Patrick rakotoasitera (3eme lettre au president de la republique)
3e lettre au Président de la République, ENVOYEE LE 19 MAI 2009 , préfigurant les conceptions économiques à privilégier pour favoriser un meilleur partage de la richesse, que pourrait permettre une politique économique orientée par la prise en compte de l’impératif écologique notamment. A noter que mes réflexions découlent pour partie d’interrogations économiques mais tout autant d’autres domaines des sciences humaines, en l’occurrence du rôle de la COMMUNICATION dans les modalités de la superposition de la « base économique » et des « instances idéologique » comme dans toutes les sociétés des liaisons unissent l’état des forces de la production avec l’état des forces de la communication. Ainsi, la monnaie constitue un univers de signes d’autant plus primordiale qu’il peut quantifier l’univers des signes humains par le biais d’un signe d’autant moins neutre que coupé de sa dimension esthétique il dissimule l’éthique tout en conservant le pouvoir inhérent au concept d’écriture. Pour en débattre vous pouvez consulter les extraits de mon projet de recherche : « L’univers des signes, les signes de l’univers », bientôt mis en ligne dans la rubrique : « sa couleur », qui est le blog de mon site : www.patrick-rako.nuxit.net 

Pour une indépendance idéologique de l’économie

Monsieur le Président,

La simultanéité de deux évènements, éloignés dans l’espace, n’est vraie qu’en fonction du système de référence, soit sur le plan symbolique, selon la théorie de la relativité. Pourtant, l’état doit se maintenir afin d’harmoniser le projet architectural et la reconductibilité du lien social qui le justifie.

Le pouvoir du pharaon dans l’Egypte de l’Antiquité ne peut imposer un état centralisé qui influe sur tout, jusque dans la façon de traiter le commerce des animaux. Si jusqu’à un tiers de l’économie souterraine est mobilisée, quelle part dans l’économie réelle l’est par l’enrichissement du pouvoir dominant grâce au commerce des animaux empaillés ? Pouvoir dominant vendant des signes d’immortalité à ses sujets, comme de l’autre côté de la Méditerranée on pourra vendre des indulgences, lorsque les papes guerriers devront se refinancer.
Car, comme une entreprise qui serait capable de dire à ses employés qu’elle n’a pas obtenue les 1/3 des bénéfices pouvant subventionner l’investissement, donc l’investissement humain, celui, à priori, facteur de liens sociaux, et que par conséquent elle ne peut redistribuer 1/3 des bénéfices de son activité à ses salariés, à moins de fragiliser l’infrastructure de l’entreprise ; le pharaon ne peut ignorer qu’aucune expérience faite dans son système de référence ne permet de dire si le système de référence est immobile ou non. Car en réalité il ne l’est pas, et cette loi est immuable.
L’état est dépendant de l’écriture et des actes d’écriture pour réguler l’échange des biens et des services. Or, l’écriture et son enseignement, sont aux mains des prêtres, et des militaires, de la classe supérieure. Quant à la population dont il est le roi divin, on peut dire, là comme ailleurs, que joue le taux d’usure : stade ultime, ou l’élasticité de la demande, soit la capacité à payer du consommateur, est rendue impossible par la cherté de la vie, ou plutôt son manque de prix. Ce qui impose l’organisation du maintien de la spiritualité de la société dans la visée d’en assurer la cohésion, en accentuant l’aspect totalitaire de l’état.
Là ou l’état en imposant une redistribution des bénéfices par 1/3 aurait pu assurer un rééquilibrage des revenus en réduisant l’écart entre les plus bas salaires et les plus hauts, ce qui aurait contribué à garantir sa pérennité en neutralisant la dépendance de l’état vis-à-vis de la religion.
Dans nos économies, si des entreprises déclarent ne pas pouvoir payer : et les dividendes de leurs actionnaires et les salariés, la part des aides publique dévolue à l’entreprise doit être redistribuée aux salariés ainsi qu’employée à l’investissement, par la loi, afin de pallier les effets du taux d’usure de la consommation, lequel ne soutient plus l’économie, mais en créant du chômage, renforce le chaos des sociétés libérales et l’accaparement des capacités de production par l’économie souterraine. Le manque d’argent disponible, les foyers mis en état d’insolvabilité, grèvant le budget des banques, celles-ci plus sensibles que jamais à la masse monétaire mis en jeu par l’économie souterraine.
Lorsqu’un tiers des bénéfices des entreprises n’est pas redistribué aux salariés, la consommation finit par s’effondrer, par manque de solvabilité du consommateur, et l’organisation des relations commerciales régissant la distribution de produits de première nécessité, dans le sens d’une hausse globale des prix. Ces relations entre les distributeurs de biens de consommation et leurs producteurs pouvant être organisés en dehors du système d’échange de biens et de services. Dans une sphère différente : la sphère politique.
En vertu de quoi, l’homme ou la femme en charge des affaires de l’état, pharaon ou non, doit veiller à accepter le désordre apparent des sociétés, dit-on, s’il veut conserver l’essentiel : la liberté de penser qui favorise la démarche critique et le projet scientifique ; la liberté économique, en créant les conditions d’une organisation optimale du partage des ressources, ainsi que de la division du travail, et l’organisation de la restriction de l’écart entre bas salaires et hauts revenus ; afin d’obtenir une souplesse économique du système de référence, propre à amortir toute survenue de crise économique.
Or, si le 1/3 des bénéfices dévolu aux salariés est toujours maintenu, d’une manière ou d’une autre : intervention de l’état, obligation faite aux patrons d’entreprise : la part du budget des ménages consacrée aux logements n’influerait pas autant sur l’utilisation des revenus, et partant sur la liberté de mouvement, dans la condition ou prenant des mesure à la hauteur de l’évènement en cours, l’état maintient la part des entrepreneurs au 1/3 des bénéfices, en leur faisant supporter les baisses de la part des salariés.
Soit : en distinguant l’entrepreneur qui créé une valeur ajoutée fondée sur la spéculation dont les intérêts sont clairement orientés vers l’économie virtuelle, de celui qui contribue à l’existence des infrastructures, qu’elles soient industrielle ou correspondant à la propriété de biens immobiliers par exemple. Cette dernière catégorie d’entrepreneurs, les propriétaires, devant être celle dont l’engagement pour une meilleure accessibilité au logement doit être motivée. Seuil imposé des loyers en fonction de l’imminence du taux d’usure de la consommation, caractéristique de l’économie entrée en récession.
Car pour maintenir le lien social sans un excessif recours à l’ordre, l’économie doit être indépendante de l’état dans la mesure où c’est le mode de concertation des états entre eux qui doit aboutir à une recherche d’une dimension critique vis-à-vis des intervenants de l’économie, puisque l’économie ne participe que partiellement au processus d’ensemble de recherche libre de la vérité. De même que l’histoire semble ne pas avoir de sens à l’échelle des civilisations, sinon à dire que l’entropie est le caractère inéluctable de toutes activités économiques. Le déroulement de l’histoire pouvant marquer une inflexion des libertés, l’état rejetant la liberté individuelle au nom de la collectivité, et rejetant la liberté de la collectivité au nom d’une démarche philosophique supérieure dont participe son incurie propre. Comme l’entreprise perpétuant l’existence d’un niveau de vie minimal, auprès de ses salariés comme des ses consommateurs… .

