Patrick rakoto (J’ai compris pourquoi Mao mais Bouddha et toi planez)

Note : -/10

“ J’AI COMPRIS POURQUOI BOUDDHA MAO MAIS ET TOI PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE “

VALSE de type : « Mais Amélie lit comme une douce mélodie, quand Alison sonne comme une douce mélodie ».

J’ai compris pourquoi des AIGLES NOIRS blanchissent un SOIR les longs cheveux de nos INFORTUNES.

Pourquoi BOUDDHA, MAO MAIS et puis TOI planez au-dessus de la LUNE.

Renonce à mes armes, mes papiers, à la LUNE,
Pour saisir ton regard a l’aune de ma PLUME
Et comprendre en MIROIR le surgissement des GARES des CHEMINEES IMPORTUNES.

O mon AMOUR de l’AUBE CLAIRE d’ici jusqu’à l’ouverture d’un JOUR
Dans les MURS jaunis de nos PAYS,
Nous mourrons un JOUR jauni allonges sur le BITUME.

Les PLAGES du SABLE de la FORTUNE n’intéresseront toujours pas la LUNE.

Mais nos ENFANTS un soir où le SOLEIL éclairera ses COUTUMES
Saisirons la BEAUTE des CATHEDRALE INVISIBLES de la MEMOIRE,
Rassemblée dans leur URNE.
Les OISEAUX NOIRS auront perdu leur PLUME
Mais les PLUMES, d’un REGARD, s’envoleront vers la LUNE.

Il y a des HOMMES plus grand que leur SOLITUDE,
Des FEMMES plus BELLE que leur modestes ATTITUDES,
Et d’un REGARD, d’un GESTE le SOLEIL abolira
Les vies RUDES et les rues VIDES de la VIE.

Mais sur ton REGARD la BEAUTE de l’AIGLE NOIR, contrôle en toi
L’incontrôlable ESPOIR et mon MIROIR abolira le SABRE NOIR du SOIR,
Si d’un REGARD, d’un GESTE tu fais voler ma PLUME jusqu’à la LUNE
Comme RECOMPENSE et UNIQUE FORTUNE.

O mon AMOUR retiens l’ESSENTIEL de mes YEUX dans tes YEUX,
BAISE mes MAINS et aspire leur TENDRESSE,
Quand sur tes SEINS se redressent mes CARESSES et que ta VOIX
Pardonne toutes mes MALADRESSES.

J’ai COMPRIS pourquoi l’AMOUR n’a pas d’ADDRESSE
Et ne réclame pas qu’on dresse l’ADRESSE contre la TENDRESSE.

Les FEMMES d’un GESTE, d’un REGARD fanent le DESESPOIR,
Enflamme le SOLEIL, la LUNE, le NOIR REGARD des OISEAUX NOIRS,
Et ne retiennent le SABRE, les GESTES de GLOIRE que lorsque SURGISSENT,
Un SOIR de CAFARD, les AIGLES NOIRS de leurs PLACARDS,
Les ONGLES de la MEMOIRE venue GRATTER le long sanglot des MOTS
Qui faisaient s’envoler les PLUMES des HOMMES vers toutes les LUNES,
Les INFORTUNES.

Elles ne sont pas COMMODE, ne suivent que la MODE
Et font des PROPHETES de faibles LUEUR d’ODES incapable d’éclairer
L’ERREUR de leur INEGALABLE BEAUTE,
En font des TUEURS EHONTES incapables de PLACER les ETRES dans leur juste MILIEU,
PEUPLE de l’EGAL AMOUR de leurs VENTRES,
Obligeant l’AIGLE à surgir de NULLE PART !

Qu’on me demande de REVEILLER les MURS Blanchis d’ENNUI,
D’ETRE attentif aux LARMES, a la FUREUR et puis au BRUIT,
D’EFFACER de nos VIES l’EMPREINTE de leurs CRIMES,
TOUT me parait REALISABLE.

J’ai COMpris pourquoi BOUDDHA, MAO MAIS et TOI planez AU-DESSUS de la LUUUNE !

Depuis que nos CORPS se sont CROISES dans un COULOIR j’ai vu en TOI
La possible GARE de ma MEMOIRE,
En moi le GARDIEN heureux de la BEAUTE de ton REGARD.

Laisse moi être ton AIGLE NOIR, l’AMI de ton AMITIE,
Le VELOUR de ton AMOUR, qu’un JOUR
La VOLONTE ait la VOLONTE de la MUSIQUE
Que RIEN ne peut PLIER jusqu’au SILENCE,
Comme MEME la MORT est BRUYANTE…

OOOO mon AMOUR j’ai COMPRIS pourquoi MAO MAIS BOUDDHA et TOI
PLANEZ au-dessus de LA LUUUUUNE !!!

Mon amour,

tu es le gouvernail érubescent

de mon bonheur,

j’aime le voyage,

la traversée,

l’horizon où tu veux nous guider ;

malgré les tempêtes,

les fêlures du Tonnerre dans le ciel,

les pluies serviles  du Déluge,

je prendrai ma chair,

elle sera toile

où ces vents vivants

et salés de songes turbulents

bomberont mon torse ;

n’avoir de cesse de t’aimer,

est le nom

gravé au-dessus de la ligne d’eau

sur le bois de notre péotte

élancée comme une caïque

sur l’onde amère,

cette nappe à fleur,

mer de lézards verts fuyant,

ondulant ,

bouclant,

godaillant,

sous l’action de notre godille

rejoindre le bout de la table !

attendre

et voir l’escabeau de l’aube émeraude :

ta main dans ma paume,

ma paume dans ton cœur,

puis être sueur,

recommencer avec toi,

dans le péristyle d’une fleur,

de là : être dépouillé

de la saccharose orgueilleuse,

alimenter le vrombissement d’une ruche ;

encore mourir,

et encore renaître

cette fois, dans le tuyau d’une douche,

ton corps aux rondeurs d’oxygène

enlacé à mon œil d’hydrogène ,

et sentir venir …

l’incandescence divine …

 

PATRICK RAKOTOASITERA

 

 

La lumière de mon cœur s’est endormie.

Je l’ai laissée se reposer sur la couche,

ai enfilé mon manteau et suis parti dans la nuit :

la voute céleste égale le trouble immense qui me touche,

bouscule ma bonne humeur et fait trembler ma bonté.

