Messieurs pensez-vous que la guerre de Syrie laissera place aux accords de Shangaï, lorsque les martyrs d’Idlib seront tous morts ,enchainés, violés ou torturés dans les prisons de l’armée loyaliste de Bachar el Hassad ? Pensez-vous sérieusement que la mort de mes guerriers signera l’avènement du nouveau monde que vous esperez tous ?

Soyez assurés que non ; le silence médiatique sur ce nouveau massacre n’empêchera pas mes sens d’être assaillis par les cris de ceux qu’on assassine. Et lorsque mes sens sont irradiés de douleur, à l’acmé de mes pleures , les oiseaux me répondent, les feuilles des arbres tremblent ; certain disent que je suis un Homme-Oiseau, d’autres ont découvert mon nom mystique; mais toujours et de jour en jour, mes capacités croissent à mesure que les consciences s’éveillent.

Quel rapport avec ce qui a lieu actuellement à Idlib me direz-vous ? Simplement que je suis un chaman qui ressent les courants chtoniens et ioniens de la Terre, et elle est douée de synesthésie la Terre. Aussi quand bien même les américains penseraient que le climat se maitriserait avec des boutons comme une centrale nucléaire ; ayant suivi de près cette affaire pour en avoir été l’un des cobayes, à ces américains je dirais que cette arme de destruction climatique dangereuse, seule la Terre peut en jouir, car seule la Terre quand les civilisations arrivent au point culminant de leur maitrise technique décide du sort des Hommes.

Dieu, Lui, accorde aux justes la maitrise de certains éléments climatiques. En moi, cela est les spirales mystiques, la grande Géométrie à laquelle accède la conscience comme si elle touchait un plafond de verre dont chaque point qu’elle impacte la relie au centre de la Terre; faudrait-il encore parler de la Mathématique Symbolique qui ne se suffit pas à elle même s’il est question uniquement  de parler des nombres qui structure l’Univers car comme l’arbre est conscient et communique biochimiquement avec les êtres qui l’entourent, l’Univers jouit en son coeur d’une conscience qu’il partage avec les planètes, et les planètes aussi étrange que cela puisse paraitre rendent compte à ce coeur conscient, cette force invisible mais partout présente, de l’action des êtres qui les peuplent.

Or, croyez-moi, je peux faire des ravages,et comme vous chinois et américains vous êtes mal comportés sur le champ de bataille ( les américains pour avoir abandonné le Kurdistan et ne pas avoir poursuivi l’Etat-Islamique dans le desert) , il est fortement probable que l’année prochaine je décide d’accentuer la force des cyclones qui ont ravagés vos terres cette année.

A moins que l’armée des 30000 hommes chinois déployés en Syrie ne sécurise les abords d’Idlib, et interdise à tous assaillants d’approcher sous peine de mort.

Aux russes, je dirais seulement que belle technologie ne rime pas avec belle idéologie. Vous faites la guerre tout azimut et la population russe , tôt ou tard, se révoltera comme lors de la grève des usines « rako », il y a de cela un temps que les moins de vingt ans ne doivent pas ignorer. Comme le fait que nous sommes proche d’une nouvelle explosion atomique d’origine inconnue, telle que celle qui eut lieu avant la première guerre mondiale. Cette fois, également en Sibérie , mais en visant le tombeau de Genghis Khan et de ses descendants. Au moins alors,les chamans qui dorment verraient les écailles toutes tomber de leurs yeux embués.

Mes peuples, créez les routes de l’espoir au lieu que d’accentuer la déroute désespérée des peuples du monde.

         PATRICK RAKOTOASITERA

LETTRE DU PRESIDENT HONNORIS CAUSA DE L’AFRIQUE AUX AMERICAINS, AUX EUROPEENS , AUX AFRICAINS , AUX ASIATIQUES ET AUX ORIENTAUX

Une guerre interétatique au sein des institutions des Etats-Unis, opposant le Président américain  à une partie de l’establishment américain dont les activités de l’ombre seraient d’utiliser les données des grands acteurs de l’internet pour consolider l’emprise mentale sur les consommateurs-citoyens par le biais de pressions exercées par la CIA – Cette guerre intestine qui devrait voir aux Etats-Unis plus de deux mille personnes proche de la CIA arrêtées sous l’impulsion de Donald Trump, est-elle la première grande victoire de cette conscience collective émergeante, en ce début de XXIème siècle, au quatre coins du continent commun que représente internet ? Ou est-ce une « fake news » ?

Au sein de cette conscience collective d’internet, chacun de ses animateurs semble avoir ses propres concepts pour désigner l’entité juridique, militaire et financière qui cherche à manipuler le cours de l’Histoire de nos nations en développant des tactiques de corruption des élites, en fomentant des meurtres, en alimentant et en suscitant des conflits armés,  en finançant ses activités par la production à grande échelle de drogue en tous genres, et par une participation active aux grands flux financiers du monde.

Certains qualifient cette entité de «  mafia Khazarienne », d’autre d’instance judéo-chrétienne dite des « illuminatis ». Je ne me prononce pas sur le sujet. Je n’ai pas de preuves ni de pistes suffisamment intéressantes dans un sens ou un autre.

Il demeure, du côté occidentale, que cette entité judiciairement, financièrement et militairement solidaire est constituée de députés américains, de sénateurs, d’industriels et de grandes familles possédante, tous liés par choix, par force ou par chantage à la très sulfureuse agence de la CIA.  En revanche, l’assaut du siège du quartier général de la CIA, à Langley en Virginie, par les marines, qui aurait eu lieu le samedi 18 novembre 2017, est une « fake news ». Les hélicoptères des marines auraient seulement survolé longuement le quartier générale de la CIA , pour en intimider les dirigeants, il y a maintenant deux semaines.

En fait, sans pouvoir jusqu’à présent le prouver, Donald Trump soupçonne la CIA de détenir des centaines de laboratoires de production de drogue à travers le monde, qui servent à financer ses activités militaires en parallèle du fonctionnement connu du complexe militaro-industriel américain, et quelque soit la tendance politique du président élu. Plus certainement, il cherche à mettre un terme aux enquêtes de la CIA sur son entourage proche, et pourrait se servir du ressentiment d’une partie de l’armée américaine contre la CIA et notamment son rôle trouble en Syrie où l’agence est soupçonnée d’avoir contribué à l’émergence de l’Etat-Islamique.

Tactique politique d’un président menacé ?  Donald Trump , après avoir destitué  le chef de la CIA, poursuit son but de purger l’Amérique tant de son fonctionnement hollywoodien marque de sa domination culturelle sur le monde, que de ses minorités immigrées, et de ses institutions, sans dire, si il y parvient, ce qu’il fera des programmes institutionnels américains d’écoute et de manipulation mentale des citoyens américains et des masses mondiales.