Mais Monsieur le Président, vous ne semblez pas vouloir accepter le chaos apparent des sociétés libérales sans pour autant accepter l’indépendance de l’économie vis-à-vis de l’état ; sinon votre mandature ne serait pas autant marquée par une intervention au niveau législatif : l’écriture et le respect des lois garante et levier de l’ordre économique selon vous. Ce qui ne me semble pas une erreur de jugement.
Seulement les outils conceptuels qui sont utilisés dans l’art de gouverner les états, s’ils ont historiquement vu la fin de l’emprise philosophique au profit de la praxis – la philosophie communiste de la troisième internationale, modérée par la quatrième internationale voyant finalement la suprématie de l’économie libérale pratique advenir – laisse croire que la politique économique doit être établie dans la connaissance des principes de conservation d’énergie, régit par l’entropie, soit la disparition irréversible des échanges thermiques. La disparition des ressources de production interdisant l’élaboration d’un modèle économique immuable. En effet, si le modèle libérale a triomphé, c’est au prix d’une stabilité sociale basée sur l’accession du plus grand nombre au standard de la consommation dominante, à l’égalité des droits civiques et des libertés pour tous, selon une justice contractuelle où le marchandage politique et le calcul des lobbies influencent la recherche du profit jusque dans l’invention de nouvelles technologies, pourvoyeuses de travail, et jusque là toujours au rendez-vous de la relance économique des sociétés modernes, ce dans l’ignorance partielle de l’épuisement des ressources naturelles. Ce qui en trente ans aura contribué à la stabilité politique de l’état et de la société a aussi travaillé au détriment de l’écosystème jamais autant sollicité par l’homme depuis l’avènement de la civilisation. Le rêve d’un monde où l’augmentation de la vitesse des moyens de communication imposerait des échanges suivis entre toutes les sociétés, tandis que le tissage économique étant mis en avant là où le lien idéologique a failli, risque d’être mis à mal par une croissance zéro généralisée, interdisant à terme la satisfaction des besoins qu’ils soient nécessaires ou non des populations mondiales.
Or, de même que l’économie dans le calcul de la richesse doit intégrer la notion de richesse négative ou involutive : soit cette capacité de l’homme à s’enrichir alors qu’il détruit la possibilité même de produire. Appauvrissement de la terre, surexploitation des ressources forestières, marines et minérales. Afin d’optimiser l’économie des moyens de production, visée ultime de l’économie : le PNB, Produit National Brut et le produit intérieur brut de l’état doivent pouvoir recenser l’impact de l’activité négative, soit l’impact de l’activité de la production sur la création globale de CO2 et de sulfure d’hydrogène ou de tout élément connu, constitutif de la ressource de production dont l’évolution à la hausse marque l’avènement du taux d’usure de la ressource globale, et de ses répercutions sur la production qui aggrave à terme, ou que révèle le taux d’usure de la consommation. Quand celui-ci n’est pas artificiellement créé par une pratique économique déséquilibrée entre l’économie souterraine réelle et virtuelle. Symptôme d’une mauvaise domination de l’économie réelle ou quand les lois régissant l’offre et la demande sont manipulées par une classe dominante, quelle qu’elle soit. Ce qui, ni plus ni moins, est une subsistance de l’empreinte idéologique sur l’économie. Laquelle entrave la constitution d’une économie indépendante.
Aussi, une fois l’impact écologique de l’entreprise mesuré, impact dont la maitrise doit être le but ultime de la politique économique, l’impôt nouveau sur lequel appuyer une diminution maximale des taxes des collectivités locales pesant sur l’entreprise rendue ainsi capable d’assurer le partage par 1/3 équitables de ses bénéfices entre les salariés, les nécessités de l’investissement , les dirigeant et les actionnaires éventuels – cet impôt qui compense le manque des collectivités locales peut être celui d’une participation de l’entreprise au rééquilibrage de la production de CO2. Impôt qui pénalise l’entreprise irresponsable, et donne les moyens à l’état d’influencer la consommation comme on influence la vitesse sur les autoroutes, en pénalisant là, la production de CO2 générée par chaque produit par un jeu sur la TVA qui lui est appliquée. L’enjeu de la maîtrise de la TVA, devant être recentré au niveau Européen, autour de la notion directrice d’une production la moins involutive possible pour l’ensemble du système économique. Et non influencée par l’instauration de normes sans effets sur la production mondiale de CO2.
Ainsi l’économie performante ne peut plus favoriser le déséquilibre des revenus et des ressources naturelles, si elle ne veut pas que le chaos apparent des sociétés occidentales et de toutes sociétés ne se développe au-delà du point où la rupture du lien social est irréversible. Sinon après une période de relance de l’économie par la guerre. Celle des voies de communication et ressources primordiales. L’eau et l’énergie dominante dans la satisfaction des besoins immédiats et futurs, que la refondation du système économique doit prendre en compte instamment, au risque de voir disparaitre l’idéologie démocratique. Ultime idéologie. Celle qui favorise la démocratisation globale de l’accès aux ressources, freine la guerre en mondialisant les interdépendances économiques entre les pays. Même si jusque là elle a favorisé une guerre larvée. Première étape après laquelle elle doit coordonner l’action des états en fonction d’un partage des ressources obtenu à travers une protection juridique spécifique de la ressource coïncident avec un fonctionnement économique où la valeur ajoutée est rapportée à la valeur ajoutée globale des échanges de biens et de services qui doit correspondre sur un plan théorique comptable au degré de liberté individuelle de chacun généré par l’échange des biens et des services, degré mesuré par l’indice d’espérance de vie en bonne santé de chacun dans l’ère économique considérée, idéal micro et macroéconomique, que pourrait contribuer à améliorer une meilleure coïncidence entre l’état réelle des ressources de production et la liberté des acteurs économiques. Comme il se faut que l’harmonisation des outils économiques contribuent à l’émergence d’une conscience mondiale d’un passé et d’un avenir commun.
Alors une politique économique semblant accentuer les inégalités sociales deviendrait obsolète puisque la redistribution par 1/3 des bénéfices une fois instaurée juridiquement, la rationalisation des actes médicaux, par exemple, ne pourrait plus être envisagée en dehors de l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé, notion qualitative quantifiable dont les facteurs défavorisant peuvent être combattus juridiquement.
Certes, la course générale au lieux de résidence optimisant l’accès à un niveau de vie et d’éducation qualitative persistera, accentuant pour les moins bien lotis l’impact du chaos apparent indissociable du fonctionnement social, mais l’état psychosocial historique des villes et de leurs quartier sera d’autant mieux supporté que le citoyen pourra espérer d’une remise à plat des règles juridiques orientant le fonctionnement économique, une régulation des échanges économiques plus juste et non une énième épuration de l’économie basée sur la réduction des couts de production subit par la majorité pauvre des citoyens.
Car, partout où menace l’inégalité de l’accès à l’éducation et partant au meilleurs postes, charge est due à l’état d’instaurer une discrimination positive. Moins d’enseignants pour moins d’élève c’est logique, mais pas là où le lien social est déjà délité et marqué par l’économie souterraine et la subsistance sous le mode du système D.
Selon le même ordre de priorités, l’autonomie des universités ne doit pas entraver l’autonomie des chercheurs, garant du futur progrès scientifique sur lequel se fondera l’entrepreneur pour créer des emplois.
Et si l’on ne veut pas désespérer la génération montante dont l’inconscient collectif est modelé par l’apprentissage des sciences de la Terre autant que par le désir absolu de consommer, la raréfaction du travail ne doit être tolérée comme une raréfaction des revenus, modérée par la répartition par 1/3 des bénéfices, que si le ralentissement de l’économie est l’instauration naturelle d’une économie des ressources qui s’impose à nous. Dans un certain sens, la réduction du secteur automobile et la limitation de l’accès aux voitures neuves par les jeunes ménages est aussi le signe d’une régulation naturelle de la production de CO2. Instaurer une régulation économique artificielle de la production de CO2 doit donc favoriser la révolution des mentalités et l’adaptabilité aux nouvelles situations économiques que doit prendre en compte, voir prévenir l’intégration du taux d’usure globale dans le calcul comptable.
Ainsi, dans les trente prochaines années, si la Chine se réveille vieille avant d’être devenue riche, le maintient des retraites par les salariés en activités pourrait ne pas être assuré sur le mode de la redistribution ou la retraite par capitalisation. Le coût du maintient des aînés au domicile des jeunes ménages pourrait être allégé suivant un système économique qui envisage l’accès aux biens et aux services par les retraités selon le mode de la gratuité. Soit la nécessité d’élaborer des projets de fin de vie peut-être sur un modèle hybride, communiste et capitaliste, la prise en compte de l’entropie inhérente à l’activité économique et aux conditions de la vie elle-même et le soucis de l’indice d’espérance de vie en bonne santé : soit l’élaboration d’une économie indépendante idéologiquement, pourrait susciter la possibilité conceptuelle d’une régulation des échanges de biens et de services non dans le sens unique d’une course aux profit involutive. En établissant des modèles de développement toujours ajustables à la réalité. En dernière analyse, cela relève de la capacité déterminante de l’économie libérale capable de susciter l’émergence d’une contre-culture, de même qu’elle est mue par une loi capable de s’autodétruire pour se réajuster aux nécessités du moment. L’anticapitalisme serait encore une œuvre du libéralisme, sans contradiction sinon dans les moyens employés avec des mesures visant à restreindre la délocalisation des bénéfices dans les paradis fiscaux ou le circuit spéculatif internationale…

Le coût d’une santé sociale doit être financé par une juste répartition des bénéfices. Si l’on peut concevoir la nécessité de la réduction de la part des salariés en cas de crise, le maintient de la part idéale dévolue à l’investissement, la part des patrons doit être réduite proportionnellement à la part des salariés, afin que les prélèvements n’instituent pas de cercle non vertueux en pénalisant un peu plus la consommation.
Bien à vous. Patrick Rakotoasitéra
NB : mon site de peinture et de réflexion établit sur internet : www.patrick-rako.nuxit.net

ADDENDUM du 16 aout 2009:

un article récent du monde rédigé par le groupe écologiste dont fait partie mr Mammere rappelle fort à propos que ce groupe est à l’origine de la proposition de loi concernant ce que sous le martellement présidentiel j’appelle la taxe carbone et qu’il conviendrait mieux de nommer contribution climat-énergie. Je l’ignorais comme j’ignorais que le coeur de cette proposition était en instaurant cette contribution d’en redistribuer les gains aux foyers dont les revenus sont les plus modestes. bien évidemment cette redistribution si elle était appliquée me semblerait justifiée.

Patrick rakotoasitera (Lettre au president et reponse)
Patrick rakotoasitera (Lettre au president de la republique) 

LA POLITIQUE ET LA POESIE ET VICE VERS CA

La politique est la maitrise de la consequence de ses actes et des actes d’autrui. Pour autant pourquoi s’interresser a maitriser les depenses budgetaires par des mecanismes qui voudraient se reformer, ou du moins reformer un mode de fonctionnement, quand le concernement par lequel on souhaite maitriser la consequence de ses actes, implique l’instauration d’un mode de communication conflictuel, dont on peut se demander s’il ne peche pas dangeuresement vers une politique qui oublit d’aborder la SOCIOLOGIE, celle-ci fondee aussi par la Phenomenologie, apres laquelle on se demande encore pourquoi le COEUR est obnibule par la raison pure, celle-ci qui peut emprisonner pour eduquer ou eduquer pour emprisonner ?

Certes, penser a partager les benefices de l’entreprise par 1/3, est une partie de la solution. Car , comme on l’apprend quand, poursuivit par une dette, on reçoit un avis a tiers detenteur. Ce 1/3 est l’avoir financier de notre etre. Et c’est vrai, cet avoir, tous les avoirs financier, dans le cadre de l’entreprise, pourquoi ne pas les soumettre
a un meme sort reflechi. De telle sorte que pour 1/3, les benefices aillent a l’investicement. Tandis que dans le meme temps seraient synchronises humainement les 100% des salaries de l’entreprise, soit en offrant un support informatique personnalisé permettant la verification des paiement et de l’ensemble des salaries et de la banque elle-même, si l’entreprise est une banque.

Je ne vous cache pas Monsieur le president que vouloir retirer les taxes qui pesent sur l’entreprise et inventer un impot de remplacement, sera difficile a maitre en oeuvre, et pis que ça, risque de desoeuvrer nombre de communes. Les quelles n’auront d’autre choix que d’expliquer a leurs concitoyen qu’il faut manifester… ce d’autant plus que votre discours ne sera fondé philosophiquement.