Une nouvelle fois je devrai répondre de tous mes actes,

de la moindre de mes pensées. Tel est le poids

de l’équilibre des mondes dont l’étai semble correspondre

à mon artefact.

Comme si je décochais malgré moi des flèches avec ma voix.

Mes veines liées au réseau des vents,

dans lesquelles danse et crépite le feu;

lorsque me réveille le monde, la déchirure des amants,

et que pour la Paix  je doive promettre mes yeux,

arracher ma peau. Mon esprit en lambeaux vifs

saignant de mon remord, la force qu’ils redoutent,

seule, je crois, capable de contraindre de la bête immonde

les griffes.

Quand pleuvent,au lointain, les barreaux de la Guerre

sur les routes.

 

Avez-vous remarqué entre quatre murs :

les particules instables

s’échappent  de votre corps tendu et résonnent

sur la parois ?

C’est que l’ordonnancement de vos concepts est une table

pliante capable de faire tomber les mets de la mauvaise foi.

Ceux-ci en chutant peuvent briser l’équilibre des éléments,

induire la folie des vents, la tempête, les tremblements

de la Terre,

et laisser dans l’âme ces plaies qu’on ravive

en se remémorant

que si suffit une conscience ouverte, dans la nuit,

pour faire éclore l’ aurore :

ce trésor, s’il ne sert à marcher sur les eaux,

réveille les volcans,

et finit par laisser l’âme en ruine

et finit par démultiplier les veuves …

Demain, je raconterai mon songe, raffermirai ma  promesse

devant l’Agora.

J’espère convaincre les cœurs indociles, les grossiers

et les fats

de renoncer à cette guerre ou l’autre début de leur trépas…

Dieu : sois l’escalier de mes pas !

 

Patrick Rakotoasitera ( voir poème)

 

Voici venu le moment

La joie de chien fou et fougueux de la jeunesse se tempère dans mes veines

De nouveau je vois l’homme le plus vieux du monde m’habiter

Dieu m’en est témoin concernant cette vie je n’ai pas eu le grade militaire de mes incarnations passées

Je tiens à ne pas œuvrer pour le reconquérir

Je ne décide plus du moment des guerres

Je décide de la stratégie la plus propice à ne pas abîmer ni le monde ni l’humanité

Liberté aux généraux des armées du monde de confronter mes vues à leur propre stratégie sans m’en rendre compte directement

puisque je suis le général des armées désarmé et que je crois à l’œuvre de la Justice et de la Paix

La position de mon âme dans le tourment mondial ?

Je suis différent de Napoléon je fais plus de fautes d’orthographe que lui

Je ne suis pas Elie

Je le susciterai seulement afin de sa voix entendre le crépitement de Dieu absoudre les péchés de mes vies révolues et de ma chair

Pour cela je prélèverai ma part de croyants dans chacune des grandes religions sans les obliger à adopter ni un ordre nouveau ni sans les contraindre à renoncer au statut qu’ils occupent

Ces croyants et chrétiens et juifs et musulmans pour l’heure se définirons par l’indépendance spirituelle conférée par leurs liens à Dieu

Leur ouverture d’esprit embrasera le savoir de tous les peuples et ils se distingueront par leur don des langues

Chacun le saura il œuvre d’abord pour l’humanité la perpétuation et l’approfondissement du savoir millénaire

L’étude la recherche et la protection des sources écrites héritage de l’œuvre des scribes dignitaires des temps reculés sera leur sacerdoce

Ils en auront intimement conscience

La guerre de religion qui nous préoccupe au risque de voir disparaitre toute religion ne pourra se passer d’un compromis entre les protagonistes relatif à la stabilisation de zones économiques et de savoir à travers l’ensemble du royaume croyant dont les belligérants devront renoncer à les troubler par la guerre s’ils ne désirent pas l’empire de Dieu rempli de sots guerriers sans éducation ni avenir

Ces hommes et ces femmes œuvreront individuellement et collectivement à la diffusion du savoir des temps passés en réservant une partie de leurs forces ainsi démultipliées à la perfection de la connaissance contemporaine universelle  et leurs production sera le ciment de la nouvelle alliance des communautés

Parmi eux et elles se distinguera Elie de par l’ouverture de sa conscience à l’Éternel des armées que cette bise démocratique aura dépoussiérée

Elie sera ainsi à même d’améliorer le terreau spirituel d’où devrait germer le messie

J’entends ici et ailleurs que l’Esprit Judaique pense la venue du messie probable  un an ou deux après l’an 2012

Considérez mon point de vue en la matière

Un homme éclairé dans une nuit sombre ne sert à rien l’intensité de la lumière de son âme est en intime relation avec l’intensité de la flamme spirituelle collective  Plus celle-ci est faible moins le messie a de chance de changer le destin humain autrement que par la guerre

Ceux appelés à prolonger la trace de mes pas dans le sable du malheur de sorte qu’un être marche sur la mer des savoirs doivent en être conscient

Ma mission révélée consiste à protéger ma sœur Israël des excès de son tempérament volcanique et rebelle

D’œuvrer pour qu’elle fasse de son frère fils d’Ispahan un dirigeant éclairé en tenant compte de mes conseils de douceur et de respect

Un adolescent ne peut être traité comme un enfant ou un homme

Mon amour des musulmans et des chrétiens étant imputrescible qu’ils le sachent

Les mouvements d’armée en Israël ont un rapport avec l’Esprit musulman dont je tente de perfectionner le caractère critique en modérant sa fougue ardente pour rendre sublime sa générosité

La guerre d’Israël a donc pour but d’unifier son adversaire Palestinien si divisé et incapable de l’action collective qui conduirait au bon usage de son argent et à la convergence de ses forces vives pour créer le terreau spirituel où s’épanouiront ses enfants

Israël ayant fait le premier pas dans ce sens c’est à elle que je demanderai de renoncer à la réalisation pleine de ces objectifs si le seuil de Tolérance de l’Esprit musulman est touché au point que se produise l’inverse de ce qui a été souhaité

