Avec l’intention de penser l’Afrique autrement :

l’IMAF ( « l’institut des mondes africains »:   http://www.imaf.cnrs.fr/    ) organise La conférence Européenne des études africaines du 8 au 10 juillet 2015, à la Sorbonne de Paris. Le présent site (  http://patrick-rako.nuxit.net/couleur.htm) tentera de couvrir l’évènement, en présentant, d’abord ici,  les enjeux mondiaux d’une telle conférence dont le thème central est:

Les mobilisations collectives en Afrique : revue des contestations, mouvements de résistance, et modes de révoltes .

Ce thème doit permettre à tous les pays concernés, au-delà de l’Afrique, d’adopter la politique militaire, humanitaire, économique, écologique, diplomatique et éthique la plus propice à répondre aux nouvelles trajectoires sociales, politiques, et idéologiques qu’empruntent les acteurs et les actrices des expressions contestataires .

Depuis les aspirations des militants anti-apartheid des années 60, en considérant également les mouvements du « printemps arabe », jusqu’aux jihadisme armé actuel. Afin d’apporter un nouveau regard tant sur le jihad que  » les révoltes d’esclaves », les conversions de masse , ou les conflits dynastiques qui les sous-tendent. De par une évaluation critique des réponses apportées en Afrique par les pouvoirs politiques. De sorte, qu’au-delà des phénomènes de crise, puissent être discernables :

– une sorte de répertoire des diverses actions collectives permettant une meilleure perception des modes de transgression et de subversion qui se sont développés en Afrique , au cour de ces dernières années.

–  un panel actuel du militantisme africain.

– Afin de distinguer les statuts sociaux, générationnels,et de genre des individus en présence.

Bien sûr, les intervenants des conférences seront questionnés sur les rapports entre le jihad africain et celui, ou ceux des Moyen-Orient et Proche-Orient ; les revendications des révoltés ; les causes climatiques, économiques et sociales à l’oeuvre dans ces révoltes ; et la position intellectuelle et morale , selon eux, que devraient adopter à leur égard toutes politiques , soucieuses dans les réponses qu’elles apportent, de distinguer au-delà d’une éventuelle dimension idéologique des divers mouvements de contestation, la part qui incombent aux enjeux énergétiques et agricoles notamment, dans l’accroissement des conflits internes qui agitent l’Afrique comme le reste du monde, pays du Sud en tête.

Les questions posées aux intervenants seront les suivantes :

 

Les mouvements de contestations qui ont déclenché le printemps arabe de 2011 en Tunisie, sont-ils si différents de ceux egyptiens ou même libyen pour, malgré les tentatives de subversions et de déstabilisations récente en Tunisie par les opposants de l’Etat Islamique, avoir permis l’instauration d’un gouvernement démocratique, sur les bases d’ une constitution cherchant à garantir l’égalité des droits entre les hommes et les femmes , quand l’Egypte est redevenue une démocratie autoritaire sous le joug des militaires, et que la Libye continue à sombrer dans la guerre civile? Les populations tunisienne à l’origine du printemps arabe présentent-elles des particularités socio-culturelles distinctives, ou la réussite des institutions démocratiques en Tunisie n’y est-elle qu’apparente puisque la Tunisie est le premier pays à avoir fourni à l’Etat Islamique en Syrie et en Irak le plus important contingent de combattants étrangers ?

Par quelles modalités d’argumentations les populations du Maghreb contestataires restées attachées  aux valeurs d’un printemps arabe qui n’avait pas pour ambition première une revendication spécifiquement religieuse, se différencient-elles des idéologues qui cherchent à fédérer les opinions musulmanes (occidentale notamment) en prônant un islam opposé à ce qui est désigné comme la « Jahiliyya », cette période avant l’arrivée des prophètes , Moïse y compris , période où règne comme aujourd’hui, selon eux, « Khasirum : soit l’ignorance des égarés ?