Sur le plan international, Donald Trump, si l’opposition de la Chine et de la Russie l’empêche de déclencher une guerre contre la Corée du nord, devrait jouer un rôle clef au Moyen-Orient, après la clarification de la politique israélienne des Etats-Unis et après l’officialisation du rapprochement entre Israël et l’Arabie Saoudite. Comme si le clan sunnite, après avoir échoué à imposer en Syrie un changement de régime, et après la mise en minorité de l’Etat-Islamique, voulait poursuivre la guerre contre les chiites, en cherchant une nouvelle alliance dirigée directement contre l’Iran ; alliance pour laquelle l’engagement américain dans un sens ou un autre sera décisif …

Charge revenant à la France de tempérer les velléités guerrières de chacun, tout en sachant que le grand krach boursier qui pourrait survenir en 2018 , les banques centrales du monde , du Japon aux Amériques , ayant inondé leur marché d’argent peu cher qui a favorisé la dissémination de bulles spéculatives dans le monde, ce krach pourrait augurer un renversement monétaire planétaire auquel les chinois se préparent, les BRICS cherchant à supplanter la monnaie mondiale qu’est le dollar , par une réorganisation des circuits de production de l’argent à l’échelle mondiale.

Ce grand chambardement est possible. Il pourrait intervenir après que l’union européenne et l’union africaine auront mis en déroute les circuits de financement et de blanchissement de l’argent de la traite humaine des vagues d’immigration des africains vers l’Europe. Car les circuits incriminés devraient impliquer des réseaux organisés s’étendant de l’Afrique à l’Europe et jusqu’au Moyen-Orient.

Or, il s’agira de savoir si cette nébuleuse mafieuse coïncide avec les réseaux saoudiens démantelés par Mohamed Ben Salman, le futur roi d’Arabie Saoudite qui est l’artisan de la réorientation idéostratégique de l’Arabie Saoudite. La purge de l’état visant des personnalités proche du mouvement d’expansion du Wahhabisme rigoriste, et des familles liées à l’attentat du 11 septembre – augure, il faut l’espérer, un tarissement des financements des «  prêcheur-voyageurs » ayant assombri les lumières du Coran ; et une mise en échec des circuits indirect de financement du terrorisme.

Mais le Président français, s’il va jusqu’au bout de sa démarche d’éradication des réseaux de passeurs et de trafiquants d’êtres humains en Afrique, devra rendre compte des mouvements financiers de l’Europe ayant servis à s’attacher les services des libyens pour qu’ils «  prennent en charge « l’émigration clandestine.

Comme il devra, après le 5ème sommet de l’union européenne et de l’union africaine, réfléchir sur la portée de la responsabilité des accords commerciaux entre l’Europe et l’Afrique, car ils pénalisent le secteur agricole traditionnel africain mis déloyalement en concurrence avec les surplus subventionnés de la production agricole européenne ; ce qui paupérise les populations africaines et est devenu, avec le réchauffement climatique, un facteur essentiel de la migration de la jeunesse africaine dans les régions agricoles ruinées.

Le mouvement mondial de décolonisation des monnaie, chaque pays ou groupement de pays devant avoir une banque centrale créant sa monnaie libérée de l’emprise du système bancaire international, est possible et peut-être en cours. Russie en tête, les BRICS y sont favorable. La guerre intestine au sein des institutions américaines en précipitera peut-être l’avènement. L’effondrement attendu des réseaux politiques liés – aux Etats-Unis, en Europe, en Amérique latine, au Japon, au Moyen-Orient – aux évènements qu’a connu le monde depuis bientôt vingt ans en est peut-être les prémices.

Comme au Venezuela où la rente pétrolière a généré 1747 milliards de dollars entre 1998 et 2013, et une fuite sans précédant de capitaux vers l’étranger, expliquant en partie l’impasse financière dans laquelle le Venezuela se trouve, L’Afrique sera confrontée à des difficultés identiques tant que le système financier africain ne sera pas doté d’une banque centrale et d’une monnaie indépendante et attractive.

D’ailleurs, après s’être dotés de satellites en télécommunication qui ont désenclavé l’Afrique et rendu possible des communications vers l’Afrique à moindre cout ; je ne saurais trop conseiller aux dirigeants africains de s’entendre pour récupérer les 35 milliards de dollars (estime-t-on), saisis par les Etats-Unis lors de la destitution de Kadhafi. Car ils avaient été prévus pour servir de réserve à la future banque centrale africaine.

En Asie où les tensions territoriales et ethniques sont nombreuses, les hommes et les femmes ayant conscience du danger que fait peser sur la stabilité du monde la rivalité entre acteurs militaires et économiques régionaux, auront soin de faire savoir que l’établissement d’un droit social universel conférant des devoirs des institutions envers chaque citoyen, ne peut être propagé en Asie sans que les cambodgiens, les habitants du Laos, les indonésiens et tous les autres pays de l’Asie du sud-est, ne cherchent conjointement à tempérer les relations entre la Chine et les Etats-Unis, si le président américain venait à déclencher une guerre de représailles contre la Corée du nord.

Justice, paix, famille, dignité de l’être humain, respect des populations autochtones et des richesses de leurs territoires, seront les missions de l’Asie, si les bouddhistes restent fidèles à l’esprit de Gandhi concernant la rencontre et la coexistence des peuples entre eux.

Pour les peuples religieux du Moyen-Orient et de l’Occident, l’enjeu sera de ne pas céder à l’inclination maligne qui consiste à agir en fonction d’un scénario messianique apocalyptique qui impliquerait que les partis en présence ne soient mêmes plus capable (s’ils ne l’ont jamais été) de respecter les accords de guerre et les conventions de Genève.

Car parallèlement à cette purge mondiale qui semble devoir concerner chaque bloc rival, au terme du processus enclenché le Tribunal Pénal International sera à même de recueillir les nouvelles preuves lui permettant d’avancer dans ses dossiers européens et africains notamment. Sachant qu’une procédure sera lancée contre le clan Hassad, conjointement à son affaiblissement sur la scène de l’Isthme syrien, si les preuves soumises à l’examen récemment sont congruentes.

Les citoyens du monde doivent savoir qu’une guerre de grande ampleur doit être évitée, et que le personnel de la Cours Pénale internationale et moi-même à mon niveau, nous œuvrerons pour baliser juridiquement le carrefour financier qui permet à n’importe quelle grande société morale de piller, où elle le décide dans le monde, les ressources de la Terre. Cela augurant pour la COP 25, la réalisation attendue de l’institution juridique s’occupant des crimes climatiques ou écologiques.

« L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort ! «   a dit un jour Thomas Sankara.

                         PATRICK   RAKOTOASITERA

 

La récente entrée en guerre, « officialisée » à l’ONU par Poutine, de la Russie sur le théâtre Syrien ne fait qu’accroitre les risques de combat potentiels entre l’aviation russe, syrienne et celles turque,israélienne, française et américaine.

La Turquie récemment vient de rappeler à l’ordre l’aviation russe qu’elle a accusée d’avoir illégalement survolée son territoire. Erdogan semble même avoir laissé entendre qu’une nouvelle intrusion ne serait pas sans conséquences… L’aviation israélienne qui manoeuvre elle aussi au-dessus de la Syrie semble, quant-à elle,  coordonner ses opérations conjointement avec la Russie , afin d’éviter tous accrochages, depuis un certain temps. Et les récentes rencontres entre Poutine et Obama, faute de position commune relative au maintien au pouvoir de Bachar-el-Hassad, annoncent un futur fragile statut quo entre les armées de l’air de leur deux pays, à défaut d’une détermination d’objectifs communs dans le choix des cibles à bombarder.

