Livre d’Or

Écrivez un nouveau message dans le livre d’or

 
 
 
 
 
 
 

Les champs marqués avec un * sont obligatoires.
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.
Il se pourrait que votre message n’apparaisse dans le livre d’or qu’après que nous l’ayons vérifié.
Nous nous réservons le droit de modifier, de supprimer, ou de ne pas publier les messages.
57136 messages.
Patrick rako Patrick rako a écrit le 7 novembre 2008 à 12 h 04 min
Extrait de " l'Ecrin aux Epines d'oursin" chapitre VII : description de l'institution psychiatrique _ poeme à Anne ou l'idylle myrtille: Certes Anne, tu m'as fait aimer Freud moi qui lui avais préféré son égal : Jung . Certes, graçe à toi j'ai céssé de croire qu'à l'asile on s'acharnait seulement à m'empoisonner. Certes, pour te plaire j'ai accepté ces piqures qui me faisaient dormir 15 heures par jour et grossir de jour en jour. Certes, avec toi j'ai compris qu'on pouvait, qu'on devait renoncer à quelque chose, moi qui parfois en vous autres ne voyais que des choses auxquelles je ne pouvais pas m'identifier. Certes, plus je t'ai couru après moins je t'ai attrapé, mais je te jure que sachant que Jeanne d'Arc est le premier travelo que Paco Rabane ait habillé, que si moi je l'avais lancé la mode ( j'ai inventé la mode en 1055 avant les cris de Jesus): des robes tu en aurais portées et si serrées que pour marcher il t'aurait fallu sautiller qu'ainsi je puisse te rattraper quand tu m'échappais. Certes, tu me disais un baiser c'est une intrusion quand c'est volé. Mais j'étais niais avant que tu ne m'arraches mes derniers lambeaux de coeur pour me guérir, et dans ma niaiserie je me disais que si j'avais raté ton tout premier baiser qu'au moins j'aurais le privilège de te donner le dernier. Certes... . Alors pour la première fois ici, Anne, je te raconte et tu ne rigoles pas, comment se termina notre idylle myrtille: d'abord, le matin o n est allé, tous les deux, main dans la main, à la piscine. Une fois arrivés près du bassin tu m'as dit dans l'eau pas d'urine ! que du pédalo ! Ainsi j'ai fait la planche et tes pieds dans la flotte ont fait des tranches. Après dix kilomètres, on a atteint une ile toute verte recouverte d'hetres. La tu m'as dit: sur la pelouse pas de parthouse que des bisous ventouses. Aussi je me suis transformé en Zèbre, toi en zigzag, et traversant la foret nous fumes l'animal le moins banal... . Mais feu de Dieu, quand nous regagname notre auto bleue, il n'y avait plus de rouge, d'orange, de clignotant, de stop, de priorité maladroite, notre voiture à cent mille patates ne reconnaissait plus que les lignes droites, les queues de poissons, les écrasement d'escadrilles de moucherons sans compter les nécessaires renversements de piétons. Nécessaire car après il fallait bien s'arreter: comment aurions nous fait sans prélever l'impot éclair de Bouddha pour subventionner nos futurs repas, nos provisions de bonbons, coca-cola et marijuana?, morceaux de chair et abats?, pour toi Ste Marie couche toi la-la-tout contre moi ? Malheureusement ça s"est vite su dans la région que nous ne respections pas les lieux publics ou le public des lieux que nous visitions. Bande de limaces, nous, nous nous aimions d'un amour animal et cannibale; à en mériter quoi ? maintenant je sais: peut-etre le tribunal pénal international, pour avoir sacrifié tant de gens las! Puff!! disais-je: qu'importe de devoir prendre la porte à bord de notre bolide moi je sentais que la porte elle 'tait pas solide. Et te souviens-tu de cette course poursuite? la Gendarmerie d'abord, la police en hélicoptère après, puis l' Armée en larmes, les dessins d'Hergé scientologue avant l'heure, las des G des S et des E, le maussade dans une voiture-pagay, le KGB nouvellement FSB, la CIA, pilotée à distance par la NSA ou la NASA : un million de scorpions voulaient nous espionner. Mais nous n'avions plus de chene...
