After few months at hospital i’m coming back trying getting better and thank you for all your messages which were instructive for me, but i dont really know how to answer, so thank you very much and see you next.

patrick rako

Rakotoasitera : ART ET FOLIE

La folie créative du schysophrene n’est plus a démontrer depuis l’avènement de l’art brut initié par Dubuffet pour réorganiser le marché de l’art au travers des productions d’artistes de la marge. De cette sorte d’artiste je ne peux en être que l’héritier, quand bien même mon amour du tableau surréaliste et de mon maitre de coeur Salvador DALI je ne me départis pas. Mon mal a débuté lorsque je venais d’avoir 23 ans, quarante joints dans la bouche tous les jours et un penchant immodéré pour tout ce qui ne vient pas de notre civilisation et que je place au coeur de l’attitude surréaliste moderne : l’homme primordiale ou primitif dont le chaman est la figure emblématique en ce qu’il receuille les exclus , en fait des initiés et les entraine à gouter les plantes, favorisant l’hallucination tel un moyen de connaissance, ce que je m’employais à faire en dépis de toutes hygiène et connaissance florale : goutant chaque fleur, chaque feuille, chaque écorce nocive ou non. Mes moeurs sont devenus allarmants le jour où le rêve, la réalité, les soucis du quotidiens se sont fondus en moi en un verbiage incompréhensible, une impossibilité de communiquer le moindre mot sur une angoisse effroyable qui me taraudait : mes peintures étaient à mon sens esthétiquement réussie mais rien à faire, je restais sans succés, isolé, et comme l’homme socialement adapté imcapable de vivre autrement que dans l’illusion. Mon premier internement , je m’en échappais, le segond fut long, mortellement ennuyeux, strident pour mes nerfs et j’en ressortais pesant prés de 25 kilos de plus, après seulement trois semaines, pure infamie pour qui a toujours eu la culture du corps de belle allure et d’un crane vaillant , les médicaments avaient laminé ma volonté, mon gout pour la vie sans répondre à mes existenciels questionnements. Il m’aura fallu 15 ans de lutte pour découvrir le traitement le plus adequat et que mes geoliers s’habituent à mes étranges manières : chanter gorge déployée dans l’hopital, régaler mes congénaires de chahut entendu et ne plus subir l’humiliation de la chambre d’isolement. Ce bien que je rechute à chaque fois. Néanmoins,le travail que je souhaite présenter pour mes deux prochaines exposition, celle de CHARONNE et MONTREUIL je l’éspère vous transportera dans un autre univers, celui des contes, des mythologies, de la Bible, du surréalisme symboliste, de l’art brut, et celui que je vois en permanence quand je ferme les yeux… Quand vous restez paupières closes s’il vous parvient des images au cerveau, peut-être êtes vous surréaliste ?

Monsieur le Président de la république, Madame ENGELA MERKEL, Monsieur le PREMIER MINISTRE de GRANDE BRETAGNE, Monsieur BERLUSCONI, et Messieurs et Dame que je n’ignore pas :

Les circonstances économiques défavorables au développement du niveau de vie du citoyen Européen, m’incitent à vous écrire de nouveau afin de vous enjoindre d’être lucides, mais pas sourds aux aspirations des populations Européennes dont la présurisation des revenus ( présurisations du revenu social, présurisation du revenu du travail et présurisation incontrolée des revenus de la propriété)- risque d’autant plus d’être vectrice d’un mouvement révolutionnaire sans précédant que celui-ci aura été nourri par un cynisme politique et financier incapable d’enrayer : le désespoir, le ressentiment, la rage, la haine, puis la fureur qu’engendrera et qu’engendre déjà un système économique où les banques produisent plus d’argent que les industries (  » en 2007, le secteur financier représentait presque 47% de tous les profits des entreprises américaines contre 19% en 1986″)- et de part cette supériorité de leur masse monaitère, banques qui peuvent se passer de stimuler la production. Au plus, répondent-elles durant les mouvements de panique systémique, mais maintenant, plus que jamais elles sucitent des mouvements de panique capables d’obliger les états complices à leur emprunter de l’argent, à seules fins que ceux-ci puissent s’acquitter des intérêts de la dette qu’ils ont contractée envers ces même banques.

Or, ces pratiques réduisent le projet social des états à un simple paramètre d’ajustement, à l’instar du revenu des salariés que les entreprises pensent réductible à l’infini, quitte à délocaliser le travail. Sans savoir que lorsque les états auront, par des mesures de rigueurs incessantes, auront corroder jusqu’à la liberté même des citoyens ( flicage, localisation, gestion), ceux-ci feront un peu plus basculer, par réaction, l’économie dans l’économie informelle ou plutot : souterraine.