Au-delà de la question du Magrheb , présenter à un large publique la situation de l’Afrique, à l’aube du IIIème millénaire, nécessite d’interpeler les internautes occidentaux spécialement relativement aux conséquences du changement climatique dont l’impact, comme pour les pays du sud en générale, aura été particulièrement insidieux, ces 20 dernières années, sur la situation des populations locales africaines. L’Afrique subissant un phénomène graduel de désertification du sud vers le nord , pour une population globale dont 300 millions d’individus ne bénéficient déjà pas de l’accès à l’eau potable , quand 600 millions d’africains, ne disposant pas de l’accès collectif à une énergie propre, sont confrontés quotidiennement à la nécessité de déboiser leur environnement   direct pour récolter du bois de chauffe…. Ainsi du croissant sahélien, région semi-aride au carrefour frontalier de 7 pays – du Maroc, à l’Algérie,il concerne la Libye, le Tchad même, jusqu’au Mali, au Niger, à la Mauritanie et au Nigéria, à la limite de la zone tropicale humide. Région semi-aride où les pays frontaliers sont tous concernés par un rapport défavorable entre la quantité d’eau disponible et les besoins journaliers des populations. Et, comme après la période de la 2ème grande sécheresse survenue au Mali en 1984, région où le réchauffement climatique y aura engendré le déplacement du sable et la transformation des lits des fleuves . Ce qui  aura contribué, pour le malheur de milliers de personnes, à l’éradication  des pratiques d’élevages extensifs traditionnels, pour des petits cultivateurs également privés, faute d’irrigations suffisantes, des déjà modestes gains que leur procuraient leurs terres cultivables…

Partant de ce constat initial est-il juste de dire que le manque de politiques d’accompagnement des populations ainsi ruinées a fait de la bande sahélienne un terreau du recrutement jihadiste ?

Les mouvements jihadistes dont on sait que leurs troupes intègrent un nombre important de jihadistes venus de Libye où la révolution contre Kadhafi aura été l’occasion d’une dissémination d’un arsenal  militaire considérable dans toute la bande sahélienne progressent vers l’Ouest menaçant le Sénégal ; les islamistes de la secte Boko Haram déstabilisant  le Nigéria et ses pays frontaliers comme le tchad , progressent quant-à eux aussi vers le centre de l’Afrique : comment financent-ils leurs activités ? Que peut-on dire du rôle ambigu du Quatar et de l’Arabie Saoudite dans la contribution à leur émergence, dénoncé par les médiats alternatifs d’internet ?

Quand les combattants d’Al-Nosra en Syrie sont en majeur partie des hommes de 26 ans en moyenne, dont 23% seraient des convertis qu’en est-il des combattants jihadistes africains ? La résurgence du religieux dans la problématique politique du XXIème siècle, qui interfère aussi dans l’Afrique de l’est, de la partition du Soudan , à la déstabilisation de la région somalienne  a-t-elle été favorisée par les mêmes causes sociales, climatiques et politiques  que dans l’ouest de l’Afrique ? L’ancien Soudan n’est-il pas devenu un théatre militaire intermédiaire de l’affrontement Israélo-Iranien autour des enjeux du pétrole ? La région somalienne , un théatre d’affrontement frontalier autour des enjeux maritimes ?

Enfin, d’abord au regard de ce que wikileaks révèle d’une estimation américaine selon laquelle quand L’Afrique gagne 1 euro de la redistribution internationale, en moyenne : c’est 9 euros qui lui sont détournés vers les nébuleuses financières occidentale, ce qui pour 100 millions de dollars gagné augurerait un détournement de 900 millions de dollars, que pensent   les intervenants de la conférence des réels conflits dynastiques qui sous-tendent , outre la convoitise des réserves en gaz, en or, en uranium, … etc , de l’Afrique par les sociétés occidentales , ce , sans retombée , ni élévation du niveau de vie africain ; convoitise qui s’est doublée ces dernières années par la convoitise des 60 million d’hectares de terres arables de l’Afrique ; et au Mali, pour ne citer que lui, par l’accaparement de plus de 400 000 hectares de terres cultivables par les multinationales, par les moyens constatés des spoliations, des expulsions, et de l’asservissement de la main-d’œuvre africaine ?  ces spoliations honteuses, ne dissimuleraient-elles pas une guerre financière où les pétro-dollars seraient un des leviers, le jihadisme : un moyen intermédiaire , sous couvert de l’idéologie de l’expansion de la religion, qui masquent les même objectifs financiers pour les monarchies du golfe que les autres dynasties industrielles du monde, des grands groupes occidentaux, aux oligarques chinois, indiens ou russes présents en Afrique ? enfin, question liée à cette problématique, les populations en rébellion ont-elle conscience que, stratégiquement, pour le jihadisme mondial, il est question d’ouvrir une nouvelle ligne de front en Afrique qui permettrait  d’isoler l’Europe et la France en particulier, quitte à remplacer les partenariats privilégier qu’elle entretient au Niger, notamment, par un partenariat chinois, moins regardant, moins lié à la colonisation,mais finalement pas moins idéologiquement corrompu, selon la tendance salafiste dominante, dans la pensée militaire islamique ? les mouvements de rebellions souhaitent-ils quitter le réseau francophone pour rechercher d’autres intervenants ?