Car, jusqu’à présent si les Etats-unis déclarent avoir surtout bombardé les positions de l’Etat Islamique ( et ce n’est pas faute sur ce site d’avoir pu déclarer à quel point les opinions publiques occidentales ne devaient pas être dupe de frappes aériennes américaines restées étrangement inefficaces) – à contrario, les premiers rapports sur les cibles visées par l’aviation russe semblent montrer que Poutine poursuit la même stratégie que Bachar-el-Hassad.

De même que le président syrien avait en 2012 libéré des milliers de combattants djihadistes de ses pourtant funestes centres de détention, dans le but de renforcer le courant islamiste sunnite radical, afin qu’il entre en concurrence avec l’ALS ( l’armée libre de syrie ) ; ce dont aura profité à plein l’Etat Islamique en 2013 , lequel , composé de djihadistes lybiens, irakiens, internationaux et syriens n’aura eu de cesse de combattre toutes les factions armées islamique moins radicales, et aussi les kurdes du nord de la Syrie, en cherchant à éradiquer l’ ALS, armée libre de Syrie,  laquelle seule , pourtant, semble en mesure d’apporter une alternative démocratique en Syrie en cas de renversement de Bachar-el-Hassad … or, de même  l’aviation russe semble maintenant elle aussi s’acharner contre l’Armée Libre de Syrie, quand 3 russes sur 4 qui , interrogés, disent soutenir l’action de leur armée en syrie, ignorent aussi certainement que leur pays ne combat pas des islamistes radicaux ( Daesh ou l’Etat Islamique ), mais bien ces citoyens syriens qui avaient pris les armes en 2011 , après que Bachar-el-Hassad ait réprimé dans le sang ce que l’humanité gardera en mémoire comme le « pringtemps des peuples arabes ».

Bachar-el-Hassad vient de déclarer combien l’aide russe est substantielle, au moment où son armée, l’armée dite maintenant loyaliste, qui comptait plus de 300 000 hommes en 2011, a subi la défection de quantité de ses soldats sunnites ayant fui pour rejoindre l’ALS, l’armée libre de Syrie ou les diverses factions islamistes , tandis qu’elle ne contrôle plus qu’1/3 du territoire, principalement situé à l’ouest de la Syrie ; quand l’Etat Islamique contrôle le nord-est, et que grosso modo l’ALS, l’armée libre de Syrie est comme coincée entre ces deux armées dans le puzzle syrien. Or, les bombardements massifs russes, s’ils cherchent à supprimer toutes positions de l’armée libre de Syrie, autour de leur base navale de Tartous, stratégique dans l’hypothèse d’un conflit mondialisé, car elle offre à la Russie une ouverture sur la mer Méditerranée qui lui permet un accès aérien complémentaire avec le port de Crimée, situé plus au nord , au sud de l’Ukraine, port lui aussi stratégique où réside une importante flotte russe … L’armée loyaliste de Bachar-el-Hassad, devenue majoritaire en recrue chiites alaouite, composée aussi de chrétiens que Bachar-el-Hassad a ralliés à sa cause en agitant le spectre du radicalisme religieux islamique; armée formée également d’un contingent libanais du hezbola ; et dit-on de 30 000 combattants iraniens : cette armée est à la veille d’une capitale offensive sur Homs contre l’armée libre de Syrie, dont l’imminence suppose que les russes , fidèles en cela à leurs pratiques militaires,  laminent le terrain ennemi de bombes : dans l’immédiat , la réalisation de ce projet est ce qui risque au plus au point de provoquer une réaction en chaine désastreuse.

Il suffit pour une raison ou une autre, qu’un accrochage survienne entre l’aviation russe et celle du camp occidental et la guerre mondiale pourrait survenir… A peine au moment où les opinions européennes viennent de se réveiller, l’esprit  tout décillé de rêve de meilleur confort matériel, lorsque l’afflux historique de ces milliers de réfugiés venus de Syrie, d’Irak et d’Afghanistan est venu perturber leur bel été. Car ici non plus, l’opinion publique ne sait pas vraiment que depuis que le conflit ukrainien a commencé, les armées terrestres, navales et aériennes de l’Europe en général et de l’Otan en particulier n’ont cessées d’être sur le qui-vive , et de procéder à des exercices commun sur le sol européen et jusqu’en Arctique , lors desquels il aura été question de mesurer l’inter-polarité des armées entre-elles. Quand de son côté la Russie procédait à des exercices comparables.  Et que la Chine dépendante du pétrole du Proche et Moyen-Orient plus que les Etats-unis, au point d’avoir acheter un port important de la région afin de compléter son maillage maritime terrestre, s’offusquait du récent changement de la constitution nippone, autorisant désormais  l’armée japonaise à intervenir sur des conflits extérieurs… Comme si toutes les chancelleries voulaient se préparer au pire… Triste époque… En France, les curieux n’auront manqués de remarquer l’insistance des publicités de l’armée lovées discrètement mais insidieusement jusque dans les sous-verres de certaines tables des cafés que fréquentent les recrues potentielles…

à suivre

les Etats-Unis sous couvert de l’Otan peuvent maintenant menacer Poutine si la Russie devait aussi s’en prendre à la Turquie, en prétextant que celle-ci est membre de l’Otan : il est un peu tard et comme cela serait le palier ultime franchi par les partis en présence vers un conflit mondiale, vraisemblablement cela devrait rester une pure conjecture, à l’instar de la fameuse « ligne rouge » brandie par Obama, franchie allègrement par Bachar-el-Hassad , et jamais suivie d’effets ! Car stratégiquement, il eut fallu, dès lors qu’à l’été 2013 les attaques chimiques de Bachar-el-Hassad contre sa population furent avérées, ne pas tergiverser, prendre l’initiative alors que la présence avérée de l’armée russe sur le terrain n’était pas encore officielle, et ne pas craindre de frapper les centres de commandement de l’armée syrienne, comme s’apprêtait à le faire la France avant le recul américain. Mais décidément : les atermoiements de Barack Obama, le manque de lisibilité de sa politique au Proche et   Moyen-Orient, son incapacité à y décrypter là le potentiel explosif de la région si les Etats-Unis avaient décidé de s’en désengager militairement : la conjugaison de tous ces facteurs ont conduit au si périlleux cumul actuel des armées ennemies dans la poudrière de l’isthme syrien… et les récentes tergiversations diplomatiques sur une nécessaire entente avec Bachar-el-Hassad pour combattre la nouvelle cible prioritaire de l’occident , l’Etat Islamique, risquent, si Poutine réussit son périlleux pari, de n’être pour les populations que l’annonce de leur futur martyre,rien de moins que la légalisation par omission de leur extermination de masse ! :  la révolution syrienne devenant le tombeau des peuples pour reprendre une sentence prononcée  par un réfugié syrien.