Rakoto Rakoto a écrit le 3 novembre 2008 à 10 h 21 min
QU'EST-CE QUE L'ECONOMIE ? La definition la plus evidente du terme "economie" provient certainement d'une peur humaine consistant a vouloir prevoir l'angoisse provoquee par un futur incertain, lequel nous contraint a differer la satisfaction de nos desirs les plus hauts au profit de nos besoins fondamentaux journalier et futurs, par une economie des moyens utilisee en vue d'un resultat maximal permettant, grace a cet epargne dans la depense de soi, l'existence du futur, le notre comme celui de notre famille et partant de la societe qui nous abrite. Ou l'on voit ainsi comment l'economie ou l'epargne vise la maitrise des instincts les plus vils et denote l'existence de valeurs subordonnees ou naturellement hierarchisee par les limites qu'imposent les resources de la nature, laquelle aura toujours le dernier mot en matiere d'architecture.En effet, c'est elle et elle seule qui inspire la mesure, ce quel que soit le nom qu'on lui donne: Dieu ou mere nourriciere. Mais bien evidemment, plus la nature sera idealisee par un concept masculin plus il y a de chance que l'architecture obeisse a un souci d'eternite et se distingue par l'utilisation vaniteuse de la pierre et des techniques metallurgiques elaboree, tandis que la societe patriarcal au premier stade de son histoire recoure a l'ecriture pour organiser l'echange des biens et des services selon un mode economique de type capitaliste, dont le propre tient dans la capacite a renouveler les instances dirigeantes en fonction de l'appropriation de la masse monetaire. Car cette appropriation releve d'une capacite a reorganiser la hierarchisation des concepts, capacite accessible a tout un chacun en theorie comme en pratique. Mais comme c'est le cas pour les societes de type matriarcale, la ou la vie economique, du moins dans les premiers temps de son histoire, etait fondee sur la valeur de la naissance et du mariage, naissance de nouveaux concept et mariage ou raprochement entre interet commun, c'est la ressource naturelle qui regit l'edification conceptuelle.Ou l'on voit bien, dans ce cas, pourquoi la communication ne nececite pas forcement le recours a l'ecriture, celle-ci quand elle est separee de sa dimension esthetique, qui augure l'affaiblissement du credit ou fidias en dehors du contrat ecrit, et augure le prelevement sur la masse monaitere de la part de l'instance dirigeante a travers l'impot. Alors pourquoi les societes matriarcales comme patriarcale, sont-elles vouee a disparaitre a un moment ou un autre de leur histoire ? Je repondrait que cela tient au fait que les lois de l'economie sont aussi immuables que les lois de l'evolution naturelle. Et que le moment de la crise economique a toujours correspondu a un double evenement. celui de l'epuisement des resources qui implique le deplacement de la tribut vers une terre plus hospitaliere ou les proteines, l'eau et les glucides sont accessibles plus facilement dans le sens d'une economie la plus maximale des moyens employes par l'homme pour se nourrir. Et d'autre part, un avenement dans la hierarchie des concept caracterise par le conflit de pouvoir entre le chef de clan et le prophete dont les intuitions conceptuelle oblige le chef de clan a se reapproprier la parole pour mobiliser autour de lui les ressources humaine en vue de faire la guerre, s'il s'agit d'agrandir le territoire, ou de l'abandonner comme on abandonne le coeur de la foret, afin de trouver le lieu ideale a l'exercice d'une domination culturelle inedite, et a priori incompatible geographiquement avec l'ere culturelle precedante dont le pilier est la figure du chaman, a l'instar de l'artiste, qui frene la mutation architecturale en interposant des signes naturels, et artificiels, si ceux-ci sont charges d'une dimension sacree, propre a offrir une lecture du monde mediatisee par la lecture originelle de celui-ci. Autrement dit par une lecture non pas fondee sur l'ecriture mais la poesie et ses intuisions fulgurante et reparatrice du psychisme humain. Poesie ou action chamanique fondee sur l'economie du delire, a savoir l'hallucination maitrisee et productrice de sens partageable par tout un chacun. A contrario de la lecture fondee sur l'ecriture dont les caracteres a priori immobile sont les pendant d'un intelligence analytique, laquelle suppose un apprentissage lors duquel la pensee se voit limitee par une multitude d'a priori que seuls l'art et plus specifiquement la litterature pourrons inflechir en permettant la rencontre entre les etres vivant ou non, ce par dela la mort. La crise economique actuelle dont le pendant medical est la depression, le risque: la folie et le regne de l'anarchie des instincts pourchasses par les actions de la raison pure pauvre en discernement quand il est question d'imposer a Dieu la reconnaissance des siens parmi les victimes de son intolerance et son manque de precision. la resolution de cette crise planetaire, ne se realisera pas sans un retour salvateur des principes economique fondamentaux, et en premier lieu desquels, la subordination de toutes theories economiques aux principes de realite : ainsi la masse monaitere impliquee dans la speculation ne devrait pas exeder un certain montant, celui ci prealablement defini, peut-etre par le FMI d'ailleurs, afin que les concepts de beaute et d'amour qui strucurent les bourses en definitive, en sucitant un decalage chaque jour plus grand dans le differement de la satifaction des besoins vitaux. le riz , produit non manufacture comme le ble, avant d'etre livre pour de vrai, objet d'une speculation inconsideree destinee a mettre l'eau a la bouche pourrait-on dire, cette speculation en dehors d'un desequilibre entre l'offre et la demande, est toujours agravee par les relations marquees par la frigidite entre la raison pure et l'acte d'amour sans cesse differe par la presence de la beaute que tous le monde veut, ce qui entraine la speculation sur les produits manufactures quand on a oublie les poemes de l'ecclesiaste, et qu'en definitive on croit que l'argent se mange et qu'on a trop tard compris Moliere quand il dit qu'il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger, action cannibale prouvant l'archaisme des bourses, qui conduira, si vous ne faite rien pour y remedier a vous mettre "en galere", votre reflection en la matiere se reduisant finalement a une autre verite de moliere: "Mais que faisait-il donc dans cette galere". bonne journee. Patrick Rakotoasitera celui qui sait que s'il y a sept soleil dans l'Univers en revanche il ne devrait y avoir que six terre...
