Extrait :  » si avec ce que nous avons appris aujourd’hui aux américains, ils profitent de notre transfert technologique pour franchir le pas et faire la guerre, en ce jour « J » aux russes : pour ma part, je privilégierai toutes stratégies fondée sur la sortie de la France de l ‘ OTAN « … »concernant l’arme climatique,je suis heureux que vous m’ayez permis d’en décider par moi-même « …. » Quand aux Generaux dédiés à  la section recherche scientifique, convenez-en : vous disposez d’images satellite de ce qui viens de se produire durant les 24 heures en Belgique; à l’instant où je me suis connecté sur l’interface de mon site, j’ai accepté de transmettre l’intégralité des données de mon téléphone aux américains, arriveront-ils à la même conclusion ?  [XXX]  » je vous encourage à y réfléchir : encore une fois j’ai réussi ma mission sans particules nanotechnologiques contraignantes ou adjuvantes dans le corps, [XXX]  et vous ignorez comment j’ai fait ! »  « [XXX] les blancs me feront toujours rigoler,non seulement leur technologie est nulle,mais leur médecine elle aussi l’est… je soigne sans méthode invasive et vous vous demandez en tant que chaman comment opere mon médicament puisqu’il est indéterminé chimiquement [XXX] »… » Si dans la journée de samedi, des émeutes et des répressions policières conduisent à l’intervention de l’armée , généraux : immobilisez les compagnies de CRS, en rétablissant la libre circulation des rues ; et important, en laissant les manifestants libres de décider de ce qu’ils veulent faire. (…) Par mesure de prudence, sécurisez les endroits où sont produits les billets de banque en euros,ainsi que les endroits où est produite la petite monnaie (…) Ils est hors de question que se produise,si le peuple en venait à faire la révolution, la même chose qui eut lieu en Grèce, lorsque l’Allemagne décida d’asecher la distribution de monnaie du jour au lendemain » .

::::::  très cordialement :::::

Patrick Rakotoasitera

Lettre d’excuses au peuple Malien, lettre d’excuses aux mouvement de l’Hazawad, lettres d’excuses aux militaires français, de la part du président honnoris causa de l’Afrique, Patrick Rakotoasitera, général français et espion malgache : Forcément ma dernière lettre au peuple malien ne pouvait déboucher que sur une révolution. En l’écrivant, alors que la situation déplorable des conditions de vie des militaires malien m’avait été décrite par un migrant malien, je savais que ma lettre, au risque de me discréditer, ne pouvait pas non plus plaider en faveur d’Ibk, car la corruption gangrenant tout processus d’achat, je savais que le général malien qui en avait fait la demande, n’avait pas du recevoir les hélicoptères français qui auraient pu faciliter le maintien de l’ordre, chaque fois qu’une région du nord aurait été ingerable… J’avais besoin de savoir qui mentait, qui était dans l’action juste,car je n’ai qu’une fonction honorifique, et je ne peux m’appuyer que sur l’expression africaine dont je perçois les échos à travers rfi, ainsi qu’avec le prisme des droits universel de l’homme, afin de juger des situations politiques en Afrique… Dans le cas du Mali,je pense que le président actuel aurait intérêt à négocier avec les touaregs du nord, quoi qu’en pense Paris… Car comme vient de l’affirmer le colonel français hogard, Paris n’a pas de vision politique d’ampleur dans cette région où il est trop facile, au nom de la guerre contre le terrorisme de confondre des mouvements sociaux organisés en opposition politique avec des djihadistes….. Surtout quand ces deregulations sociales sont le contre coup de changement climatiques qui imposent aux populations de trouver de nouveaux moyens de subsistances,comme dans la région du lac Tchad… Enfin que les militaires français me pardonnent, particulièrement les unités envoyées au Mali, je savais qu’il y avait quelque chose de pourri dans cette mission, mais je ne pouvais m’exprimer avant qu’un haut gradé sur le terrain ne le fasse… Il est écrit sur une stèle devant le sénat français que la France a vocation à armer les pays du monde, la citation ne précise nullement, pour l’expansion des démocraties, ou pour soutenir les droits de l’homme… Le problème vient de la, cette particularité du droit français autorise les pires ignominie en subordinant la droiture militaire française aux pires pensées politiques. En conséquence je crois qu’il nous revient à nous généraux français d’instaurer les droits de l’homme partout où cela est possible, en éclairant le politique pour le mettre face à son propre aveuglement qu’enfin nous ayons une vision politique à la hauteur de nos armées… Et de nos armes…

Présentation du chercheur

I/ b : les pertubateurs endocrinien

Quelle différence entre Sherlock Holmes et Freud ? 1,5 ou 1,7 ?