Mes pleures vont aux victimes mon cœur appartient à mon amour et à Dieu

Poème de Patrick Rakotoasitéra

Note : -/10
général des armées c’est ce que je suis
somme des armes de la terre c’est ce que je souhaite
désarmer mes armées c’est ce que désarmé je ferai
depuis combien de Lune vois-je mes soldats malgré moi ?
depuis combien de Soleil ai-je assisté à la mort de la guerre mon plus fidèle adversaire
Comme lorsque j’étais corsaire ou brigand, sachez que je n’ai pas renoncé à changer la couleur des Océans
Et même si je n’ai jamais vu de pire rade que celle des pire rates
puisque général des armées, je dois soigner le bléssé que mon bal de vents pire à tuer, me faire pardonner par cette femme si jolie qui baisse les yeux en n’ayant plus la force de me maudire, et soigner sous la croix ou au croissant de Lune le mépris que j’inspire à cette mère épleurée que j’ai tué deux fois,
soigner bien sûr tous ses enfants qui déchirent mes rêves de leur cris
pour leur laisser le soin de me tuer s’il le juge nécessaire,
A l’heure venu, dans la vallée blanchie avalé par la blancheur de la vie,
moi aussi, tout désarmé que je suis j’aurai à répondre de mes combats,
de la manière dont je les ai mené, et plus je me serai abaissé comme on abaisse sa mire ou son épée pour trancher le coeur d’un adolescant,
plus éternel sera mon tourment,
général des armées je le suis dans cette visse aussi,
seulement comment arréter la propre spirale de mon bohneur sans porter préjudice sinon au vice lui-même,
celui que mes entités ennemies boivent comme le sang n’hesitant pas à manipuler, causant une déchirure, une mortelle blessure et vicieusement offrant les médicaments de sa dérisoire guérison,
ces las ignorent que leur armée est mienne,
je suis le général désarmé,
et maintenant qu’à sonné l’heure,
Dieu qui sait que je n’ai pas de rival à moi même sinon l’ombre que j’ai projeté sur les hommes en d’autres temps,
se propose d’être mon homme, mon frère, ma couronne,
ne tombez donc pas entre ses mains de feux,
ni sur son regard déchirant,
c’est comme cela qu’un jour en Scandinavie maintenant, en d’autre temps en vérité,  j’ai perdu la vie…
je suis désarmé désormais et à jamais,
et j’ai mieux à offrir à la Terre que les morts des neuf dixième des êtres qui la peuple,
peuple et peuplier du mont de Dieu comptez vos l’armes et sachez que dans cet nouvelle by taille je ne laisserai pas le dieu de la guerre décider, en lieu et place de mes faiblesses passées, qui ou non doit trépasser.
Afin que plus personne ne puisse utiliser la stratétégie du papillon, je demande aux musulmans d’envoyer deux hommes dans le désert,
là ou Lawrance m’a prévenu que le temple de la sagesse n’avait plus de toit comme ses piliers, tourbillons de poussières d’étoiles sont illimités.
Que Dieu choisisse encore de nous garder.
Note : -/10
Je suis un général désarmé
mes troupes sont tombées
et la mort est aux aguets

En moi un seul éspoir
sortir de ce cauchemar
et éviter de voir le noir

Mais que vois je au lointain
aurai je un autre destin
des cavaliers s’ approchent
descendent et me font maintes reproches

celles d’avoir manqué le coche
et que sonnera le glas
pour moi pauvre cloche

J’AI COMPRIS POURQUOI BOUDDHA, MAO MAIS ET TOI, PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE :

TU ES L’ETRE QUI SUIVAIT LE MEME CHEMIN QUE MOI ; NOUS NE NOUS SOMMES PAS RENCONTRES AU CROISEMENT DU DESTIN. IL N’Y A PAS DE CROISEMENT SUR LE CHEMIN ; IL Y A EU DESTIN DANS MON  ATTARDEMENT ; TU M’AS RATTAPE ET DEPUIS JE ME VOIS PEUPLE DE TOI.

TOI SANS QUI JE NE VOIS PAS
TA VOIX, CHEMIN DE MES PAS
EST FRACASSANTE, COMME L’EAU QUE L’ON NE BOIT PAS
DOUCE COMME LA VAGUE QUI EFFACE LES PAS
DE L’ECUME DE MES JOURS, VOUEE AU TRES HAUT TREPAS DE
NOS PAS, SUR LE CHEMIN
QU’ON NE VOIT PAS, QUE DESSINE TES PAS,
SANS APPAT, PAS A PAS.

SUR LE CHEMIN DE TES BRAS RAMASSE AUTOUR DE MON CORPS
DEPEUSSE DANS LA RECHERCHE DU TRESOR
TRAINE L’ELEGANCE D’UN COFFRE-FORT, D’UN CHATEAU-FORT,
DE SEMAPHORES, DE CHEVEUX FORTS, SANS EFFORTS QUI RETOMBENT,
RIDEAU DE PLUIE SUR MES EPAULES, MON TRESOR.

ET, SANS TOIT, JE GUETTE L’EXTINCTION
DE MA CIGARETTE-GRATTE-CIEL, MON MIEL, MON ABEILLE,
L’EGALE DU CIEL, QUE JE VOIS DANS TES YEUX A MON REVEIL.

SUR UN CRI DU JOUR, MON AMOUR, PEUT POUSSER DE LA VIE, LE RETOUR,
JE SAIS QUE TU SAVAIS QUE JE LE SAVAIS, LE JOUR DE NOTRE PREMIER
JOUR, DE BONS JOURS.

J’AI COMPRIS POURQUOI DES AIGLES NOIRS BLANCHISSENT LES LONGS CHEVEUX DE NOS INFORTUNES
POURQUOI BOUDDHA, MAO MAIS ET TOI PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE.

RENONCE  A MES ARMES, MES PAPIERS, A LA LUNE,
POUR SAISIR TON REGARD A L’AULNE DE MA PLUME
ET COMPRENDRE EN MIROIR LE SURGISSEMENT DES EGARES DES GARES ET DES
CHEMINEES IMPORTUNES.

O MON AMOUR, O MON AME MUR, DE L’AUBE CLAIRE D’ICI JUSQU’A L’OUVERTURE D’UN JOUR DANS LES MURS JAUNIS DE NOS PAYS ;
NOUS MOURRONS UN JOUR ALLANGUI ALLONGES SUR LE BITUME
LES PLAGES DU SABLE DE LA FORTUNE N’INTERESSERONT TOUJOURS PAS LA LUNE

MAIS NOS ENFANTS UN SOIR OU L’ECLAT DU SOLEIL ECLAIRERA SES COUTUMES SE SAISIRONT DE LA BEAUTE DES CATHEDRALES INVISIBLES DE LA MEMOIRE RASSEMBLEE DANS LEURS URNES
LES OISEAUX NOIRS AURONT PERDU LEURS PLUMES, MAIS LES PLUMES, D’UN REGARD, S’ENVOLERONT VERS LA LUNE.