Rakoto Rakoto a écrit le 1 novembre 2008 à 7 h 33 min
Extrait du quatrieme mouvement: ART ET DIFFICULTE DE SAISIE DU CONCEPT PAR LA CONSCIENCE du livre "L'Univers des signes les signes de l'UNIVERS": page 23 à 25 Selon notre constat sur la creation et la reception de l'oeuvre, il n'est pas envisageable de disjoindre l'analyse de l'objet d'art de l'etude de la maniere dont il est et a ete utilise. Mais, meme si nous avions retenu l'option de degager, en dehors de la signification des oeuvres, un sens relatif a la production de l'objet d'art, et au specificitees de sa consomation. Si l'objet d'art et son utilisation de notre point de vue d'observateur, devaient constituer les seuls signes probants de la manifestation du concept d'art dans le milieu social: comment delimiter le concept d'art pour autant ? Cela suppose de classer les objets d'art, ou en l'occurence les signes d'art, par famille de signes. Par exemple, en distinguant les objets en fonction des techniques dont ils sont issus. Cela suppose d'adopter un classement qui tienne compte, non seulement de toutes les techniques artistiques, mais, egalement les presentent dans un ordre comprehensible. Or, il s'agit d'agencer, pele mele, les unes relativement au autres: les techniques de la peinture, de l'enluminure, du vitrail, de la mosaique, de l'incrustation marquetterie, de la sculpture encore, ou de l'architecture. Sans omettre les objets realises a partir de metaux precieux, ou faisant appel au nouvelles technologies. La longueur de la liste depend de l'historien d'art. Le classement quant a lui semble devoir etre toujours fastidieux. Que dire de la photographie ?, des techniques cinematographiques, du theatre ? ou encore de la technologie informatique, et de la creation d'image de synthese ? . Quand il ne s'agit pas non plus d'omettre de rendre compte d'un materiel verbale aussi immateriel que la Poesie, dont les "techniques" sont la chair du LANGAGE, lui-meme. Alors, qu'en est-il de ce que l'art est ? Peut-on parler d'art, lorsqu'il n'est pas vraiment aise de dire quels phenomenes recouvre le concept ? Quand l'ensemble des objets aux quels il refere semblent si dissemblables ? L'art produit des formes, des images, des sons, soit autant de signes au sein de l'univers de signes qui quadrillent nos espaces urbains. En cela, nous pouvons avancer qu'indeniablement les manifestations d'art participent aux marquage, a l'encadrement, pour ne pas dire au recouvrement de la vie humaine par des signes. A ce stade de notre questionnement, il est possible d'envisager de quelle maniere etudier la production des signes d'art, relativement a l'echange perpetuel de signes de nos societes et des societes entre elles. Le sens de notre recherche semble-t-il faire defaut? En effet, quelle verite esperer de notre quete d'art, puisqu'au demeurant le concept nous confronte a l'evanescant, la futilite du sens? Ou commence-t-il dans l'univers des phenomenes ? Peut-on le localiser precisement parmi des phenomenes collectifs et individuels de refoulement, de fabrication, ou d'utilisation d'objet ? D'autant que l'art semble nous imposer un reajustement perpetuel et continuel vis a vi de notre rapport au sens des choses, a la valeur que nous leur attribuons,comme si par nature nous etions aveugle L'exercice du CHIDAKASHA, ou experimentation de l'existence de la conscience dans le HATHA-YOGA, lorsque le YOGI se tient les yeux fermes, est termine. Extrait de la 4eme partie de l'univers des signes les signes de l'univers: " REVOLUTION DES MODES DE TRANSMISSION DE L'INFORMATION",faisant suite a la 2eme partie: APPROCHE DE RESOLUTION DU CONFLIT: VIeme chapitre (Institution medicale et euthanasie);ici, afin de preciser le concept economique sans obliger le concept d'art a muter, ce qui nous amenerait au VIIeme chapitre: DEDOUBLEMENT DE L'ART: l'art totalitaire, et diffusion croissante de l'image-information, il convient de parler de la 3eme partie: LA FIGURE DE L'AUTRE dont les chapitre sont ordonnes comme suit: I) L' ETRE invisible: EVE. II) BEAUTE et animalite. III) La beaute de la mosquee, la beaute de l'eglise. IV) Etude du role des arts dans les strategies de communication de l'eglise islamique et chretienne. V) Naissance de la peinture a l'huile. VI) l'exemple de CARAVAGE. VII) La sorciere et la figure de l'enfant. VIII) Desacralisation du domaine medicale et expension du pouvoir profane. VIII bis) Sedition d'une eglise reformee et reappropriation des domaines religieux et scientifiques par les forces agissantes de l'art. Ou l'on voit ici deux parallele redondante, comme si Archimede avait deja emis l'idee, en qualite de geometre de preciser la mesure du cercle par opposition a une qualite architecturale irremediable: la perpendicularite de l'espace qu'on mesurait a l'aide du carre. Mais ne comptez pas sur moi pour vous offrir une solution finale, en ce moment nous tentons de preciser le concept economique,autrement dit il est question d'humaniser le concept de communication dont nous avons vu qu'il recouvrait trois