Autre région: qu’en est-il de l’histoire des perceptions de la rébellion en Tanzanie et plus généralement dans l’Afrique non francophone ? En Afrique du sud , quelles formes et revendications affichent les nouveaux mouvements contestataires , pour une population qui aura été privée du droit d’occuper les même postes administratifs que les afrikaners blancs,  soumise à des droits de propriétés abolis ou ignorés, victime de préjudices, de discriminations durant l’apartheid ?

à suivre

Lettre envoyée le 4 décembre a l’attention de monsieur le Président de La république

COPENHAGUE LES CITOYENS DE LA TERRE PRIS ENTRE CHIENS ET LOUPS

Copenhague peut-il résoudre ou du moins amoindrir l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère ? Autrement dit l’espèce humaine dont le niveau de conscience s’élève à mesure que pointe le danger, saura-t-elle seule déjouer les conflits de pouvoir qui l’agitent, tel des leurres masquant le profil de l’extinction de masse. Cette dernière nécessaire du point de vue de l’écosystème qui aura recours à tous les stratagèmes (virus, tremblement de terre, tornade…etc.) –extinction de masse indispensable aussi du point de vue MALTUSIEN, celui-ci impliquant la guerre conventionnelle, s’il le faut, ainsi que l’arme bactériologique comme seules étincelles capable de rendre a l’économie un niveau de croissance suffisant pour les aires géographiques dominantes.

Seulement Copenhague doit être le moment essentiel dont les générations futur pourront dire que la est apparu un partage des responsabilités. Et forcement qu’il s’y est joué la : le sort d’un monde non pas lié par des relations économiques ; mais bâillonné par un système d’interdépendances fondé sur la dette publique, système ou l’argent lui-même pollue les âmes, par suite la Terre, jusqu’au ciel lui-même : l’Homme étant réduit à compter l’impossible. Compter chaque goutte d’eau, chaque molécule d’oxygène, chaque gramme d’essence, afin de reformuler un système de valeur sans valeur éthique réelle.

Nicolas, et je vous le dit sincèrement, si vous arrivez à faire se plier aux exigences de la Nature la CHINE d’abord, les Etats-Unis ensuite. Cela ne sera qu’une entrée. L’entrée d’un menu ou contrairement a YALTA il ne s’agira pas de partager le monde entre quelque uns, mais de restituer a chacun un morceau de ciel a dépolluer ainsi qu’un morceau de mer a entretenir, toutes affaires cessantes.

Si personne ne veut financer les systèmes économiques fragiles des pays en voie de développement afin que ceux-ci ne connaissent pas l’effet CO2 propre a toutes croissances male maitrisée : proposez qu’on annule purement et simplement leurs dettes

Si cela est impossible, rappelez que la taxe carbone ne peut et ne doit pas être le protectionnisme de demain : un artifice de plus des pays dominants pour ralentir l’effondrement de leur contrôle sur l’économie mondiale, dors et déjà effectif.

Car quoi ? Est-ce d’un monde a la RICARDO, l’économiste qui prévoyait que chaque pays se spécialiserait, l’un créant de l’huile de palme, l’autre des voitures, l’autre des ordinateurs…etc.Est-ce réellement de ce triste monde dont il faut rêver ?

Non, vous pouvez et devez, tel est le sens de l’alliance de la France avec l’Allemagne, Le BRESIL et l’INDE, considérer voir incarner le rôle du primitif ou homme primordiale qui défend sa foret, chaque arbres volé l’étant au détriment de sa chair et son sang. Renforcer le droit des sociétés primordiale, instituer un mode de compensation carbone, serait ainsi une avancée pour Copenhague. On ne peut pas défricher la foret pour élever du krill (sorte de planton), sous prétexte que la mer devient vide de cette ressource essentielle comme on reporte au lendemain la nécessité d’élever des vers de terre, faune essentielle pour la flore qu’on vient de détruire.