IL Y A DES HOMMES PLUS GRANDS QUE LEUR SOLITUDE, DES FEMMES PLUS BELLES QUE LEURS MODESTES ATTITUDES,
ET D’UN REGARD, D’UN GESTE LE SOLEIL ABOLIRA LES VIES RUDES ET LES RUES VIDES DE LA VIE.

METS SUR TON REGARD LA BEAUTE DE L’AIGLE NOIR, CONTROLE EN TOI L’INCONTROLABLE ESPOIR ET MON MIROIR ABOLIRA LE SABRE NOIR DU SOIR SI D’UN REGARD TU FAIS VOLER MA PLUME JUSQU’A LA LUNE COMME RECOMPENSE ET UNIQUE FORTUNE.

O MON AMOUR, RETIENS L’ESSENTIEL DE MES YEUX DANS TES YEUX, BAISE MES MAINS ET ASPIRE LEUR TENDRESSE QUAND SUR TES SEINS SE REDRESSENT MES CARESSES ET QUE TA VOIX PARDONNE TOUTES MES MALADRESSES ;

J’AI COMPRIS POURQUOI L’AMOUR N’A PAS D’ADRESSE ET NE RECLAME PAS QU’ON DRESSE L’ADRESSE CONTRE LA TENDRESSE.

LES FEMMES D’UN GESTE, D’UN REGARD FANENT LE DESESPOIR, ENFLAMMENT LE SOLEIL, LA LUNE, LE NOIR REGARD DES OISEAUX NOIRS, ET NE RETIENNENT LE SABRE, LES GESTES DE GLOIRE QUE LORSQUE SURGISSENT UN SOIR DE CAFARD, LES AIGLES NOIRS DE LEURS PLACARDS, LES ONGLES DE LA MEMOIRE VENUS GRATTER LE LONG SANGLOT DES MOTS QUI FAISAIENT S’ENVOLER LES PLUMES DES HOMMES VERS TOUTES LES LUNES, LES INFORTUNES.

ELLES NE SONT PAS COMMODES, NE SUIVENT QUE LA MODE ET FONT DES PROPHETES DE FAIBLES LUEURS D’ODES INCAPABLES D’ECLAIRER L’ERREUR DE LEUR INEGALABLE  BEAUTE, EN FONT DES TUEURS EHONTES, INCAPABLES DE PLACER LES ETRES DANS LEUR JUSTE MILIEU, PEUPLEES DE L’EGAL AMOUR DE LEURS VENTRES OBLIGEANT L’AIGLE A SURGIR DE NULLE PART.

QU’ON ME DEMANDE DE REVEILLER LES MURS BLANCHIS D’ENNUI, D’ETRE ATTENTIF AUX LARMES, A LA FUREUR ET PUIS AU BRUIT, D’EFFACER DE NOS VIES, L’EMPREINTE DE LEURS CRIMES, TOUT ME PARAIT REALISABLE.

J’AI COMPRIS POURQUOI BOUDDHA MAO MAIS ET TOI PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE.

DEPUIS QUE NOS CORPS SE SONT CROISES DANS UN CAHIER DE COULOIR, J’AI VU EN TOI LA POSSIBLE GARE DE MA MEMOIRE, EN MOI LE GARDIEN HEUREUX DE LA BEAUTE DE TON REGARD.

LAISSE MOI ETRE TON AIGLE NOIR, L’AMI DE TON AMITIE, LE RETOUR DE TON AMOUR, QU’UN JOUR LA VOLONTE AIT LA VOLONTE DE LA MUSIQUE QUE RIEN NE PEUT PLIER JUSQU’AU SILENCE, COMME MEME  LA MORT EST BRUYANTE.

O MON AMOUR, J’AI COMPRIS POURQUOI BOUDDHA, MAO MAIS ET TOI PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE.

LE VENTRE DES FEMMES EST PEUPLE D’AMOURS PARADISIAQUES, RAISON HABITUELLE DE LA VIE A AIMER ETRE ATTACHEE AU BONHEUR, DEVASTEE PAR LES VOLEURS, SA NAIVETE DE JEUNE FILLE LUI AYANT FAIT OUBLIER QU’ELLE EST IMMORTELLE, ET N’A PAS DE RAISON DE NE PAS ETRE AIMEE, COMME ELLE N’EXISTE PAS PAR NATURE ET QU’IL FAUT TOUJOURS L’INVENTER.

SI NOUS AVONS UNE FILLE, JE VEUX QU’ELLE SOIT PLUS GRANDE QUE SA ROBE, PLUS EPAISSE QUE SON CARTABLE.

SI NOUS AVONS UN HOMME, JE VEUX QU’IL SACHE QU’UN PROPHETE NE TUE PAS ET QU’IL N’Y A QU’UN PROPHETE POUR OBLIGER UN PROPHETE A TUER ET QUE SI IL Y A DES PROPHETES C’EST PARCE QUE LA VIE EST UNE FETE , POUR LES ABRUTIS, QU’IL SACHE QUE L’ESSENCE DU MAL NE SE CACHE NI DANS L’HOMME, NI DANS LA FEMME MAIS DANS L’ESSENCE ELLE-MEME, RAISON POUR LAQUELLE L’EXISTENCE EST SI PROCHE DE LA VIE , COMME UN VERRE POSE A COTE D’UNE POMME SUR UNE TABLE SANS PIED, PARCE QUE LE MAL N’A PAS DE PIED, QU’IL EST DANS CETTE TABLE DONT ON SE REND COMPTE DE LA NON-EXISTENCE, EN S’ATTABLANT AU BONHEUR. IL FAUDRA BIEN AUSSI QUE NOTRE GARCON DECIDE DE LUI-MEME S’IL VEUT QUE LA TABLE EXISTE POUR NE PAS AVOIR A CHERCHER DES CHOSES QUE SEMBLE CACHER LA FORTUNE, POUR N’AVOIR PAS A CHERCHER ET SE CONTENTER SEULEMENT DE TROUVER OU TROUVER BEAU DE CHERCHER, COMME LORSQUE NOUS JOUIONS A NOUS CACHER DANS L’OMBRE DE NOS PARENTS, CE QUI TU LE SAIS NE PEUT PAS DURER ;

J’AI COMPRIS POURQUOI MAO MAIS, BOUDDHA, ET TOI, PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE ESSAYANT D’ATTRAPER L’AIGLE NOIR.