niveau de realite: celui de l'enfant, celui de la mere et celui du pere. Bref, est-il possible qu'un BITS vaille un BANCOR ? Sachant que pour repeupler la mer il nous faudra, semble-t-il, utiliser les aquarium et en depis du pere repeupler la terre a l'aide de tous nos verre, que la masse de l'ensemble des etres soit aussi legere qu'un vers,puisque notre incurie temporelle nous a conduit a ne pas organiser les elections presidentielle de la planete le meme jour. DIEU, MERCI. Quant aux soldats Qui mouriraient sur le champs de bataille puissent-ils se rappeler que nous etions trois cent autour de Leonidas et que si nous sommes mort, Leonidas ne nous a pas survecu, car ainsi etait notre seul but,permettre la naissance d'Hannibal,nous qui avions aime a en mourir.Certes, Leonidas nous avait enseigne qu'eve etait tellement immaterielle que quelque soit sa forme, elle etait belle malheureusement ou heureusement, disait-il: Liliht, ou Pandore adorait tout cour, un autre animal que Behemot, arguant aupres d'Adam que ce n'etait pas un tout couleur, et que donc il ne pouvait pas comprendre. Mais après qu'adam eut ressenti le dedain d'Eve ( voir le dedain d'eve dans la galerie), il conçu une pirogue en lui enjoignant de ne pas repousser du pied la barque qui l'avait fait passer. Quand Leonidas nous interpella par de telle parole, la femme de l'un d'entre nous se mis a rire : c'etait ma femme, celle qui savait que parmi les spartiates il n'y avait pas que des homosexuels,soit des hommes qui savaient que l'amitie peut etre plus merveilleuse que l'amour des femmes. Une femme qui préfère ses yeux plutôt que le plus beau des diamants, voilà qui me décida à mourir une nouvelle fois, moi sur qui la jalousie n'avait pas déposé(e) son ennui. Ô goutte de pluie et perles d'ennui, pourquoi faut-il que ZENETO stoppe la nuit, et toi qui dans tous les lits a semé la vie es-tu toujours prêt a t'incarner dans n'importe quel enfant ? Si oui, aujourd'hui est un bon jour pour surgir.
Bab's Bab's a écrit le 30 octobre 2008 à 15 h 00 min
Une belle rencontre, l'honneur de pouvoir partager avec l'artiste ses oeuvres litteraire et picturales, novice de l'art j'apprécie avec curiosité ce nouveau monde haut en couleur! Homme d'intelligence rare, tu as nourit de ton savoir les talents cachés d'une petite Mélanie. Merci d'être! tout simplement! Continue, je veux voir et lire plus encore! Amicalement! Barbara.
Rakotoasitera Rakotoasitera a écrit le 30 octobre 2008 à 13 h 59 min
DROIT ET DEVOIR, LIBERTE ET RESPONSABILITE?, certes... Mais avant tout precisons le concept economique. (extrait de l'univers des signes, les signes de l'univers, traitant de la question: qu'est-ce que l'art?;page 37 a 40, chapitre 4: ART ET AUTRE CONCEPT) 1- Si cette recherche reussit a dire, a montrer, a faire comprendre ou sentir ce qu'est l'art, le but sera d'evaluer le pouvoir de l'art, illusion ou non, sur le devenir, sur notre devenir. Creuser les rapports que le concept d'art entretient avec les autres concepts devrait servir cette finalite, en optimisant l'apprehension des limites du concept, et en permettant de comparer les realites qu'il recouvre a des phenomenes comparables. Ainsi, avons nous constates que lorsque l'artiste cree, sa creation est l'objet d'une perception de la part d'un public. L'oeuvre d'art, la creation est donc le support d'une transmission de message d'un emetteur vers un recepteur. Que le message ne soit pas percu, qu'il ait ete altere, d'une facon ou d'une autre, une communication s'etablit par le biais de l'art. Autrement dit, quel qu'indistinct, que nous apparaisse le concept d'art, il reste que, procedant d'un echange de signes, nous savons que l'art est un phenomene de communication. Or, c'est en tant que les manifestation d'art usent d'un mode de communication specifique et engendrent des situations de communication comparables a d'autres situations de communication que nous pourrons mieux observer le concept. Ainsi, quant a ce que nous pourrons considerer comme le dehors du concept, est-il envisageable de determiner les interactions qui lient l'art aux autres "instances de l'economie", jouant un role direct dans la communication des societes considerees. A savoir principalement: la religion, la morale, la politique et le droit. Comme nous nous appuyons sur un concept de communication a trois niveaux. Celui de la communication des biens et des services. Celui de la communication (ou circulation) des femmes ( vital pour les societes du neolithique). Et bien sure, troisieme niveau: celui de la communication des messages. Aussi, la mise en perspective de l'art avec la religion ou la politique, devrait nous permettre un appreciation au cours du temps de la maniere dont l'art et les "instances" plus specifiquement ideologiques influent sur la chaine economique de la production, la distibution et la consommation. Notre recherche sera donc, egalement, l'occasion d'evaluer selon le type de societe consideree, de quelle facon la production domine l'economie, ou plutot comment la communication