Extermination de masse, le mot n’est pas trop fort, seulement descriptif d’une situation bien réelle au coeur du système judiciaire, policier, militaire, pénitentiaire et  » médicale » mis en place par Bachar-el-Hassad, hérité de son père et perfectionné par ses soins pour devenir une véritable machine de mort au sein de laquelle, à tous les échelons règne la peur, la délation, la corruption , et qui broie dans ses rouages opposants réels ou supposés au régime, militaires de l’armée loyaliste  compris, par le moyen de la torture de masse et l’assassinat délibéré et programmé, à ce tel niveau   de brutalité, d’horreur et de barbarie que n’avait plus vu l’humanité depuis  l’holocauste, les crimes des Khmers rouges , les purifications ethniques en ex-Yougoslavie, ou en 1994, depuis le Rwanda…

Les opinions publiques des divers camps ne doivent plus se leurrer, l’humanité toute entière doit se sentir concernée et se mobiliser, manifester sa désapprobation auprès de son gouvernement face à l’horreur bien réelle de la dictature syrienne, parce que si nous fermions les yeux, demain l’ensemble des gouvernements pourraient, peu ou proue, élever encore d’un degré le niveau de leurs mesures coercitives à l’égard de leur population, incités par une communauté internationale atone, impuissante, divisée, et des citoyens résignés que ne semblent pas concerner les preuves de l’horreur.

Car des preuves il y en a. Elles sont connue de l’élite internationale depuis 2014, quand jusqu’alors seules les organisations des droits de l’homme avaient dans leurs rapports rendues compte de la possibilité de l’existence d’un système d’emprisonnement, de torture et d’exécution sommaire des détenus organisé par le régime de Bachar-el-Hassad. Or, plus aucun doutes n’est possible depuis les révélations et preuves apportées par l »opération César », nom donné à l’opposant, ancien militaire du régime de Bachar-el-Hassad chargé de 2011 à 2013 de photographier les cadavres mutilés des opposants , afin que le régime, à l’instar du mode de fonctionnement du système concentrationnaire nazi en son époque, archive les preuves des résultats d’une politique d’extermination de masse commanditée, dirigée et orchestrée au plus haut niveau de la machine d’état. Archivage administratif duquel, au péril de sa vie, César a extirpé 45 000 photos présentant des corps de soldats, des civils tués et des milliers de détenus morts ayant subis sévices et tortures dans les centres de détention syriens ou les hôpitaux reconvertis en lieux d’assassinat pour détenus blessés ne pouvant plus demeurer dans les prisons ou centres de détention…

En fait depuis 2011, sitôt après le début des manifestations pacifiques organisée par le peuple syrien, Bachar-el-Hassad a mis en place une Cellule centrale de gestion de crise, réunissant conjointement ses chefs des forces armées, ses ministres de la défense et de l’intérieur, ainsi que des hauts responsables des services de renseignements. Chargée d’évaluer l’évolution quotidienne de la situation en Syrie, cette cellule centrale requière l’aval de Bachar-el-Hassad pour toutes ses décisions, c’est elle qui donne ses ordres au Bureau de la Sécurité nationale. Or ce bureau est l’organe centralisateur de l’action des chefs des comités de sécurité locaux, disposant d’antennes et de milices qui ont organisées la répression et l’arrestation de masse des manifestants syriens aux premières heures de la révolte sur tout le territoire. Ces comités agissent en coordination avec la police et l’armée, en ayant des prérogatives sur elles. Et ils fonctionnent avec les services de renseignement syrien divisés en quatre sections : la Sécurité militaire, la Sécurité générale, la Sécurité politique et la sécurité aérienne maillant le territoire syrien de branches centrales situées à Damas, se ramifiant en branches régionales dans les provinces, puis en branches locales dans les villes du pays. Or chaque branche disposant de centre de détention de taille variées, on ne s’étonnera pas que les milliers de suppliciés exécutés en Syrie  soient passés par ces services. Alors que l’opinion internationale doit s’alerter de ce qu’environ 150 000 personnes gonflent sans doutes encore les cachots insalubres de tous ces centres de détention et soient menacés de mort, comme il ne fait plus de doutes que le système d’état instauré par Bachar-el-Hassad, primitivement utilisé par son père comme un organe de contrôle, de répression et de torture en vue d’instiller la peur de désobéir dans toutes les couches de la société syrienne , se soit transformé depuis 2011, en un système d’élimination massif des opposants, que la torture n’a plus pour but de brimer, mais bien d’assassiner !

Les témoignages recueillis parmi les rescapés ayant pu fuir la Syrie, font état d’un système d’élimination où les hôpitaux publics dès les premiers mois de la révolution sont devenus peu sûr pour des manifestants blessés amputés sans raison, abandonnés à la mort par absence de soins, des hôpitaux désertés par les vrais médecin préférant exercer dans la clandestinité au péril de leur vie. Hôpitaux comme celui ,militaire, de Mezzeh, situé au pied de la colline où se trouve la garde présidentielle de Bachar-el-Hassad, le tristement célèbre hôpital 601, que les syriens redoutent maintenant, où sont achevés les détenus blessé ou malades provenant des centres de détention alentours, et dont le hangar a servie de morgue improvisée où les morts des centres de détentions entassés , de plus en plus nombreux au fur et à mesure de l’avancée de la guerre, étaient et sont peut-être encore photographiés et numérotés avant de rejoindre la fosse commune…

Je ne détaillerai pas ici les diverses tortures infligés aux détenus du régime syrien, l’ouvrage stupéfiant, horrifiant et pourtant si nécessaire de la journaliste indépendante GARANCE LE CAISNE : « Opération César » recueillant le témoignage lui-même du photographe César et de différents rescapés des geôles syrienne est à lire pour qui est désireux de savoir . Sinon certaines des photos qui seront prises en compte à la cours pénale internationale (espérons-le) sont sur le site : http://www.safmcd.com  et sont lisibles les rapports réguliers des organisations des droits de l’homme syriennes et internationales sur les sites suivants : Human Rights Watch. http://.hrw.org/fr/

Amnesty International. http://www.amnesty.fr/

Violations Documentation center. http://www.vdc-sy.info/index.php/en/

et Syrien Network for Human Rights. http://sn4hr.org/

 » L’esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l’amitié le console » a dit Shakespeare. Je dirais pour ma part : la Barbarie ne justifie pas la Barbarie, elle justifie la Justice !

 

PATRICK RAKOTOASITERA

 

 

 

 

 

 

Monsieur le Président de la république, François Hollande;

Monsieur le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius;

Alors que demain 2 juin se réunira à Paris la coalition des 22 États participant à la prétendue guerre contre l’état Islamique, allez-vous enfin dire la vérité sur le double-jeu des Etats-Unis à l’égard du mouvement djihadiste international , dont il ne fait plus de doute qu’il aura été créé et favorisé par la première puissance mondiale, avec l’aide de la Turquie et de l’Arabie Saoudite notamment, dans le plus total déni, le plus grand secret et sous couvert d’une désinformation des populations occidentale ?

