Monsieur Le Président de La République,

          EMMANUEL MACRON,

C’est lorsque tout parait bouché, flou, ou obscurci, que votre effort doit vous porter à reconsidérer la mécanique elle-même des prélèvements obligatoires et de la façon dont l’argent est investi ; car, pour l’heure, en instaurant un dialogue filmé avec les représentants qui se distingueront parmi le mouvement des « Gilets Jaunes »- si et seulement si vous êtes prêt à mettre en application les principes d’une politique inclusive  et participative. Ce qui semblerait compatible avec vos préoccupations à l’échelle européenne.

Quelle que soient vos concessions, vous pourriez vous prévaloir de tenter d’exercer et d’appliquer une autre méthode de l’exercice du pouvoir :

La nécessité d’écouter sa population,  supérieure à la planification des marges de manœuvres pour le gouvernement ; par exemple sa capacité à dégager des budgets en cas de désastre. Car le citoyen est le cœur de la Nation.

Mais encore une fois, Monsieur le Président, prenez garde de ne pas vous aliéner les populations de France, les unes après les autres. Si en politique l’espoir des peuples est dangereux, la furie du Peuple peut abreuver des sillons de sang d’un pur.

Certes, vous avez permis aux modestes retraités d’échapper à un impôt qui risquait par trop de les léser. Certes, vous avez concédé aux allocataires du SMIC une revalorisation utile de leur revenu. Et toutes les nouvelles mesures qu’ont obtenues les délégations du mouvement des « Gilets Jaunes », l’état en sera quitte pour une somme de 10 à 20 milliards d’euros.

Mais n’est-ce pas infâme de vouloir en finir avec ceux des manifestants pour qui la lutte continue sans avoir même appliquer les soins de votre tâche à renforcer le ciment social qui lie la pyramide sociale à sa base, celle du commun des villes, en ayant compris qu’on ne peut pas vivre dignement avec le RSA, ou une retraite incomplète pas plus honorable pour l’Humain que la condition des familles monoparentales à bas revenus, ou des jeunes laissés pour compte.

Vous ne pouvez pas écraser les derniers manifestants comme il semble que cela se fasse encore avec les « migrants » dans beaucoup de villes en France.

Vous risqueriez de déclencher une explosion de haine , et les réserves de citoyens mécontents sont légion .

Autour de Paris, les lycéens ont manifestés, mais globalement, la révolte n’a pas gagné les cités dont, pour le coup, l’organisation de l’économie parallèle joue comme un ferment de stabilité.

Mais nous sommes au XXI ème siècle, les cloisons invisibles qui isolaient les membres d’une même catégorie sociale, sont franchissables depuis l’avènement de la communication électronique. Et les classes sociales des déciles de revenus les plus favorisés au fond, n’auront besoin que très peu d’être informé des réalités de la misère sociale qui les entoure, ainsi que des raisons profondes pour lesquelles on ne peut pas blâmer les « Gilets Jaunes » de vouloir manifester encore – alors même que votre intention d’ouvrir un dialogue et de recourir à une concertation nationale ne peux et n’a pas été entendu par celui et celle pour qui, dix euros est une somme importante ! Le comprenez-vous ?

Si Monsieur Nicolas Sarkozy est la personne qui vous conseille de manier le bâton et la friandise, n’hésitez pas à faire relire les lettres que je lui ai adressées durant sa présidence. Il n’a jamais voulu croire que le tissus social doit être souple et élastique avec, compte tenu des modifications de la structure du travail, des capacités à faire rebondir vers des positions meilleures tous les abandonnés, les exclus d’hier, aujourd’hui et demain. Il a toujours préféré être abondé en idées telle que « Interpol du délit financier « , dans sa bouche devenu : « FBI du délit financier », etc.  Plutôt que de croire qu’il faudrait qu’il choisisse d’être un grand Homme aux yeux de l’Histoire et de ces circonstances exceptionnelles – plutôt qu’un serviteur de l’injustice … rien à faire, il n’a fait que modérer la vilenie des puissants a vouloir faire intégralement supporter le coût des dépenses sociales de l’Etat par la majorité des déciles de revenus inférieurs. Et en définitive, en 2011 les plus riches ont été fortement imposés, et monsieur Sarkozy s’est lancé dans une Guerre désastreuse pour finir.

Ne faites pas comme lui. Cordialement. Patrick Rakotoasitéra

PATRICK RAKO (Lettre à Mr HOLLANDE)

 

 


Monsieur HOLLANDE,
Vos chances d’être élu PRESIDENT de la REPUBLIQUE FRANCAISE sont à cette heure sans contestes, ne laissez donc personne ni aucun évènement venir en contester l’exactitude. 
 

A dessein , il vous faudra souvent rappeler que vous êtes professeur en économie , titre , à l’instar de votre statut récurrent de rapporteur au près de la cours des comptes, qui indiquent combien vous n’avez de leçon à recevoir d’aucun en matière de rigueur budgétaire et d’équilibre des comptes, sachant que tous les pays qui furent soumis à la rigueur de l’austère austérité, parce que , avant l’EUROPE, confrontés au problème du remboursement de leur dette souveraine, ne l ‘appliquèrent pas imbécilement, ainsi en AMERIQUE LATINE, où il avait s’agit , pour les politiques socialistes, de consilier le pensable avec le possible et non pas voter l’impossible exclusion programmée de la plupart des concitoyens; en mettant en branle une machine à broyer les individus , leurs économies , selon un réseau d’exclusion réciproque des différentes couches de la société les unes par rapport aux autres. Constat que concéda lui-même, l’inventeur de cette sorte de politique budgétaire, économiste pourtant internationalement reconnu.Oui, il vous faudra dénoncer cette catastrophe d’envergure que promet toute réélection de NICOLAS SARKOZY. Du reste, l’EGLISE CHRETIENNE s’est exprimée publiquement pour en appeler à la cessation de cette régression démocratique envers les exclus. Que faudra-t-il de plus au peuple FRANCAIS pour être convaincu ? Et il faudrait que vous supportiez d’être taxé de laxisme ? Formule dénuée de contenu, qui en appelle à cet électorat , lui comme les autres confronté à l’injustice sociale qui perdure, électorat qui ne pourra que bénéficier de cette même aspiration à la justice , que vous portez au nom du socialisme réformateur des liens sociaux, et économiques qui traversent la société. Ne craignez donc pas de mettre de l’élan, du coeur, du charisme dans vos discours, pour rallumer la flamme. L’opinion ne peut se résoudre ni au dictat de la finance ni à la folie ! Le TAUX d’usure soit la limite au-dèlà de laquelle les taux d’intérêt d’un pret sont illégaux, est une réalité. En Amérique latine la dette pourchassée dans ce qu’elle avait de profondément illégale a pu être réduite. Votre oeuvre , tout en réspectant les accords internationnaux, pourrait être d’en dénicher les failles juridiques, tant à l’echelle du citoyen, de la commune, de la région que de l’état. Faire plier les banques plutôt qu’être plié par elles, ne signifie pas que vous êtes naif quant au financement des entreprises par le canal du crédit, au 2/3 en EUROPE, mais profondément conscient de l’importance de réformer une banque centrale qui crée de l’argent pour les banques sans profits , tandis que celle-ci en cas d’insertitude systémique sont incapables ou de se faire confiance entre-elles , ou de financer les petites et moyennes entreprises , et cela est une vérité historique autant qu’économique, PME seules à même de fournir le plein emploi. Montrez donc, combien vous êtes le patron et n’hésitez pas à dénoncer le chaos juridique dans lequel les a plongé la complication des lois décidées à leur encontre , chaos indigne du plus médiocre des avocats, fut-il président ! Car du bilan de cette dernière présidence, il y a plus d’un mot à en dire : à commencer par le propos sempiternellement vindicatif , même grossier qu’une telle fonction interdit, au risque de déchoir le débat publique en un aboiement de basse cours ! Sur le plan de la politique extérieure ne convenez que d’une demi-réussite : la déstitution de khadaffy, for couteuse mais, certes, riche en enseignements relativement aux dispositions de notre armée. D’ailleurs est-ce parce qu’ils avaient tous été vendus que la France manqua de missile ! Et si l’occasion se présente, comme la campagne s’annonce impitoyable, demandez à l’interressé » qu’on nous en assure, au moins n’était-ce pas pour quelqu’autre financement opaque, à l’image d’une présidence qui aura été sombre de trahisons, et depuis le début non dénuée d’interressement personnel « , quand on augmente sa fonction de 140%, alors même qu’on fait le constat de l’incurie budgetaire, cela se passe de commentaire, sinon à en dire long sur le faux remède qu’on proposera finalement ! Car oui, et plus que jamais , et j’en terminerais ici, Monsieur HOLLANDE, vous incarnez le choix libre de la relance et du renouveau du dialogue entre FRANCAIS, aucun évènement tragique au point d’intérroger les consciences ne doit faire oublier que là comme avant c’est le non-dit , presque toujours l’absence de communication entre les institutions de l’état qui assure le drame , alors même que le médiat informatique existe et que s’il ne peut seul assurer un role de veille sociale, c’est le dialogue entre individu qu’il faut raccomoder et qu’en ce qui concerne les actes fous, la » pénitentiarisation » accrue de la folie, est, faute de moyen mis en oeuvre, mal gérée autant que mal vécue , ne remplacera jamais une politique sociale préventive s’attaquant aux causes bien mieux qu’aux seuls effets. ainsi de la dépression du post-partum chez la femme qui assure d’une génération l’autre, ces 50% de dépression que personne ne soigne comme nombre de maladie mentale dont les causes restent multi-factorielles cependant, ce qu’il faut savoir , encore pour ne pas que prévention soit synonyme là aussi d’exclusion. Comme en période de crise , plus que jamais il faut s’assurer de la bonne condition , à chaque étape de sa vie, de la femme et l’enfant, la période de l’adolescence relevant de la résponsabilité de chacun . Comment en effet croire qu’un adolescent à fortiori un jeune adulte pourra se construire sainement si le monde ne lui répond pas? , étant entendu que la bonne mesure doit prévaloir , tel qu’ainsi l’excès du monde peut provoquer son ignorance, à cet age … .