COMPRENDRAS-TU QUE L’AIGLE NOIR SURGIT DE NULLE PART POUR VEILLER SUR L’ANACONDA GEANT QUI N’AIME PAS LA MERE DU TABAC N’AIME PAS QUAND IL SE RAPPELLE QUAND IL ETAIT SEULEMENT DE L’ELEPHANT, SON AMI PERDU,LE NEZ GEANT ?

SI NOUS N’AVONS PAS D’ENFANT, JE SERAI TON PARENT, MOIS QUI T’AIME.

SI VOUS AVEZ TROUVE JOLI CE POEME, VOUS TROUVEREZ SURPRENANT LES COMBATS QUE JE NE RATE PAS,
DECONCERTANT, DESOPILANT OU FASCINANT DE REVOLTE
LES LEVRES QUE JE CHERCHE A PALLIER GRATUITEMENT,LES LIVRES QUE JE CHERCHE A EDITER GRATUITEMENT,
IDEALEMENT POUR QU’ILS TOMBENT DU CIEL, MES LIVRES,
COMME UNE CREME SUR LA TETE DE CYRANO. DANS UN PAPIER SANS PAPIER, D’UN  LIVRE-LEVRE QUI PEUT TOUJOURS SE REINVENTER EN GARDANT BIEN L’ECRITURE QUI NE PEUT PAS S’ACHETER COMME LA MUSIQUE QUI N’ A PAS PEUR DU JOUR OU UNE PARTIE D’ELLE SERA ECRITURE. COMME LE ROBOT EST UNE PARTIE DE L’HOMME, L’HOMME UNE PARTIE DU BIEN DONNE AU MAL.
 POUR CONSOLER SA SOLITUDE QUAND BIEN MEME ELLE SE MULTIPLIERAIT.

ALORS VISITEZ QUAND IL VOUS PLAIRA DE PENSER MON SITE PATRICK-RAKO.NUXIT.NET OU TAPEZ LA GUEULE DE GOOGLE EN ECRIVANT MON NOM SUR SON FRONTON.

A LIRE : IL OU LES NEURONES ENSORCELES, L’ECRIN AUX EPINES D’OURSIN, LE SENTIER SUPREME DES AMES BLEUES, L’UNIVERS DES SIGNES, LES SIGNES DE L’UNIVERS, POUR UNE INDEPENDANCE IDEOLOGIQUE DE L’ECONOMIE, DU PARTAGE DES BENEFICES DE L’ENTREPRISE PA LA RECESSION DES BOUCS EMISSAIRES. NI PAR CAPITALISATION, NI PAR REPARTITION. QU’EST-CE QUE L’ECONOMIE ?

DE DUBUFFET A LA DETERMINATION SPATIALE DES NOMBRES IMAGINAIRES. ET BIENTOT : VOUS VOULEZ QUE JE VOUS EXPLIQUE COMMENT FONCTIONNE LA TELETRANSPORTATION ALORS NE M’OFFREZ PAS LA POSSIBILITE D’UNE GUERRE, JE SUIS UN PEINTRE AUTODIDACTE, CETTE FOIS-CI, JE SAIS QU’IL N’Y AURA PAS ASSEZ DE FIGURANTS SUR TERRE POUR MOI.

DANS LA VERSION STABILISEE DE MON TABLEAU « PARADIS DU PEUPLE PRIMITIF FACON ART BRUT », CELUI-CI EST ENCADRE PAR DES BOUTEILLES PLASTIQUES DE COCA-COLA, MAIS SI DALI AURAIT PU DIRE : « J’AI INVENTE LA MODE EN 1055 APRES JESUS-CHRIST ». JE PREFERE RAPPELER QUE POUR MA PART, JE SUIS LE 6EME BEATLES. LES BOUTEILLES AUJOURD’HUI SONT INVISIBLES CAR BOULOGNE N’EST PAS PERPIGNAN.

LE VENDREDI 2 OCTOBRE, ET SAMEDI 3 OCTOBRE DE 14 HEURES A 20 HEURES , VENEZ BOIRE UNE SANGRIA DU PAUVRE AU :
156, RUE CASTEJA
A BOULOGNE

VOUS SAVEZ A LA PLACE HAUTE DU PONT DE SEVRES, EN HAUT DE L’ESCALIER SITUE PRES DU METRO BILLANCOURT DANS LA CITE OU LE REVE NE SE VEND PAS ET S’ACHETE SEULEMENT. ET QUAND LE VIN SERA TRANSFORME EN EAU, VENEZ DISCUTER, COMMENTER AVEC MOI MON ENTREPRISE IMMATERIELLE AU CAPITAL SURREEL, DANS LA DIMENSION INCONNUE DE LAQUELLE VOUS POURREZ VOUS FOURNIR EN TEE-SHIRTS, CARTES POSTALES, EN CE QUI VOUS PLAIRA , EN TABLEAUX MEME SI CEUX-CI SONT PLUTOT DESTINES A DES DEMARCHES DIPLOMATIQUES OU DE REPARATION D’INSTITUTIONS MAL CONSTRUITES,

LE DIMANCHE 4 OCTOBRE 2009 DE 14 HEURES A 18 HEURES

OU REJOIGNEZ-MOI LE MEME SOIR, ICI, DANS LA MAIRIE DE BOULOGNE-BILLANCOURT OU SONT EXPOSEES LES ŒUVRES DE LA « BEAUTE A LA BOULONNAISE » QUI FONT DELIRER LES PENSEES ANGLAISES DE MONSIEUR BLAISE, CHAVIRER LES TRAINS PASCAL INCARCERE DANS LA BULLE

PAPALE TRANSFORMEE EN BILLET POUR AVOIR PERDU SA SANDALE DANS UN CUL PAS BANAL, DOMMAGEABLEMENT PAS BACHANAL….