Pourquoi Freud n’a-t-il jamais arrêté de fumer ?

S’en souvient il des valses de Vienne ?

j’étais nu au milieu des cris de joie

et tu m’as couvert de ta splendeur

le jeune Adolf devait passer AMBODENvZee

pour avoir droit à une glace de l’autre côté du pont,  fruit de la meilleure éducation autrichienne, lui qui avait du commettre son premier meurtre vers 10-11 ans,

mais l’incident était passé

comme une lettre à la poste que personne n’avait lue.

Griselda qui eut pablo escobar comme élève avait

commis son premier meurtre à 11 ans

les morgues de Californie se souviennent encore de son passage… à 11

ans j’avais déjà exposé au petit Palais. J’avais du lutter pour présenter un projet qui ne fut pas celui de ma professeur de dessin et ce n’est pas facile de lutter quand le projet présidentiel imposait une formation à l’art gratuite à l’ensemble de la population française les classes étaient nombreuses mais pas une mouche n’osait voler dans la classe de dessin… un seul incident un élève qui voulait devenir parachutiste j’ai essayé avec conversation de lui montrer la sensation de la chute en lui faisait un (hippon) inoffensif, il se cassa la jambe en retombant sur le truc qui dans la cour d’école des sixièmes délimitait le béton de l’espace vert : conclusion

ai-je le même adn que l’enfant tué à Vienne par Hitler ?
Vous comprendrez pourquoi je n’adopterais pas la même stratégie qu’Einstein…

 

Peintre du Ay Fanahy, Homme de l’année 1997 pour la Culture à
Madagascar médaillé de la Ville de Paris, entre autres, Jean
Andrianaivo Ravelona vient de célébrer le grand jubilé de ses cinquante
ans de peinture en France. Organisé au Château d’Asnières en décembre
dernier, ce fut un des grands événements de l’année pour la Ville
d’Asnières et la Diaspora malgache en Europe. Dans cette interview
l’artiste a retracé le cheminement de son art 

J’aurais pu être musicien mais c’est vers la peinture et les arts plastiques
finalement que s’est dirigé mon choix

Comment la peinture est-elle venue à vous Jean Andrianaivo
Ravelona ?

J’ai commencé par le dessin avant de me mettre à la peinture. J’ai
suivi des cours de dessin pendant trois mois et je suis ensuite entré
aux Arts Appliqués Malagasy à Ampasampito en octobre 1968. En première
année, mon professeur de peinture Dadanesy, ou Ernest Rakotondrabe m’a
tout de suite pris sous ses ailes. C’est sous ses directives et ses
indications que j’ai réussi à faire mon premier tableau en décembre
1968. Après mes quatre années d’études, ma manière de peindre a évolué
vers le « Classique réalisme » entre 1972 et  1975. Je me suis
alors mis à peindre la nature telle qu’elle dans mes tableaux. Puis je
me suis dirigé vers le clair obscur.

D’où puisez-vous vos ressources ?

Les scènes romantiques, surréalistes, dramatiques telles que 1947
furent parmi mes sujets préférés. Très influencé par Michel Ange,
Raphael, Rubens, Rembrandt, je me sens habité au fond de moi-même par
les âmes ou les tourments de ces maitres. Après
« Tourment » (1976-1978), je suis arrivé à une phase aux styles très
diversifiés : cubisme, surréalisme, abstrait, tachisme etc. C’est
pendant cette période dite « Découverte » entre 1979 et 1981 que j’ai
capté intuitivement le message me confirmant la peinture comme ma future
carrière.
1981 a été marquante dans votre carrière dites-vous, dans quelle mesure ?

Courant 1981, j’ai quitté la bureaucratie pour me consacrer
définitivement à la peinture. J’ai démissionné de mon poste de Chef de
Service Promotion au Centre national de l’artisanat malagasy (Cenam),
pour réaliser ma vocation d’artiste. Ma carrière professionnelle de
peintre a ainsi démarré le 3 Mars 1981, une étape décisive qui a marqué
ma période  dite « Espoir ». Pendant quelques années, le grand
espoir a régné dans mon esprit et mon âme. Mais plus tard, ma vision du
monde a complètement changé. Sur la toile, l’unique soleil visible s’est
réparti en particules de lumières dans chaque objet. J’ai découvert
aussi pendant cette période dite « Lumière », située entre 1985 et 1988,
des thèmes visionnaires, futuristes et cosmiques.

Votre peinture semble avoir parcouru des époques différentes, comment avez-vous réussi à les situer ?