Mais encore une fois le paradoxe est économique, car avant que la rareté des arbres fasse leur cherté, il est indispensable de valoriser la foret mondiale. Autrement dit la taxe carbone doit être le moyen par le quel les états dominants, en expansion, ou en développement s’engagent financièrement pour suppléer aux manquements écologiques des agricultures locales et nationales qui seraient tentées de remplacer la bio diversité de leurs foret par des monocultures. Ici une institution caractéristique par la rapidité de ses moyens d’action serait souhaitable. Non seulement cette institution pourrait être complémentaire du FMI, mais en plus elle devrait jouir d’une totale autonomie financière, ou être dirigée par celui ou celle qu’on pourrait nommer le représentant des sociétés primordiales.

L’autre aspect du secteur primaire que doit prendre en compte l’union des 192 états réunis lors du sommet de Copenhague concerne l’alimentation des masses et plus particulièrement la révolution ou le bouleversement des habitudes nutritionnelles fondées par la tradition. En effet, produire de la viande c’est produire du CO2 plus que de raison dans un monde ou l’uniformisation alimentaire doit être combattue en favorisant le plébiscite de la diversité culinaire. Une part non négligeable mais à quantifier de la taxe sur la production de CO2 doit être dévolue à l’édification des masses consommatrices de l’hémisphère nord, en conséquence. Une autre a la valorisation des traditions culinaires de l’hémisphère sud. Pour être précis les experts doivent pouvoir évaluer le nombre d’arbres qu’il faut pour absorber les rejets de CO2 d’un bovin. De la, en fonction du cheptel mondial déterminer le seuil critique du déboisement mondial.
Toujours concernant le secteur primaire en l’occurrence la : la pêche, les 192 doivent prendre conscience que la détérioration de la chaine alimentaire maritime est indissociable de la fonte des pôles. Et qu’en la matière, le sommet doit être un encouragement non mesuré a l’ensemble des recherches traitant du sujet les quelles doivent être coordonnées par une institution capable de réagir en temps réel. C’est-à-dire être capable de favoriser les actions individuelles ou associatives et disposer d’un pouvoir exécutif supérieur a toutes lois nationale par exemple pour que les interdits fixés par les scientifiques ne soient pas lettres mortes. La plus part des crèmes solaires sont un poison pour l’écosystème marin. Cette institution devrait avoir le pouvoir de les interdire au niveau le plus élevé des aires géographiques. Plus efficace encore : cette institution doit disposer d’une force maritime internationale reconnue par les 192, afin que la mer ne meurt pas sous les assauts répétés des appétits déraisonnés. Car sans qu’il me soit possible de le prouver ici, la destruction ou plutôt l’autodestruction de l’arctique entrainera et la destruction des barrières de corail et l’autodestruction du permafrost dont on sait qu’il emprisonne des réserves insoupçonnées de CO2. Or si les 192 ne s’entendent pas : lors de la prochaine réunion des états pour un développement durable, le ciel ne sera pas seulement saturé de CO2, il faudra aussi combattre des zones géographiques de plus en plus inhospitalière, au cœur des quelles règnera le sulfure d’hydrogène. Cet argument à lui seul doit être déterminant dans la réaffectation des forces de l’ONU qu’il s’agirait de rattacher à cette institution aux lois supérieures.

Le rôle du secteur secondaire dans l’augmentation de la production de CO2 sera d’autant plus minimisée que les 192 développeront ce que l’on pourrait appeler la pédagogie positive du consommateur ou autrement dit comment dégager un budget spécifique servant à payer les avocats des particuliers victimes des industries multinationale. La part de ce budget dévolue a la pédagogie devant permettre de faire évoluer la production en fonction de la consommation. Tandis que cette pédagogie devrait avoir un versant destiné aux entrepreneurs eux-mêmes. A Copenhague, il ne s’agit pas de faire le procès des grandes industries, sans les quelles il n’y a pas de développement. Il s’agit plus tôt d’établir pour et avec des normes de productions, des échéanciers, en augmentant la part de leurs investissements liée a la recherche techno biologique, pourrait-on dire. Je ne m’étendrai pas plus sur le sujet votre savoir faire en la matière est une bénédiction. Pourvu que ce ne soit pas une bénédiction seulement pour les industriels.

