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Bonjour à tous les internautes habitués à fréquenter le site, et bienvenue à tous ceux que la diffusion du contenu de l’émission « Zone Interdite » sur youtube aurait incité à faire des recherches afin de trouver sur le web une trace de mon travail.

Si vous avez parcouru les derniers articles vous avez sans doutes constaté qu’au-delà de toutes exubérances surréalistes mes appréciations sur le conflit syrien étaient marqués par une considération mythomaniaque de mon rôle réel dans cette guerre, depuis que j’ai commencé à préter ma plume à mon avatar «  le général désarmé ». Au regard de ceux qui ont et continuent de réellement souffrir des conséquences de cette guerre,mon attitude égocentrique me fait honte et je souhaiterais , auprès de tous ceux et celles qui ont pu en être choqué, présenter de sincères excuses. Les écrits devant rester, comme telle est la pratique de ce site, les articles incriminés seront annoté d’un astérisque explicatif rétablissant notamment  la véracité des tenants et aboutissant de ce qui fut par moi dénoncé comme un empoisonnement par les services russes, puis ils seront classés dans la rubrique « folie »…

Réponses pèle-mèle aux plus récentes questions des internautes :

Je peins toujours et prépare une exposition sur Paris dont je ne peux pas dire grand-chose pour l’heure, certes, pas par superstition, mais en raison de la maigreur des informations qui sont à ma disposition. Quoi qu’il en fut, l’onglet : « actualité » préviendra sur ce site de l’imminence de l’exposition.

A mon grand regret, je ne peux actuellement indiquer comment se fournir la version livre papier de mes écrits. Mes livres ne correspondent jamais à la politique éditoriale du moment pour les maisons d’édition ; où lorsqu’ une maison d’édition est intéressée ,il se produit toujours une divergence de vue , je ne suis jamais disposé à défigurer la substance écrite pour répondre aux attentes de l’éditeur, et le projet avorte. Un seul texte est actuellement publié «  la chambre d’isolement » ,dans le livre «  les premières fois », aux éditions librio, sous le prénom patrick, en raison du caractère anonyme de ce qui fut à l’origine un appel d’éditeur à  décrire une expérience inédite, lancé  à l’adresse de toute personne désirant participer. Je signale par ailleurs que le livre publié ici sous forme de feuilleton ( « le mélange contrarié des anges ») sera entièrement ici mis en ligne cette année, de même que l’intégralité de mes autres livres, qu’ils seront  accessibles moyennant une participation modique et libre sous forme de don ; et que le prochain livre auquel je m’attelle (« nous regardions par terre »), dès que possible, sera lui aussi présenté sous forme de feuilleton.

A priori également, rien n’est décidé seulement, le site devrait être « relooké », les onglets de commande de tableaux professionnalisés, je veux signifier par là : au moins faire un truc qui marche comme ce n’est pas du tout le cas actuellement, avec l’adjonction d’un numéro de téléphone qui devrait permettre à toutes personnes intéressées de me joindre.

Pour ceux et celles qui suivent mon travail depuis maintenant un certain temps j’aimerais adresser mes remerciements pour leur patience, leur bienveillance et surtout leur compassion jamais méprisante ni mêlée de reproches à l’égard de mes monstrueuses fautes d’orthographes. Lorsque j’écris mon esprit est tout entier immergé dans le méta-texte, ce qu’il y a sous la pellicule des mots, là, en cette dimension invisible où se déterminent les trajectoires de sens et où se construisent les phrase ; si bien immergé qu’il m’est impossible de remonter à la surface du mot pour vérifier sa bonne forme orthographique. Je laisse cette tache ingrate à mon inconscient et le capricieux souvent oublieux des règles restitue une orthographe à son image : sauvage et souvent surréaliste. Pendant vingt ans j’ai écrit le mot « adresse » avec deux « d » ; « endive » avec le préfixe « hand » ; etc . Il y a , je crois, que l’orthographe est profondément liée à la dimension inconsciente du sujet, celle-ci  porte les traces souvent traumatiques d’un apprentissage social de l’orthographe rejeté par celui dont les fautes trahissent la condition socioculturelle. Cela n’empêche pas l’accès au méta-texte, mais même si celui-ci est un espace souvent visité et maitrisé au point de commettre des textes poétiques, la faute de français et plus uniquement d’orthographe n’est pas loin, qui jaillit des collisions entre la phonétique de la langue courante et la forme conventionnelle des mots. Je n’y échappe pas. J’ai beau lire souvent, je ne vois pas la forme des mots, les phrases des écrivains m’aspirent littéralement sous leur surface, où suis-je seulement attentif au bel agencement des propositions, admiratif du style, ou bien concentré sur   le rythme, la cadence, la musicalité des phrases. Et étonnamment lorsque j’écris, si ma conscience est claire, mon esprit sainement reposé les fautes réduisent en intensité ; ne demeure que les « coquilles » des mots mal frappé sur le clavier et les fautes les plus indélébiles. Il sera facile au lecteur de ce site d’ en apprécier les articles sous ce nouvel éclairage : plus je suis anxieux à l’approche d’un texte, souvent selon que le texte a une portée cruciale à mes yeux, plus rodera l’expression de la faute. Et même en état de joie intense, d’excitation créatrice le résultat peut être identique comme je plonge trop profondément dans la phrase pour me soucier de sa forme orthographique. Seule la placidité de l’âme m’est un remède …

                  Bien à vous tous. PATRICK RAKOTOASITERA

 

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Ci-dessus l’avant dernier tableau ,ici en cours, réalisé cet été, après avoir passé quelques jours chez ma tante Annick qui possède une petite maison dans les environs de Rambouillet.  Un coin un peu perdu où rien ne se fait sans véhicule et où quasiment rien n’est possible pour quelqu’un atteint d’alzheimer comme l’est ma tante. J’y ai réalisé quelques croquis rapidement exécuté, parfois sur des sujets tout à fait inhabituels dans la hiérarchie de mes priorités. Ainsi de cette tondeuse qui a rendu un semblant d’ordre au jardin rendu à sa nature sauvage par manque d’entretien. Ma tante doit être assistée quotidiennement. Elle ne se lave plus toute seule; ne cuisine plus jamais et son traitement requière l’intervention d’infirmière à domicile. IMG_20171106_103229 IMG_20171106_103240

Cloisonnée chez elle, Annick fréquente longuement son fauteuil . Celui au tissus un peu élimé près de la porte fenêtre qui donne sur son grand jardin.

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Elle aura bientôt 80 ans Annick. Ancienne chef hotesse dans l’aviation, habituée à diriger ses troupes, Annick a conservé l’excellence de la langue qui fleurit sa bouche de mot recherché et devenus rare dans les conversations courantes. Seulement, dix minutes d’intervalle suffisent à lui faire oublier ce qu’elle a pu exprimer avant.IMG_20171106_103319

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Sa voiture est immobilisée dans le jardin, inutilisée depuis au moins deux ans.IMG_20171106_103340

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Sitôt que sa télé a bien voulue fonctionner, c’est en regardant chez elle une émission sur la peinture que j’ai eu l’idée du tableau qui romprait mes habitudes de couvrir toute la toile de peinture en y distinguant de large zone vierge, et c’est à l’exemple du grand artiste Chayan Koy que j’ai décidé, revenu dans mon atelier, de peindre de manière encore plus réaliste mes personnages.IMG_20171106_170210

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le tableau s’intitule :  » code secret africain et symbolique de l’origine de l’univers «