LETTRE à l’ Ayathola Kameni

Ayathola, le sang n’est pas au coeur du raisin.

Celui du peuple iranien coule sur les âmes furieuses de vos mains enchaînées, à vous, le temps d’une Psalmodie, adhi incertain, cousin de toutes les querelles et les devastations de sauterelles.

Honte à vous, croyant qu’il suffit d’un sage à la tête d’un Etat, Komeini avait lors de sa purge revolutionnaire, assassiné ou fait assassiner plus de 10000 personnes. Quel petit Grand homme à côté de vous Ayathola…

Mais la Nadha des femmes a commencé. Seuls le respect des droits sociaux, de la liberté vestimentaire, physique, la Liberté d’engendrer comme Elles le souhaite et désirent, et biensûr l’égalité de traitement salarial, l’en pourrait déployable dans le champ des Sciences-Humaines, de la Science, également pour la Culture, celle de la terre ou des lettres.

Ayathola, vous devez le voir, votre devoir de croyant est de protéger les lieux sacrés, le livre des livres. Et, avant que ne fusse un mirage la Démocratie- religieuse iranienne, laissez émerger une version en français du  » Coran d ‘ Ali « .

Patrick Andrianapouinimerne Rakotoasitera Napoléon IV

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