Un dernier mot, pour que soit différé le litige avec l’écologie, sur votre point de vue international et dans le sens de la prochaine conférence d’URBAN : militez pour la reconnaissance d’un statut juridique spécifique accordé à l’arbre pour ne pas que l’accaparement sauvage des titres de propriétés des terrain où perduraient des forêts millenaire, n’engendre les catastrophes d’un futur que la situation en l’état hypothèque comme elle permet aux sociétés actionnaires de disposer des ressources forestières comme elles ont disposée du tissus industriel de l’EUROPE, soit sans discernement ni véritable conscience des enjeux autres qu’immédiats… .

ROLE DE LA FRANCE DANS LE CONFLIT IRANO-ISRAELIEN
4EME LETTRE A NICOLAS SARKOZY ADRESSEE LE 4 SEPTEMBRE 2009

MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,

Tout d’abord permettez moi de vous dire que votre désir d’augmenter la masse monetaire de tous les citoyens, selon une logique de redistribution, à vos yeux, équitable : ne laisse pas indifférent. Pas plus que votre admiration pour les entrepreneurs, ces terrassiers du réel, capable de mobiliser le labeur de la multitude.

Pour autant : les circonstance historiques d’un changement d’ère: celle du profit tout azimut, à l’ère de l’alliance de l’état avec la nation, et de la nation avec la Terre, dans le but de contrecarrer le fonctionnement tacite des industries d’état internationnales : ces circonstances ne vous priveront pas d’une trahison.

Et pour cause ! Soit vous trahirez le peuple au nom du devoir qui est le votre de maintenir l’existence des infrastructures, strictement dépendante d’un système internationnale qui survalorise la fonction historique du banquier dans la gestion de la dette des états, ce qui favorise l’existence du chaos au coeur du système libéral, et du fonctionnement géopolitique internationnal- chaos, caractérisé par le statut quo de l’expansion des zones de guerres irrégulières.
Soit vous trahirez les entrepreneurs, banquiers y compris, au nom du peuple; mouvement historique par lequel l’indépendance idéologique du fonctionnement économique est favorisée, en axant la stratégie militaire relativement au concept de relation au détriment du concept de frontière que favorise la politique. Et le scénario catastrophe d’un retour à la guerre conventionnelle généralisée entre états dominants, devra être jugulée par la circonscription des forces inhumaines, reliées entre elles à l’échelle internationnale, par les mécanismes du mensonge, de la trahison, de la corruption, et de la manipulation ou élimination des élites symboliques.

Mais le résultat géopolitique menace de revenir à la même chose. La guerre, si l’homme civilisé ne peut dors et déjà plus manger que son argent, d’après la pensée primitive. Autrement dit si l’écosystème a été surévalué par les scientifiques, et qu’il ne peut plus supporter la présence massive de l’action humaine et que le déploiement stratégique des états, motivé par l’accaparement des resouces énergétiques, nécessaires à son fonctionnement est dors et déjà une perte de temps et une dépense inutile parce qu’illusoire.

Or, cet éceuil sur lequel bute la civilisation depuis le nuit des temps, en motivant l’interprétation religieuse dans le sens de l’émergence de la figure du prophète, doit être intégré par la stratégie économique qui placerait le projet global français sous l’hospice d’un pari universel, seul capable de freiner l’avidité des entrepreneurs, obnubilés par la dialectique du maitre et de l’esclave, mais incapables seuls d’éviter la réalité de la fable du chien qui mange son maitre, faute d’os à ronger.
Comme en définitive, la science archéologique a été incapable juquà maintenant de démontrer l’existence ou la non existence de civilisations arrivées au même stade technologique que le notre, et dont l’histoire de la disparition réfugiée dans la pensée mythique, fait écran à l’accès par la pensée moderne à des informations impossibles à fonder . Les quelles limitent le champ des sciences humaines, et faute d’exemple, empêchent la science de découvrir le code originel régissant les lois de l’univers, dont la maitrise permettrait à l’humain de téléporter autre chose que des ondes, et le soulagerait d’avoir à se battre pour l’énergie thermique afin d’assurer le transport des objets matériels, selon les modalités d’un échange de biens entre les communautés d’être, par ailleurs seul propre à assurer la paix.

La stratégie militaire des parties en présence orientées par le concept de géopolitique hérité de la stratégie militaire allemande doit inciter la France à inventer une nouvelle stratégie militaire, celle-ci, dont les acteurs n’ignoreraient pas qu’on ne peut pas éliminer la pensée en éliminant l’homme qui pense, puisque les idées sont éternelles et que l’homme peut juste orienter les rapports de pouvoir qui régissent leur structuration conceptuelle, s’il veut organiser de manière équilibrée les conditions qui définissent la survie matérielle de son espèce, strictement dépendantes de la coexistence des pensées, et fondamentalement différentes d’une liberté définie par le droit qui serait autre chose que l’acceptation par l’homme de la coexistence sur Terre des deux figures de la femme : Eve et Lilith.