TOUT LE MONDE NE PEUT PAS AIMER ET AVOIR AIMER, LA PREUVE PAR LE PASCAL.

IL N’Y A PAS POURTANT QUE L’AMOUR POUR DESSINER LE POINT DU JOUR.
BONOUR, L’ANGOISSE !
A DIEU LA PASSE ?

A DIEU LA POISSE ? AU DIABLE L’ANGUOISSE

 

<< ILE SAINT-GERMAIN : PARADIS DU PEUPLE PRIMITIF FACON ART BRUT >>

 

CHANSON BOULONNAISE : la la la la LA la la la la la

 

 

ALLONS DECOUVRIR

LES IDEES INDOCILES

DE NOS CHEUVEUX , DANS LA ROSEE DU MATIN !

OU LE BUFFET DU CHEMIN,

PLANTE DANS NOTRE JARDIN,

LA «TOUR AUX FIGURES » DES HACHURES DE L’ECRITURE DE DUBUFFET,

TRESOR COMMUNAL

DES ROUTES NATIONALES,

DES LIGNES SUR TES YEUX,

DES SIGNES POUR TES CHEVEUX,

CIEL DE VERS AUX REFLETS ROUGE BLANC BLEU,

DESSEIN SUR TES SEINS,

RAFRAICHIS DE LA ROSEE MATINALE,

POSEE SUR CETTE TOUR MACHINALE,

DEPOSES SUR LES CONTOURS DE L’ILE FLEURIE

PAR LES FLOTS DE TES CHEVEUX,

ASTICOTS, TULIPES NOIRES, OU ABSINTHE MARGUERITE,

DU CERCLE DE MA MAIN SUR TON COEUR, A LA FLEUR D’ARTICHAUD,

AUX CILS CHAUDS DE SAINT GERMAIN, MON AMI :

QUE LES BARQUES ENDORMIES

ABORDAIENT COMME UN PALAIS,

LE PALAIS OU FIGURE :

LES TOURS DE TA FIGURE

LES FLOUS DE LA MESURE,

LES TRIANGLES D’OR, AUX CILS INDOCILS,

L’ART BRUT DE SIMPLICITE, DES PENSEES ALLONGEES, SUR DES SABLES FERTILS,

JARDIN DE CITE,

PARENTHESE DE PENSEE,

OU POUSSE L’IMMENSE CITE,

BES BOUFFEES

DES BUFFETS

BOULONNES

DES BOULONNAIS

DES BOULONNAISES …

 

 

SI CETTE CHANSON VOUS A PLU, SUIVEZ LES ONDES DE SON ONDE, TAPEZ SUR LA GUEULE A « GOOGLE », EN ECRIVANT MON NOM SUR SON FRONTON, VENEZ DECOUVRIR, DECOUVRIR, les 2, 3, 4 OCTOBRE, LES PËINTURES DE MON ATELIERS BOULONNAIS, OU FREDONNEZ CETTE CHANSON, DANS LES COULOIRS DE LA MAIRIE DE BOULOGNE OU LA PEINTURE DE CETTE CHANSON, S’EXPOSE PARMI LES OEUVRES DE LA PENSEE A LA BOULONNAISE, DU 12 AU 4 OCTOBRE.

 

PATRICK RAKO ou PATRICK RAKOTO ou PATRICK RAKOTOASITERA

Note : -/10
“ J’AI COMPRIS POURQUOI BOUDDHA MAO MAIS ET TOI PLANEZ AU-DESSUS DE LA LUNE “

VALSE de type : « Mais Amélie lit comme une douce mélodie, quand Alison sonne comme une douce mélodie ».

J’ai compris pourquoi des AIGLES NOIRS blanchissent un SOIR les longs cheveux de nos INFORTUNES.

Pourquoi BOUDDHA, MAO MAIS et puis TOI planez au-dessus de la LUNE.

Renonce à mes armes, mes papiers, à la LUNE,
Pour saisir ton regard a l’aune de ma PLUME
Et comprendre en MIROIR le surgissement des GARES des CHEMINEES IMPORTUNES.

O mon AMOUR de l’AUBE CLAIRE d’ici jusqu’à l’ouverture d’un JOUR
Dans les MURS jaunis de nos PAYS,
Nous mourrons un JOUR jauni allonges sur le BITUME.

Les PLAGES du SABLE de la FORTUNE n’intéresseront toujours pas la LUNE.

Mais nos ENFANTS un soir où le SOLEIL éclairera ses COUTUMES
Saisirons la BEAUTE des CATHEDRALE INVISIBLES de la MEMOIRE,
Rassemblée dans leur URNE.
Les OISEAUX NOIRS auront perdu leur PLUME
Mais les PLUMES, d’un REGARD, s’envoleront vers la LUNE.

Il y a des HOMMES plus grand que leur SOLITUDE,
Des FEMMES plus BELLE que leur modestes ATTITUDES,
Et d’un REGARD, d’un GESTE le SOLEIL abolira
Les vies RUDES et les rues VIDES de la VIE.

Mais sur ton REGARD la BEAUTE de l’AIGLE NOIR, contrôle en toi
L’incontrôlable ESPOIR et mon MIROIR abolira le SABRE NOIR du SOIR,
Si d’un REGARD, d’un GESTE tu fais voler ma PLUME jusqu’à la LUNE
Comme RECOMPENSE et UNIQUE FORTUNE.

O mon AMOUR retiens l’ESSENTIEL de mes YEUX dans tes YEUX,
BAISE mes MAINS et aspire leur TENDRESSE,
Quand sur tes SEINS se redressent mes CARESSES et que ta VOIX
Pardonne toutes mes MALADRESSES.

J’ai COMPRIS pourquoi l’AMOUR n’a pas d’ADDRESSE
Et ne réclame pas qu’on dresse l’ADRESSE contre la TENDRESSE.

Les FEMMES d’un GESTE, d’un REGARD fanent le DESESPOIR,
Enflamme le SOLEIL, la LUNE, le NOIR REGARD des OISEAUX NOIRS,
Et ne retiennent le SABRE, les GESTES de GLOIRE que lorsque SURGISSENT,
Un SOIR de CAFARD, les AIGLES NOIRS de leurs PLACARDS,
Les ONGLES de la MEMOIRE venue GRATTER le long sanglot des MOTS
Qui faisaient s’envoler les PLUMES des HOMMES vers toutes les LUNES,
Les INFORTUNES.