Le secteur tertiaire international concerné par la guérison de la Terre, a Copenhague, chaque participants doit en prendre la mesure, est capable, tant la tache est lourde d’implications, de fournir une quantité de travail insoupçonnée. Si les abeilles disparaissent et qu’ainsi 34% des espèces florales sont a poliniser par l’homme a l’aide de pinceaux faits de poils humain, un tas d’autres services à détailler par les experts son envisageables.

Copenhague c’est un petit bout de toit, un petit gout de moi, et la fin du verbe taire. Que ce sommet semble en apparence mort né a cause de la politique Malthusienne des Etats Unis qui pensent encore que la guerre n’est pas finit, ne doit pas entamer notre combativité. Quand j’entends « We have to finish the job » je pense a Bill Clinton qui me demandait de participer a la Traque de Ben Laden et a votre instar je réserve mon élan au franchissement du cap écologique en espérant ne pas avoir à atterrir dans un étang de sang.

Veuillez agréer Monsieur le Président ma profonde croyance en la réussite du pardon que la Terre doit accorder a l’Homme.
PATRICK RAKOTOASITERA www.patrick-rako.nuxit.net

Du signe au symbole du symbole au concept : réflexion 100175
Du sommet européen au sommet de Copenhague, un rêve gâché

Monsieur le président de la république,
Le sommet des chefs d’états européens qui s’annonce doit nous permettre de préparer la conférence de Copenhague. Parce que pour l’instant il ne s’agit que d’une conférence.

Mais j’aimerais revenir ici sur une précision économique essentielle.
Si le droit ne réussit pas parfaitement a optimiser tous les effets de levier de la relance économique en butant sur la mise en œuvre du débat que l’adoption de la loi visée implique et n’est au final que l’adoption d’un consensus mou fondé sur la mise en signe du plus petit dénominateur commun. Car il ne s’agit que de cela dans ce qui est en jeu dans l’échec de votre processus communicatif, il demeure que : gouverner est un art qui ne supporte ni la médiocrité ni l’absence de réaction humaine.

Que la situation géopolitique de mars a avril, puis juin a aout dernier vous ai encourage a mettre en avant la production manufacturée complexe de la France en matière de technologie de pointe : la maitrise de l’énergie nucléaire permettant démettre un facteur avoisinant le zéro en matière d’émission de CO2, au demeurant ; pour croire que la réunion A3+ 3 pouvait suffire a maintenir le rôle de la dissuasion comme régulateur des échanges thermonucléaires internationaux ( bien sur je pense a l’Iran) était bien vu.

S’arrêter la en temporisant l’accélération de la productivité ( réduction mondiale du temps de travail par la fragmentation de la V.A en fonction d’un système de référence : l’écosystème dont il n’est pas encore dit que sa capacité actuelle future et passée a fournir le maximum de signe a l’économie de l’univers des signes humains est une certitude) cela revient a ne pas croire dans l’ingéniosité du système monétaire.

Seulement quand le système monétaire favorise des mouvements de spin (terme emprunté a l’astrophysique qui en économie pourraient correspondre a des rotations de signe, positifs quand ils ne participent pas de manière mesurée au taux d’usure de l’écosystème ou a la production de CO2) le système monétaire peut donc être le lieu de spin positifs ou négatifs dont la masse influe sur le calcul du produit national brut. Charge a l’état étant de sanctionner du sceau de l’impôt tout comportement qui engendre des univers de signes fermés, dans les modes de circulation de l’argent des quels, le signe monétaire est inferieur au bien échange. Autrement dit quand pour échanger un bien le client et son fournisseur établissent un prix qui échappe a priori a l’effort de détermination des prix par les états qui ne peuvent influer sur le système monétaire sans prélever la part qui leur revient en vertu d’un droit historique. En la matière ce qui est valable pour l’économie souterraine, l’est pour les banques qui refusent de créer des spins positifs en ne finançant pas les P.M.E

Malheureusement monsieur le Président, il n’est pas bon d’agir sans fonder sa crédibilité sur autre chose que des chiffres. L’empereur POUI était encore l’empereur même si son labeur se résumait a l’entretient cosmique de l’univers, lorsque MAO le relégua jardinier de la cite interdite.

