Je ne suis pas crinière de fumer : Grand Petit home, peut-être,aplutôt et plus encore le Yakari que j’ai aimé,aimerai et dont eukel berryfield en voit la forme vieillissante la plus tragique,celle d’un indien solitaire qui est la dernière bibliothèque vivante d’un monde déjà résolu par l’alcool,l’éau croupie et tant pis si le père d’Eukelberryfield,deviendra illustre : le Mississippi est une terre promise…

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