Faisant disparaitre l’argent par le bas, après avoir repenser leur mode de participation dans les banques ( crise de 29) qui font plus ou moins 40% de leur benefices avec leurs frais de banques. car les banques aspirent les avoirs des particuliers, accaparé, par ailleurs, par le haut, via l’état, les organismes internationnaux et le tissus financier actuellement dominé par les fonds d’investissements. Dont il convient de mieux limiter et rendre transparante leur capacité à manipuler les risques systémiques à leur profit. Au profit du système banquaire mondiale, par le système d’assurance, pour disparaitre dans des nébuleuses financières, ou être dilapidé à cause de la volatilité des marchés (  » la récession mondiale massive (…) de son point culminant à son point le plus bas, a anéanti plus de 30 000 milliards de dollars d’épargne. » Pour l’Amérique : la dette publique semble devoir passer de 60 % du PIB en 2007, a environ 90 % selon les éstimations du magazine  » problèmes économiques ». L’exemple du Japon dont la dette est détenue par des fonds d’investissement Japonais, étant à considérer à part, même si elle est plus inquiétante que la dette Grecque, car dans ce cas ce n’est pas la Grèce qui est maitre de sa dette)

Or, dans ces nébuleuses financières, il s’y serait accumulé plus de mille milliards d’Euro. En tous les cas: deux à trois fois plus que le bon millier de milliard d’Euros ayant servi aux états et à la banque centrale Européenne pour renflouer le tissus financier, en totalisant avec la crise des fonds souverains. Et je suis loin du compte. il faut considérer que les états ont engagés plus de 3 000 milliards de dollars, avec cette affaire de plus, depuis la crise de 2OO8.

Les états Européens doivent donc mieux soutenir et orienter le remaniement du système financier outre-atlantique. Il y est question de mieux pouvoir tracer l’origine des fonds d’investissement manipulant plus de 100 millions de dollar, en les obligeant à être référencé. Les états Européens doivent obliger les fonds d’investissements , par décrait et à l’aide d’un soutient logistique informatique mis en commun,  à révéler leur localisation, en temps réel. Il participe de leur survie démocratique, qu’ils réussissent à divulguer la masse monnaitère dont il dispose. Est-ce d’une manne de 6OO OOO milliards de dollars, en comptant les fonds d’investissements publiques, dont il est question ?

Car, il ne s’agit pas de dire seulement d’où viennent ces fonds. Il s’agit pour le bien des populations Européennes, de renforcer et de moderniser le fonctionnement de la jutice, afin d’enquéter sur la participation des entreprises dans la constitution de ces fonds, et en taxant ce gain accumulé par l’augmentation constante , depuis les années 80, de leur part sur la VA, au détriment de la part des salariers ; pour évaluer ce que les administrations gouvernementales Europènne  auront à redistribuer.(  » Depuis le milieu des années 80 on observe une tendance à l’abaissement des taux d’impôt sur les sociétés et sur les hauts revenus en Europe et un alourdissement progressif de l’imposition du travail, dans un premier temps, et, plus récement de la consommation » Jean-Paul Fitoussi et Eloi Laurant.)

Monsieur Obama, je me suis engagé personnellement pour que vous soyez élu, que le grand peuple dispose d’un président de la couleur du monde que nous cherchons tous à sauver, cela m’a valu des remontrances des plus hautes instances qui dirigent encore à ce jour leur monde, dont celle des mormons, précisions sur laquelle je ne m’attarderai pas puisque depuis il semble que nous ayons fait la paix, quand bien même je ne suis toujours pas convaincu du bien fondé d’une présidence mormone concernant la prochaine élection. Ce que j’ai a vous dire tient en peu de mots. Il ne tient qu’à vous de chercher dans vos lois ce qui rend inconstitutionnel l’usage du stylo electronique, dont le dernier emploi, au mépris de ces inconscients de républicain prépare ni plus ni moins qu’un désastre révolutionnaire peut-être même avant cet hivers. En ces temps d’injure et de cracha sur les personnes de bien, je n’aurai qu’une critique à vous adresser, ne l’ignorez pas, elle est majeure : pourquoi avoir prolongé le statut du terroriste jusqu’en 2014 ? Depuis le temps que je milite pour une paix mondiale et qu’une force inconnue me contraint à déchainer les éléments pour me faire entendre, moi qui n’ai pas d’armée, vous croyez vraiment que je ne peux pas appliquer la stratégie de l’écroulement intérieur définie dans « l’univers des signes, les signes de l’Univers », où m’est donné loisir de désenchaîner les forces psychiques? Quel désastre faudra-t-il au monde pour qu’il comprenne que je veux une économie fondée sur ce plus petit dénominateur commun qu’est le « BITS », que le « BANCORE » doit être la monnaie des pays sans monnaie libre sinon injustement assujettie aux monnaies de leur anciennes colonnies, que nous autres jeunes de notre temps nous croyons possible un trajet philosophique pour la vie de chaque être , lors duquel il s’agirait certe de travailler mais en fin de vie de sortir du circuit infernal de la necéssité de gagner de l’argent, en payant ses achats en « BITS », ceux ci non convertibles en or pour cette tranche d’age et convertible en argent pour le vendeur, car de toutes façon l’argent ne se mange pas et ne sert à rien, quand l’humanité l’apprendra-t-elle enfin ? s’en souvient-on en France et en Allemagne : une démocratie protège ses handicapés, ses artistes, ses réfugiés,n ‘entretient pas les monopoles de la construction d’habitat et nourrit ses bras même quand elle ne les reconnait pas comme les siens, car en cela même réside le secret de la laicité : quand la loi est mauvaise, elle s’auto-détruit…                                                                                                PATRICK RAKOTOASITERA