regit les modalites de la superposition de la "base economique" et des "instances ideologiques" En effet, si la production de la vie materielle conditionne la vie sociale, la production est en retour strictement dependante de la vie sociale quant a sa perennisation. La production des moyens de satisfaire les besoins vitaux ne se maintient pas de la meme facon en etat de guerre civile, par exemple. Or la vie sociale, qui implique la coordination de l'action des individus de la societe, derive forcement du mode de communication d'individu a individu, d'individu a groupe, de groupe a individu et de groupe a groupe. Ces constatations rapportees a l'univers des signes artificiels des societes, l'on concoit que l'univers des signes articiciels est la designation symbolique, du lieu, de l'espace ou se deploit la communication d'une societe; et qu'il permet presque idealement de rendre compte de la fausse opposition entre la production et les "instances ideologiques". Les outils, les techniques, et les produits qui decoulent de leur utilisation y existent en tant que signes artificiels crees par l'homme. De plus, les echanges et le commerce des biens, et des services de la production participent a la circulation des signes, en ce qu'ils sont aussi un echange et un commerce de signes. Rien ne sort de l'univers des signes artificiels. En fait , les rapports de force sont motives, de maniere comprehensible, par la maitrise de l'information et de la representation. Car la course a la propriete des moyens de production est egalement une course a l'appropiation d'une partie de l'univers des signes artificiels d'une societe. Notre recherche, en utilisant l'art a la maniere d'un revelateur, montrera, dans cette optique, comment au fil des siecles, cette "instance de l'economie" a servi la maitrise de l'information, dans le sens d'une adequation, quasi-parfaite,de la propriete des moyens de production et de l'ensemble des signes artificiels. Et comment en devenant ART, cette "instance" a cherche a se desolidariser des autres "instance ideologiques" pour que la maitrise d'une partie determinee de l'univers des signes artificiels, n'implique pas une maitrise totale de la communication. extrait de la 5eme partie de l'univers des signes, les signes de l'Univers, intitule: MONTEE DE LA FACE CACHEE DU MONDE: brouillon du dernier chapitre numero 10 : ART ET ALTERNATIVE ( refondation du systeme bancaire et financier internationnal) Comme on l'a vu dans la 2eme partie de l'univers des signes les signes de l'univers, chapitre II: ECRITURE: INSTRUMENT COMPTABLE ET RELIGIEUX AUX MAINS DES SCRIBES ET DU PHARAON (voir dans la galerie: L'allegorie du secret du pouvoir de l'ecriture), l'utilisation de la monnaie, prolongation du verbe divin aseptise de sa dimention esthetique, tend a etre l'intermediaire entre les echanges de biens et de services, au profit d'une societe pyramidale, dont elle mesure les valeur en se voulant elle meme valeur parmi les valeurs, lorsque le pharaon cherche a s'affranchir de la tutelle economique et religieuse des scribes, defenseurs du secret de l'ecriture et de la cohesion de l'univers des signes. Or, jadis comme actuellement, c'est l'art qui regule la stabilite de la masse monetaire, ou la masse de l'univers des signes, en se situant a la peripherie de notre univers de signe, la ou il y a echange avec les signes de l'univers qu'il decode dans le sens d'une harmonie entre culture et nature, communication et moyens de production Et, chaque fois, au cours de l'hitoire, qu'il y a eu un reajustement meurtrie dans l'ordonnance des concepts, cela a coincide avec l'epuisement des moyens de production et une economie ou la transparence de l'offre et la demande est devoyee par le mensonge, l'intrigue et la trahison. L'equilibre de l'univers de signes humain,retrouvant sa souverainnete par la creation de lois artificielle assez ferme pour, au-dela des idees, des strategies, des illusions et des erreurs des dirigeant, defendre la liberte de l'individu, fut-il le seul a beneficie de cette liberte comme dans le cadre juridique d'une tyranie. Ainsi, toutes politique economique visant a garantir l'existence effective pour la majorite des etres des valeurs supreme (l'amour, l'amitie, la fraternite) devrait fonder l'assise monetaire sur le plus petit denominateur commun de l'univers des signes. A ce jour, il me semble a vue de nez que le plus petit denominateur commun de l'univers des signes humain, c'est le BITS, la plus petite unite de valeur de la sphere vituelle dont l'existence aura ete un facteur determinant dans l'eclatement du concept d'economie virtuelle. Veuillez agreer l'expretion de mes sentiments distingues monsieur le president de la republique. nota bene: droit et devoirs, liberte et responsabilite, oui mais a la seule condition d'une egalite entre les etres et pour cela la requalification de la notion de personne et la protection du tier de celle-ci, a savoir sa masse monnetaire dont l'ideal serait qu'elle ne soit pas assujetie a la raison pure.