Elles ne sont pas COMMODE, ne suivent que la MODE
Et font des PROPHETES de faibles LUEUR d’ODES incapable d’éclairer
L’ERREUR de leur INEGALABLE BEAUTE,
En font des TUEURS EHONTES incapables de PLACER les ETRES dans leur juste MILIEU,
PEUPLE de l’EGAL AMOUR de leurs VENTRES,
Obligeant l’AIGLE à surgir de NULLE PART !

Qu’on me demande de REVEILLER les MURS Blanchis d’ENNUI,
D’ETRE attentif aux LARMES, a la FUREUR et puis au BRUIT,
D’EFFACER de nos VIES l’EMPREINTE de leurs CRIMES,
TOUT me parait REALISABLE.

J’ai COMpris pourquoi BOUDDHA, MAO MAIS et TOI planez AU-DESSUS de la LUUUNE !

Depuis que nos CORPS se sont CROISES dans un COULOIR j’ai vu en TOI
La possible GARE de ma MEMOIRE,
En moi le GARDIEN heureux de la BEAUTE de ton REGARD.

Laisse moi être ton AIGLE NOIR, l’AMI de ton AMITIE,
Le VELOUR de ton AMOUR, qu’un JOUR
La VOLONTE ait la VOLONTE de la MUSIQUE
Que RIEN ne peut PLIER jusqu’au SILENCE,
Comme MEME la MORT est BRUYANTE…

OOOO mon AMOUR j’ai COMPRIS pourquoi MAO MAIS BOUDDHA et TOI
PLANEZ au-dessus de LA LUUUUUNE !!!

SI VOUS AVEZ AIME CETTE CHANSON vous AIMEREZ les ŒUVRES de la BEAUTE a la BOULONNAISE qui s’expose, du 12 SEPTEMBRE au 4 OCTOBRE, a la MAIRIE de BOULOGNE BILLANCOURT, comme mon tableau « PARADIS DU PEUPLE PRIMITIF FACON ART BRUT » : vous AIMEREZ inscrire sur la GUEULE du FRONTON a « GOOGLE », mon NOM : PATRICK RAKO ou PATRICK RAKOTO ou PATRICK RAKOTOASITERA, et je SERAI la les « 2,3 et 4 OCTOBRE » pour vous recevoir dans mon ATELIER BOULONNAIS.
Bientôt sur WWW.patrick-rako.nuxit.net : le POEME INTEGRALE de cette CHANSON.

Note : -/10
DEMONSTRATION DE L’INEXISTENCE DE LA LOGORREE
OU QUAND ON NE PEUT PARLER POUR NE RIEN DIRE
MEME SI ON EST FOU :MONOLOGUE DU FOU FACE A SON
MEDECIN:

Docteur,est-ce que les rimes liment la discipline de la penissiline ?

Elles glissent de mon corps, gisent de mon sort,tombe de la mort, comme mon remord ma nouvelle mort mais croissent et croassent encore plus fort que le vent dehors d’or
croissent encore plus vite que le vent dehors dort
sifflent encore plus huit que j’attend la suite
cuisent d’autant plus vite qu’elles sont complètement cuite
j’ai tout dit samedi
j’étourdis ça me dit :  » réflechi, vient ici !  »
moi,jeudi,toi,aussi,occi,vieilli;sali;pourri
tu fais comme Robinson pour te couper les ongles ?
tu attends Vendredi ?
ou est tu
ou et tu
où est tu
terre et terre taire ethère taire iter, i est et à quelle époque?
terre ré Terre quand ? tertre éther ni t, ni Thé ni K fée, capé,
Muse reitère territorialement correctement lentement doucement
reterre i tort A lis ZA SION et souffle en moi le si long sentiment Y
le sentiment de C Zon ! saison sezion de ses ions en pulle de ça vont,
savon, ça vont
la egal penis si spleen la penis is clean, la penis six lignes, non 7, pourquoi une de trop ? une de galop
Galaté galante attend les attalantes tandis que je pénètre dans la plante, quelle plante, la pennissiline ! pas S, C ! comme le penicillium, le vert de Véronaise ? , y a-t-il un rapport entre l’arsenic et la peine 28 à Boliwood en 41 ? Je vais à Bolliwood en 41 ! , an 41, j’ai 36 ans 6 et 8, 14, merci docteur si C est 8 sa place est la quatorzième lettre de l’Alphabet dans la forme de geométrie dans l’espace qui nous occupent

LA,la, las

j’ai eu un instant les mains paralysée comme le jour où j’ai goutté l’extasy extase mais pas pour moi

encore Y
i est grecque alors?

con dehors ! Sort, mort, morceau de l’or
courent encore et encore
tu sera plus fort que la mort du dehors de l’or
A corp B cote C cate ou cecable où c cable
l’ABC de trois mot volé esseule dans la liberté 2

egale

pensée esse cheveux lait
est ce l’oeuf, E et F, cheveulés ?

quoi ? il manque un e un l un s un accent sir complexe fleccible comme l’ex
X est un rayon ou un crayon d’ion ?
la penicilline un pinceau éléminant la vie de la bac Terre i
capbturé c a obturé la lumière
3 muse definissant le champ de la Cré

ré cré A SION

pourquoi je pense au protocole des sages de sion ?
Sagesse pionce
ça jet pont C et E
E aime ses 2 manière de créer

compter ou imaginer
T est le con où imaginer

20 survint dans cette démonstration
quoi des MONSTRES à SION ? quand ? ou ça ?
quel é poque !
que veut dire poquer

poK R

D des dés decedé
jamais un cou de D n’a bole ni Baltazar

chance et noir
le champ est noir ?
comme une hyperbole ?
Gueule d’amium

la je degage de l’A mi homme ni Rhum, ni ROME !
las je degage de l’H mi EUM ! HUM ! HUM ! HUM !

c bon docteur ?
lassez da cion
C égale AN 26

une muse me conduit trop loin pour compter, laquelle?
9 deesses des arts libéraux

un art ?
1 arbre
aberré

Tu meur abcède obèse et these parenthèse
je n’ai que 3 muses et 9 continents
comme un ver lent je passe le temps
il y a un art un avatar
quelle muse est la féal d’ ATTalante
ATTA égale asymptote
comment un
point peut s’éloigner
sur la courbe à l’infini ?
l’infini courbe t il ?
A saint chrome
DIEU I égale E
seul un cercle est une courbe à l’infini
il faut donc savoir si un cercle est une courte infini
si l’infini a une croute, gourde !

comment le point d’une droite peut-il tendre vers zero ?
Si c’est un point ce n’est pas rien ?
nous ne sommes pas chiens au point de croire que rien c’est le bien !

