce qu’il en jetait ! Sa fortune, il l’avait faite dans l’édition de journaux pour adolescent. Ça avait été dur de perdre sa femme, un déchirement absolu. Mais l’amour de ses enfants aidant, la passion pour son travail facilitant, il avait su se refaire une vie. D’un naturel joyeux autant que taciturne parfois, il appréciait les bonnes tables, les vins fins, et les cigares. Plus que tout et comme le père d’Alexandre, il chérissait la jeunesse, même si elle était par trop bruyante et se précipitait vers la maturité dans l’indiscipline. Cela l’attendrissait. Fait insolite pour un homme d’affaire fortuné comme il l’était : il n’avait pas de voiture, et se déplaçait en métro, en taxi ou en avion, quand il se rendait à Londres dans sa résidence secondaire, dont officiellement il avait fait sa résidence principale pour des raisons fiscales. Il avait accueilli Alexandre par un amical « Ah c’est toi maintenant qui t’occupe de ma fille », espérant que cette fois-ci sa fille était guérie de sa torpeur avec les hommes qu’elle jetait les uns après les autres.

France, sa compagne s’habillait toujours de manière décalée : arborant souvent d’authentiques convers rouges qu’elle pouvait mettre avec n’importe quoi. Elle possédait un magasin de dessus de lit tendance et vendait partout dans le monde. Elle avait deux enfants.

Le grand frère d’Elza et de Julie était un drôle de zigue. Il avait le même âge qu’Alexandre. Mais plus prompt à se débrouiller dans la vie, dès l’âge de 15 ans, il pouvait assurer son autonomie financière en entamant une carrière de numismate. Depuis Elza ignorait l’origine des ressources de son frère, peut-être était-il entretenu par leur père. Il chérissait la liberté de l’oisiveté de son statu de jetsetheure, tout occupé qu’il était à voyager à travers le monde d’une soirée à l’autre. Sinon quand il restait à Paris, il occupait le terrain en squattant les boites branchées, à la recherche de jolie blonde dont il faisait une consommation immodérée, d’après la langue de vipère d’Elza : il faisait la « collection des poids chiches ».

Autrement,il adorait organiser des petites sauteries chez lui qui se terminaient invariablement de la même façon. Il invitait quelques uns de ses amis de confiance et des paires de jolies filles pas farouches et ça commençait. D’abord avec de bons vins qu’il présentait dans des carafes à vins, ensuite venaient ces bons mets destinés à émoustiller les palais, puis le dessert, d’autres alcools plus forts, les même que ceux de l’apéritif ; et chacun prenait une ligne de coke ou un extazy. On mettait le son à fond. On passait dans un autre salon et les couples se formaient. Tout le monde était déchiré, et les coquines en transe, se laissaient retourner sur le piano long, dans la chambre d’ami, sur la table à manger, sur un canapé,bref : partout. Et bientôt les couples se défaisaient. Chacun choisissait un autre partenaire, on reprenait de la drogue et la partouze continuait son train.

Fulvio n’avait pas hérité de la nature festive du frère d’Elza, mais à sa façon il était aussi exubérant. IL y avait un je ne sais quoi dans sa manière de parler qui le distinguait. A l’instar d’un italien ses mains gesticulaient pour souligner les mouvements de sa bouche, et il n’usitait que des mots choisis qui rendaient sa conversation précieuse. Fulvio était philosophe, ou du moins préparait-t-il un doctorat de Philosophie , pour lequel son but avait été de ne pas écrire une seule phrase qui ne fut pas indéchiffrable et augurant une formule scientifique. Ce qui avait parfaitement marché puisqu’il eut la mention très bien.