Patrick rakotoasitera Patrick rakotoasitera a écrit le 27 octobre 2008 à 8 h 37 min
bonjour, il aura fallu finalement peu de jours apres la mort de soeur Emmanuelle pour que la vie redevienne tragique. Encore maintenant, le Vatican se demande pourquoi on ne peut pas refermer la page d'un chapitre de l'Histoire par un acte de justice quand celui-ci n'est pas charge de pardon; les Tibetains cherchent quant eux encore pourquoi un de leur avion s'est ecrase; les bourses ont perdu leur pole de referance depuis que la femme a appris qu'elle avait pour elle le deuxieme sexe , et surtout, depuis qu'elle regrette que l'homme n'en ait qu'un... Bref, tournons la page, la lecture ne sert pas qu'a chercher dans l'histoire des situations de referance, au propre comme au figure, cela sert a amortir le temps. bonne journee. patrick rakotoasitera
Patrick rakotoasitera Patrick rakotoasitera a écrit le 17 octobre 2008 à 14 h 10 min
PRINCIPE D'ECONOMIE LORSQUE LE TAUX D' USURE EXISTE ENCORE DANS UNE SOCIETE MODERNE ,CELA SIGNIFIE QUE LES PRIVILEGES ROYAUX N' ONT PAS ENCORE ETE ABOLIS. CERTES, OBJECTERA- T - ON , COMMENT L' USURE PRODUITE PAR L 'USAGE DES CHOSES ( LES CHAUSSURES , PAR EXEMPLE ); ET LE FROTTEMENT EXERCE SUR LA ROCHE ( AUTRE EXEMPLE ) PEUVENT- ILS ETRE AUSSI INTERESSES PAR L ABOLITION DE PRIVILEGES ROYAUX , DEJA AMOINDRIS PAR LA REVOLUTION ,LA CONSTITUTION, OU L' USAGE D UNE ECONOMIE DE MARCHES ? IL Y A QUE TOUTES LES CHOSES ONT UN PRIX MAIS TOUS LES ETRES N' ONT PAS UN PRIX . AUSSI DANS UNE ECONOMIE DE QUEL QUE TYPE QUE CE SOIT , LORSQUE L' INTERET PERCU DANS L ECONOMIE SOUTERRAINE, REELLE, OU VIRTUELLE EST AU- DELA DU TAUX LICITE, SE PRODUIT UN REAJUSTEMENT NATUREL , LORS DUQUEL LA SOCIETE RISQUE D' ETRE DEVASTEE PAR L IMPOSSIBILITE DE MENER A BIEN LES OEUVRES DU BATIMENT PUBLIC ( " QUAND LE BTP VA TOUT VA! "); DEVASTEE ,PAR SUITE, PAR LA REVOLUTION, OU LA GUERRE, LE REAJUSTEMENT AYANT CURE DES LATITUDES ET DES CULTURES. AUSSI, EN CAS D INSOLVABILITE QUI FAUT- IL ASSURER EN PREMIER ? LA BANQUE OU LE CREDITEUR, SACHANT QU IL N Y A PAS DE CREDITEUR SANS DEBITEUR ? LE BON SENS RECLAMERAIT QUE SOIENT INDEMNISES D' ABORD LES CREDITEURS EN CAS DE FAILLITE DE LA BANQUE. LE SENS JUSTE CHERCHERAIT A DETERMINER QUELS DEBITEURS ONT RUINE LA BANQUE PAR UNE EDIFICATION ( ANTI PHYSIQUE )DANS L ECONOMIE REELLE , SANS AVOIR LES MOYENS DE SA MISE EN OEUVRE. L' ACTION ECLAIREE, AFIN DE NE PAS PROVOQUER DE REACTIONS EN CHAINE, ET SANS QUE LES RESPONSABILITES DE CHACUN AIENT ETE JUGEES, AURAIT ASSURE CEUX PARMI LES DEBITEURS DONT LE REVENU EN TOUT AUTRE TEMPS N AURAIT PAS PERMIS D' ETRE UN ACTEUR DE L'ECONOMIE REELLE. DEBITEURS DONT LE NOMBRE, S' IL EGALE EN PROPORTION DE CE QUI A ETE INVESTI LA VALEUR REELLE PERDUE PAR LES MAUVAIS ENTREPRENEURS, SUFFIRA A RENVERSER LE POUVOIR MAINTENU DANS LA MAIN DES INSTANCES POLITIQUES DU MOMENT; SI LES MAUVAIS