Le Judicial Watch a en effet publié en mai dernier d’important documents déclassifiés provenant de la Defense Intelligence Agency , datant de 2012, dans lesquels on peut lire que les Etats-Unis étaient clairement prêt à favoriser le « Califat Salafiste » ayant émergé en Irak le 29 juin 2014, pour le faire s’étendre jusqu’à la Syrie, où l’implantation d’un « Etat Islamique » était souhaité à l’est , dans une visée double : étouffer l’armée de Bachar el Hassad et, en coupant la « route de la soie » qui reliait l’Iran à la Méditerrannée, contrecarrer du même coup les visées stratégiques de l’Iran dans l’Isthme Syrien. Ce avec le soutient de Erdogan qui récemment a menacé de représailles lourdes le journal turques ayant suggéré qu’Ankara , dans le secret absolu, ravitaillait en armes l’ « Etat Islamique » par convoi entier de camion soi disant humanitaires. Ce qu’avait déjà dénoncé un médiat allemand , dont sur mon site j’avais relayé les soupçons  maintenant confirmés. Alors qu’il y a lieu de penser que ce soutient est non seulement logistique , mais également que les services secrets  Turques , depuis trois ans , favorisent le passage sur le sol turque, et via sa frontière , des candidats internationaux au djihad qu’ils font passer clandestinement en Syrie. Tandis que la nébuleuse des organisations islamiste sunnites , Al Nosra en tête , aura été largement arrosée par les pétro-dollars des Monarchies du Golfe, selon une entente secrète téléguidée par les experts militaires américain , lesquels auront dessiné ainsi les contours d’une nouvelle stratégie militaire peu coûteuse. Celle-ci aura consisté à participer à l’acheminement aérien de force combattantes djihadistes, au largage de ravitaillement en tous genres, alors que publiquement Barak Obama soutient qu’il mène une guerre contre ces même factions militaires coalisées qu’il aura favorisé, reprenant à la lettre la tactique du « chaos  » et du remodelage géographique  par la guerre, initié par les républicains et Bush en particulier, mais là à peu de frais comme il s’agit d’une guerre par procuration. Cette stratégie militaire où l’idéologie et le fanatisme des uns évite l’implication armée directe des autres , et peut être transportée et appliquée à n’importe laquelle des régions du monde où l’islamisme peut faire rage , Afrique en tête – devrait, justement être débattu à mot couverts demain à Paris… .

Alors Monsieur le Président, Monsieur le ministre des Affaires Etrangères , allez-vous publiquement dénoncer les manigances de Washington qui n’auront fait que fragiliser les populations de l’Isthme Syrien et contribuer à l’éradication des chrétiens du Proche et du Moyen-Orient , en profitant notamment de la fureur naïve des jeunes français que le djihad a tenté, dont demain il s’agira de décider du sort; puisque les nouveaux accords entre Hassan Rohani et washington, stipulent à la demande express  de l’Iran que l' » Etat Islamique » soit éradiqué avant fin juin , comme préambule à tout accord régional ?

La France , Monsieur le Président est-elle condamnée à voir sa diplomatie raillée et décrédibilisée par une position absurde ? Vos services sont-ils si défaillants , car vous ne pouvez pas ne pas avoir été informé de la tenue en janvier 2014 ,d ‘une séance secrète  du Sénat  américain dont l’objet ( le plan Wright) aura été de planifier en la ratifiant la futur création d’un « Kurdistan  » et  d’un « Sunnistan » débordant sur les territoires de la Syrie et de l’Irak ? Les rapports également de l’armée françaises n’ont pas manqué de vous faire savoir que la coalition internationale ne faisait pas vraiment son travail, les frappes aérienne orchestrée par Bachar el Hassad sur le sol syrien étant jusqu’à « dix fois » plus nombreuses contre l' »Etat Islamique », son aviation étant pourtant dix fois moins importante que celle de la coalition ?  Et pendant que l »Etat Islamique » avançait , jusqu’à contrôler la frontière turco-syrienne, jusqu’à de nouveau menacer le gouvernement de Bagdad,avec la chute de la stratégique capitale de la province sunnite d’Al-Anbar , le 15 mai, que ne disiez-vous mots ? Pourquoi ce silence coupable sur le double-jeu des Etats-Unis ? N’aurait-il pas fallut au contraire dénoncer la situation, ce qui aurait découragé nombre de jeunes français de s’engager dans un conflit où les combattants en plus d’avoir la cervelle lavée et manipulée, ignorent, en fin de compte, qu’ils se battent  pour leur ennemi juré ?

Les 22 membres de la coalition et les deux organisations internationales qui se réuniront demain, mesurent-ils bien les conséquences de cette stratégie militaire désastreuse ? Pour Bachar el Hassad il semble que son sort ait été décidé conjointement durant le mois de mai par l' »entente » revenue entre les Etats-unis et Poutine, sur le sujet  : le président syrien devrait terminer son mandat et la composition de son gouvernement sera débattue ultérieurement; tandis que l’opposition syrienne sera conviée dès la semaine prochaine à se réunir au Caire pour élire ses représentants ; quand une seconde formation sera réunie en Arabie Saoudite le même mois, ou en juillet; ce avant une grande conférence de la paix organisée au Kazakhstan, où devrait voir le jour sans doute une partition de la Syrie en deux Etats distincts, si d’ici là Bachar el Hassad n’a pas été renversé. Tout parait soigneusement planifié , cependant qu’en sera-t-il de l »Etat Islamique » ? Les Etats-Unis l’enverront-ils vers un autre théatre d’opération, tel la Lybie où déjà l' »Etat Islamique » vient recemment de faire chuter l’importante ville de Syrte ? Ou sera-ce bel et bien l’avènement d’un « Sunnistan » qu’on auréolera d’une nouvelle crédibilité médiatique , sur le sol syrien et irakien, après de nouvelles et veines exhortations de guerre réitérées contre l’ « Etat Islamique » , si le monstre militaire créé de toute pièce par l’Occident et les Monarchies du Golf se montrait moins instrumentalisable qu’il n’y parait, et plus véloce et furieux qu’on ne veut bien nous le faire croire ? Car les djihadistes internationaux auraient déjà atteint le nombre de 25 000 combattants?

Monsieur le Président que comptez -vous faire ? Car les français doivent savoir aussi que depuis plusieurs mois , sous l’égide de l’OTAN, la France participe à des opérations de coordination militaire aérienne, navale et terrestre , de plus en plus importantes en mobilisation d’effectifs ; opérations qui ont pour but d’anticiper un futur conflit entre l’OTAN et la Russie, que ne semble plus redouter les Etats-Unis et auquel l’Amérique se prépare vivement, comme s’il devait s’agir là du prochain volet de cette « guerre mondiale à épisode », auquel nous devrions assister, une fois le volet Syrien clos ou à demi-clos …

Monsieur le Président de la République, Monsieur le Ministre des Affaires Etrangères , alors que la France des banlieues semble se noyer dans le rêve islamiste, chaque jour un peu plus , quand aussi les militaires qui donneront leur vie pour la France ont le droit de savoir , quelles ressources diplomatiques , qui redonneraient voix à la France et modéreraient les décisions de guerre de tous bords , allez-vous déployer quand , en la matière, le secret ne peut plus, et ne doit plus tenir ?

PATRICK RAKOTOASITERA

http://patrick-rako.nuxit.net     ou http://patrick-rako.nuxit.net/couleur.htm

Alors que le monde célèbre l’apaisement historique des relations entre les Etats-Unis et Cuba, un évènement d’importance mondiale a eu lieu le jeudi 4 décembre que les médias n’ont pas relevé. En France, seule la radio R.F.I (radio france internationale) a mentionné une semaine après les faits l’importance de la loi « h.sr.758 » votée par la chambre des représentants américaine , le jeudi 4 décembre 2014, alors que cette résolution indique clairement qu’un palier militaire supplémentaire vient d’être franchi dans la nouvelle guerre froide que se livrent de plus en plus officiellement les Etats-Unis et la Russie.