Lorsqu’Elza le questionna au sujet de ses amours difficiles, Fulvio s’épancha. Il est vrai qu’il n’était pas dragueur et aimait la difficulté. Quand ça dure, quand on se frole du regard ou qu’on se zieute sans se dire qu’on s’aime, quand tout un tas de stratagèmes sont nécessaires pour se rapprocher. Car Fulvio était timide et compliqué. Il lui fallait une femme qui fut brillante et belle, et difficile à conquérir : une princesse en somme. Or, il y avait Marie dans sa vie, ou plutôt dans sa ligne de mire. Marie était en Hypokhâgne. Brillante étudiante, Fulvio désespérait de jamais pouvoir l’intéresser avec son doctorat de Philosophie. Mais tout de même, ils s’étaient parlés et longuement et vivement. Et Fulvio la guettait lorsqu’elle allait en bibliothèque, lui demandait poliment s’il pouvait s’asseoir à ses côtés. Et parfois ils demeuraient silencieux pendant des heures, mais réunis ensemble dans le même intellectuel recueillement, se satisfaisait Fulvio. Pour rien au monde, c’était trop vulgaire, il ne l’aurait invité à passer une soirée avec lui. Non, il fallait un caractère fortuit à leurs entrevues pour que la magie opère. Et à chacune des bonnes remarques, ou brillants discours que Fulvio lui tenait, il se disait qu’il tenait le bon bout. Leur idylle intellectuel durait depuis des mois, et à force de confier le soin de leur rencontre au presque hasard, cela n’avançait pas. Qu’à cela ne tienne ! Fulvio était de plus en plus amoureux : Marie, il devait la mériter…

Tout au long du dîner ils discutaient à bâtons rompus. Chacun donna de ses nouvelles à l’assistance et on parla politique : Israël était leur premier sujet d’inquiétude. Alexandre qui s’émouvait également de la situation Palestinienne  provoqua une polémique qui se termina par un autre verre de vin. Sinon, ils parlèrent de leurs vacances : ils allaient tous se retrouver à Ibiza dans leur villa familiale. Paul dit à Alexandre , peut-être aurait-il encore le bonheur de le revoir là-bas. Ce sur quoi Alexandre,surpris, dit qu’il ne savait pas. En fait, il n’avait pas l’argent pour y aller et cela l’intimidait de se retrouver avec eux si loin. Elza qui était prévenante, lui dit, après le dîner, qu’elle lui payerait le billet d’avion, et que ça lui ferait drôlement plaisir s’il venait. Alexandre réserva sa réponse au lendemain, mais même s’il avait peur , ça le faisait rêver d’imaginer découvrir la mythique île de déperdition. Il dit oui avec une petite réserve.

Le soir venu, rentré dans son petit deux pièces , il découvrit Bahia en pyjama prête à aller se coucher.  » Tu vas bien ?  » lui demanda-t-elle affectueusement.  » Bien mieux », répondit-t-il. Et pour une fois, ils se parlèrent comme deux vieux amants qui se retournent sur leur passé avec compassion. Ils se rappelèrent leur premier grand moment, dans sa petite chambre à lui. Comment il était soucieux de bien faire, comment sans savoir pourquoi, elle s’était donnée à lui dès le premier soir. Et les premières semaines qui suivirent où ils firent l’amour tous les jours.  »  Je ne me lasserais jamais que tu me fasses l’amour » dit-t-elle. « Moi non plus… » répondit-t-il.  » Tu sais je vais partir en vacances avec Elza » ,lui avoua-t-il.  » Ca me rassure, dit-elle , pendant que je partirais de mon côté, je m’inquiétais que tu restes seul », dit-t-elle sans rien révéler de son amant , dont jusqu’à présent elle avait tenu le nom secret.  » Tout est pour le mieux » ajouta Alexandre. « Tout est pour le mieux » confirma Bahia. Et pendant qu’il disait cela, il posa sa main sur la joue de Bahia , et subrepticement, poussé par le souvenir d’années passées à s’aimer passionnément, ils s’embrassèrent.

Alexandre glissa sa main sous son haut et caressa ses seins. Elle se laissa faire et jusqu’à ce que sa main à lui coulisse vers son sexe. Bahia commençait à haleter. Poussé par une excitation à son paroxysme, ils se dévêtirent et regagnèrent leur mezzanine. Là, Bahia se donna comme avant, toujours prompte à balancer ses hanches quand Alexandre la prenait, toujours prompte à crier à mesure qu’il la limait dans tous les sens. Alexandre et Bahia firent l’amour trois fois de suite. La dernière fois, Alexandre pris Bahia en levrette pour qu’à quatre pattes, dans une position où Bahia était légitimement dominée, voir humiliée, celle-ci sente qu’Alexandre pouvait la prendre comme une salope, car il n’y avait que lui et lui seul, à pouvoir lui donner autant de plaisir. Bahia, elle, sentait où Alexandre voulait en venir, et ça la faisait jouir.