Dans le meme ordre d’idée, la branche de la MEDECINE Psychiatrique
peut etre perçue comme le lieu d’achoppement de plusieurs disciplines. Or, si des espaces , des hopitaux, lui ont ete consacres, vouloir remodeler la Psychiatrie de secteur, n’est une bonne idee que si les grands complexes Hospitaliers en question, ne sont pas transformés en “prison”, disons le mot. Et comme vous l’a deja dit Madame Royale, qui, si elle pensait integrer des reflexions plus sensibles raisonnait tout de meme avec le coeur: Il n’est pas seulement question d’avoir de la compassion pour autrui, il n’est pas question de ne pas en avoir ! Et je ne parle pas des capacitées de stockage de l’information qui devraient etre devolues a la sociologie et non devenir un instrument de controle et de maintien de l’ordre: c’est le lien sociale qui maintien l’ordre , pas le contraire.

Ainsi, le projet architectural de l’hopital psychiatrique ne peut etre balaye par une politique ambigue qui d’une part, rend lisible le devoir des salariés, lequel apparaitrait au gré de votre humeur et de la mentalité manipulée. D’autre part, en faisant appel a la moralisation comme si l’etat ne devait determiner que ce qui est mal, role en l’occurence devolu au peu de medecins qui restent, a moins que ?…

Au sujet, d’une nouvelle régulation des marchés : ceux ci fonctionneront quoi qu’il arrive, c’est donc la masse monetaire mise en jeu d’une bourse a l’autre qui doit etre clairement definie et cela sera certainement le cas si la volonte politique se fait communication.

Dans ma premiere lettre je vous parlais de la necessite de ne pas laisser la JUSTICE entierement aux mains agissantes de la raison pure (lire “lettre aux presidents de la planete” et “lettre a Nicolas Sarkozy”).
Les raisons pures ignorent l’utilisation de la douce rigueur, celle respectueuse de la nature humaine, celle avec qui l’histoire personnelle se confond avec le destin psychosocial de nos societes, ce qui est le premier stade du pardon.

Mais voyez vous, l’art qui a ete integre dans le processus psychiatrique, est menace par votre politique dont l’esthetique semble a priori fondee par la raison pure. Or l’art ou son concept joue un role tres important dans la regulation de la superstructure, vous ne pouvez l’ignorer.

De plus, il est crucial que la TVA sur les produits de premieres necessites et dont l’impacte ecologique est la meilleur, soit abaissee.Cette mesure est si importante qu’en meme temps qu’elle s’inspire de la PYRAMIDE DE MASSE LOW, pourrait réorrienter la machine Europeenne dans le sens d’un progres partage par tous sur une ere culturelle devolue a tous.

Certes me direz-vous, mieux vaut batir que ne rien faire. Seulement le projet architectural n’a de sens que si la population qui le met en oeuvre peut satisfaire ses besoins primaires et culturels. Nourrir son peuple et aussi important que le soigner, ou le divertir en permettant de l’ameliorer.

Or, le progres, il faut le repeter n’est valable que s’il est l’affaire de tous et pas une machine a vous reproduire, comme peut l’etre le blé , d’un autre point de vue, qui nous reproduit.

Si la Terre ne peut pas supporter l’accroissement de ses populations, leurs dirigeant n’offrant comme seule reponse a leur concitoyen que le defrichement des forets, afin (belle utopie) de privilegier l’edification du reel sur une base industrielle; les entrepreneurs, les speculateurs, partant : les assemblée d’homme et de femme qui organisent leur manoeuvre, sont tous a leur niveau responsable de l’inscription dans le reel d’un concept né prematurement et correspondant a celui d’une production coupée de ses sources de production.

Parce que au final, peu importe la marchandise a vendre. Il fallait obtenir des gains de productivite: la valeur ajoutée correspondante devait etre multipliee par des operation de business ou les bourses apparaissaient comme d’Herculeen ressorts, et jeux de circulation des relation monetaire. Rien moins que l’incarnation dans le champ reel de l’effort d’une politique qui croit qu’on eduque quand on emprisonne, efforts tendus a seul fin de renforcer l’attachement de la personne au 1/3 de son identite. En realite, voila bien une stratification sociale d’autant plus rigide et inflammable que la peur est le ciment commun a toutes les strates, laissant tout de meme des failles que seuls les alpinistes chevronnes peuvent escalader.

Pour le commun des mortels le nouveau jeu sera egalement de monter plus haut, afin de mettre a l’abri le contenu de son coffre fort, seul garant de son present, son avenir et revelateur de son passe.

Mais m’objecterez vous, les marchands d’art alimentent eux aussi la speculation ! c’est qu’il s’agit d’une speculation a part entiere, elle, capable normalement de sublimer les pulsions de mort. D’ailleurs si toutes les oeuvres d’artistes cotes ne sont pas envisagees dans le CAC 40, c’est qu’il est plus aise de transporter une toile que des millions d’euro evalue et non pas devalue, aux encheres. Moyen par lequel l’argent sort de la bourse pour penetrer dans la colection publique ou privee, jusqu’au jour d’echec economique ou il faut retransformer cet objet en or.

Mais pourquoi vouloir penaliser la societe parce que les procés se multiplient ? A defaut d’etre enochien ( les PME durent en moyenne 30 a 50 ans), on peut toujours choisir d’investir dans la solidite de ses actifs- et la il vous faudra relire ma lettre sur le taux d’usure (www.patrick-rako.nuxit.net rubrique “sa couleur”); car la relance par l’investissement n’evite pas l’investissement humain. Comme l’investissement pousse a l’investissement.

Vos discours ne laissent, cependant, pas penser que la logique du cumul des gains sera reellement une redistribution. En effet: si 1/3 des benefices vont aux salaries, en sondant un peu cette idee, on se demande qui du cadre ou de l’ouvrier verra son revenu nettement ameliore ?

Car, en definitive, la part du salarie le situe dans la position de l’ecartellement des membres. Ainsi, le chef d’entreprise peut toujours
profiter de la valeur ajoutee créé par l’efficacite de l’ouvrier, tout en repercutant sur les salaires le cout des taxes de l’entreprise, tandis que dans un mouvement en spirale le revenu des salariers se voit grevé par l’impot indirect avec une Taxe sur la Valeur Ajoutée applicable a tous.

Or, quid de l’immobilier? Le proprietaire est un entrepreneur comme les autres: il preleve sa part lui aussi sur les salariers, l’acquisition de bien et de services, se realisant dans le sens d’une farce, puisque le salarié, et votre gouvernement en a pri conscience,ce salarié qui peut tres bien etre proprietaire ne peut que constater l’existence du flux de l’argent.

Alors quoi ? notre corps est au mains de docteurs dont les actes, a l’instar de la fonction politique, doivent etre calcules. Notre infortune aux main des banquiers dont les scrupules n’outrepassent pas leur frais de fonctionnement?

Le role de l’institution banquaire s’inscrit, pourtant, dans la lignée du processus historique de la desacralisation des signes artistiques, parce que d’un point de vue economique, l’art en se democratisant a vu s’elargir ses domaines de competences; ainsi a-t-il pu s’affranchir du mecenat religieux: premier moyen par lequel les 1/3 de la personne dévolu a la spiritualite, etaient mis en vente.

C’est donc soit un sombre calcul, soit un relan de religion mal vecu que de presenter la folie a travers les actes d’un skizophrene. Specialement si on ne s’interresse qu’à cette fraction de la population ultra minoritaire dont les faits divers rendent celebre l’incapacité de la Justice a agir sur la folie.

Mais revenons a notre salarie. Non seulement il doit assurer l’existence de ses pairs, en cotisant pour sa retraite mais, comble de l’humain assisté par l’ordinateur, tandis que son argent alimente le circuit speculatif, et, puisque la logique est a celle d’un profit immediat delesté d’avenir; il se produit l’impensable.

Le salarié a travers les fond de pension, summum de la xenophobie, contraint les entreprise dont il s’est accaparé le capitale, a licencier là, pour relocaliser ailleurs; la où le cou de la main-d’oeuvre peut etre tranché. Autrement dit dans le monde qui ignore la loi des trois tier, le ou la salariée (manipulée) élimine le salarié.

Le salarié n’étant qu’un terme puisqu’un salarié ne ressemble pas à un autre salarié et que c’est cette abscence de lien qui frene l’accaparement des capacités de production par l’etre humain, si tant est que ce geste ne debouche pas sur une nouvelle utopie du soleil.

La fonction de l’etat à priori incapable de proteger les salariés, impose de savoir manipuler les concepts ( pour ma part j’ai cessé d’en inventer); car la capacité à nommer les animaux impartie à Adam et Eve, etait-t-elle destinee a s’accaparer dans un meme mouvement cannibalistique toutes choses et son essence ? meme le dernier de la classe pourrait repondre… .

La monnaie n’est qu’un avatar du verbe divin, pour autant cela ne signifit pas qu’au -dela de sa dimension esthetique, on doive la couper de son ethique.

Les flux financier fonctionnent a la fois de maniere rationnelle et alleatoire et c’est la rationnalité qui optimise l’efficacité de l’aléatoire en le rendant créateur de valeur ajoutée.

Aussi, au moment ou l’aléatoire (jusqu’au prochain coup de dé), semble, grace a la capacité de stocker de la memoire, et par le médiat informatique, capable de tisser un réseau comportant des points fixes et/ou constant: il est primordiale de preserver le revenu de chacun seul capable d’echaffauder des projets de vie authentique, que l’on croit a l’interret du travail ou non.

Par ailleurs, le taux licite au-dela duquel l’interet de la somme pretée est illegal devrait decouler d’une juris prudence, afin de libérer le salarié de sa vie de credit. Ce taux d’usure devrait pouvoir etre calculé pour ce qui concerne l’economie virtuelle. Dans l’economie reelle, le taux d’usure est lui aussi a surveiller puisqu’il a un rapport avec l’élasticité de la demande. En revanche l’économie souterraine dont les avoirs réintègrent toujours l’économie réelle sera peut-etre visée lorsqu’on etudiera les reseaux de collusion qui ont provoqués la crise planetaire.