ENTREPRENEURS SONT COURT-CIRCUITES DANS LEUR ENTREPRISE PAR UNE FORCE QUI LES EMPECHERAIT DE RETOURNER LA SITUATION A LEUR AVANTAGE, AINSI QUE CELA SE PRODUIT DANS L ECONOMIE VIRTUELLE, QUAND APRES AVOIR TOUT VIRTUELLEMENT PERDU, PAR EXCES D' OPTIMISME, ON SPECULE SUR LA BAISSE DES MARCHES, LA, SANS AVOIR TROP A SE TROMPER, PUISQUE PAR SUITE DE SON INCURIE PROPRE, ON A PROVOQUE LA CRISE DES MARCHES VIRTUELS SANS S' EN ETRE RETIRE, MENTALITE DE CHASSEUR D' OURS ... . L' ACTION ECLAIREE , DONC, RESISTANT AU DEMON DE LA GUERRE QUI IMPOSERAIT DE CHANGER DE BOUCLIER, NE MODIFIERAIT PAS LA CONSTITUTION ( OU SI PEU ); ET S ENHARDIRAIT A L' IDEE DE FAIRE RAYONNER LE CONCEPT DE LIBERTE, COMME RAYONNE LE SOLEIL DANS UN CIEL OU LES NUAGES SONT EN ETAGE ET LA LUMIERE ECLATANTE, ALLANT DU JAUNE CITRON AU ROSE CLAIR, A CERTAINS ENDROITS PRESQUE BEIGE ET BLANC, TANDIS QUE L' OR HABITE LE COEUR DE FEU DANS UN OCEAN DE BLEU DE PRUSSE, MINORE PAR LE VERT DE VERONESE, LUI- MEME TEMPERE PAR LE ROSE DE VAN GOGH, ON Y REVIENT... . ALORS, QU' EN EST- IL DE LA FIN DU MONDE EN DE TELLES PERIODES OU LE TAUX D' USURE A ATTEINT SA LIMITE, CE, QUELLE QUE SOIT LA SPHERE ECONOMIQUE OU ON OBSERVE LA FELURE ET BIENTOT LA FAILLE SOCIALE,, SPIRITUELLE ET TRES VITE PHYSIQUE , LORSQUE LES " CATHEDRALES DE " FRIC " " S' EFFONDRENT ? SI ON TIENT COMPTE DES EVANGELISTES - QUI FORT SAVAMMENT, ET APRES LA LUMIERE CREATRICE JUSQU AU STADE DE LA CULTURE ENTREVOIENT L' ERE DE LA JUSTICE ( DONC L APOCALYPSE ? ); AFIN DE RENDRE COMPTE A L ECHELLE HUMAINE DE CE DESTIN INEXORABLE DES CIVILISATIONS - IL CONVIENT DE SE SOUVENIR DES DIFFERENTS TYPES D EXERCICE DU POUVOIR , EUX EGALEMENT INEXORABLES DANS LEUR ENCHAINEMENT, TELS QUE LES ONT IDENTIFIES SOCRATE ET PLATON ; ET SE SOUVENIR QU' EN CETTE FIN D' ANNEE DE L AN 2008 APRES JESUS CHRIST LE SAUVEUR, IL Y A ENCORE BEAUCOUP DE REPUBLIQUES SUR TERRE. CELA COMPARE AU TAUX MORTEL DE SULFURE D HYDROGENE (QUI EST DE 0,1 POUR MILLE ) DEVRAIT SUFFIRE A FAIRE DEVINER S' IL S'AGIT D UN NOUVEAU DELUGE ANNONCE OU DE L APOCALYPSE POUR DE BON. MAIS, SI EMERGEAIT UN ETRE PROVIDENTIEL : TOUT NE SERAIT ALORS QUE DELUGE D' IDEE ET TENDANCE A L' APOCALYPSE DE LA PAUVRETE. A BON LECTEUR BON ENTENDEUR : SALUT PATRICK RAKOTOASITERA
Patrick rako Patrick rako a écrit le 17 octobre 2008 à 12 h 14 min
Situation de l'extrait de cet opera electronique : Gulli le herault, apres avoir rencontre le fantome qu'il recherchait, decouvre Vaire sa fiancee future, la, il chante en anglais, continuant le chant entame par le coeur: Gully But what i have come todo in those gallows ? here, i juste see your shadows i want your saints shinning to be your summer thinking love me, love me please, they are crying i'm the sky tender's instead of dreaming in the swing of your shoulders but dont worry, i will never surender it's the indian summer time, in my mind... .