 

Messieurs pensez-vous que la guerre de Syrie laissera place aux accords de Shangaï, lorsque les martyrs d’Idlib seront tous morts ,enchainés, violés ou torturés dans les prisons de l’armée loyaliste de Bachar el Hassad ? Pensez-vous sérieusement que la mort de mes guerriers signera l’avènement du nouveau monde que vous esperez tous ?

Soyez assurés que non ; le silence médiatique sur ce nouveau massacre n’empêchera pas mes sens d’être assaillis par les cris de ceux qu’on assassine. Et lorsque mes sens sont irradiés de douleur, à l’acmé de mes pleures , les oiseaux me répondent, les feuilles des arbres tremblent ; certain disent que je suis un Homme-Oiseau, d’autres ont découvert mon nom mystique; mais toujours et de jour en jour, mes capacités croissent à mesure que les consciences s’éveillent.

Quel rapport avec ce qui a lieu actuellement à Idlib me direz-vous ? Simplement que je suis un chaman qui ressent les courants chtoniens et ioniens de la Terre, et elle est douée de synesthésie la Terre. Aussi quand bien même les américains penseraient que le climat se maitriserait avec des boutons comme une centrale nucléaire ; ayant suivi de près cette affaire pour en avoir été l’un des cobayes, à ces américains je dirais que cette arme de destruction climatique dangereuse, seule la Terre peut en jouir, car seule la Terre quand les civilisations arrivent au point culminant de leur maitrise technique décide du sort des Hommes.

Dieu, Lui, accorde aux justes la maitrise de certains éléments climatiques. En moi, cela est les spirales mystiques, la grande Géométrie à laquelle accède la conscience comme si elle touchait un plafond de verre dont chaque point qu’elle impacte la relie au centre de la Terre; faudrait-il encore parler de la Mathématique Symbolique qui ne se suffit pas à elle même s’il est question uniquement  de parler des nombres qui structure l’Univers car comme l’arbre est conscient et communique biochimiquement avec les êtres qui l’entourent, l’Univers jouit en son coeur d’une conscience qu’il partage avec les planètes, et les planètes aussi étrange que cela puisse paraitre rendent compte à ce coeur conscient, cette force invisible mais partout présente, de l’action des êtres qui les peuplent.

Or, croyez-moi, je peux faire des ravages,et comme vous chinois et américains vous êtes mal comportés sur le champ de bataille ( les américains pour avoir abandonné le Kurdistan et ne pas avoir poursuivi l’Etat-Islamique dans le desert) , il est fortement probable que l’année prochaine je décide d’accentuer la force des cyclones qui ont ravagés vos terres cette année.

A moins que l’armée des 30000 hommes chinois déployés en Syrie ne sécurise les abords d’Idlib, et interdise à tous assaillants d’approcher sous peine de mort.

Aux russes, je dirais seulement que belle technologie ne rime pas avec belle idéologie. Vous faites la guerre tout azimut et la population russe , tôt ou tard, se révoltera comme lors de la grève des usines « rako », il y a de cela un temps que les moins de vingt ans ne doivent pas ignorer. Comme le fait que nous sommes proche d’une nouvelle explosion atomique d’origine inconnue, telle que celle qui eut lieu avant la première guerre mondiale. Cette fois, également en Sibérie , mais en visant le tombeau de Genghis Khan et de ses descendants. Au moins alors,les chamans qui dorment verraient les écailles toutes tomber de leurs yeux embués.

Mes peuples, créez les routes de l’espoir au lieu que d’accentuer la déroute désespérée des peuples du monde.

         PATRICK RAKOTOASITERA

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Bonjour à tous les internautes habitués à fréquenter le site, et bienvenue à tous ceux que la diffusion du contenu de l’émission « Zone Interdite » sur youtube aurait incité à faire des recherches afin de trouver sur le web une trace de mon travail.

Si vous avez parcouru les derniers articles vous avez sans doutes constaté qu’au-delà de toutes exubérances surréalistes mes appréciations sur le conflit syrien étaient marqués par une considération mythomaniaque de mon rôle réel dans cette guerre, depuis que j’ai commencé à préter ma plume à mon avatar «  le général désarmé ». Au regard de ceux qui ont et continuent de réellement souffrir des conséquences de cette guerre,mon attitude égocentrique me fait honte et je souhaiterais , auprès de tous ceux et celles qui ont pu en être choqué, présenter de sincères excuses. Les écrits devant rester, comme telle est la pratique de ce site, les articles incriminés seront annoté d’un astérisque explicatif rétablissant notamment  la véracité des tenants et aboutissant de ce qui fut par moi dénoncé comme un empoisonnement par les services russes, puis ils seront classés dans la rubrique « folie »…

Réponses pèle-mèle aux plus récentes questions des internautes :

Je peins toujours et prépare une exposition sur Paris dont je ne peux pas dire grand-chose pour l’heure, certes, pas par superstition, mais en raison de la maigreur des informations qui sont à ma disposition. Quoi qu’il en fut, l’onglet : « actualité » préviendra sur ce site de l’imminence de l’exposition.