AN RAT G

enragé l’orage trepassez l’otage C égale laitage
donc quand on dit 123 on compte en montant ?
on pousse vers le ciel
– Picasso tait toi je ne ferai jamais de ciel vert deux fois !

suis-je donc seul à entendre vos voies raisonner sur mes pas, si las de la vie que je vous quitte déjà, muses de l’ennui
où est donc le paradis ?
quand je vous ai peinte j’ai toujours su que vous étiez trois.

l’hitoire Clio roule maintenant sur le monde bleu de tes cheveux vieux crasseux miteux d’AN vieux,
c’est vieux comme le monde un An
NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN,NAN
et moi maintenant je compte une deesses D et C 4 et 3,
un quatrain à trois les filles ?

Une deesse de plus, ô merci mon Dieu pour ton sérieux,
la solidité de mes yeux d’envieux, dans,dent,dance, vieux !
pourquoi s’arreter à huit Beethoven ? la veine bite au vent …
des passions! des pations! des pas si ON definit l’abreviation du groupe
dont l’haleine de l’eau, dont A l’aine de l’0 et tes hanches le bohneur ?

Chut Travaille!
OK

I HAVE BEEN KILLED IN ACTION WHEN I FEEL THE RELATION
NO MUM NO HEARTH summum de nos herses
No GOD nos anodes ne sont pas la méthode
criez pleuvez si vous fuyez à pied le soleil finira bien par se clamer
que l’âme C est un abcés de la pensée décédé decidée à céder evoquer sa liberté son util prés jugé jachère

jaja j’attends le pringtemps
Il n’est pas encore TEMPS

Le temps est le tympan des sentiments, ils s’accumulent sur le marteau et le couteau, fait couler le bateau bas tôt,
dit : je veux te voir à poil, quand tu veux voir s’avale, sa voile,fuit,PFUFF !

pourquoi dire CHRONOS a mangé tout des os de DIONYSOS ?
les ossements sont les Dents ( merci Freud, rentrez chez vous
vous êtes souffrant ), ça fait long temps ? Bon vents ?
ou Ca FEE RIEN , NADA, queue de DALE dans ce palais, ma zette, il faut une raquette pour jouer avec sa quiesse quete qui est-ce? qui est ce ?

c’est moi je viens chercher ce que deux droit on volé ! le DROIT de la nature et le DROIT de raison , deux face de la même chanson,
c’est donc ça, C donc ça, on a reussi à couper un peu de mes onde pour creer le monde, enrouler mes idées, dans des spirales mystiques,
athétique, parfaite muse, tic ! zzz ! Silice delicieux helium
de BEU BEUL GOMME

Qui a Beulé aveuglé par le : j’ai ! RIEN enfin d’année damné par tant de dé carné car D le stade 4 de l’humanité sous l’action des chiffres rare pert son energie ou disparait en créant une force montante,
ou, si le dé pouvait resenser le chiffre 8, ferait la même chose,
quand sa face observable tomberait sur le 8
tandis que le dé à jouer pourrait révéler les chiffres dû par l’humanité,
c’est à dire ceux symbolique de ceux parmis les humains, qui opèrent
des actions de contraction au voisinage d’une fenetre temporelle,
laquelle révèle qu’à la source agit un DIEU, à la foi, concret et abstrait.

Alors, la boite noire ou troisième cercle , ferait apparaitre, gentillement scintillement de la saccharose sur nous ses choses roses oooaoua! ,
le chemin qui est un.

Alors que si je savais réellement maitriser le Français, il y a longtemps que vous seriez mort ! Tous ! sans l’exeption d’aucunes exceptions.
C’est ce que vous pensez de moi ? Oui, et bien ceci n’est pas suffisant pour faire de moi un incapable curable…  »

 » Seule, la Justice est incapable d’agir sur la Folie quand elle peuple les hopitaux de faux lits ! Laissez moi sortir maintenant, je vous l’ordonne au nom de la somme d’une consonne consonnante. Mais vous ne me laisserez pas sortir, n’est-ce pas, car sans moi vous êtes dans de beau draps, le beau chez vous ne serait-il pas un drap un peu gras, trop maigre ici … . Mai voue cent mois à l’imbélicité, qui enseigne au hommes à aller sur Mars quand ils ne savent pas … ma zette : de la soie soyeuse comme un sou soit propre sur soi, soit surpropre d’être soi ! … quand il ne savent pas que: Mars et ça repart la guerre!

Mare rrrr récompense maintenant qu’on sait que l’exploration spatiale doit aller aussi loin mais exactement mais exactement dans le sens opposé,il ne s’agit pas d’aller voir Dieu, caché en lisière du système solaire ; mais en laissant Mars aux martien, de continuer le chemin ! »

 » Ne me dit pas merci d’avoir sauvé cette vie qui est votre, en épargnant seulement la scie la scie de la la lit de vos fosses vie, pour distinguer vos pas riant du bon coeur où j’ai abrité MA VIE. Ce petit coin de part d’hadi, distinct de vos folie, si si, je ris moi aussi en écrivant l’avis de la vie sur votre A vit dit T »

 » Taisez vous !, pour la deuxième foi, qu’on me laisse sortir de ce dangereux pas. Vous pensez bien que, à m’entendre, à me comprendre,ici, il n’en né rien. Et à m’entendre sans me comprendre, on comprend que je ne suis pas né de cette époque…là Assé, à mon corps des dés dé fendant, un sort, une escarre, une mouche, là, Déesse, je sens que je touche. Pic, tu louches chousse où sont nos couches ! ?  »

 » A tuer des mouches on desespère les Baleines et les femmes ne deviennent pas des reines ? N’est-ce pas que j’ai raison, et que ce que je dis s’entend comme une chanson ? Non homme laisse moi sortir avant que je t’assomme de ma somme. »

 » Je n’ai pas l’envie de dormir ici ! »

C