Eve et Lilith dont le combat ancéstral est frère du combat des artistes de tous les continents à faire émerger une conscience mondiale que cherche à protéger la stratégie économique, sans réussir encore bien à la faire coincider avec une stratégie militaire qui s’attaque en priorité aux productions qui maintiennent l’existence de deux mondes, un pour chaque figure de la femme, sans savoir que le monde est un, comme l’humanité une et indivisible.

Vérité idéostratégique que masque la vérité géopolitique en faisant se combattre les cultures entre elles. Au rique d’écraser lémergence de la conscience mondiale seule capable de se contenter d’un partage de la communication, étape transitoire à un partage de la production, manqué par l’humanité au siècle dernier, et immémorialement par toutes civilisations.

Je n’ai pas besoin de vous en dire plus. Votre intelligence est louable, votre manque de coeur, encore un défaut qui vous empêche de savoir communiquer votre énergie aux peuples, en modérant par la raison l’élan incontrolable de l’éspoir.

Du point de vue de la forme de votre stratégie de communication : je vous encourage à modérer votre familiarité avec l’élite mondiale ce qui vous coupe de la base; en raffermissant le lien entre la pensée française et la superstructure, dont on sait maintenant que sa constitution immatérielle, faite d’idées accessibles à tous, est le véritable enjeu, mis en lumière mais manqué par la dialectique marxiste – en vous confrontant aux métaphores géopolitiques mondiales, sans jamais chercher à en faire vous même, sinon par des reformulations empruntes de critique et de douceur, guidées par la nécessité de décrisper l’individu par un humour bienveillant, jamais moralisateur ou supérieur.

Par exemple quand MAO dit qu’il ne peut pas y avoir deux tigres sur la même colline; affirmez qu’il faut supprimer la colline. Car, là où la pensée considère son futur labeur, le coeur imagine le sein nourricier… Pensée éminamment Confuséenne à rappeler aux chinois eux-même pour éviter que leur revanche sur le monde ne tourne au désastre.

Quand DEGAULLE dit l’Angleterre est une île, pensez que Madagascar est une île et que c’est peut-être l’Angleterre de l’hémisphère sud (sud-est).

La statégie militaire consistant à savoir qu’on avance toujours parce qu’on a toujours quelqu’un derrière le dos, vise à établir des liens d’amour entre les pays, même LAO TSE le sait. ( référence à la déstabilisation de la Chine sur sa frontière ouest et sud en raison de l’activité d’alquaida).

Rappelez donc à Israel que lors de la mandature de votre prédécesseur, qu’on ait échoué à concrétiser le projet global Africain, pas réussi à faire de l’Indonésie les états unis d’Indonésie, pour stabiliser le coeur de la guerre mondiale, corréspondant aux régions historiques où se situent les trones de SATAN, ne signifie pas que l’homme a oublié mon rève, a dit DIEU.

Aussi, si vous voulez favoriser la détermination par le peuple Iranien d’un état original, ni capitaliste, ni monarchique, ni même démocratique dans le sens laique de ce qui est après tout peut-être aussi une utopie, un état religieux démocratique autodéterminé par la conscience mondiale qu’il abrite aussi : ranimez les circuits de la pensée musulmane dont le droit hérité de SOLIMAN LE MAGNIFIQUE établit toujours la possibilité d’un échange entre les intellectuels du monde et l’institution religieuse. (ce droit qui devait organiser les possibilités de sa régénérécence afin de répondre aux ambitions commerciales du royaume safavicide, faute d’une expansion territoriale possible à l’est)

Stratégie de communication adoptée par l’auteur de Kallila et Dimna pour limiter le cynisme politique par la diffusion du livre du même nom, livre à promouvoir, connu dans le Maghreb, et dont le complément ( en dehors de toutes négociation économique) doit venir d’une réflexion plus large initiée autour de la figure du prophète.

Si un prophète se met à tuer, il ne pourra faire l’économie dans son enseignement de la nécessité du pardon, et pour lui-même, et pour ses victimes et ennemis vaincus, au rique d’avoir toujours des ennemis de sa cause, et de ne pas réussir à accomplir l’existence d’un vrai droit, et d’un droit vrai pour la Terre.

La pensée musulmane ( dont l’apport au niveau de l’économie des société fut considérable: le chèque date d’une pratique commerciale musulmane née de l’urgence face au développement des relations économique entre est et l’ouest de ne pas avoir à payer en monnaie sonnante et trébuchante ce qu’au cours d’un autre voyage le commerçant peut obtenir au près de la banque centrale), cette pensée doit en effet expliquer au monde compréhensiblement pourquoi MAHOMMET n’a pas souhaité que le monde futur conserve l’image de sa personne, lui qui devait être un être si beau pour accomplir ce qu’il a accompli.

Car, est-ce à dire que le concept de beauté a des effets dérégulateurs sur la société, lui si inégalitaire relativement à la forme humaine, lui qui naturellement sucite jalousie et enjeu de pouvoir – est-ce que le droit est capable de défaire les liaisons qui l’unissent à l’essence du mal sans abimer la liberté humaine, initialement souhaitée ?

Supprimer ou interdire l’image revient-il à considérer que l’éthique doit diriger l’esthétique dans la création quand on sait que quel que soit la forme ou le style de batiment obtenu, le mécanisme de la pensée produisant le mécanisme de la construction est le même pour une pyramide, une église ou une mosquée ?

L’économie humaine ne pourra faire l’économie du pardon entre les survivants de toutes sortes, bourreaux ou victimes.

Veuillez agréer monsieur le Président de la Republique l’expression de mon encouragement à votre égard.

PATRICK RAKOTOASITERA

NB: Lire L’UNIVERS DES SIGNES LES SIGNES DE L’UNIVERS dans SA COULEUR sur www.patrick-rako.nuxit.net

Patrick rakotoasitera (3eme lettre au president de la republique)
3e lettre au Président de la République, ENVOYEE LE 19 MAI 2009 , préfigurant les conceptions économiques à privilégier pour favoriser un meilleur partage de la richesse, que pourrait permettre une politique économique orientée par la prise en compte de l’impératif écologique notamment. A noter que mes réflexions découlent pour partie d’interrogations économiques mais tout autant d’autres domaines des sciences humaines, en l’occurrence du rôle de la COMMUNICATION dans les modalités de la superposition de la « base économique » et des « instances idéologique » comme dans toutes les sociétés des liaisons unissent l’état des forces de la production avec l’état des forces de la communication. Ainsi, la monnaie constitue un univers de signes d’autant plus primordiale qu’il peut quantifier l’univers des signes humains par le biais d’un signe d’autant moins neutre que coupé de sa dimension esthétique il dissimule l’éthique tout en conservant le pouvoir inhérent au concept d’écriture. Pour en débattre vous pouvez consulter les extraits de mon projet de recherche : « L’univers des signes, les signes de l’univers », bientôt mis en ligne dans la rubrique : « sa couleur », qui est le blog de mon site : www.patrick-rako.nuxit.net 

Pour une indépendance idéologique de l’économie

Monsieur le Président,

La simultanéité de deux évènements, éloignés dans l’espace, n’est vraie qu’en fonction du système de référence, soit sur le plan symbolique, selon la théorie de la relativité. Pourtant, l’état doit se maintenir afin d’harmoniser le projet architectural et la reconductibilité du lien social qui le justifie.