L’economie des états européens ne peut être une collision d’aire géographique multiple et de limites d’ensemble indéterminées

Que votre politique ne face que ralentir l’enlisement mondialisé des états à accueillir un accroissement des populations, en fonction d’un accroissement des signes monétaire en valeur absolu pour financer le projet humain, n’est acceptable que si vous ne restreignez pas les zones de liberté que favorisent les communications multi media. A ce jour, pourquoi fustiger le système informatique en perpétuel formation ? En tant que service a-t-il augmenté le vide juridique fondé par l’incapacité à rémunérer la propriété, celle la plus virtuelle, la propriété intellectuelle et par la :la propriété tout court ? Cela n’est pas forcement négatif et ne représente un enjeu de pouvoir que pour qui prétend maitriser les circulations de signes dessinant la personne.

Le paradigme humain sur lequel repose l’entente Européenne a évolué parce que l’Europe est une réalité aussi historique qu’historiquement conquise sur la mort, le chaos au cœur de l’échange entre les êtres. Du point de vue du droit le paradigme humain de l’entente Européenne est un consensus mou. Les droits de l’homme parce que Hérault des Seychelles est mort avec Danton, avant Robespierre n’a pu rendre compte que des droits de l’Homme, négligeant les droits de la femme et de l’enfant par une acceptation constitutionnelle rependue en Europe selon laquelle l’échange humain est une gestion d’ensemble qui doit protéger le citoyen des reflexes communautaire non favorable a long terme a un juste partage de la valeur ajoutée crée par le travail organisé.
Mais cette constatation n’est pas mécanisable : si les peuples veulent que les bourses s’écroulent à nouveau le droit ne pourra que retarder le phénomène, car la liberté est un phénomène très difficilement mesurable et pourtant immédiatement perceptible dans n’importe quelle aire géographique.
Il ne s’agit que de créer des conditions conceptuelles, juridiques et géographiques ou les rotations des signes soient suffisamment achalandées pour chaque individu.
Vous le voyez bien l’argent est toujours dans les banques, que les réserves d’or sortent d’un lieu vers un autre n’a aucune incidence quand le droit ne cherche pas a récupéré le manque de rotation des zones d’échanges crée par la proximité des zones géographiques ou l’or était stocké, zones ayant tendance à perdre de leur cohérence localement soit la ou l’or n’agit plus parce que situé trop loin de son champ d’action, ces zones sont remplacées par des échanges de signe ou plutôt une économie fondée sur l’erzats. Erzats qui est l’indice de la présence en même temps que le facteur de développement de la désertification : zone économique caractérisée par la présence de signes immédiatement comestible plus ou moins raréfiée.
Il ne s’agit pas de croire naïvement que la pensée américaine pas plus que chinoise va favoriser une refondation du système monétaire qui pourrait compenser l’insuffisance apparente de l’or a opérer dans toutes les aires géographiques en même temps en instaurant un système de relation entre les êtres sur et positif. Il n’y a pas assez d’or créé sur Terre pour permettre cela.

Pour autant l’échange de signe est maximal au voisinage de l’exercice de la liberté humaine, mais la liberté ne s’exprime ni en terme de rotation ni en terme de verticalité. Elle est un signe qui est aussi un symbole. Or un symbole peut avoir différente formes inspirés par l’imaginaire et les possibilités qu’offrent les systèmes de rotation de signes en vigueur. Cependant elle est une constante qui tend vers + l’infini. Raison pour laquelle la pensée marchande cherche à recréer ce système en expansion, mais, la, mu par un système de signes dont on sait l’organiser mais dont on croit qu’il est aussi autre chose que son organisation monétaire.

Cela fonde le prix sur la valeur tandis que la vie n’a aucune valeur en soi. Elle est seulement un ensemble d’équations exceptionnelles qu’on ne peut mettre en système par un repère mathématique en l’état actuel de la mathématique.