A mon grand regret, je ne peux actuellement indiquer comment se fournir la version livre papier de mes écrits. Mes livres ne correspondent jamais à la politique éditoriale du moment pour les maisons d’édition ; où lorsqu’ une maison d’édition est intéressée ,il se produit toujours une divergence de vue , je ne suis jamais disposé à défigurer la substance écrite pour répondre aux attentes de l’éditeur, et le projet avorte. Un seul texte est actuellement publié «  la chambre d’isolement » ,dans le livre «  les premières fois », aux éditions librio, sous le prénom patrick, en raison du caractère anonyme de ce qui fut à l’origine un appel d’éditeur à  décrire une expérience inédite, lancé  à l’adresse de toute personne désirant participer. Je signale par ailleurs que le livre publié ici sous forme de feuilleton ( « le mélange contrarié des anges ») sera entièrement ici mis en ligne cette année, de même que l’intégralité de mes autres livres, qu’ils seront  accessibles moyennant une participation modique et libre sous forme de don ; et que le prochain livre auquel je m’attelle (« nous regardions par terre »), dès que possible, sera lui aussi présenté sous forme de feuilleton.

A priori également, rien n’est décidé seulement, le site devrait être « relooké », les onglets de commande de tableaux professionnalisés, je veux signifier par là : au moins faire un truc qui marche comme ce n’est pas du tout le cas actuellement, avec l’adjonction d’un numéro de téléphone qui devrait permettre à toutes personnes intéressées de me joindre.

Pour ceux et celles qui suivent mon travail depuis maintenant un certain temps j’aimerais adresser mes remerciements pour leur patience, leur bienveillance et surtout leur compassion jamais méprisante ni mêlée de reproches à l’égard de mes monstrueuses fautes d’orthographes. Lorsque j’écris mon esprit est tout entier immergé dans le méta-texte, ce qu’il y a sous la pellicule des mots, là, en cette dimension invisible où se déterminent les trajectoires de sens et où se construisent les phrase ; si bien immergé qu’il m’est impossible de remonter à la surface du mot pour vérifier sa bonne forme orthographique. Je laisse cette tache ingrate à mon inconscient et le capricieux souvent oublieux des règles restitue une orthographe à son image : sauvage et souvent surréaliste. Pendant vingt ans j’ai écrit le mot « adresse » avec deux « d » ; « endive » avec le préfixe « hand » ; etc . Il y a , je crois, que l’orthographe est profondément liée à la dimension inconsciente du sujet, celle-ci  porte les traces souvent traumatiques d’un apprentissage social de l’orthographe rejeté par celui dont les fautes trahissent la condition socioculturelle. Cela n’empêche pas l’accès au méta-texte, mais même si celui-ci est un espace souvent visité et maitrisé au point de commettre des textes poétiques, la faute de français et plus uniquement d’orthographe n’est pas loin, qui jaillit des collisions entre la phonétique de la langue courante et la forme conventionnelle des mots. Je n’y échappe pas. J’ai beau lire souvent, je ne vois pas la forme des mots, les phrases des écrivains m’aspirent littéralement sous leur surface, où suis-je seulement attentif au bel agencement des propositions, admiratif du style, ou bien concentré sur   le rythme, la cadence, la musicalité des phrases. Et étonnamment lorsque j’écris, si ma conscience est claire, mon esprit sainement reposé les fautes réduisent en intensité ; ne demeure que les « coquilles » des mots mal frappé sur le clavier et les fautes les plus indélébiles. Il sera facile au lecteur de ce site d’ en apprécier les articles sous ce nouvel éclairage : plus je suis anxieux à l’approche d’un texte, souvent selon que le texte a une portée cruciale à mes yeux, plus rodera l’expression de la faute. Et même en état de joie intense, d’excitation créatrice le résultat peut être identique comme je plonge trop profondément dans la phrase pour me soucier de sa forme orthographique. Seule la placidité de l’âme m’est un remède …