Le pouvoir du pharaon dans l’Egypte de l’Antiquité ne peut imposer un état centralisé qui influe sur tout, jusque dans la façon de traiter le commerce des animaux. Si jusqu’à un tiers de l’économie souterraine est mobilisée, quelle part dans l’économie réelle l’est par l’enrichissement du pouvoir dominant grâce au commerce des animaux empaillés ? Pouvoir dominant vendant des signes d’immortalité à ses sujets, comme de l’autre côté de la Méditerranée on pourra vendre des indulgences, lorsque les papes guerriers devront se refinancer.
Car, comme une entreprise qui serait capable de dire à ses employés qu’elle n’a pas obtenue les 1/3 des bénéfices pouvant subventionner l’investissement, donc l’investissement humain, celui, à priori, facteur de liens sociaux, et que par conséquent elle ne peut redistribuer 1/3 des bénéfices de son activité à ses salariés, à moins de fragiliser l’infrastructure de l’entreprise ; le pharaon ne peut ignorer qu’aucune expérience faite dans son système de référence ne permet de dire si le système de référence est immobile ou non. Car en réalité il ne l’est pas, et cette loi est immuable.
L’état est dépendant de l’écriture et des actes d’écriture pour réguler l’échange des biens et des services. Or, l’écriture et son enseignement, sont aux mains des prêtres, et des militaires, de la classe supérieure. Quant à la population dont il est le roi divin, on peut dire, là comme ailleurs, que joue le taux d’usure : stade ultime, ou l’élasticité de la demande, soit la capacité à payer du consommateur, est rendue impossible par la cherté de la vie, ou plutôt son manque de prix. Ce qui impose l’organisation du maintien de la spiritualité de la société dans la visée d’en assurer la cohésion, en accentuant l’aspect totalitaire de l’état.
Là ou l’état en imposant une redistribution des bénéfices par 1/3 aurait pu assurer un rééquilibrage des revenus en réduisant l’écart entre les plus bas salaires et les plus hauts, ce qui aurait contribué à garantir sa pérennité en neutralisant la dépendance de l’état vis-à-vis de la religion.
Dans nos économies, si des entreprises déclarent ne pas pouvoir payer : et les dividendes de leurs actionnaires et les salariés, la part des aides publique dévolue à l’entreprise doit être redistribuée aux salariés ainsi qu’employée à l’investissement, par la loi, afin de pallier les effets du taux d’usure de la consommation, lequel ne soutient plus l’économie, mais en créant du chômage, renforce le chaos des sociétés libérales et l’accaparement des capacités de production par l’économie souterraine. Le manque d’argent disponible, les foyers mis en état d’insolvabilité, grèvant le budget des banques, celles-ci plus sensibles que jamais à la masse monétaire mis en jeu par l’économie souterraine.
Lorsqu’un tiers des bénéfices des entreprises n’est pas redistribué aux salariés, la consommation finit par s’effondrer, par manque de solvabilité du consommateur, et l’organisation des relations commerciales régissant la distribution de produits de première nécessité, dans le sens d’une hausse globale des prix. Ces relations entre les distributeurs de biens de consommation et leurs producteurs pouvant être organisés en dehors du système d’échange de biens et de services. Dans une sphère différente : la sphère politique.
En vertu de quoi, l’homme ou la femme en charge des affaires de l’état, pharaon ou non, doit veiller à accepter le désordre apparent des sociétés, dit-on, s’il veut conserver l’essentiel : la liberté de penser qui favorise la démarche critique et le projet scientifique ; la liberté économique, en créant les conditions d’une organisation optimale du partage des ressources, ainsi que de la division du travail, et l’organisation de la restriction de l’écart entre bas salaires et hauts revenus ; afin d’obtenir une souplesse économique du système de référence, propre à amortir toute survenue de crise économique.
Or, si le 1/3 des bénéfices dévolu aux salariés est toujours maintenu, d’une manière ou d’une autre : intervention de l’état, obligation faite aux patrons d’entreprise : la part du budget des ménages consacrée aux logements n’influerait pas autant sur l’utilisation des revenus, et partant sur la liberté de mouvement, dans la condition ou prenant des mesure à la hauteur de l’évènement en cours, l’état maintient la part des entrepreneurs au 1/3 des bénéfices, en leur faisant supporter les baisses de la part des salariés.
Soit : en distinguant l’entrepreneur qui créé une valeur ajoutée fondée sur la spéculation dont les intérêts sont clairement orientés vers l’économie virtuelle, de celui qui contribue à l’existence des infrastructures, qu’elles soient industrielle ou correspondant à la propriété de biens immobiliers par exemple. Cette dernière catégorie d’entrepreneurs, les propriétaires, devant être celle dont l’engagement pour une meilleure accessibilité au logement doit être motivée. Seuil imposé des loyers en fonction de l’imminence du taux d’usure de la consommation, caractéristique de l’économie entrée en récession.
Car pour maintenir le lien social sans un excessif recours à l’ordre, l’économie doit être indépendante de l’état dans la mesure où c’est le mode de concertation des états entre eux qui doit aboutir à une recherche d’une dimension critique vis-à-vis des intervenants de l’économie, puisque l’économie ne participe que partiellement au processus d’ensemble de recherche libre de la vérité. De même que l’histoire semble ne pas avoir de sens à l’échelle des civilisations, sinon à dire que l’entropie est le caractère inéluctable de toutes activités économiques. Le déroulement de l’histoire pouvant marquer une inflexion des libertés, l’état rejetant la liberté individuelle au nom de la collectivité, et rejetant la liberté de la collectivité au nom d’une démarche philosophique supérieure dont participe son incurie propre. Comme l’entreprise perpétuant l’existence d’un niveau de vie minimal, auprès de ses salariés comme des ses consommateurs… .