A dessein de stopper ou plutot fragmenter le mouvement qui resulte de la mise en branle de ce taux d’usure des ressources naturelles, car dans le fond ce n’est pas autre chose que la Terre nous fait savoir: Si les syndicats s’entendent honnetement avec les patrons d’entreprise, si l’Europe abaisse d’urgence la TVA sur les produits de premieres necessite; si Obama donne de la voix pour le bien des population africaines, on peut espérer que le partage equitable de la Valeur Ajoutée mondiale devrait permettre de trouver un equilibre indefini, là ou le desequilibre des castes n’entraine pas la dechirure du tissus sociale manipule par l’accaparement des ressources.

A ce stade de la reflexion, je ne peux que vous enjoindre de ne pas opposer les groupes sociaux par une politique de repression des boucs emissaires.

En effet, le tissus sociale doit etre doux , solide, et suffisamment influance par l’architecture pour qu ‘à son plus bas niveau ou stade de la decheance humaine, l’elasticité de ce tissus humain, tel un trampoline, serait de permettre un retour à la vie sociale.

Mais l’amortissement de la souffrance, monsieur le president, doit etre supporté par l’état, si l’on veut voir un jour le tissus des relations sociales racommodé par de jeunes gent, peut etre des psychologue, a la rigueur ayant le soucis de l’efficacité, mais plus certainement oeuvrant: là ou le signe et son objet ont ete separés de leur relation symbolique d’amour par une realité sociale défavorable pour la famille.

Là aussi ou les concepts qui régulent la superstructure sont trop soumis a la delocalisation de leur lieu de rencontre. L’art masquant la religion, la religion masquant la banque, la banque masquant l’exercice du pouvoir absolu: l’état.

Monsieur le president en resumé il est bon de penser avec le coeur et non pas laisser le coeur n’etre qu’une pensee.

En vous souhaitant bien du courage, veuiller recevoir cette fois ci comme il se faut, mes salutation de bonne année.

NB: puissiez vous etre assez clair-voyant pour comprendre que la bataille d’Hernani a eut lieu: la virgule appartient aux artistes. Ainsi les 1/3 des benefices attribués aux salariés, devraient etre le mecanisme par lequel ce qui va au-dela de la decimale appartient a tous , soit ni a la banque, ni a l’entrepreneur; et que par consequent l’exercice comptable devrait toujours etre un nombre rond.

NB2: prochaine étape
” A PARTIR DE QUELLE TAILLE D’ENTREPRISE L’USAGE DES INVESTISSEMENT EST DEVOLU AU SALARIE ?

PATRICK RAKOTOASITERA

Rédigé par : patrick rakotoasitera | le 13 mars 2009 à 17:53

REPONSE RECUE LE 17 AVRIL 2009 DE MR CEDRIC GOUBET Chef de Cabinet du President :

Cher monsieur,

Le Président de la République a bien reçu votre courrier.
Monsieur Nicolas Sarkozy m’a chargé de vous remercier d’avoir souhaité lui adresser votre réflexion à laquelle vous pouvez être assuré qu’il a été porté l’attention requise.



 

Sensation d’art brut
Jean Dubuffet est un artiste du XX siècle bien connu dans l’ouest parisien, ne serait-ce que par sa monumentale « tour aux figures » dont les habitants de Boulogne, d’Issy les Moulineaux et des alentours peuvent admirer l’ingéniosité de ses 24mètres de hauteurs dans le parc de l’île Saint Germain où la statue trône.

 

Alors, imaginez qu’on prenne l’expression « art brut » attribuée à Jean Dubuffet dans son sens le plus large : l’art brut ce ne serait plus seulement l’art du peintre isolé, indemne de culture artistique, le fou des asiles : « fou d’invention picturale », la production des enfants ou des mediums, cela pourrait être aussi les fabuleuses peintures corporelles des primitifs, débarqués avec leurs animaux, sur l’île Saint Germain où l’architecte paysager aurait lui aussi tenté de faire de l’art brut .

Des vingtaines de marguerites, des tulipes, d’insolites fleurs d’artichaut, un arbre inconnu, avec fleurs en cercle, en rectangle, en triangle etc.…

Tout cela se voudrait explosion de couleurs, sous un ciel sensation d’art brut, soit étrange ou possible. Pour que le réalisme côtois l’hyperréalisme, le figuratif mystique, le pas fini, même : mais que l’ensemble laisse une trace colorée dans la rétine : peut-être une sensation d’art brut ?


Exégèse

Partie I
Selon le peintre sculpteur Jean Dubuffet qui en aurait inventé l’expression : «  l’art brut » désigne les créations de toutes personnes indemne de culture artistique : les « non professionnel », tel que les pensionnaires d’asile psychiatrique, les autodidactes isolés, les enfants voir les mediums ; chez qui il est question d’un art spontané, sans prétention culturelle, ni démarche intellectuelle ; art où se manifeste la seule fonction de l’invention.

Sachant cela, dans le tableau « art brut » j’ai tenté de pousser jusqu’à leur paroxysme les domaines que recouvrent l’art brut. Le tableau est de facture réaliste presque hyperréaliste pourtant la Tour aux figures de Dubuffet, symbole de l’art brut dans sa dimension architecturale bien connue des Boulonnais qui en allant sur l’île Saint Germain peuvent en admirer les 24 mètres de hauteur. Cette sculpture, dans mon tableau, entre en résonance avec les peintures corporelle de mes primitifs, et est soulignée par l’agencement architectural du paysage soit deux formes d’art que je propose d’inclure sous le terme d’art brut.

 

 

 

 

D’abord comme les peintures corporelles relevent d’un art spontané bien que codifie, tant aussi, l’architecte paysager structure l’organisation de l’espace en mettant à profit l’essentielle fonction de l’invention rehaussée par la beauté brut de la flore sa matière première.
Mais le paradoxe relève de la facture du tableau, celui-ci, on l’a souligne est réaliste voir hyperréaliste. Comme si ces trois domaines de l’art brut : la sculpture de Dubuffet, les corps peints des primitifs et le paysage ne pouvaient coexister dans l’espace-temps que sous l’hospice de la coïncidence, celle-ci révélée par l’hyperréalisme, autrement dit, en extrapolant, le réel lui-même.
Or, cet instant du réel ou l’on verrait 7 êtres, 3 bêtes a corne, 2 flamants rose, un paon, 2 oiseaux devant la sculpture de Dubuffet, cet instant est un possible peut-être utopique, mais pas irréalisable. Il correspondrait à une apogée du concept d’art suivant laquelle le lien entre tous les êtres préoccupés par la refondation esthétique du monde, soit les artistes des cinq continents, pourraient exister dans le même monde sans avoir à être classés selon le type de société qui les abrite (capitaliste, communiste, primitive ou autre).

 

 

 

Monde où le fou, à l’instar de l’injonction de Dubuffet pourrait dépasser son aliénation mentale en devenant vecteur des signes d’art influant l’ensemble des signes d’art de par sa simple existence.
Monde où le chaman qu’on a longtemps pris pour un schizophrène de par sa propension à faire de l’hallucination un moyen de connaissance, deviendrait et avec lui les membres de sa société, les promoteurs d’une culture dont les signes d’art sont primordiaux soit brut en ce qu’ils sont mus par une prétention culturelle et intellectuelle non dévoyée et aussi « pure » que les prétentions culturelle et intellectuelle à l’origine du besoin de créer l’art brut.
Monde enfin où l’architecture, art suprême dit-on, serait subordonnée au paysage et donc au respect de la nature au lieu que d’être soit une rupture avec le passé historique des villes soit l’expression ratée d’un impératif social de créer des habitats, inesthétiques faute de moyens et de but recommandables.

L’art brut dans le prolongement de l’intention de Dubuffet n’est donc pas seulement l’art pour l’art mais l’art ontologique, soit celui d’un monde primordial régit par la conscience poétique, celle qui définit la loi et dessine des armes grammaticales destinées à proposer toujours de nouveau chemin pour l’homme, sachant que le chemin primordial est un, tel que le laisse deviner un art primitif capable de faire coïncider le présent avec les temps ancestraux.

Monde encore où tous les discours celui du scientifique comme du politique se confondent avec la poésie, chair du langage organisatrice naturelle des rapports de l’être humain à l’univers. Ce dans le sens d’un signal ou second degré toujours accessible, toujours pourvoyeur de savoir et donc de pouvoir.

Tandis que le retardement de la satisfaction des instincts n’est pas le faîte de la pensée analytique et calculatrice, mais le fait de l’intuition cadrée par les règles poétiques, soit la pensée intuitive seule vraiment capable d’appréhender le sentiment poétique de la nature.

Ainsi compris comme un retour à la source pure de l’énergie créatrice, l’art brut élève l’esprit foudroyé par la maladie mentale, celui foudroyé par la solitude ou la vision surnaturelle ou enfantine à une dignité humaine enfin retrouvée grâce au médiateur artistique. Et plus le champ de ce qui est art se répand sur la terre des damnés ou poètes maudits, pourrait-on dire, plus, à contrario de cet afflux de nouveaux artistes, la notion d’art s’en trouve resserrée et réduite à l’essentiel de ce que l’art est : un domaine universel, mi-réel, mi-symbolique, régit par l’invention, soit le centre d’un mouvement qui contourne les obstacles issu de la hiérarchie des êtres en proposant un philtre ou une traduction du surnaturel dans un langage esthétique abordable intuitivement par tout un chacun.