                  Bien à vous tous. PATRICK RAKOTOASITERA

 

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Ci-dessus l’avant dernier tableau ,ici en cours, réalisé cet été, après avoir passé quelques jours chez ma tante Annick qui possède une petite maison dans les environs de Rambouillet.  Un coin un peu perdu où rien ne se fait sans véhicule et où quasiment rien n’est possible pour quelqu’un atteint d’alzheimer comme l’est ma tante. J’y ai réalisé quelques croquis rapidement exécuté, parfois sur des sujets tout à fait inhabituels dans la hiérarchie de mes priorités. Ainsi de cette tondeuse qui a rendu un semblant d’ordre au jardin rendu à sa nature sauvage par manque d’entretien. Ma tante doit être assistée quotidiennement. Elle ne se lave plus toute seule; ne cuisine plus jamais et son traitement requière l’intervention d’infirmière à domicile. IMG_20171106_103229 IMG_20171106_103240

Cloisonnée chez elle, Annick fréquente longuement son fauteuil . Celui au tissus un peu élimé près de la porte fenêtre qui donne sur son grand jardin.

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Elle aura bientôt 80 ans Annick. Ancienne chef hotesse dans l’aviation, habituée à diriger ses troupes, Annick a conservé l’excellence de la langue qui fleurit sa bouche de mot recherché et devenus rare dans les conversations courantes. Seulement, dix minutes d’intervalle suffisent à lui faire oublier ce qu’elle a pu exprimer avant.IMG_20171106_103319

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Sa voiture est immobilisée dans le jardin, inutilisée depuis au moins deux ans.IMG_20171106_103340

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Sitôt que sa télé a bien voulue fonctionner, c’est en regardant chez elle une émission sur la peinture que j’ai eu l’idée du tableau qui romprait mes habitudes de couvrir toute la toile de peinture en y distinguant de large zone vierge, et c’est à l’exemple du grand artiste Chayan Koy que j’ai décidé, revenu dans mon atelier, de peindre de manière encore plus réaliste mes personnages.IMG_20171106_170210

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le tableau s’intitule :  » code secret africain et symbolique de l’origine de l’univers « 

               Qu’ est-ce que l’économie symbiotique ?

Qu’est-ce qui distingue l’économie du profit de l’économie symbiotique ?

Dans son essai sur l’économie symbiotique, Isabelle Delannoy tente de rendre compte d’une économie à mille lieues de l’économie du profit, celle décriée de la financiarisation extrême de tous les secteurs économiques dont le but principal est l’accumulation des gains à tous prix. A rebours, l’économie symbiotique qu’Isabelle Delannoy présente comme l’économie du futur, se veut respectueuse des conditions de production, de partage du capital et place au cœur de sa stratégie le respect de l’humain et de l’environnement.

Immédiatement l’économie symbiotique laisse deviner qu’elle est ce par quoi l’énergie issue de l’extraction fossile ( charbon, gaz, pétrole) qui totalise plus de 86% de l’énergie que nous consommons, sera supplantée par l’utilisation des énergies renouvelables, disponibles en quantité illimitée, que représente le solaire, l’éolien, ou l’énergie hydraulique. Mais l’économie symbiotique qui réalise la symbiose entre le travail, l’humain et l’écosystème dans lequel l’homme vit, est aussi une myriade d’innovations, d’entreprises collectives concernant tant l’organisation du travail qu’intéressant tous les secteurs d’activité, pêle-mêle, allant de l’industrie au tertiaire, de l’architecture à l’agriculture ; et qui peut théoriser aussi l’écoconstruction ou tous ce qui est relatif à la bonne utilisation des infrastructure, des machines, des outils ; ou concerner, ici, une végétalisation de façade ; là : l’invention d’une monnaie alternative.

En réalité, l’économie symbiotique est une économie responsable ; mieux : un projet de grande envergure révolutionnant le comportement de l’Homme vis-à-vis de la faune, la flore et vis-à-vis de l’humain lui-même ; tant elle redessine des relations sociales plus saines, moins distendues par la course à l’accaparement du capital, recentrées autour des valeurs de partage, d’entraide et de mise en commun des biens de consommation. Elle permet d’envisager un monde où la propriété individuelle cède le pas à une utilisation collective des biens, grâce à la généralisation de la location d’objets, la mutualisation des tâches d’entreprise à entreprise, fondé sur un accès à l’information universel et un partage généralisé des savoirs, qui vise au respect, au maintien et à la pérennisation des ressources de la Terre.