Shihiro Shihiro a écrit le 12 octobre 2008 à 20 h 41 min
bonjour patrick 😀 ! je tiens à vous féliciter pour la qualité de votre travail, vos peintures sont splendides, je ne sais quoi dire d'autre :-// ! continuer!!! je guette la mise en ligne de photo de nouvelle toile depuis 2006 (découverte de votre site) bonne continuation 🙂
Patrick rakotoasitera Patrick rakotoasitera a écrit le 11 octobre 2008 à 12 h 18 min
prochainement dans la rubrique "sa couleur" souvent consultee apparement, seront places les correspondances interressantes, ponctuees d'extraits de textes,d'analyse ou plutot d'exegese de tableaux, les miens comme les votres,dans un attachement constant a participer a la circulation des idees. pour ce qui me concerne, j'avais decide, il y a longtemps,presque instinctivement, de ne pas creer de nouveaux concepts, mon intention etant influencee par le soucis de ne pas abimer. participer, oui, mais seulement du bout des levres, lorsqu'on aime gouter,certes, mais ni la liqueur des dieux, ni le seul breuvage, cela, sans doutes, pour avoir explorer trop bien les rivages de la folie,ile d'energie pure dont ne se sont passes ni le diable, ni Dieu. Alors, du bout des levres, comme lorsqu'on va donner un baiser, rapide, furtif, le baiser de l'homme presse lisant son journal et saluant sa femme, entre la rubrique "bourse" et "decouverte scientifique"; ou un baiser, un peu pince, juste pour sentir a nouveau le gout de ses levres et voir le possible d'aimer. a bientot. A noter qu'une exposition de quelques un des tableaux se deroulera a Nanterre,apres le 30 octobre.
Bertrand Bertrand a écrit le 10 octobre 2008 à 11 h 17 min
Site clair qui transporte dans les méandres artistiques des peintures tout en jetant par devers soi les filtres inconscients d'une réalité à double tranchant.
Richard Richard a écrit le 4 octobre 2008 à 17 h 26 min
je vous felicite et vous contacte
-J- -J- a écrit le 4 octobre 2008 à 2 h 46 min
Je suis tombé par hasard sur ce site et je tiens à dire un grand bravo , vos peintures melangeant religion et exotisme malgache sont d une grande innovation, Patrick vous êtes un innovateur et un visionnaire.
Claude et Flora Claude et Flora a écrit le 1 octobre 2008 à 13 h 44 min
Bonjour Patrick, J'espère que vous vous souvenez de nous, nous vous avions acheté l'oeuvre "Cathédrale Invisible " il y a 2 ans. Bravo pour votre nouveau site, nous espèrons vous voir très prochainement exposer à Toulouse. Vos nouvelles créations ont l'air très intéréssantes. Bonne continuation, Claude et Flora
Patrick Patrick a écrit le 18 septembre 2008 à 20 h 19 min
merci aux amateurs qui consultent ce site. Je n'ai pu repondre aux personnes qui m'avaient laissees leur coordonnees en raison de mon niveau calamiteux en informatique.Maintenant que mon aversion pour la machine s'est aussi un peu estompee je peux m'y atteler.Donc appretez vous a recevoir un message.a bientot. patrick rakotoasitera
On/Off Administrateur On/Off Administrateur a écrit le 17 août 2008 à 6 h 39 min
La nouvelle version du site de Patrick est en ligne, quelques améliorations ont été apportées : une gallerie totalement nouvelle, un nouveau Livre d'Or sécurisé, une nouvelle présentation des ses écrits, etc... N'hésitez pas à laisser un commentaire ! Bonne navigation !
Laetitia Laetitia a écrit le 11 octobre 2007 à 9 h 50 min
bonjour avc un peu de retard j ai regardé l émission vous concernant je recherche pour chez moi des tableaux à base de gris et de rouges en faites vous et si oui les vendez vous??et à quel prix?? merci de me répondre francoisgrindel@orange.fr
patrick patrick a écrit le 28 juillet 2007 à 1 h 53 min
j'apprecie ce que vous faites, parfois les tableaux sont trop dans le style de matisse( fauvisme) mais ce k j'aime kan vous melangez plusieurs styles....si l'originalié est l'art de dissimuler ses sources alors vous le traduisez bien...bon courage... patrick pativerson_2000@yahoo.fr
roger roger a écrit le 5 juillet 2007 à 10 h 45 min
ON TE FELICITE DEPUIS L'ILE DE LA REUNION POUR TES OEUVRES ET AUSSI POUR TON COURAGE, PEACE AND LOVE Roger et Florence
On/Off ADMIN On/Off ADMIN a écrit le 3 avril 2007 à 18 h 16 min
Salut Patrick ! Tu m'avais demandé les stats pour ton site, les voici Mois-Année-Visites-Pages_lues Sep 2006 2917 32955 Oct 2006 1115 17467 Nov 2006 338 1405 Déc 2006 235 1231 Jan 2007 334 1300 Fév 2007 433 1013 Mar 2007 651 1390 N'hésite pas à me contacter pour de plus amples informations !