L’histoire retiendra-t-elle cette date comme le point de départ de l’escalade armée du camp occidentale en vue d’une guerre ouverte à la Russie et ultérieurement à ses alliés ? Est-ce là la confirmation de la guerre mondiale que redoutent tous les médias alternatif d’internet qui en discutent depuis quelques mois, alors que les récents sommets en Asie et concernant l’Iran semblent indiquer un apaisement entre les Etats-Unis et ses ennemis potentiels , Chine en tête ?

A contrario des tentatives de conciliation du Président François Hollande et alors qu’un cessez-le-feu vient d’être acté entre la Russie et l’Ukraine , si la guerre devait reprendre entre le gouvernement ukrainien et les pro-russes de l’est de l’Ukraine , le gouvernement américain vient de se doter avec la loi « 758 » de l’arsenal juridique qui permet à Barack Obama de déclencher des opérations militaires d’envergure contre la Russie , avant même toute validation de la guerre par le sénat. Ainsi cette loi implique-t-elle un soutient militaire et logistique à l’Ukraine et parallèlement  l’intensification des mouvements armés américain sur le théâtre militaire géorgien dans lequel est aussi impliquée la Russie. Au cours des mois qui vont suivre Barack Obama devrait donc chercher à impliquer tout le bloc des pays de l’Otan en incitant les pays européens à déclarer officiellement la guerre à la Russie si l’escalade militaire s’intensifie. L’ancien prix Nobel de la Paix qui vient aussi de changer son ministre de la défense marque ainsi l’orientation spécifiquement plus militaire de la stratégie géopolitique américaine dont les élites militaires et économiques semblent désormais ne plus devoir redouter la possibilité d’un conflit global. De son côté Poutine prépare déjà son opinion publique à l’instauration d’un gouvernement de guerre d’exception qui suspendrait toutes élections démocratiques en cas de déclaration de guerre.

La première interrogation qui devrait être soulevée par tous les médiats tient à l’aspect financier de cette nouvelle guerre froide , car il semble que les Etats-unis et leurs alliés du golfe, Arabie Saoudite en tête soient en train de réitérer la pression contre la Russie qui a présidée à l’asphyxie économique de l’URSS lorsque les services secrets américains avaient calculés, avant la chute du mur de Berlin,  que le maintient de prix bas du pétrole pouvait pénaliser durement l’économie russe pour qui l’exportation d’hydrocarbure est essentielle, au point de contrarier le maintient de sa structure militaro-industrielle en Europe. Or si le pacte de Varsovie entre l’URSS et ses satellites prévalait qui empêchait toutes intervention armée directe des Etats-unis aux frontières de la Russie : la situation est toute autre actuellement , les satellites de l’URSS ont rejoint le bloc de l’Otan et la Russie voit à sa frontière directe tant la Finlande que l’Ukraine vouloir y adhérer également.

Sans qu’il soit question ici de justifier l’agression russe envers l’Ukraine à travers le soutient militaire aux population russophones de l’est de l’Ukraine qui aura été le déclencheur de la guerre, il est à remarquer que ce conflit a surgi dans le contexte plus générale d’une guerre pétrolière entre le bloc occidentale et la Russie dont l’Ukraine, parcourue d’un gazoduc principale fourmillant de gazoducs secondaires, est essentielle quant à la stratégie énergétique du premier exportateur mondial de pétrole et deuxième exportateur mondiale de gaz qu’est, à elle seule, la Russie.

Outre le fait que l’Ukraine de l’est soit le berceau historique de la civilisation russe du XIXème siècle, les infrastructures d’acheminement du pétrole et du gaz qui parcourent la région ne pouvaient échapper au contrôle de la « corporation », cette élite russe issue du KGB et de l’armée, d’une centaine de personnes, favorisée, gérée, entretenue par Vladimir poutine qui détiendrait à elle seule un capital estimé à 420 milliards de dollars , tout entier battit sur le commerce énergétique russe. D’un point de vue géopolitique le contrôle de cette région va de paire avec le contrôle au sud de l’Ukraine de la Crimée qui abritait déjà avec le port de Sébastopol, une flotte militaire russe de 16 000 hommes pour une quarantaine de bâtiments navals.

Aussi, quand bien même le gouvernement russe tait son implication militaire officiellement , les appelés et autres militaires signant une clause de confidentialité qui leur interdit de témoigner , il n’ est pas absurde d’estimer à au moins 50 000 milles hommes les forces placées ou qui seront déployées aux alentours de la frontière commune à l’Ukraine de l’est et la Russie. En fait , l’association des mères de soldats russes disparus semble indiquer que les activités militaires russes en Ukraine sont en proportion de ce qui peut avoir coûté en soldats 500 à 1500 hommes  à l’armée russe, depuis le début de conflit.

Autre pays directement frontalier de la Russie, et situé juste au nord de la Turquie : la Géorgie pro-occidentale est également entrée en guerre avec la Russie en juillet dernier, ce durant les jeux olympiques organisés par Moscou. Là non plus il n’est point  besoin de se demander qui a raison dans la guerre de propagande que se livrent le camp occidentale et russe pour accorder foi aux révélations savamment orchestrées par Moscou qui a décrit par le détail l’arsenal et l’aide militaire accordés à la Géorgie par  les Etats-Unis et Israël : car cette guerre aussi a pour enjeu le pétrole.

En effet, il s’agit d’y contrôler le pipeline « B-T-C » : celui-ci part de Bakou en Azerbaïdjan , traverse la frontière géorgienne pour passer à Tbilissi et aboutir à Ceyhan en Turquie. L’implication d’Israel en sous-main dans cette guerre se justifierait par la construction future de pipelines sous-marins transportant de l’électricité, de l’eau, du gaz et bien sûr du pétrole, depuis Ceyhan jusqu’à Ashkelon en Israël , dans le but de rejoindre le port d’Eilat , depuis lequel c’est le marché asiatique et de l’Inde en particulier que cela permettra de mieux approvisionner en hydrocarbure par navires citernes. Si le marché de plusieurs centaines de milliards de dollars justifie à lui seul cette guerre, la découverte récente de gaz en Méditerranée orientale aura également des répercutions sur l’indépendance énergétique israélienne, la mettant en position de force dans ses négociations avec l’Etat paléstinien … Mais ce que révèle son implication dans la guerre géorgienne dessine également derrière ces intérêts l’ombre des géants pétrolier occidentaux,  lesquels incorporent plus que jamais dans leurs stratégies commerciales le recours aux forces armées de leurs pays de référence ou de ceux qui leur sont alliés, quitte à instrumentaliser les médiats dans le but de cacher aux populations du monde leur rôle prépondérant dans les décisions de guerre.