Il ne s’agit pas là que d’une théorie économique ou d’un nouvel eldorado idéologique, l’économie symbiotique de l’Occident à l’Asie en passant par l’Afrique est bel et bien entrain de transformer fondamentalement, partout dans le monde, nos modes de production agricole, comme elle est en passe de renouveler et remodeler les paysages urbains , en révolutionnant les règles de la production jusque là établies.

Ainsi animée par de plus en plus d’agriculteurs dans le monde, la permaculture agricole, comme on peut la voir pratiquée en Autriche dans la vallée de Lungau, rompt avec les monocultures extensives pratiquées depuis la seconde guerre mondiale, dont on connait maintenant l’effet désastreux sur l’appauvrissement des sols et l’intoxication aux pesticides des consommateurs de fruits et légumes. Bien souvent à l’échelle de la parcelle, ces exploitations «  à taille humaine «  consistent à faire coopérer en synergie un ensemble de plantes complémentaires engendrant des relations nutritives entre elles permettant de réduire au maximum les intrants, soit les engrais. Car ces plantes attirent une diversité d’hôtes et de prédateurs qui affranchissent l’agriculteur de l’utilisation de pesticides et autres produits phytosanitaires. Cette nouvelle forme d’agriculture qui multiplie les variétés et les espèces cultivées sur une même surface est d’autant amenée à se développer qu’elle aurait des rendements dix fois supérieurs à la moyenne des exploitations maraîchères spécialisées, a-t-on mesuré en France.

Agriculture des petits producteurs et des petites surfaces, dont on espère que d’ici à 2025 elle aura supplanté le modèle des monocultures des grandes exploitations en France, la permaculture va de paire avec les dits circuits courts de vente ( amap et autres ) qui furent lancé au Japon en 1965, après un scandale d’intoxication au mercure des populations de la baie de Minamata. Des mères de famille se réunirent pour initier un mouvement de réseaux locaux d’agriculteur alimentant un réseau local de consommateurs de leur production de fruits et légumes de saison : les »Teikei ». L’initiative a eu un tel succès qu’en 1993 les Teikei comptèrent 16 millions de membres.

L’économie symbiotique respectueuse dans l’utilisation des ressources essentielles est particulièrement performante dans la gestion de l’eau. A travers le monde, en Egypte, au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Italie, les eaux usées sont réutilisées pour faire pousser des forêts , ce qui en plus de végétaliser les abords de la ville, ou les zones désertiques améliore la qualité de vie des habitants en offrant de nouveaux débouchés pour l’agroforesterie. En Chine, sur les rives du Yangtsé, Wuhan, quartier littéralement posé sur l’eau est spécialisé dans l’épuration végétale qui consiste à filtrer les eaux usées uniquement grâce à une grande biodiversité de végétaux. Les joncs, les bambous, les roseaux y sont efficaces pour éliminer les charges organiques grossières. Les iris et les nénuphars dépolluent le cadmium, le zinc, le cuivre et   éliminent l’atrazine, le pesticide. Ce qui permet à ce parc de traiter 10000 mètres cube d’eaux usées journalièrement, en diminuant la consommation d’énergie, sans générer aucun rejet, ou déchet.

Dans le secteur industriel, l’économie symbiotique fourmille d’inventions révolutionnaires, tel celle réalisée par Rémy Lucas avec le goémon, l’algue des plages bretonnes, que cet industriel a réussi à transformer en bioplastique, potentiellement capable de remplacer 10% des plastiques actuels. Adrian Bowyer, lui, tente de révolutionner le secteur des imprimantes nouvelles génération avec son imprimante 3 D REPRAP entièrement autoréplicable qu’il distribue à faibles coûts dans le but de libérer les moyens de reproduction. L’écologie industrielle, elle, vise la réduction des émissions de carbone des systèmes productifs et économiques, quand l’écoconception cherche à concilier conception, fabrication de produit et protection de l’environnement et conservation des ressources en basant la production sur la durabilité et l’optimisation du cycle de vie de l’objet. Aussi, la frontière n’est plus si nette entre producteurs et consommateurs dans l’économie symbiotique, parce que avec des concepts comme l’open source, les entreprises s’ouvrent à une diversité d’acteurs extérieurs : chercheurs, entreprises partenaires, clients, étudiants etc, ayant droit d’utiliser , de modifier, de partager librement les logiciels de l’entreprise ; ou en étant invités à collaborer au processus d’innovation. Autre caractéristique, la production de biens et de services exercées par des sociétés ( principalement  coopératives ou ayant des visées sociales ) se distingue par le délaissement de la recherche de profit immédiat privilégiant plutôt la finalité du service rendu   à la collectivité ou aux membres de la société, selon de nouvelles formes de gouvernance en entreprise marquées par la démocratisation des décisions, tandis que dans la répartition des revenus, au capital est préféré la primauté des personnes et des bonnes relations de travail.