Or, avant Copenhague, il ne faut pas minimiser le nombre de vies présentes sur le territoire Européen, en croyant qu’on peut définir ce que sera la vie dans cette aire géographique. Le nombre exact des êtres humains qui vivent sur le sol Européen est approximatif.
Il ne dépend pas seulement du nombre effectif des êtres humains vivant qui le peuple. Car en économie la vie échappe à la localisation. Pour la raison simple qu’une aire géographique peut faire vivre bien plus d’être humain que la zone politique qui la définit n’en récence.
Croire que l’économie et le droit même jusqu’à un certain point se superposent ce n’est pas faire œuvre d’économie car cela entraine une dépense de signe.
La question de ce qu’est un signe n’est abordée par l’économie que par un détour empirique suivant lequel la question de l’être du signe disparaît devant l’importance du signe de l’être.
Si l’économie est une science positive cela vient de ce que le déterminisme de l’être relève d’un champ clos et que plus productif le déterminisme du signe révèle un champ en expansion. Une conque d’abondance a manger du vide.
L’économie du droit que vous pratiquez, a l’envie, ce qui semble beaucoup vous plaire et vous inspirer ne doit pas vous empêcher de percevoir qu’en aucun cas vous risquez de rencontrer des économistes qui nous abreuveraient en équations mathématiques au point que vous soyez en mesure de calculer la masse de A. Du chiffre 1 que l’on rencontre souvent et pourtant qui fait partie des lettres rare (si on compare les voyelles aux consonnes).Mais qu’il y a lieu de toujours démontrer qu’ils font partie des nombres définis.

L’enjeu de l’accélération du processus collectif de l’échange sous la forme d’une réflexion globale doit doter le sujet économique d’une doublure du soi ; ce qui implique de gommer ou rectifier les mouvements de spin négatifs mis en jeu dans la régulation des comportements humains engendrés par la maitrise de la fluctuation des prix.

L’enjeu de Copenhague et avant du sommet Européen des chefs d’état est de permettre de faire converger les forces du droit et de l’économie pour qu’elles s’entrelacent autour du concept de vie afin d’en épouser les directions positives, celles qui ne font pas tendre le concept vers zéro.

Autrement dit, il existe un mouvement particulier des systèmes économiques au cours duquel l’augmentation des prix est une augmentation suffisamment spatialement rependue pour être du a la raréfaction des signes naturels ce qui augmente les chances de faire tendre le concept de vie vers zero, en ouvrant le champ du hasard a d’autres univers, parce que le hasard de l’univers considéré tend formellement du moins , lui aussi, vers la nullité de son imprediction. Et l’aire géographique se dépouille de sa vie complexe pour n’avoir pu être une stratification de signes, dans l’organisation de la quelle la maitrise du hasard est une dépense qui n’a pas d’autre but que la connaissance du concept de liberté

L’Europe doit intégrer la taxe carbone, c’est le chemin par lequel il sera possible de mieux maitriser les inconnues de l’équation : OR, ESSENCE, DOLLAR, EURO, DROGUE. Et répondre ainsi a quelque interrogation essentielle. L’or est une synthèse supérieure, le travail peut-il tendre vers l’imitation de cette synthèse ? L’essence est une énergie géologique obtenue par l’application d’un champ de pression continu sur les sécrétions de la Terre dans des aires géographiques ou la vie complexe tend vers zero, est-il étonnant que la maitrise de l’usage de sa combustion entraine autre chose que l’augmentation des champs de pression a tous les niveaux d’organisation de la vie ?

Le Dollar est l’invention américaine dont la caractéristique principale se devine lorsqu’on entend le mot dans la langue française sans en accepter d’emblé l’orthographe qui le distingue. Mon but n’est ni de la détruire ni de minimiser ce qu’elle peut avoir de gênante. Vivre dans le dollar c’est vivre dans le dos de l’art et risquer pour celui qui est devant l’art de se voir offrir un triste spectacle

Suivant le même procédé d’analyse on peut dire que l’Euro n’est pas seulement le rot d’Einstein c’est également l’indice : soit d’une Europe qui a retrouvé sa jeunesse éternelle. Soit a atteint le stade de la sénilité marqué par le stade E.

Car les réjouissances de Copenhague, d’un monde ou l’Homme n’userait de sa capacité de calcul que pour vivre en paix avec lui-même et sa Terre, semblent dors et déjà remise en question par la guerre qui s’annonce comme seul moyen de résorber le chômage outre atlantique, dans le cadre d’une guerre ou il n’est plus question seulement de justice, de pétrole, mais bien plus lucratif de cocaïne destinée celle-là au marche Européen, marché si prometteur, comble du malheur, au moment même ou l’Europe ouvre les yeux sur la Terre qui l’entoure.

Mais croyez le bien Monsieur le Président cela ne m’empêchera pas de vous faire savoir secteur d’activité par secteur d’activité ce qu’en qualité de citoyen Je crois utile de voir débattu au sommet de Copenhague.
Patrick rakotoasitera WWW.patrick-rako.nuxit.net