Bien sûr ces guerres du pétrole  à moyen terme engendreront un conflit globale si la Russie ne s’effondre pas de l’intérieur avant , comme en 1989, et si dans un dernier sursaut de survie , elle réussie à embrigader l’axe chiite constitué par l’armée de bachaar el Hassad et l’Iran afin d’embourber les forces américaine une nouvelle fois en Irak et en syrie, pour soulager le front Ukrainien et Géorgien ; tout en cherchant à décider la Chine à aussi intervenir militairement dans la région . Stratégiquement ce qui seraient les prémices de la prochaine guerre du pacifique déclinée  cette fois sur un front intermédiaire (le moyen Orient) où il s’agirait là aussi d’embourber l’ennemi américain dans le but de contrarier son redéploiement en Asie… Cette hypothèse n’est pas audacieuse : elle est malheureusement en train d’advenir, quand bien même lors du dernier sommet eurasiatique la Chine a publiquement prônée la voie de la paix avec l’Amérique , signant avec elle un accord historique sur un programme de réduction commun des rejets de CO2 par les deux géants de l’économie mondiale. Quand bien même, également, le début d’accord entre l’Iran et le groupe des 5+1 , si encourageant soit-il ne montre-t-il peut-être avant tout que le recul iranien face à une guerre en domino qui a dors et déjà modifiée la carte du moyen-orient et menace de se poursuivre par une guerre directe avec l’Iran , dans laquelle serait impliquée Israel et tout le camp occidentale contre elle , au moment où après la constitution d’un front mondiale contre le front islamique viendra le temps de l’intervention terrestre.

Depuis le temps que les guerres durent au Moyen et Proche-Orient , les opinions publiques ont appris à y lire en filigrane des guerres idéologiques qui s’y déroulent l’enjeu énergétique qui les animent. Rappelons tout de même qu’il s’agit là de la première zone pétrolifère du monde. Qu’en Syrie un oléoduc stratégique passe par Homs et aboutit à Banias, qu’un autre passe par Tadmur pour aboutir à Tripoli au Liban et que plus avant, il longe l’Euphrate en Irak et que celui-ci est encore plus essentiel aux échanges d’hydrocarbure de la région. Et bien sûr qu’ils déterminent les positionnement militaires des factions de l’armée libre de Syrie, comme les déplacements de l’armée de Bachar el hassad, ou les opérations militaires de l’Etat Islamique en Syrie et en Irak. Que le bloc chiite est soutenu militairement par la Russie et l’Iran et le Hezbola libanais ; tandis que la multitude de forces islamiques à tendance sunnite jouit ou à jouit de la manne du Quatar et de l’Arabie Saoudite, tandis qu’au fil des révélations de quelques rares médiats, il semble que doive se poser le rôle pour le moins très ambigu du soutient des Etats-Unis à des forces djihadistes qu’officiellement l’Amérique déclare combattre.

En effet, très vite après la poursuite du printemps arabe en Syrie et l’état de guerre civile déclaré , il s’est déployé sur le territoire irako-syrien une multitude de groupes djihadistes outre l’armée libre de Syrie : les brigades haqq à Hama ; Ash-sham à Iddlib ; Tawid à Alep ; et Islam à Damas qui sont des entités autonomes, relativement coordonnées et avec une certaine inter-polarité de leurs armées entre-elles. Et il semble que l’attentat du 15 aout 2012 de Damas ait annoncé la montée en puissance de Jabbat al-nousra , l’entité djihadiste sunnite à l’origine de ce qu’on appelle maintenant l’Etat Islamique ou Daesh. Or, le territoire que l’on attribut à ce dernier qui s’étend de l’Irak à la Syrie implique que cette entité dispose d’un potentiel armé de 10 000 à 50 000 hommes  au moins , équipés de chars, d’unités de combats suffisantes pour soutenir des fronts multiples et couteux, d’une quantité de kamikazes potentiels suffisamment conséquente pour faire la différence lors des sièges de villes ou de bases militaires ; avec des zones de replis et de repos pour les combattants , ainsi qu’une capitale proclamée : Ragga , dont on ne sait finalement pas si y sont vraiment planifiés les combats de cette armées, comme celle-ci , à l’instar des armées de Napoléon ne semble avoir ni avant , ni arrière mais une sorte de ravitaillement central à chaque bataillon armé capable de se transformer en front avant ou front arrière selon le côté par où il est attaqué : le risque d’une telle stratégie d’attaque dans la direction de tous les points cardinaux étant à terme l’épuisement en soldats en cas d’enlisement  à l’est et l’ouest et le défaut logistique si conjointement à l’enlisement se mêle le bombardement aérien des routes d’approvisionnements.

Il apparait donc comme une évidence si l’Etat Islamique devait résister à la guerre que veut lui mener la coalition internationale, que cette armée jouit de soutient logistique insoupçonnés dont il s’agirait ,alors, de déterminer l’origine. En la matière un site internet est à mentionner qui avance des hypothèses si elles étaient vérifiés dont les Etats-Unis auraient à répondre un jour où l’autre. En effet, le site global research ( en français : mondialisation.fr) dont les articles internationaux généralement forts intéressants même si « légèrement » anti-américain en particulier , avance d’une part que ces mouvements djihadistes ont bénéficié à un moment au moins et pour l’acheminement de leur combattants sur le territoire syriens de la logistique aérienne américaine, pour ce qui est des combattants venus de Libye en tous cas. D’autre part, que selon les révélations d’un reportage allemand récent montrant des colonnes de cinquantaines de camions traversant la frontière turc pour une destination inconnue en Syrie, que la route qu’ils empruntent semble indiquer que leur provenance serait la base américaine d’Incirlik elle-même. Certes moi qui réclamait que cette base serve à contre-carrer l’aviation de Bachar el Hassad ( voir lettre ouverte à Hollande de l’époque) , je n’en demandais pas tant. Mais voyez-vous que cela puisse être le facteur déclencheur de la première phase de la 3ème guerre mondiale me révulse. Car Dieu sait ce qui peut arriver si pour survivre l’Etat-Islamique réussit à se doter de sytsème anti-aérien aussi performant que les S400 et S500  que la Russie a déjà vendus à la Chine par ailleurs … La rivalité multipolaire des géants du monde donnerait naissance à un nouvel empire islamique anti-démocratique , quand les printemps arabes avaient annoncés la naissance d’une conscience collective musulmane caractérisée par sa jeunesse et ses espoirs de créer un nouveau monde à travers l’instauration de nouvelles Démocraties …

(àsuivre)

Somme-nous à la veille de décisions irrévocables pour la stabilité du monde occidentale,voir du monde tout court , alors que les démocraties du vieux monde  toutes confrontées à un recul social perceptible par chacun, n’en finissent plus d’afficher impuissance, frilosité et manque de concertation, et pour maitriser les flux financiers qui leur échappent , et pour répondre à la résurgence de conflits traditionnels entre États, quand les analyses géopolitiques avaient montré l’augmentation de conflits non-traditionnels, localisables sur des territoires frontaliers, la plupart du temps, ou du moins à forte instabilité religieuse, ethnique, ou juridique ; sans percevoir les manoeuvres internationales entre Etats ennemis, dont l’instabilité ainsi propagées à des régions entière sont peut-être les prémices de la prochaine guerre mondiale ?