Mais Monsieur le Président, vous ne semblez pas vouloir accepter le chaos apparent des sociétés libérales sans pour autant accepter l’indépendance de l’économie vis-à-vis de l’état ; sinon votre mandature ne serait pas autant marquée par une intervention au niveau législatif : l’écriture et le respect des lois garante et levier de l’ordre économique selon vous. Ce qui ne me semble pas une erreur de jugement.
Seulement les outils conceptuels qui sont utilisés dans l’art de gouverner les états, s’ils ont historiquement vu la fin de l’emprise philosophique au profit de la praxis – la philosophie communiste de la troisième internationale, modérée par la quatrième internationale voyant finalement la suprématie de l’économie libérale pratique advenir – laisse croire que la politique économique doit être établie dans la connaissance des principes de conservation d’énergie, régit par l’entropie, soit la disparition irréversible des échanges thermiques. La disparition des ressources de production interdisant l’élaboration d’un modèle économique immuable. En effet, si le modèle libérale a triomphé, c’est au prix d’une stabilité sociale basée sur l’accession du plus grand nombre au standard de la consommation dominante, à l’égalité des droits civiques et des libertés pour tous, selon une justice contractuelle où le marchandage politique et le calcul des lobbies influencent la recherche du profit jusque dans l’invention de nouvelles technologies, pourvoyeuses de travail, et jusque là toujours au rendez-vous de la relance économique des sociétés modernes, ce dans l’ignorance partielle de l’épuisement des ressources naturelles. Ce qui en trente ans aura contribué à la stabilité politique de l’état et de la société a aussi travaillé au détriment de l’écosystème jamais autant sollicité par l’homme depuis l’avènement de la civilisation. Le rêve d’un monde où l’augmentation de la vitesse des moyens de communication imposerait des échanges suivis entre toutes les sociétés, tandis que le tissage économique étant mis en avant là où le lien idéologique a failli, risque d’être mis à mal par une croissance zéro généralisée, interdisant à terme la satisfaction des besoins qu’ils soient nécessaires ou non des populations mondiales.
Or, de même que l’économie dans le calcul de la richesse doit intégrer la notion de richesse négative ou involutive : soit cette capacité de l’homme à s’enrichir alors qu’il détruit la possibilité même de produire. Appauvrissement de la terre, surexploitation des ressources forestières, marines et minérales. Afin d’optimiser l’économie des moyens de production, visée ultime de l’économie : le PNB, Produit National Brut et le produit intérieur brut de l’état doivent pouvoir recenser l’impact de l’activité négative, soit l’impact de l’activité de la production sur la création globale de CO2 et de sulfure d’hydrogène ou de tout élément connu, constitutif de la ressource de production dont l’évolution à la hausse marque l’avènement du taux d’usure de la ressource globale, et de ses répercutions sur la production qui aggrave à terme, ou que révèle le taux d’usure de la consommation. Quand celui-ci n’est pas artificiellement créé par une pratique économique déséquilibrée entre l’économie souterraine réelle et virtuelle. Symptôme d’une mauvaise domination de l’économie réelle ou quand les lois régissant l’offre et la demande sont manipulées par une classe dominante, quelle qu’elle soit. Ce qui, ni plus ni moins, est une subsistance de l’empreinte idéologique sur l’économie. Laquelle entrave la constitution d’une économie indépendante.
Aussi, une fois l’impact écologique de l’entreprise mesuré, impact dont la maitrise doit être le but ultime de la politique économique, l’impôt nouveau sur lequel appuyer une diminution maximale des taxes des collectivités locales pesant sur l’entreprise rendue ainsi capable d’assurer le partage par 1/3 équitables de ses bénéfices entre les salariés, les nécessités de l’investissement , les dirigeant et les actionnaires éventuels – cet impôt qui compense le manque des collectivités locales peut être celui d’une participation de l’entreprise au rééquilibrage de la production de CO2. Impôt qui pénalise l’entreprise irresponsable, et donne les moyens à l’état d’influencer la consommation comme on influence la vitesse sur les autoroutes, en pénalisant là, la production de CO2 générée par chaque produit par un jeu sur la TVA qui lui est appliquée. L’enjeu de la maîtrise de la TVA, devant être recentré au niveau Européen, autour de la notion directrice d’une production la moins involutive possible pour l’ensemble du système économique. Et non influencée par l’instauration de normes sans effets sur la production mondiale de CO2.
Ainsi l’économie performante ne peut plus favoriser le déséquilibre des revenus et des ressources naturelles, si elle ne veut pas que le chaos apparent des sociétés occidentales et de toutes sociétés ne se développe au-delà du point où la rupture du lien social est irréversible. Sinon après une période de relance de l’économie par la guerre. Celle des voies de communication et ressources primordiales. L’eau et l’énergie dominante dans la satisfaction des besoins immédiats et futurs, que la refondation du système économique doit prendre en compte instamment, au risque de voir disparaitre l’idéologie démocratique. Ultime idéologie. Celle qui favorise la démocratisation globale de l’accès aux ressources, freine la guerre en mondialisant les interdépendances économiques entre les pays. Même si jusque là elle a favorisé une guerre larvée. Première étape après laquelle elle doit coordonner l’action des états en fonction d’un partage des ressources obtenu à travers une protection juridique spécifique de la ressource coïncident avec un fonctionnement économique où la valeur ajoutée est rapportée à la valeur ajoutée globale des échanges de biens et de services qui doit correspondre sur un plan théorique comptable au degré de liberté individuelle de chacun généré par l’échange des biens et des services, degré mesuré par l’indice d’espérance de vie en bonne santé de chacun dans l’ère économique considérée, idéal micro et macroéconomique, que pourrait contribuer à améliorer une meilleure coïncidence entre l’état réelle des ressources de production et la liberté des acteurs économiques. Comme il se faut que l’harmonisation des outils économiques contribuent à l’émergence d’une conscience mondiale d’un passé et d’un avenir commun.
Alors une politique économique semblant accentuer les inégalités sociales deviendrait obsolète puisque la redistribution par 1/3 des bénéfices une fois instaurée juridiquement, la rationalisation des actes médicaux, par exemple, ne pourrait plus être envisagée en dehors de l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé, notion qualitative quantifiable dont les facteurs défavorisant peuvent être combattus juridiquement.
Certes, la course générale au lieux de résidence optimisant l’accès à un niveau de vie et d’éducation qualitative persistera, accentuant pour les moins bien lotis l’impact du chaos apparent indissociable du fonctionnement social, mais l’état psychosocial historique des villes et de leurs quartier sera d’autant mieux supporté que le citoyen pourra espérer d’une remise à plat des règles juridiques orientant le fonctionnement économique, une régulation des échanges économiques plus juste et non une énième épuration de l’économie basée sur la réduction des couts de production subit par la majorité pauvre des citoyens.
Car, partout où menace l’inégalité de l’accès à l’éducation et partant au meilleurs postes, charge est due à l’état d’instaurer une discrimination positive. Moins d’enseignants pour moins d’élève c’est logique, mais pas là où le lien social est déjà délité et marqué par l’économie souterraine et la subsistance sous le mode du système D.
Selon le même ordre de priorités, l’autonomie des universités ne doit pas entraver l’autonomie des chercheurs, garant du futur progrès scientifique sur lequel se fondera l’entrepreneur pour créer des emplois.
Et si l’on ne veut pas désespérer la génération montante dont l’inconscient collectif est modelé par l’apprentissage des sciences de la Terre autant que par le désir absolu de consommer, la raréfaction du travail ne doit être tolérée comme une raréfaction des revenus, modérée par la répartition par 1/3 des bénéfices, que si le ralentissement de l’économie est l’instauration naturelle d’une économie des ressources qui s’impose à nous. Dans un certain sens, la réduction du secteur automobile et la limitation de l’accès aux voitures neuves par les jeunes ménages est aussi le signe d’une régulation naturelle de la production de CO2. Instaurer une régulation économique artificielle de la production de CO2 doit donc favoriser la révolution des mentalités et l’adaptabilité aux nouvelles situations économiques que doit prendre en compte, voir prévenir l’intégration du taux d’usure globale dans le calcul comptable.
Ainsi, dans les trente prochaines années, si la Chine se réveille vieille avant d’être devenue riche, le maintient des retraites par les salariés en activités pourrait ne pas être assuré sur le mode de la redistribution ou la retraite par capitalisation. Le coût du maintient des aînés au domicile des jeunes ménages pourrait être allégé suivant un système économique qui envisage l’accès aux biens et aux services par les retraités selon le mode de la gratuité. Soit la nécessité d’élaborer des projets de fin de vie peut-être sur un modèle hybride, communiste et capitaliste, la prise en compte de l’entropie inhérente à l’activité économique et aux conditions de la vie elle-même et le soucis de l’indice d’espérance de vie en bonne santé : soit l’élaboration d’une économie indépendante idéologiquement, pourrait susciter la possibilité conceptuelle d’une régulation des échanges de biens et de services non dans le sens unique d’une course aux profit involutive. En établissant des modèles de développement toujours ajustables à la réalité. En dernière analyse, cela relève de la capacité déterminante de l’économie libérale capable de susciter l’émergence d’une contre-culture, de même qu’elle est mue par une loi capable de s’autodétruire pour se réajuster aux nécessités du moment. L’anticapitalisme serait encore une œuvre du libéralisme, sans contradiction sinon dans les moyens employés avec des mesures visant à restreindre la délocalisation des bénéfices dans les paradis fiscaux ou le circuit spéculatif internationale…

Le coût d’une santé sociale doit être financé par une juste répartition des bénéfices. Si l’on peut concevoir la nécessité de la réduction de la part des salariés en cas de crise, le maintient de la part idéale dévolue à l’investissement, la part des patrons doit être réduite proportionnellement à la part des salariés, afin que les prélèvements n’instituent pas de cercle non vertueux en pénalisant un peu plus la consommation.
Bien à vous. Patrick Rakotoasitéra
NB : mon site de peinture et de réflexion établit sur internet : www.patrick-rako.nuxit.net

ADDENDUM du 16 aout 2009:

un article récent du monde rédigé par le groupe écologiste dont fait partie mr Mammere rappelle fort à propos que ce groupe est à l’origine de la proposition de loi concernant ce que sous le martellement présidentiel j’appelle la taxe carbone et qu’il conviendrait mieux de nommer contribution climat-énergie. Je l’ignorais comme j’ignorais que le coeur de cette proposition était en instaurant cette contribution d’en redistribuer les gains aux foyers dont les revenus sont les plus modestes. bien évidemment cette redistribution si elle était appliquée me semblerait justifiée.