 

 

 

Partie II

La beauté qui résulte d’une telle éthique esthétique pour ne pas dire morale esthétique, est le lieu de l’affrontement du carré inscrit dans un cercle pour ne pas dire maîtrisé par le cercle. Ainsi la plupart des tableaux de malade que j’ai pu observer ressemblent souvent par leur entrelacement de courbe et l’usage de couleurs extrêmement vives et mobiles, à des instantanés de l’énergie invisible qui tient l’univers par delà les lois physiques.
Energie perceptible grâce à un langage pictural original mobilisant toutes les capacités grammaticales de la poésie libre. Ici bien évidement il n’est pas question de faire le procès de la beauté des créations des artistes brut, sinon a dire qu’excepté moi et sans doute d’autres, lorsque le corps humain est représenté il est souvent réduit a un symbole naïf ou plutôt primordial, comme si ces artistes au corps meurtri ne pouvaient viser la forme corporelle sans la percer tel un rayon X pour accéder a son intérieur, siège de la beauté déchirante et tragique d’un réseau de veines et de nerfs, dont l’artiste brut adore retranscrire les échanges énergétique.

Echanges n’ayant rien a voir, ou si peu, avec l’agencement académique des couleurs chaudes (le rouge) et froides (le bleu). Ainsi ces artistes bruts nous font percevoir une beauté tout en instinct animal et surhumain, une beauté parfois monstrueuse. Celle que les peintres classiques trop soucieux du respect de Dieu, sans doute, n’ont pu aborder qu’en introduisant une dimension mythologique ou biblique pour noyer le corps académique dans une beauté dont l’aspect monstrueux n’était perceptible que grâce a une culture artistique de la tragédie partagée par le peintre et son spectateur. Culture perdue pour la plupart des humains aujourd’hui.

Face au constat de cette perte, le génie artistique poussé par la nécessité du sens a élaborer au début du XXe siècle un art conceptuel ou définit par une démarche intellectuelle. En réaction donc a l’histoire de la culture artistique ou plutôt a ce déficit culturel historique du grand public qui quand il ne faisait pas défaut (soit lorsque l’art n’était pas aussi démocratique) définissait les conditions d’une exaltation morale encline a mettre en branle l’âme sur le chemin Divin. Celui-la même que l’art conceptuel éludera au profit d’une mise en branle de l’être sur le chemin de l’imagination.

Mais l’imagination n’est pas l’invention, plutôt son présupposé. Aussi, si Dubuffet veut privilégier l’art où se manifeste la seule fonction de l’invention, peut-être est-ce la marque d’une sorte de dédain de la réalité visible. L’artiste brut lui préférant la saisie du cœur des êtres et des choses par la force et l’impétuosité de la pensée, à travers une sorte d’idolâtrie des symboles féminins et masculins (l’anima et l’animus dont parle Jung). Car en définitif, ceux-ci laissent le spectateur libre- cela en dépit de l’agnostique Dubuffet- d’en nommer le pivot organisateur par le terme de Dieu, ou esprit humain : soit les deux énergies réussissant à se jouer de l’imposante matière ou nature.

 

 

 

Partie III


Pour ma part, si j’aime a représenter la réalité de l’enveloppe humaine telle que je sens qu’elle a été, sera, et serait, une fois le poison de l’innocence dissipé dans le code génétique, c’est qu’a l’exemple de Michel Ange, le corps athlétique, pour ne pas dire guerrier s’est toujours imposé a moi, comme le symbole et la preuve de l’éternité possible de l’homme. Cela dans un monde ou le hasard ne serait plus qu’un facteur scientifique clairement délimité. Soit un monde tyrannique ou réconcilié avec son créateur.
C’est en visant cette réconciliation que j’orne les corps de signes distinctifs autant que primitifs, et que je les confronte a une dimension esthétique moderne et contemporaine, afin d’établir des passerelles de la compréhension mutuelle. Comme il se faut que l’artiste du XXIe siècle sache dessiner comme Raphaël, tout en n’omettant pas de jouir de la spontanéité créatrice d’un enfant de six ans, a l’exemple du cheminement spirituel débroussaillé par Picasso, le Gulliver de la peinture, et partant, de l’art, en cela : frère d’arme de Dubuffet, pourrait-on dire.
Or, voila la réflexion qu’a suscitée en moi la peinture du ciel, dans le tableau : « art brut ». Le sort de l’humanité dont la condamnation a mort découle de la condition humaine elle-même, tient tout entier dans notre capacité à lire l’univers au-delà de son organisation mathématique. Peut-être s’agirait-il de dissocier l’espace-temps de ses deux composantes, celle spatiale et celle temporelle ? Entreprise impossible, sinon en analysant l’arbre de vie, ou du savoir, abattu par Adam et Eve, arbre dont la disparition a introduit le temps dans l’espace : autrement dit la durée qui s’écoule pour l’homme qui va d’un point A à un point B, capacité soumise, a l’origine, au langage capable de par son essence divine « de faire apparaître », rien qu’en nommant.

Ce mythe que l’on y croit ou pas, permet de postuler l’existence d’un temps labyrinthique dont la connaissance de l’organisation devrait être consécutive d’une meilleure définition des trous noirs, ceux-ci qu’il s’agira de mesurer avant d’avoir la capacité de les parcourir. Ce qui d’un point de vue philosophique consiste à répondre a l’énigme suivante dont je traite dans << le Sentier Suprême des Ames bleues>> et sa suite : <<le Crépuscule de la Littérature et le Delirium Tremens>>. Soit, lorsque Alexandre l’africain se voit somme de contourner le paradoxe du mal, tel qu’il est défini par Zénéto, le juif idéal. A savoir : si le mal est concentre au bas d’un escalier situé dans une sorte de cave, faut-il s’en approcher, soit descendre les marches pour le connaître, sachant que par delà le bien et le mal, réside la vérité ?…

 

Partie IV

 

Revenons sur les techniques picturales qui ont suscité une telle vision. En autodidacte de la peinture qui commence où et quand il veut : j’ai peint d’abord les corps des primitifs, n’ayant comme repère que la tour aux figures dont je savais qu’elle serait située a l’avant dernier plan. En conséquence de quoi il est permis de dire que c’est l’intention architecturale de Dubuffet qui préfigure l’agencement des différents plans du tableau, motivant chaque coup de pinceau par une intention supérieure voulue cohérente.
Le chaman à l’extrême droite, le chef de clan au milieu, et le guerrier au premier plan, je les ai peint en utilisant la superposition de couche de peinture à l’huile, appelée glacis. Mais, sans utiliser divers produits chimiques, sinon un diluant usuel : l’essence de térébenthine. Et chacun des êtres du premier plan selon une technique différente, inventée ou réinventée, avec l’intention de personnaliser chacune de leur carnation.
Les personnages du deuxième et troisième, ou troisième et quatrième plan, sensée être plus jeunes, leur carnation est cree selon une technique sensiblement ressemblante, et a vrai dire réalisée a tâtons, tant il m’a été difficile de trouver un effet convenant a mon intention directrice. Soit : communiquer une sensation d’art brut, but, o combien utopique, qui revient à inventer un langage pictural idéal qui parlerait du langage pictural idéal.

La faille conceptuelle relevant des prémisses ; puisque le langage pictural obtenu semble, a priori, plus proche de la peinture classique de la Renaissance que de n’importe quel acte pictural affranchi de toutes références culturelles artistiques.

Mais a posteriori, cela est compréhensible si l’on considère que la référence culturelle adoptée correspond au point de vue de Dubuffet, point de vue saisi par le biais du monument qu’est-la <<tour aux figures>>, laquelle existe en trois dimensions. Du reste, sa reproduction a main levée, je l’ai réalisée au prix de mille et mille efforts répétés. Tant cette sculpture de 24 mètres de hauteur semble définie par un équilibre étrangement parfait entre : le caractère à priori contingent du tracé « aléatoire » de ses « figures », et sa détermination architecturale de tour. Comme il se faut que ce soit une tour, avant tout la tour de Babel, selon moi.

 

 

Si tu veux préparer la paix prépare la guerre ! , est-ce vrai? et pourquoi est-ce un à priori stupide:

tout d’abord parce que la guerre depuis le 9ème jour de la création qu’elle a commencée a toujours été un anti-destin pour la femme évangélique et la posibilité d’un destin pour la fuligineuse Pandore. Autrement dit quand les hommes vont à la guerre les sourires crispés peuvent danser sur les lèvres libérées des femmes ainsi affranchies de la dette éternelle qui pèse sur leur destin.

De plus, à la fin de la guerre la Dette se reporte toujours sur les épaules des perdants, homme, femme, comme enfant. Sachant que les femmes de l’autre camp ont perçu elle également la possibilité d’un anti-destin, affranchies à leur tour de la dette, celle-ci se reportera sur leurs enfants. Où l’on voit la nécessité lors du prochain sommet internationnal de libérer les peuples de leurs dettes intélligemment et pour de bon, afin d’éviter de préparer la paix…

La Vie n’est pas un capital elle est juste capitale pour consommer humainement les fruits de la planète Terre, la considérer autrement que comme un acquis cela revient à nier l’existence du concept de Dieu et la lutte ontologique de chaque homme pour acquérir son épouse et la mettre en floraison dans un monde choisi. Et si l’on ne choisit pas d’être, pour autant, il est malsain qu’on supporte les multiplications de l’aigre vieillesse, elle qui veut pouvoir quand la jeunesse veut savoir. Paradoxe économique résolu si l’étalon international était le BITS, car alors la jeunesse n’aurait plus a payer les fautes de la vieillesse et en entrant dans l’aire de l’offre et la demande, pourrait-elle apprendre à savoir ce qu’elle veut, quand la vieillesse pourrait vouloir ce qu’elle veut une fois affranchie de l’obligation d’utiliser la monnaie sonnante et trébuchante; comme il se faudrait que ses besoins soient assurés en BITS, ceux-ci non immédiatement convertibles en or pour cette tranche d’age.

