Poème pour Soeur Emmanuelle

Compte les larmes des femmes,
Sue des gouttes d’enfants, un jour
océan, tu combleras l’extase.
Ainsi parlait, Asmaé le bien nommé
qui disait Yallah, Kadima, en avant…

Ceux qui restaient derrière criaient
On fait ce qu’on pneu !
On fait ce con de pneu !
On n’est pas des chambres à air…

9 Comments on “Poème pour Soeur Emmanuelle

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*