Patrick rakotoasitera (Lettre au president et reponse)
Patrick rakotoasitera (Lettre au president de la republique) 

LA POLITIQUE ET LA POESIE ET VICE VERS CA

La politique est la maitrise de la consequence de ses actes et des actes d’autrui. Pour autant pourquoi s’interresser a maitriser les depenses budgetaires par des mecanismes qui voudraient se reformer, ou du moins reformer un mode de fonctionnement, quand le concernement par lequel on souhaite maitriser la consequence de ses actes, implique l’instauration d’un mode de communication conflictuel, dont on peut se demander s’il ne peche pas dangeuresement vers une politique qui oublit d’aborder la SOCIOLOGIE, celle-ci fondee aussi par la Phenomenologie, apres laquelle on se demande encore pourquoi le COEUR est obnibule par la raison pure, celle-ci qui peut emprisonner pour eduquer ou eduquer pour emprisonner ?

Certes, penser a partager les benefices de l’entreprise par 1/3, est une partie de la solution. Car , comme on l’apprend quand, poursuivit par une dette, on reçoit un avis a tiers detenteur. Ce 1/3 est l’avoir financier de notre etre. Et c’est vrai, cet avoir, tous les avoirs financier, dans le cadre de l’entreprise, pourquoi ne pas les soumettre
a un meme sort reflechi. De telle sorte que pour 1/3, les benefices aillent a l’investicement. Tandis que dans le meme temps seraient synchronises humainement les 100% des salaries de l’entreprise, soit en offrant un support informatique personnalisé permettant la verification des paiement et de l’ensemble des salaries et de la banque elle-même, si l’entreprise est une banque.

Je ne vous cache pas Monsieur le president que vouloir retirer les taxes qui pesent sur l’entreprise et inventer un impot de remplacement, sera difficile a maitre en oeuvre, et pis que ça, risque de desoeuvrer nombre de communes. Les quelles n’auront d’autre choix que d’expliquer a leurs concitoyen qu’il faut manifester… ce d’autant plus que votre discours ne sera fondé philosophiquement.

Dans le meme ordre d’idée, la branche de la MEDECINE Psychiatrique
peut etre perçue comme le lieu d’achoppement de plusieurs disciplines. Or, si des espaces , des hopitaux, lui ont ete consacres, vouloir remodeler la Psychiatrie de secteur, n’est une bonne idee que si les grands complexes Hospitaliers en question, ne sont pas transformés en “prison”, disons le mot. Et comme vous l’a deja dit Madame Royale, qui, si elle pensait integrer des reflexions plus sensibles raisonnait tout de meme avec le coeur: Il n’est pas seulement question d’avoir de la compassion pour autrui, il n’est pas question de ne pas en avoir ! Et je ne parle pas des capacitées de stockage de l’information qui devraient etre devolues a la sociologie et non devenir un instrument de controle et de maintien de l’ordre: c’est le lien sociale qui maintien l’ordre , pas le contraire.

Ainsi, le projet architectural de l’hopital psychiatrique ne peut etre balaye par une politique ambigue qui d’une part, rend lisible le devoir des salariés, lequel apparaitrait au gré de votre humeur et de la mentalité manipulée. D’autre part, en faisant appel a la moralisation comme si l’etat ne devait determiner que ce qui est mal, role en l’occurence devolu au peu de medecins qui restent, a moins que ?…

Au sujet, d’une nouvelle régulation des marchés : ceux ci fonctionneront quoi qu’il arrive, c’est donc la masse monetaire mise en jeu d’une bourse a l’autre qui doit etre clairement definie et cela sera certainement le cas si la volonte politique se fait communication.

Dans ma premiere lettre je vous parlais de la necessite de ne pas laisser la JUSTICE entierement aux mains agissantes de la raison pure (lire “lettre aux presidents de la planete” et “lettre a Nicolas Sarkozy”).
Les raisons pures ignorent l’utilisation de la douce rigueur, celle respectueuse de la nature humaine, celle avec qui l’histoire personnelle se confond avec le destin psychosocial de nos societes, ce qui est le premier stade du pardon.

Mais voyez vous, l’art qui a ete integre dans le processus psychiatrique, est menace par votre politique dont l’esthetique semble a priori fondee par la raison pure. Or l’art ou son concept joue un role tres important dans la regulation de la superstructure, vous ne pouvez l’ignorer.

De plus, il est crucial que la TVA sur les produits de premieres necessites et dont l’impacte ecologique est la meilleur, soit abaissee.Cette mesure est si importante qu’en meme temps qu’elle s’inspire de la PYRAMIDE DE MASSE LOW, pourrait réorrienter la machine Europeenne dans le sens d’un progres partage par tous sur une ere culturelle devolue a tous.

Certes me direz-vous, mieux vaut batir que ne rien faire. Seulement le projet architectural n’a de sens que si la population qui le met en oeuvre peut satisfaire ses besoins primaires et culturels. Nourrir son peuple et aussi important que le soigner, ou le divertir en permettant de l’ameliorer.

Or, le progres, il faut le repeter n’est valable que s’il est l’affaire de tous et pas une machine a vous reproduire, comme peut l’etre le blé , d’un autre point de vue, qui nous reproduit.

Si la Terre ne peut pas supporter l’accroissement de ses populations, leurs dirigeant n’offrant comme seule reponse a leur concitoyen que le defrichement des forets, afin (belle utopie) de privilegier l’edification du reel sur une base industrielle; les entrepreneurs, les speculateurs, partant : les assemblée d’homme et de femme qui organisent leur manoeuvre, sont tous a leur niveau responsable de l’inscription dans le reel d’un concept né prematurement et correspondant a celui d’une production coupée de ses sources de production.

Parce que au final, peu importe la marchandise a vendre. Il fallait obtenir des gains de productivite: la valeur ajoutée correspondante devait etre multipliee par des operation de business ou les bourses apparaissaient comme d’Herculeen ressorts, et jeux de circulation des relation monetaire. Rien moins que l’incarnation dans le champ reel de l’effort d’une politique qui croit qu’on eduque quand on emprisonne, efforts tendus a seul fin de renforcer l’attachement de la personne au 1/3 de son identite. En realite, voila bien une stratification sociale d’autant plus rigide et inflammable que la peur est le ciment commun a toutes les strates, laissant tout de meme des failles que seuls les alpinistes chevronnes peuvent escalader.

Pour le commun des mortels le nouveau jeu sera egalement de monter plus haut, afin de mettre a l’abri le contenu de son coffre fort, seul garant de son present, son avenir et revelateur de son passe.

Mais m’objecterez vous, les marchands d’art alimentent eux aussi la speculation ! c’est qu’il s’agit d’une speculation a part entiere, elle, capable normalement de sublimer les pulsions de mort. D’ailleurs si toutes les oeuvres d’artistes cotes ne sont pas envisagees dans le CAC 40, c’est qu’il est plus aise de transporter une toile que des millions d’euro evalue et non pas devalue, aux encheres. Moyen par lequel l’argent sort de la bourse pour penetrer dans la colection publique ou privee, jusqu’au jour d’echec economique ou il faut retransformer cet objet en or.