Pour comprendre le chapitre VII de « L’Univers des Signes les Signes de L’Univers » à savoir celui de la 2eme partie traitant de l’approche de la resolution du conflit ( Rôle de la diffusion de l’écriture et du développement des moyens de communication, dans la stabilité de l’empire romain); il est nécessaire de le confronter avec le VIIeme chapitre de la 3ème partie: La Figure de l’autre, intitulé : La Sorcière et la figure de l’ENFANT; tout en ne perdant pas de vue le VIIème chapitre de la 4ème partie ( Révolution des modes de transmission de l’INFORMATION) dont le titre est: Dédoublement de l’art: L’art totalitaire, et diffusion croissante de l’image-information; ce, si l’on veut comprendre le VII chapitre de la cinquième Partie du projet de recherche ( Montée de la face cachée du monde, dont nous sommes les contemporains), Chapitre s’intitulant: Le projet Architectural et la volonté politique.

En effet, en proposant mon projet de recherche au collège international de philosophie je ne pensais pas ou si peu, que ce projet fondé par l’interrogation du concept d’art servirait de colonne vertébrale aux guerriers des 9 continents, cela m’a valu d’être un temps arbitre international perpétuellement en procès, devenu fou parmi la folie inhumaine, donc clairvoyant et sinon peintre du moins poète, soit un des législateurs méconnus du monde terrestre.

Mais ne perdons pas de vue l’axe de notre projet de recherche du sens de l’art. Souhaitons être encore plongé dans le terreau de la communication de n’importe quelle société sans la dépouiller de sa chair languangière afin que ses fruits fécondent une anciennement nouvelle philosophie de l’art, puisque nous sommes mus par le besoins impérieux de ne plus créer de nouveaux concepts, attitude perpétuant la guerre.

Ainsi, souhaitons que notre démarche n’enferme pas le questionnement philosophique sur lui-même comme ce fut le cas lors de la seconde guerre mondiale, lorsque le nazisme et le fascisme pendant du liberalisme et du communisme voulurent tous en même temps habiller Eve de leurs signes distinctifs en lui proposant ce nouvel homme mi-Dieu, mi-satanique dont seul Lilith, l’Eve au coeur déchiqueté aurait pu espérer vouloir. Eve insatisfaite de Beauté pure qui en la personne de Simone wiel refusera toujours d’enfanter malgré les injonction du conseil israélite déstabilisé par ce membre incapable de s’élever socialement, donc de quitter le travail à la chaine, comme il se fallut que Simone au nom de Dieu refusa d’abandonner ses amis ouvriers, donc esclaves modernes, quand bien même son travail d’écrivain lui aurait permis de briguer les plus fameuses recompenses, elle, être de mumière qui avait tout compris des raisons qui poussèrent Léonard de Vinci à écrire à l’envers. Elle, pion de Freud et point de référence qui lui aurait permis au coeur du mal de chercher le beau, et de mieux s’interroger sur sa laideur. Si et seulement si Freud à l’instar des Surréalistes avait reconnu combien ce n’était pas un hasard si tous les fous l’avait autorisé a regarder le diable droit dans les yeux par l’intermédiaire du miroir psychanalitique propre à considérer l’envers du monde de Dieu et idoine à trouver et retrouver d’autres chemins pour les hommes.

Mais à Vienne, berceau d’une valse des regards s’entrecroisant pour tisser un réel où les sensibilités de chacun se défendaient d’être ramenées à la pensée d’un seul sujet énonciateur, Freud piètre médecin, dont il était de notoriété publique que ses frères maitrisaient verticalement et horizontalement la production de la cocaïne, lui qui tel Caïn mortifié à l’idée d’avoir assassiné son frère héroïnomane, s’était juré et noblement juré d’aller à la rencontre d’autrui et de la matérialité des choses en s’inscrivant dans la lignée de cette intention philosophique caractérisée par une dimension critique vis à vis du langage, telle que l’avait réactualisé Nietzshe, puis plus tard telle que la réactualiseront, aprés la seconde guerre mondiale, Foucault ou Wittgenstein. Mais là, à la différence prés ou à la trop grande ressemblance de qui, ayant mal compris Victor Hugo quand il nous enjoignait de mettre du génie dans notre vie, Freud l’inventeur de la cocaïne, verra dans chacune de ses patientes l’héroïne qu’il faut plonger dans le noir (l’inconscient), de telle manière qu’ainsi aveuglée, elle recherche à travers la brèche du language le point surréel: mi-réel, mi-symbolique, grâce auquel, le discours cesse d’être un motif de dissimulation des mobiles humain, point lumineux qui rayonne dans le coeur de l’homme, étalon de la véritable beauté, la plupart du temps sans rapport, ou plutôt ayant cent rapports avec la beauté de son enveloppe terrestre. Homme que les veines circulatoires de la Terre taillée dans sa chair argileuse, véhicule toujours de la même manière depuis la nuit profonde des premiers temps, tandis que seuls la guerre ou l’art permettent d’inflechir les caprices, (excusez moi du terme),de l’espace temps en se révélant destin ou anti-destin.

Aujourd’hui est-ce pareille qu’hier? cette aprés-midi est-elle la soeur de ce matin sans déluge sinon ces gouttes d’eau qui tombent de ton coeur afin d’exprimer ton humeur toi dont l’Univers est peuplé de sentiment, m’accorderas tu ce droit des intellectuels qu’avait reconnu Soleil man le magnifique quand il eut s’agit de voiler la beaute pour rendre les hommes égaux, sans se soucier de leur laideur, ou de leurs grimaces qui en d’autres temps nous auraient fait bien rire, mais voila en abattant l’arbre originel Adam, eve, leur enfants, et lilith qui était partie rejoindre les fils des hommes sur une barque faite du bois de cet arbre, tous ont rompus l’équilibre du Temps. Depuis l’etre humain est contraint au don de la LOI, alors emir, voila ma question: Le ramadan respecte-il bien la Diapose ? Question qu’il m’a ete permis de poser a Salomon :  » il reste trois architecte » m’a-t-il repondu alors. Qu’en est-il maintenant : la sagesse était-elle retenue par sept piliers le huitième jour de la création ?

Extrait de  » l’Ecrin aux Epines d’oursin » chapitre VII : description de l’institution psychiatrique

Certes Anne, tu m’as fait aimer Freud moi qui lui avais préféré son égal : Jung .
Certes, graçe à toi j’ai céssé de croire qu’à l’asile on s’acharnait seulement à m’empoisonner.
Certes, pour te plaire j’ai accepté ces piqures qui me faisaient dormir 15 heures par jour et grossir de jour en jour.
Certes, avec toi j’ai compris qu’on pouvait, qu’on devait renoncer à quelque chose, moi qui parfois en vous autres ne voyais que des choses auxquelles je ne pouvais pas m’identifier.
Certes, plus je t’ai couru après moins je t’ai attrapé, mais je te jure que sachant que Jeanne d’Arc est le premier travelo que Paco Rabane ait habillé, que si moi je l’avais lancé la mode ( j’ai inventé la mode en 1055 avant les cris de Jesus): des robes tu en aurais portées et si serrées que pour marcher il t’aurait fallu sautiller qu’ainsi je puisse te rattraper quand tu m’échappais.
Certes, tu me disais un baiser c’est une intrusion quand c’est volé. Mais j’étais niais avant que tu ne m’arraches mes derniers lambeaux de coeur pour me guérir, et dans ma niaiserie je me disais que si j’avais raté ton tout premier baiser qu’au moins j’aurais le privilège de te donner le dernier.
Certes… .

Alors pour la première fois ici, Anne, je te raconte et tu ne rigoles pas, comment se termina notre idylle myrtille:

d’abord, le matin o n est allé, tous les deux, main dans la main, à la piscine. Une fois arrivés près du bassin tu m’as dit dans l’eau pas d’urine ! que du pédalo ! Ainsi j’ai fait la planche et tes pieds dans la flotte ont fait des tranches. Après dix kilomètres, on a atteint une ile toute verte recouverte d’hetres. La tu m’as dit: sur la pelouse pas de parthouse que des bisous ventouses. Aussi je me suis transformé en Zèbre, toi en zigzag, et traversant la foret nous fumes l’animal le moins banal… .

Mais feu de Dieu, quand nous regagname notre auto bleue, il n’y avait plus de rouge, d’orange, de clignotant, de stop, de priorité maladroite, notre voiture à cent mille patates ne reconnaissait plus que les lignes droites, les queues de poissons, les écrasement d’escadrilles de moucherons sans compter les nécessaires renversements de piétons. Nécessaire car après il fallait bien s’arreter: comment aurions nous fait sans prélever l’impot éclair de Bouddha pour subventionner nos futurs repas, nos provisions de bonbons, coca-cola et marijuana?, morceaux de chair et abats?, pour toi Ste Marie couche toi la-la-tout contre moi ? Malheureusement ça s »est vite su dans la région que nous ne respections pas les lieux publics ou le public des lieux que nous visitions. Bande de limaces, nous, nous nous aimions d’un amour animal et cannibale; à en mériter quoi ? maintenant je sais: peut-etre le tribunal pénal international, pour avoir sacrifié tant de gens las! Puff!! disais-je: qu’importe de devoir prendre la porte à bord de notre bolide moi je sentais que la porte elle ‘tait pas solide.

Et te souviens-tu de cette course poursuite? la Gendarmerie d’abord, la police en hélicoptère après, puis l’ Armée en larmes, les dessins d’Hergé scientologue avant l’heure, las des G des S et des E, le maussade dans une voiture-pagay, le KGB nouvellement FSB, la CIA, pilotée à distance par la NSA ou la NASA : un million de scorpions voulaient nous espionner. Mais nous n’avions plus de chene… OOUAAA SAINTE ANNE de l’ile d’ibiza, combien de surfeur peuvent aborder? je suis pas un dealer, j’aime faire du roller avec avec jenifer killer, ai-je dit au dealer de botte en vrac qui met ses pattates dans un sac de bure car je ne fait que de la peinture monsieur nicolas et vous etes super chouette avec vos cacahuette touvée dans un kinder et hop apres un certain temps le cancer du poumon réaparait mais comme c’est hallo win une bouffée aspirée dans un aquarium et HOP champagne, le poumon prélevé devient une chaude pisse pour le mormon et pour toi homme si beau une bronchiole qui se ramifi, nicolas DAR LAIT, je t’aime.