Ses enjeux : la maitrise des terres rares essentielles à la construction des composants electroniques. La maitrise des voies de communications bouleversées par la fonte des pôles. L’accaparement du pétrole pour une civilisation des hydrocarbures incapable de développer d’autres moyens de transports. Le développement de l’économie de la drogue, le plus sûr des investissement rentables en période de décadence et d’impunité, adossé au trafic d’armes que génèrera le conflit.  Cela afin de  » maitriser  » l’ensemble des flux financiers . Sur un fond idéologique pour l’instant manquant, sinon à croire que ce que certain qualifient tel la dernière idéologie, celle de l’islam  politique, sera devenu un véritable repoussoir de la démocratie, justifiant la guerre contre les anciennes démocraties – embrasement du monde musulmans instrumentalisé par les dictatures de tous bords , qui entre autre pourrait servir de catalyseur à la guerre mondial en dessinant deux camps distincts. Celui de l’ancien monde contre celui naissant ou renaissant , ainsi du nouvel empire russe rêvé par Poutine dont  le maintien au pouvoir semble directement lié à sa capacité à étrangler par la force son opposition intérieure, tout en usant de tous les moyens afin d’instaurer tant un nouveau système monétaire mondiale, qu’un redécoupage géographique à son profit , au risque comme en Ukraine de laisser s’instaurer un conflit entre Etats pour ce qui a débuté par une révolte des citoyens contre leur gouvernement.

Les voeux pieux d’une inversion de l’escalade à l’armement des Etats dominant, Etats-Unis, Russie et Chine en tête , n’auront pas eu d’effets à regarder l’augmentation en armement sur ces dix dernières années. Comme si chacun se préparait à une confrontation inévitable.

Certes, la Chine n’a pas encore atteint le niveau de l’arsenal militaire américain qui , en cas de conflit ouvert lui permettrait de rivaliser avec un ennemi de longue date, avec lequel ses rapports commerciaux actuels sont pourtant vitaux pour les deux pays. Ce qui crée une paix relative , au milieu d’une guerre commerciale et d’une guerre d’influence diplomatique sur les autres Etats , autour des enjeux du XXIème siècle cités plus haut.

Mais sitôt le pic de production mondial de pétrole atteint, et donc le début du défaut d’approvisionnement en hydraucarbure révélé, ce qui arrivera, il n’existera plus de raisons de faire régner ce statu quo : la Chine et les Etats-Unis s’affronteront ouvertement sur les terrains militaires où les pays producteurs monnaieront l’approvisionnement de leur client à l’aulne de leur imitions militaire dans les zones géographiques  où se déploient leur idéologie.

Que la Chine et la Russie ait constamment brandi la menace d’un véto à l’onu, concernant une intervention de l’occident en Syrie, a pu servir les intérêts d’Israël , directement concernée par l’affaiblissement de son rival militaire le plus dangereux de la région- ne semble pas avoir été le but principal de cette posture diplomatique. Plutôt est-ce là une sorte de revirement stratégique au moment ou le retrait militaire américain de la région était amorcé, en vue d’un redéploiement mondial centré autour du pacifique, ainsi contre-carré, qui oblige les Etats-Unis a reconsidérer l’ordre de leurs priorités. Car l’embrasement généralisé du monde musulman, l’instabilité aux frontières de l’Europe face aux désidératas militaires de la Russie, sont de nature a affaiblir les positions américaine dans le pacifique.

Dans le même ordre d’idées, la multiplication des zones de guerre idéologiques en Afrique permet de révéler l’insuffisance du maillage militaire mondial américain sur le continent ,  en fragilisant la position dans la région des anciens colonisateurs tel la France.

Ainsi du Moyen-Orient, à l’Afrique subsaharienne, il semble que la rivalité commerciale des Etats dominants aient laissé place à  des sortes de guerres intermédiaires. Celles non traditionnelles justement, comme si les tensions économiques autour de l’acquisition des terres arables, des ressources minérales et des chantiers de construction des infrastructures, n’avaient pu que  muer  en conflits armés, tant les enjeux sont cruciaux. Ce qui est passé inaperçu du grand public, puisque ce sont les populations autochtones elle-même qui ont été armées  de l’extérieur pour se faire la guerre entre-elles.

Or, c’est bien à une escalade à laquelle les populations du monde assistent, impuissantes à freiner les velléités guerrières de leur dirigeants, dont la collusion avec l’oligarchie financière mondiale , aggrave les risques de conflit mondialisé , d’autant que cette oligarchie est incapable de comprendre ou respecter ni le fonctionnement démocratique ni les aspirations des populations dont la terre est convoitée.

Pour l’heure, les pays du monde , démocratiques ou non, dotés d’une super-structure militaro-judiciaire ou non, comme la Chine et la Russie, souffrent dans cette cacophonie du concert des nations , d’un mal commun, financier, fiscal et économique, augurant de  futurs  grands bouleversements dont la guerre mondiale pourrait être le plus grand d’entre-eux.

En effet, la majeure partie du commerce mondiale est impulsé par les filiales des multi-nationales du monde, dont à ce jour personne, ni aucun Etat n’est en mesure de fournir une liste exhaustive de leurs pays d’implantation , ou de leur comptabilité pays par pays. Or ce qui est vrai de la situation de la France, comme de celle des Etats-Unis  et de l’occident en général , se constate également dans le fonctionnement économique russe ou chinois : les multi-nationales n ‘ acquittent dans leur pays d’origine et d’ailleurs nulle part l’impôt que les petites et moyenne entreprises acquittent à l’Etat. Et tous les Etats se voient dupés et dépouillés par une élite qui, en alimentant les paradis fiscaux ont contraint ces même Etats à réduire le champ de leur action sociale auprès de leurs concitoyens, tout en alourdissant depuis dix ans la fiscalité des ménages , faute de pouvoir disposer de ces flux de capitaux qui concerneraient entre 20 000 milliards de dollars et 30 000 milliards possédés par 0,1 % de la population mondiale , lorsque la richesse mondiale évaluable se situe aux alentours de 200 000 milliards de dollars.

Ce dysfonctionnement économique , est à la source de l’inégalité inégalée entre les grandes fortunes et les concitoyens. Il participe d’autant au dérèglement des systèmes financiers des Etats devenus ingérables,  avec un chômage de masse structurel et un appauvrissement de la population, que n’existe pas ou très peu de coopération fiscale entre les Etats qui en prélevant les possédants correctement pourrait assurer une juste redistribution des revenus sous forme d’aide sociale, ou du moins, par le renforcement du système social de l’Etat.  Au sein d’un grand Pays comme les Etats-Unis par exemple existe même des Etats qui font office de paradis fiscaux  , tel le Deleware,

Instaurant un système de corruption généralisé , ou d’argent détourné aux plus hauts niveaux du sommet des Etats, tel qu’en Chine ou en Russie , ce système mondial adopté de gré ou de force par tous les Etats, laisse peu de place au développement d’une vrai démocratie ou d’un droit universel. Le système bancaire mondiale  maintien le système de corruption généralisé tel qu’il est, cherchant par tous les moyens à infléchir le droit fiscal , au profit de toutes les formes d’économies illégales dont l’argent ainsi généré n’a pas d’odeur pour le système bancaire actuel.

La collusion entre élite politique, économique et financière devient préjudiciable à la démocratie quand elle est servie ou asservie, selon les cas, par une collusion avec l’élite militaire, elle, libre de disposer de la force militaire et de renseignement de l’Etat, à des fins d’asservissement des autres Etats , ou en fonction de considérations idéologiques qui font de la guerre le prolongement, à peine démenti, de l’économie.

Or, 2014-2015 risque d’être l’année de tous les dangers, car il suffit que l’élite financière du nouveau monde comme de l’ancien, et le pouvoir  politique qui lui correspond, soient convaincu que tout leur est permis , et le pire arrivera …