Mais pourquoi vouloir penaliser la societe parce que les procés se multiplient ? A defaut d’etre enochien ( les PME durent en moyenne 30 a 50 ans), on peut toujours choisir d’investir dans la solidite de ses actifs- et la il vous faudra relire ma lettre sur le taux d’usure (www.patrick-rako.nuxit.net rubrique “sa couleur”); car la relance par l’investissement n’evite pas l’investissement humain. Comme l’investissement pousse a l’investissement.

Vos discours ne laissent, cependant, pas penser que la logique du cumul des gains sera reellement une redistribution. En effet: si 1/3 des benefices vont aux salaries, en sondant un peu cette idee, on se demande qui du cadre ou de l’ouvrier verra son revenu nettement ameliore ?

Car, en definitive, la part du salarie le situe dans la position de l’ecartellement des membres. Ainsi, le chef d’entreprise peut toujours
profiter de la valeur ajoutee créé par l’efficacite de l’ouvrier, tout en repercutant sur les salaires le cout des taxes de l’entreprise, tandis que dans un mouvement en spirale le revenu des salariers se voit grevé par l’impot indirect avec une Taxe sur la Valeur Ajoutée applicable a tous.

Or, quid de l’immobilier? Le proprietaire est un entrepreneur comme les autres: il preleve sa part lui aussi sur les salariers, l’acquisition de bien et de services, se realisant dans le sens d’une farce, puisque le salarié, et votre gouvernement en a pri conscience,ce salarié qui peut tres bien etre proprietaire ne peut que constater l’existence du flux de l’argent.

Alors quoi ? notre corps est au mains de docteurs dont les actes, a l’instar de la fonction politique, doivent etre calcules. Notre infortune aux main des banquiers dont les scrupules n’outrepassent pas leur frais de fonctionnement?

Le role de l’institution banquaire s’inscrit, pourtant, dans la lignée du processus historique de la desacralisation des signes artistiques, parce que d’un point de vue economique, l’art en se democratisant a vu s’elargir ses domaines de competences; ainsi a-t-il pu s’affranchir du mecenat religieux: premier moyen par lequel les 1/3 de la personne dévolu a la spiritualite, etaient mis en vente.

C’est donc soit un sombre calcul, soit un relan de religion mal vecu que de presenter la folie a travers les actes d’un skizophrene. Specialement si on ne s’interresse qu’à cette fraction de la population ultra minoritaire dont les faits divers rendent celebre l’incapacité de la Justice a agir sur la folie.

Mais revenons a notre salarie. Non seulement il doit assurer l’existence de ses pairs, en cotisant pour sa retraite mais, comble de l’humain assisté par l’ordinateur, tandis que son argent alimente le circuit speculatif, et, puisque la logique est a celle d’un profit immediat delesté d’avenir; il se produit l’impensable.

Le salarié a travers les fond de pension, summum de la xenophobie, contraint les entreprise dont il s’est accaparé le capitale, a licencier là, pour relocaliser ailleurs; la où le cou de la main-d’oeuvre peut etre tranché. Autrement dit dans le monde qui ignore la loi des trois tier, le ou la salariée (manipulée) élimine le salarié.

Le salarié n’étant qu’un terme puisqu’un salarié ne ressemble pas à un autre salarié et que c’est cette abscence de lien qui frene l’accaparement des capacités de production par l’etre humain, si tant est que ce geste ne debouche pas sur une nouvelle utopie du soleil.

La fonction de l’etat à priori incapable de proteger les salariés, impose de savoir manipuler les concepts ( pour ma part j’ai cessé d’en inventer); car la capacité à nommer les animaux impartie à Adam et Eve, etait-t-elle destinee a s’accaparer dans un meme mouvement cannibalistique toutes choses et son essence ? meme le dernier de la classe pourrait repondre… .

La monnaie n’est qu’un avatar du verbe divin, pour autant cela ne signifit pas qu’au -dela de sa dimension esthetique, on doive la couper de son ethique.

Les flux financier fonctionnent a la fois de maniere rationnelle et alleatoire et c’est la rationnalité qui optimise l’efficacité de l’aléatoire en le rendant créateur de valeur ajoutée.

Aussi, au moment ou l’aléatoire (jusqu’au prochain coup de dé), semble, grace a la capacité de stocker de la memoire, et par le médiat informatique, capable de tisser un réseau comportant des points fixes et/ou constant: il est primordiale de preserver le revenu de chacun seul capable d’echaffauder des projets de vie authentique, que l’on croit a l’interret du travail ou non.

Par ailleurs, le taux licite au-dela duquel l’interet de la somme pretée est illegal devrait decouler d’une juris prudence, afin de libérer le salarié de sa vie de credit. Ce taux d’usure devrait pouvoir etre calculé pour ce qui concerne l’economie virtuelle. Dans l’economie reelle, le taux d’usure est lui aussi a surveiller puisqu’il a un rapport avec l’élasticité de la demande. En revanche l’économie souterraine dont les avoirs réintègrent toujours l’économie réelle sera peut-etre visée lorsqu’on etudiera les reseaux de collusion qui ont provoqués la crise planetaire.

A dessein de stopper ou plutot fragmenter le mouvement qui resulte de la mise en branle de ce taux d’usure des ressources naturelles, car dans le fond ce n’est pas autre chose que la Terre nous fait savoir: Si les syndicats s’entendent honnetement avec les patrons d’entreprise, si l’Europe abaisse d’urgence la TVA sur les produits de premieres necessite; si Obama donne de la voix pour le bien des population africaines, on peut espérer que le partage equitable de la Valeur Ajoutée mondiale devrait permettre de trouver un equilibre indefini, là ou le desequilibre des castes n’entraine pas la dechirure du tissus sociale manipule par l’accaparement des ressources.

A ce stade de la reflexion, je ne peux que vous enjoindre de ne pas opposer les groupes sociaux par une politique de repression des boucs emissaires.

En effet, le tissus sociale doit etre doux , solide, et suffisamment influance par l’architecture pour qu ‘à son plus bas niveau ou stade de la decheance humaine, l’elasticité de ce tissus humain, tel un trampoline, serait de permettre un retour à la vie sociale.

Mais l’amortissement de la souffrance, monsieur le president, doit etre supporté par l’état, si l’on veut voir un jour le tissus des relations sociales racommodé par de jeunes gent, peut etre des psychologue, a la rigueur ayant le soucis de l’efficacité, mais plus certainement oeuvrant: là ou le signe et son objet ont ete separés de leur relation symbolique d’amour par une realité sociale défavorable pour la famille.

Là aussi ou les concepts qui régulent la superstructure sont trop soumis a la delocalisation de leur lieu de rencontre. L’art masquant la religion, la religion masquant la banque, la banque masquant l’exercice du pouvoir absolu: l’état.

Monsieur le president en resumé il est bon de penser avec le coeur et non pas laisser le coeur n’etre qu’une pensee.

En vous souhaitant bien du courage, veuiller recevoir cette fois ci comme il se faut, mes salutation de bonne année.

NB: puissiez vous etre assez clair-voyant pour comprendre que la bataille d’Hernani a eut lieu: la virgule appartient aux artistes. Ainsi les 1/3 des benefices attribués aux salariés, devraient etre le mecanisme par lequel ce qui va au-dela de la decimale appartient a tous , soit ni a la banque, ni a l’entrepreneur; et que par consequent l’exercice comptable devrait toujours etre un nombre rond.

NB2: prochaine étape
” A PARTIR DE QUELLE TAILLE D’ENTREPRISE L’USAGE DES INVESTISSEMENT EST DEVOLU AU SALARIE ?