ANNE dit aux habitant d’ibiza qu’on cante la chanson, suivante, et en coeour avec boufée d’hadi, pouf plouf, LE MORMON EST UN COCHON? IL NE TROURNE PAS ROND, CE SOIR GAINSBAROW FAIT DU RAKOTO? ET PICASSO MERDE LE ROBOT…. en COEUR ET AVEC DE LA HAUTEUREUReuurueuuruueuuruuuueueuuueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueueurrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, pas d’ereur c’est halloween et le père WIN WIN WIN comme la PENNICILINE, MAIS SANS CRIME parce que si je m’en JOHN JOHN JOHN JOHN LENNON BALIFROILLE BALLIFROLLE UNE F7VE OU AMANDE ou fève du brésil pour IBIZA mais pas de chocolat pas de bras por le nain mormon des anus anne, usa, U.S.A de patrick que tu receuille chaque jour par amour en apprenant que je t’aime chaque  jour et chaque jour, et s’il le faut nous sauverons l’amour, mon amour en apprenant à dire / bonjour pour que les allemand refilent la chaude pisse au mormon uni jambiste, ce lampitse qui confont les piste et le reglisse mais, FUCK YOU YOU YOU ? NON SKO SKO SKOU SKOU SKOU BIDOU OU ouooouooouooouoooouooouooouooououooouooouoouoouoooouooouooouooouoouoouooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuoooooooooooooouuuuuuuuuuuoouoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooou § toujours égale à moi-meme puf daddy, je te le dit pardonne la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la kla ala ala ala llalala lai lit LILAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA A A j’aime bouddha mais dit moi Oç ôôô dit moi finir dans le petit vehicul c’est sur ibiza devenir une tarantul minuscule qui gesticule dans les couilles de ce couillon de mormon dont les enfant aime et connaisse les elefant et chante à barack libère le BONOBO laisse lui l’ordinateur car il est dans mon coeur et je m’en JOHN JOHN JOHN JOHN balifrouille les couille que l’uni-jambiste attrape la chaude pisse ton kinder c’est du beurre de pise pisse peace mais pas dans le chocolat pour toi ha la la la la, pantin aux trois main je te merde ton boukin les HELDER son des surfeur et FFFUCK? FUCK FUCK, grenouille de mes couilles tu n’aura pas autre chose qu’une putain d’amande n’est-ce pas NICOLAS SARKOZY oui je le dit j’ai voté pour mon blaireau ce matin et en me reveillant je n’étais pas dans un boukin ni dans un requin j’étais fin comme comme comme une tige grillée et en ce consummant ma cigarette à aussi consummée le consummérisme O¨isme de la pensensée PENS2E bonobo à une pensée aujourd’hui est un bon jour pour mourir ce matin je me suis réveillée charin comme un rein et mon refin serafin du mal un un un un choum le nain non seulement ta fille veut etre une pute main aujourd’hui ma cuite n’est pas fini je ne sai ou je me suis assis certainement dans la peau peau de couille d’un salaud de rakoto et la en désoulant je dit ha ha ha ha je sui calligula sssssssssssss tu glisse ? alors n’empeche pas la chaude pisse de ce malin de petit suisse que comme beau comme le sige si je suis une bonobo c’est qu je t’en merde et ta merde tu te la garde pour toi pa pa pa pompompom pas de chocolat pour un bras juste de la chaude pisse homme sans foi ni loi, cloon du cyclone cyclope de ma clope HA HA HA je te fuchk dieu de merde je t’encule spatule j’ai la me^me ête de cca ca ca huette ha ha ha me fredonne calligula en observant ta gueule de nain déformé refoeme du jardin du jardin de saint sainte sainet luc besson meme si ma cuite m’a fée mafe mafe mafe mafe mafe me trompé de fauteille jamais je ne serait triste trrritse comme un cerceuille si un surfeur tombe dans la piscine c’est normal et il n’y a pa s de mal reprenez tous en coeur la chanson du bohneur je suis un homme hop hip une feuille de chou chou fleur chou je ne suis que sur sa liste mais ne lui donnerait jamais la mort juste un corps de merde pour un nain-lapin la peint la la la la la la la un pain dans ta gueule mec si tu louchousse sur ma fille non seulement tu sang de chaude pisse mais dans ta cullotte de préférence l’eau rance de ton vieux con je n’en veux pas n’est pa pa pa chez moi l’amour c’est naturel je n’ai pas d’aile ni de devise je m’ en fou je ment fou de venise alors ma punition;,; fuck you die » c’est halloween sur terre mais pour toi que la chaude pisse dans ton nem unijaaaaaliste, dieu aucun mort à ibiza où je fait un carnage je déchire le coran la bible et je ne te laisse mort mot de con que l’oubliette de ce zip qui skrach ta bite minuscule, non seulement les helder je les ai trouvé beau poli intelligence d’engence mais ce son des surfeur né alors au lieu de faire la planche tombe dans ton livre de merde s’il veulent une planche je ne provoque pas une avalancve une avalanche, moi je ris de ta triste sottise ton chocolat de merde égale ton livre de merde alors laisse tes enfant devenir qui il veulent connard et moi mes légionnaire ils ne glisse pas du cul ppa pa pa pa pa de bon chocolat parce que tu manque de culture et au lieu de vouloir me donner ta puter luther mange du camember corbeau en été je mange des menthe  hallo president si ce nain ose emprisonné le bonobo je désintègre la terre de sa merde de personne hello hello ;; ha ha ha tu décroche cloche fragile ou je te rend débile de veille personne personne , hallo à l’eau les surfeur on surfffff jusqu’à ibiza sans s’arreter aaaaaAnne je t’aime en ma personne personne paul consomme grille grille ta clope avec le gars du bourg qui un jour à fané l’amour fleur de picasso-rakoto non non je ne suis pas un bonbon je dit just NON NON MUSICIEN VOUS N4AUREZ pas un quatrain je suis malgache au point de gacher le mal bande de vieux nin, alors si on reste un petit con de marionnette j’agite ma cacahuette et comme une maionnette si je casse les baton c’est quen les dansang comme mickel kloxone saxon puissant si tu veux me tuer je débarque en personne et je te merde ton champ de merde d’impuissant la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la un bras, fuck you dieu on danse mais toi tu n’est pas un enfant tu est un visse vieux stop, nous sommes en 2100.

Essai macroeconomique :

La definition la plus evidente du terme « economie » provient certainement d’une peur humaine consistant a vouloir prevoir l’angoisse provoquee par un futur incertain, lequel nous contraint a differer la satisfaction de nos desirs les plus hauts au profit de nos besoins fondamentaux journalier et futurs, par une economie des moyens utilisee en vue d’un resultat maximal permettant, grace a cet epargne dans la depense de soi, l’existence du futur, le notre comme celui de notre famille et partant de la societe qui nous abrite.

Ou l’on voit ainsi comment l’economie ou l’epargne vise la maitrise des instincts les plus vils et denote l’existence de valeurs subordonnees ou naturellement hierarchisee par les limites qu’imposent les resources de la nature, laquelle aura toujours le dernier mot en matiere d’architecture.En effet, c’est elle et elle seule qui inspire la mesure, ce quel que soit le nom qu’on lui donne: Dieu ou mere nourriciere.

Mais bien evidemment, plus la nature sera idealisee par un concept masculin plus il y a de chance que l’architecture obeisse a un souci d’eternite et se distingue par l’utilisation vaniteuse de la pierre et des techniques metallurgiques elaboree, tandis que la societe patriarcal au premier stade de son histoire recoure a l’ecriture pour organiser l’echange des biens et des services selon un mode economique de type capitaliste, dont le propre tient dans la capacite a renouveler les instances dirigeantes en fonction de l’appropriation de la masse monetaire. Car cette appropriation releve d’une capacite a reorganiser la hierarchisation des concepts, capacite accessible a tout un chacun en theorie comme en pratique.

Mais comme c’est le cas pour les societes de type matriarcale, la ou la vie economique, du moins dans les premiers temps de son histoire, etait fondee sur la valeur de la naissance et du mariage, naissance de nouveaux concept et mariage ou raprochement entre interet commun, c’est la ressource naturelle qui regit l’edification conceptuelle. Ou l’on voit bien, dans ce cas, pourquoi la communication ne nececite pas forcement le recours a l’ecriture, celle-ci quand elle est separee de sa dimension esthetique, qui augure l’affaiblissement du credit ou fidias en dehors du contrat ecrit, et augure le prelevement sur la masse monaitere de la part de l’instance dirigeante a travers l’impot.

Alors pourquoi les societes matriarcales comme patriarcale, sont-elles vouee a disparaitre a un moment ou un autre de leur histoire ? Je repondrait que cela tient au fait que les lois de l’economie sont aussi immuables que les lois de l’evolution naturelle. Et que le moment de la crise economique a toujours correspondu a un double evenement. celui de l’epuisement des resources qui implique le deplacement de la tribut vers une terre plus hospitaliere ou les proteines, l’eau et les glucides sont accessibles plus facilement dans le sens d’une economie la plus maximale des moyens employes par l’homme pour se nourrir. Et d’autre part, un avenement dans la hierarchie des concept caracterise par le conflit de pouvoir entre le chef de clan et le prophete dont les intuitions conceptuelle oblige le chef de clan a se reapproprier la parole pour mobiliser autour de lui les ressources humaine en vue de faire la guerre, s’il s’agit d’agrandir le territoire, ou de l’abandonner comme on abandonne le coeur de la foret, afin de trouver le lieu ideale a l’exercice d’une domination culturelle inedite, et a priori incompatible geographiquement avec l’ere culturelle precedante dont le pilier est la figure du chaman, a l’instar de l’artiste, qui frene la mutation architecturale en interposant des signes naturels, et artificiels, si ceux-ci sont charges d’une dimension sacree, propre a offrir une lecture du monde mediatisee par la lecture originelle de celui-ci. Autrement dit par une lecture non pas fondee sur l’ecriture mais la poesie et ses intuisions fulgurante et reparatrice du psychisme humain. Poesie ou action chamanique fondee sur l’economie du delire, a savoir l’hallucination maitrisee et productrice de sens partageable par tout un chacun. A contrario de la lecture fondee sur l’ecriture dont les caracteres a priori immobile sont les pendant d’un intelligence analytique, laquelle suppose un apprentissage lors duquel la pensee se voit limitee par une multitude d’a priori que seuls l’art et plus specifiquement la litterature pourrons inflechir en permettant la rencontre entre les etres vivant ou non, ce par dela la mort.