Sans nul doute, l’économie symbiotique est entrain de réussir la symbiose de la sphère technique , de la sphère vivante et de celle spécifiquement humaine dont la croissance de l’interconnexion entre les hommes a tissé une pellicule de pensée enveloppant la Terre d’un système complexe de communication. Or, impulsé par une communication virtuelle maillotant la Terre, l’économie symbiotique aura permis et la diffusion des savoirs et la mise en réseau des acteurs de son économie en constituant le noyau communicationnel autour duquel se diffusent toutes les nouvelles idées et s’agrègent toutes les bonnes volontés. Par le biais de l’économie symbiotique l’être humain opère une réconciliation avec son écosystème, capable dans un futur proche de réduire de quasiment 90% notre utilisation de matière, en remplaçant par exemple l’utilisation du métal et des minerais par le recours aux plantes accumulatrices propre à dépolluer les sols en agrégeant les minerais dans les feuilles de la plante … Il aurait encore fallut parler des Data-center où sont accumulées les données numériques relatives à chacun, dont la grande production de chaleur peut permettre d’alimenter des piscines chauffées, où de faire fonctionner des serres à légumes. Dire qu’il est possible de créer des villes autonomes en eau, en énergie, bordée d’immeubles-forêts, de jardins filtrant, sillonnées par des autoroutes à vélo et véhicules autoconstruits. Pour bien insister sur les qualités de cette nouvelle théorie économique qui réalise la symbiose entre l’intelligence humaine et la richesse des écosystèmes naturels grâce à l’ensemble des outils de la technosphère propre à minimiser l’impacte écologique de l’homme sur son environnement.

Tout reste à découvrir dans le livre « l’économie symbiotique » de Isabelle Delannoy…

 

Que mes Hommes pardonnent mon silence, mais croient bien que point je ne renonce.

Il m’aura fallut en sous main affronter l’armée russe ( polonaise) qui m’a empoisonnée d’un poison dont le colonel russe m’avait remis l’antidote, pour, après avoir guéri sans recourir à cet antidote, comprendre que l’armée russe, bien que ne manquant pas de ressources vive, était à bout de souffle ; et par ailleurs, considérer les enjeux religieux du conflit syrien.

En effet, et sachez-le factions armées ou dites rebelles, alors même que l’occident après l’intervention courageuse de Monsieur TRUMP, de Monsieur MACRON et de Madame MAY est disposée à nouveau à nous aider, nous nous devons de donner à la communauté internationale les gages qui assurerons et notre victoire militaire et l’instauration d’une ère de paix durable dans la Syrie de demain.

Aussi et pour répondre aux angoisses de la communauté chrétienne syrienne pour la défense de laquelle le pape françois est prêt à actionner tous les leviers militaire à sa disposition, nous devons clairement nous positionner. Je propose donc que cette présente missive soit le renouveau de nos liens avec la communauté chrétienne. Chaque faction aura à se définir relativement à ma position, en affirmant haut et fort qu’elle s’engage à ne pas détruire l’oeuvre de l’Apôtre PAUL, ses églises comme les communautés qui lui sont resté fidèles .