PATRICK RAKOTOASITERA

Rédigé par : patrick rakotoasitera | le 13 mars 2009 à 17:53

REPONSE RECUE LE 17 AVRIL 2009 DE MR CEDRIC GOUBET Chef de Cabinet du President :

Cher monsieur,

Le Président de la République a bien reçu votre courrier.
Monsieur Nicolas Sarkozy m’a chargé de vous remercier d’avoir souhaité lui adresser votre réflexion à laquelle vous pouvez être assuré qu’il a été porté l’attention requise.

DROIT ET DEVOIR, LIBERTE ET RESPONSABILITE?, certes…
Mais avant tout precisons le concept economique.

(extrait de l’univers des signes, les signes de l’univers, traitant de la question: qu’est-ce que l’art?;page 37 a 40, chapitre 4: ART ET AUTRE CONCEPT)

Si cette recherche reussit a dire, a montrer, a faire comprendre ou sentir ce qu’est l’art, le but sera d’evaluer le pouvoir de l’art, illusion ou non, sur le devenir, sur notre devenir.

Creuser les rapports que le concept d’art entretient avec les autres concepts devrait servir cette finalite, en optimisant l’apprehension des limites du concept, et en permettant de comparer les realites qu’il recouvre a des phenomenes comparables.

Ainsi, avons nous constates que lorsque l’artiste cree, sa creation est l’objet d’une perception de la part d’un public. L’oeuvre d’art, la creation est donc le support d’une transmission de message d’un emetteur vers un recepteur. Que le message ne soit pas percu, qu’il ait ete altere, d’une facon ou d’une autre, une communication s’etablit par le biais de l’art. Autrement dit, quel qu’indistinct, que nous apparaisse le concept d’art, il reste que, procedant d’un echange de signes, nous savons que l’art est un phenomene de communication.

Or, c’est en tant que les manifestation d’art usent d’un mode de communication specifique et engendrent des situations de communication comparables a d’autres situations de communication que nous pourrons mieux observer le concept.

Ainsi, quant a ce que nous pourrons considerer comme le dehors du concept, est-il envisageable de determiner les interactions qui lient l’art aux autres « instances de l’economie », jouant un role direct dans la communication des societes considerees. A savoir principalement:
la religion, la morale, la politique et le droit.

Comme nous nous appuyons sur un concept de communication a trois niveaux. Celui de la communication des biens et des services. Celui de la communication (ou circulation) des femmes ( vital pour les societes du neolithique). Et bien sure, troisieme niveau: celui de la communication des messages. Aussi, la mise en perspective de l’art avec la religion ou la politique, devrait nous permettre un appreciation au cours du temps de la maniere dont l’art et les « instances » plus specifiquement ideologiques influent sur la chaine economique de la production, la distibution et la consommation.

Notre recherche sera donc, egalement, l’occasion d’evaluer selon le type de societe consideree, de quelle facon la production domine l’economie, ou plutot comment la communication regit les modalites de la superposition de la « base economique » et des « instances ideologiques »

En effet, si la production de la vie materielle conditionne la vie sociale, la production est en retour strictement dependante de la vie sociale quant a sa perennisation.

La production des moyens de satisfaire les besoins vitaux ne se maintient pas de la meme facon en etat de guerre civile, par exemple.

Or la vie sociale, qui implique la coordination de l’action des individus de la societe, derive forcement du mode de communication d’individu a individu, d’individu a groupe, de groupe a individu et de groupe a groupe.

Ces constatations rapportees a l’univers des signes artificiels des societes, l’on concoit que l’univers des signes articiciels est la designation symbolique, du lieu, de l’espace ou se deploit la communication d’une societe; et qu’il permet presque idealement de rendre compte de la fausse opposition entre la production et les « instances ideologiques ».

Les outils, les techniques, et les produits qui decoulent de leur utilisation y existent en tant que signes artificiels crees par l’homme.

De plus, les echanges et le commerce des biens, et des services de la production participent a la circulation des signes, en ce qu’ils sont aussi un echange et un commerce de signes.

Rien ne sort de l’univers des signes artificiels. En fait , les rapports de force sont motives, de maniere comprehensible, par la maitrise de l’information et de la representation. Car la course a la propriete des moyens de production est egalement une course a l’appropiation d’une partie de l’univers des signes artificiels d’une societe.

Notre recherche, en utilisant l’art a la maniere d’un revelateur, montrera, dans cette optique, comment au fil des siecles, cette « instance de l’economie » a servi la maitrise de l’information, dans le sens d’une adequation, quasi-parfaite,de la propriete des moyens de production et de l’ensemble des signes artificiels.

Et comment en devenant ART, cette « instance » a cherche a se desolidariser des autres « instance ideologiques » pour que la maitrise d’une partie determinee de l’univers des signes artificiels, n’implique pas une maitrise totale de la communication.
extrait de la 5eme partie de l’univers des signes, les signes de l’Univers, intitule: MONTEE DE LA FACE CACHEE DU MONDE: brouillon du dernier chapitre numero 10 : ART ET ALTERNATIVE ( refondation du systeme bancaire et financier internationnal)

Comme on l’a vu dans la 2eme partie de l’univers des signes les signes de l’univers, chapitre II: ECRITURE: INSTRUMENT COMPTABLE ET RELIGIEUX AUX MAINS DES SCRIBES ET DU PHARAON (voir dans la galerie: L’allegorie du secret du pouvoir de l’ecriture), l’utilisation de la monnaie, prolongation du verbe divin aseptise de sa dimention esthetique, tend a etre l’intermediaire entre les echanges de biens et de services, au profit d’une societe pyramidale, dont elle mesure les valeur en se voulant elle meme valeur parmi les valeurs, lorsque le pharaon cherche a s’affranchir de la tutelle economique et religieuse des scribes, defenseurs du secret de l’ecriture et de la cohesion de l’univers des signes.

Or, jadis comme actuellement, c’est l’art qui regule la stabilite de la masse monetaire, ou la masse de l’univers des signes, en se situant a la peripherie de notre univers de signe, la ou il y a echange avec les signes de l’univers qu’il decode dans le sens d’une harmonie entre culture et nature, communication et moyens de production

Et, chaque fois, au cours de l’hitoire, qu’il y a eu un reajustement meurtrie dans l’ordonnance des concepts, cela a coincide avec l’epuisement des moyens de production et une economie ou la transparence de l’offre et la demande est devoyee par le mensonge, l’intrigue et la trahison.

L’equilibre de l’univers de signes humain,retrouvant sa souverainnete par la creation de lois artificielle assez ferme pour, au-dela des idees, des strategies, des illusions et des erreurs des dirigeant, defendre la liberte de l’individu, fut-il le seul a beneficie de cette liberte comme dans le cadre juridique d’une tyranie.

Ainsi, toutes politique economique visant a garantir l’existence effective pour la majorite des etres des valeurs supreme (l’amour, l’amitie, la fraternite) devrait fonder l’assise monetaire sur le plus petit denominateur commun de l’univers des signes.

A ce jour, il me semble a vue de nez que le plus petit denominateur commun de l’univers des signes humain, c’est le BITS, la plus petite unite de valeur de la sphere vituelle dont l’existence aura ete un facteur determinant dans l’eclatement du concept d’economie virtuelle.

Veuillez agreer l’expretion de mes sentiments distingues monsieur le president de la republique.

nota bene: droit et devoirs, liberte et responsabilite, oui mais a la seule condition d’une egalite entre les etres et pour cela la requalification de la notion de personne et la protection du tier de celle-ci, a savoir sa masse monnetaire dont l’ideal serait qu’elle ne soit pas assujetie a la raison pure.