La crise economique actuelle dont le pendant medical est la depression, le risque: la folie et le regne de l’anarchie des instincts pourchasses par les actions de la raison pure pauvre en discernement quand il est question d’imposer a Dieu la reconnaissance des siens parmi les victimes de son intolerance et son manque de precision.

la resolution de cette crise planetaire, ne se realisera pas sans un retour salvateur des principes economique fondamentaux, et en premier lieu desquels, la subordination de toutes theories economiques aux principes de realite : ainsi la masse monaitere impliquee dans la speculation ne devrait pas exeder un certain montant, celui ci prealablement defini, peut-etre par le FMI d’ailleurs, afin que les concepts de beaute et d’amour qui strucurent les bourses en definitive, en sucitant un decalage chaque jour plus grand dans le differement de la satifaction des besoins vitaux, soient infléchis. Le riz , produit non manufacture comme le ble, avant d’etre livre pour de vrai, objet d’une speculation inconsideree destinee a mettre l’eau a la bouche pourrait-on dire, cette speculation en dehors d’un desequilibre entre l’offre et la demande, est toujours agravee par les relations marquees par la frigidite entre la raison pure et l’acte d’amour sans cesse differe par la presence de la beaute que tous le monde veut, ce qui entraine la speculation sur les produits manufactures quand on a oublie les poemes de l’ecclesiaste, et qu’en definitive on croit que l’argent se mange et qu’on a trop tard compris Moliere quand il dit qu’il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger, action cannibale prouvant l’archaisme des bourses, qui conduira, si vous ne faite rien pour y remedier a vous mettre « en galere », votre reflection en la matiere se reduisant finalement a une autre verite de moliere: « Mais que faisait-il donc dans cette galere ».

bonne journee.

Patrick Rakotoasitera celui qui sait que s’il y a sept soleil dans l’Univers en revanche il ne devrait y avoir que six terre…

Extrait du quatrieme mouvement: ART ET DIFFICULTE DE SAISIE DU CONCEPT PAR LA CONSCIENCE du livre « L’Univers des signes les signes de l’UNIVERS » :

page 23 à 25

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Selon notre constat sur la creation et la reception de l’oeuvre, il n’est pas envisageable de disjoindre l’analyse de l’objet d’art de l’etude de la maniere dont il est et a ete utilise. Mais, meme si nous avions retenu l’option de degager, en dehors de la signification des oeuvres, un sens relatif a la production de l’objet d’art, et au specificitees de sa consomation. Si l’objet d’art et son utilisation de notre point de vue d’observateur, devaient constituer les seuls signes probants de la manifestation du concept d’art dans le milieu social: comment delimiter le concept d’art pour autant ?

Cela suppose de classer les objets d’art, ou en l’occurence les signes d’art, par famille de signes. Par exemple, en distinguant les objets en fonction des techniques dont ils sont issus. Cela suppose d’adopter un classement qui tienne compte, non seulement de toutes les techniques artistiques, mais, egalement les presentent dans un ordre comprehensible.

Or, il s’agit d’agencer, pele mele, les unes relativement au autres: les techniques de la peinture, de l’enluminure, du vitrail, de la mosaique, de l’incrustation marquetterie, de la sculpture encore, ou de l’architecture. Sans omettre les objets realises a partir de metaux precieux, ou faisant appel au nouvelles technologies.

La longueur de la liste depend de l’historien d’art. Le classement quant a lui semble devoir etre toujours fastidieux. Que dire de la photographie ?, des techniques cinematographiques, du theatre ? ou encore de la technologie informatique, et de la creation d’image de synthese ? . Quand il ne s’agit pas non plus d’omettre de rendre compte d’un materiel verbale aussi immateriel que la Poesie, dont les « techniques » sont la chair du LANGAGE, lui-meme.

Alors, qu’en est-il de ce que l’art est ? Peut-on parler d’art, lorsqu’il n’est pas vraiment aise de dire quels phenomenes recouvre le concept ? Quand l’ensemble des objets aux quels il refere semblent si dissemblables ?

L’art produit des formes, des images, des sons, soit autant de signes au sein de l’univers de signes qui quadrillent nos espaces urbains. En cela, nous pouvons avancer qu’indeniablement les manifestations d’art participent aux marquage, a l’encadrement, pour ne pas dire au recouvrement de la vie humaine par des signes.

A ce stade de notre questionnement, il est possible d’envisager de quelle maniere etudier la production des signes d’art, relativement a l’echange perpetuel de signes de nos societes et des societes entre elles. Le sens de notre recherche semble-t-il faire defaut?

En effet, quelle verite esperer de notre quete d’art, puisqu’au demeurant le concept nous confronte a l’evanescant, la futilite du sens? Ou commence-t-il dans l’univers des phenomenes ? Peut-on le localiser precisement parmi des phenomenes collectifs et individuels de refoulement, de fabrication, ou d’utilisation d’objet ? D’autant que l’art semble nous imposer un reajustement perpetuel et continuel vis a vi de notre rapport au sens des choses, a la valeur que nous leur attribuons,comme si par nature nous etions aveugle

L’exercice du CHIDAKASHA, ou experimentation de l’existence de la conscience dans le HATHA-YOGA, lorsque le YOGI se tient les yeux fermes, est termine.

Extrait de la 4eme partie de l’univers des signes les signes de l’univers:
 » REVOLUTION DES MODES DE TRANSMISSION DE L’INFORMATION »,faisant suite a la 2eme partie: APPROCHE DE RESOLUTION DU CONFLIT: VIeme chapitre (Institution medicale et euthanasie);ici, afin de preciser le concept economique sans obliger le concept d’art a muter, ce qui nous amenerait au VIIeme chapitre: DEDOUBLEMENT DE L’ART: l’art totalitaire, et diffusion croissante de l’image-information, il convient de parler de la 3eme partie: LA FIGURE DE L’AUTRE dont les chapitre sont ordonnes comme suit:

I) L’ ETRE invisible: EVE.
II) BEAUTE et animalite.
III) La beaute de la mosquee, la beaute de l’eglise.
IV) Etude du role des arts dans les strategies de communication de l’eglise islamique et chretienne.
V) Naissance de la peinture a l’huile.
VI) l’exemple de CARAVAGE.
VII) La sorciere et la figure de l’enfant.
VIII) Desacralisation du domaine medicale et expension du pouvoir profane.
VIII bis) Sedition d’une eglise reformee et reappropriation des domaines religieux et scientifiques par les forces agissantes de l’art.

Ou l’on voit ici deux parallele redondante, comme si Archimede avait deja emis l’idee, en qualite de geometre de preciser la mesure du cercle par opposition a une qualite architecturale irremediable: la perpendicularite de l’espace qu’on mesurait a l’aide du carre.

Mais ne comptez pas sur moi pour vous offrir une solution finale, en ce moment nous tentons de preciser le concept economique,autrement dit il est question d’humaniser le concept de communication dont nous avons vu qu’il recouvrait trois niveau de realite: celui de l’enfant, celui de la mere et celui du pere.

Bref, est-il possible qu’un BITS vaille un BANCOR ? Sachant que pour repeupler la mer il nous faudra, semble-t-il, utiliser les aquarium et en depis du pere repeupler la terre a l’aide de tous nos verre, que la masse de l’ensemble des etres soit aussi legere qu’un vers,puisque notre incurie temporelle nous a conduit a ne pas organiser les elections presidentielle de la planete le meme jour. DIEU, MERCI.
Quant aux soldats Qui mourraient sur le champs de bataille puissent-ils se rappeler que nous etions trois cent autour de Leonidas et que si nous sommes mort, Leonidas ne nous a pas survecu, car ainsi etait notre seul but,permettre la naissance d’Hannibal,nous qui avions aime a en mourir.Certes, Leonidas nous avait enseigne qu’eve etait tellement immaterielle que quelque soit sa forme, elle etait belle malheureusement ou heureusement, disait-il: Liliht, ou Pandore adorait tout cour, un autre animal que Behemot, arguant aupres d’Adam que ce
n’etait pas un tout couleur, et que donc il ne pouvait pas comprendre.

Mais après qu’adam eut ressenti le dedain d’Eve ( voir le dedain d’eve dans la galerie), il conçu une pirogue en lui enjoignant de ne pas repousser du pied la barque qui l’avait fait passer.

Quand Leonidas nous interpella par de telle parole, la femme de l’un d’entre nous se mis a rire : c’etait ma femme, celle qui savait que parmi les spartiates il n’y avait pas que des homosexuels,soit des hommes qui savaient que l’amitie peut etre plus merveilleuse que l’amour des femmes.

Une femme qui préfère ses yeux plutôt que le plus beau des diamants, voilà qui me décida à mourir une nouvelle fois, moi sur qui la jalousie n’avait pas déposé(e) son ennui. Ô goutte de pluie et perles d’ennui, pourquoi faut-il que ZENETO stoppe la nuit, et toi qui dans tous les lits a semé la vie es-tu toujours prêt a t’incarner dans n’importe quel enfant ?

Si oui, aujourd’hui est un bon jour pour surgir.