Concomitamment et même si cela répugne certain, ce qui de mon point de vue est injustifié, nous devons honorer le peuple juif d’avoir ouvert les yeux du gouvernement de monsieur NETANYAOU, pour la raison simple que si ISRAEL n’était pas militairement intervenue avant la frappe occidentale contre les installations de Bachar al-hassad, croyez le bien : il n’y aurait pas eu d’intervention de la communauté internationale et ne serait-ce que pour cette unique raison, nous devons réitérer à ISRAEL notre désir de fonder dans le futur un accord de paix avec la SYRIE basé sur un partage de l’eau équitable , ainsi qu’en envisageant, si ISRAEL en est d’accord, un partenariat d’exploitation du pétrole qui se situe entre ISRAEL et la SYRIE. Je préviens l’Armée Libre de Syrie que je serai intransigeant quant à cette reconnaissance qui doit être officielle. ISRAEL a pris conscience de l’impossibilité morale pour elle de laisser se perpétuer à ses portes un Génocide. Qu’on ne me dise pas que d’autres considérations prévalent pour elle, aucun juif au monde s’il est informé de l’existence de crimes contre l’humanité fussent-ils dans un pays dit « ennemi » ne choisirait le parti des bourreaux .

Par ailleurs, et ici, car n’étant pas sur le terrain, nous nous en remettrons aux généraux de l’Armée Libre de Syrie pour évaluer la faisabilité de cette proposition, nous, général désarmé déclarons que nous sommes prêt à entamer des négociations avec le gouvernement syrien si celui-ci renonce à attaquer les dernières positions défendue par l’Armée Libre de Syrie , notamment Idlib, en cas contraire, sur ce site nous élaborerons une tactique de reconquête du terrain perdu sur l’axe Homs- Damas que même le Général GIAP ne renierait pas….

A TOUTES LES FAMILLES EPROUVEES PAR LE GRAND MALHEUR DE LA GUERRE NOUS DEMANDONS SINCEREMENT PARDON, PARDON POUR NOTRE ORGUEIL, PARDON. A DIEU NOUS NE DEMANDONS RIEN, CAR IL N’Y A DE DIEU QUE DIEU ET LUI SEUL SAIT QUI MERITE D’ETRE ELEVE AU RANG DE JUSTE. NOUS ESPERONS SEULEMENT QUE NOTRE ACTION NOUS PERMETTRA UN JOUR D’ACCEDER A CE GRAND TITRE HONORIFIQUE QUE POUR L’HEURE SEUL ISRAEL EST EN DROIT D’ATTRIBUER AUX HOMMES …

PATRICK  RAKOTOASITERA

 

 

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Blague surréaliste : que fait le Président honoris causa de l’Afrique devant la dixième porte?  Ben un tour de poney !

Oh peuple Palestinien ne cède pas aux raisins de la colère !

Toi Mère de nos enfants enseigne autre chose que la misère,

Vole dans mon œil, oubli toutes ces guerres et ces deuils, vole

Au destin de celui qui te succèdera le cercueil de ton œil,

Que tombent les écailles des yeux embrumés de rêves et de fumée ;

De la renaissance de ta pensée dépend le sort de la guerre, et Sept, cette fois ne peux me contredire, si en ton cœur en plein centre,

Tu trace une verticale vers ton âme : réveillée elle t’enseignera si son champ est large comme une bille qui verrait à cent mètres son calo,

L’indicible bienfaisance de la fraicheur de la Paix sûre, sur, de notre corps, le halo, hello, holà, héla, Élohim …

N’ais donc pas peur de revendiquer l’isthihad qui mène aux mouvements pacifiques, YErets Israêl est un adolescent rebelle que tu ne vaincras pas autrement que par la force de l’Amour, celui qui donna à JESUS l’occasion de vaincre, que tu dois faire tien, tienne et sien,

Tu peux réveiller les murs blanchis d’ennuis, de haine de fureur et de cris, si cela te parait réalisable, en JESUS le messie, cela , tu en conviendras ne peut être qu’en l’action de paix, la révolte silencieuse et l’endurance au mal, comme une action symbolique vaut mille coup de feu, dix mille prières, et cent mille joies.

Alors, conte à tes enfants l’expérience de la Grandeur de Dieu sans jamais décider à Sa place qui doit rendre justice des actes des Nations

Et tel le Poisson plonge dans l’Océan des béatitudes pêche la Vie et seulement la Vie .

Nota bene : dès que possible je ferai parvenir par l’institut du Monde arabe de Paris : le tableau «  Eve, Abel et Caïn sur son trône de Lumière au milieu du Grand Système solaire «  qui rejoindra, inch Allah, les autres œuvres des artistes internationaux destinées au futur musée de la Palestine de Jérusalem Est …