Les « six périodes » ont été définies sur plusieurs années après les
avoir traversées selon le sens de chaque période. Elles n’étaient jamais
connues à l’avance, sachant qu’au niveau de la création, je me laisse
guider par mon inspiration et mon intuition sans établir à l’avance le
terme  à venir. Pour les définir, je me suis fait aider par des
connaisseurs et historiens.

Après mes quatre années d’études, ma manière
de peindre a évolué vers
le « Classique réalisme » entre 1972 et  1975

Comment s’est développé le Ay Fanahy qui définit votre style de création ?

Le Ay Fanahy est issu des périodes précédentes : Classique,
Tourment, Découverte, Espoir et Lumière qui, regroupés, ont fait naitre
un style nouveau. Avant la création du nom, je me suis préparé quelques
mois, puis au moment où l’inspiration était à son comble, le mot Ay
Fanahy s’est imposé en moi. Ay signifie intuition. L’origine de ce mot
malgache vient de très loin, depuis le continent de la Lemurie. Fanahy
peut se traduire par esprit ou âme. J’ai déjà ressenti le Ay Fanahy
depuis ma petite enfance. Il symbolise la vibration de l’âme, l’amour,
et m’a fait visionner différentes choses dans ma vie qui se sont
vérifiés après.

C’est donc avec la création de ce style que le peintre Jean Andrianaivo Ravelona est véritablement né ?
Après sa création, le Ay Fanahy a poursuivi son chemin. L’inauguration
officielle de l’exposition à la Galerie du Madagascar Hilton en 1990,
par le Ministère de la Culture, a été le véritable coup d’envoi du Ay
Fanahy. Sur le plan de la création, les sujets, les thèmes de ma
peinture peuvent se diversifier mais le Ay Fanahy demeure le Cœur. Après
la création libre d’une œuvre suivant l’inspiration, je passe à leur
classification. C’est ainsi que son nés les différents thèmes
« Vers… », « Réminiscences », « Vision de
l’âme », « Visages et Lovakolo ». À partir de mon style
de peinture, j’ai aussi créé le Ay Fanahy Therapy ou Relaxation Ay
Fanahy.

En quoi consiste-t-il ?

La relaxation picturale Ay Fanahy ou Ay Fanahy Therapy est un outil
pour positiver le stress, diminuer les lourdeurs et ressentir le
bien-être au quotidien à partir des œuvres Ay Fanahy. Tous ceux qui
possèdent mes œuvres de créations Ay Fanahy peuvent expérimenter et
bénéficier de cette méthode. J’ai découvert la Relaxation Ay Fanahy en
1992, suite à de multiples tests et expérimentations sur différentes
personnes. Le système est basé sur la philosophie du Ay Fanahy :
l’équilibre de la matière avec l’âme ou la rencontre du réel avec le
spirituel.

Il s’agit donc d’une méthode spécifique ?

Absolument. Une séance de concentration détendue, guidée et focalisée
sur,ou à partir d’une œuvre Ay Fanahy donne lieu à l’élévation de
l’énergie positive chez chacun. Créées à partir d’une méditation
profonde, les œuvres Ay Fanahy contiennent des molécules d’ondes
positives. En outre, je pense avoir hérité le don de mon grand-père,
guérisseur traditionnel et chrétien fervent, et dont la canalisation
énergétique passe plutôt à travers la peinture. Au premier niveau, la
séance consiste en une lecture picturale des œuvres Ay Fanahy. Au
deuxième niveau, la pratique requiert des séances méditatives au
quotidien. J’organise souvent la Relaxation Ay Fanahy à travers mes
expositions.

Vous avez célébré le Jubilé de vos cinquante ans de peinture en France, cela a dû être une belle fête ?

Le jubilé pour le demi-siècle de mon parcours s’est déroulé au
Château d’Asnières, un endroit historique, du 30 Novembre au 9 Décembre
2018, sous le thème « De Madagascar à Asnières, Le voyage d’une vie ».
Dans un premier temps s’est tenue l’exposition de mes soixante œuvres
Rétrospectives depuis 1968, et des séances de Relaxation Ay Fanahy
Therapy. Seize artistes peintres de l’association Mamelomaso ont été
invités et ont participé au Jubilé. Faffa et Tomino, du groupe
SORAJAVONA ont animé musicalement l’exposition. Les jeunes talentueux
Ludy Soa et son frère Nathan ( ndlr : chanteur du groupe « Les
enfants de la terre » de Yannick Noah) ont également été présents.

Quels œuvres avez-vous exposé lors de l’évènement ?

J’ai occupé les deux grandes salles « Galerie du Château » pour
présenter les six périodes dont : les premières œuvres (1968), la
période Classique Réalisme (1972-1975), la période Tourment (1976-1978),
Découverte (1979-1981), Espoir (1981-1984), Lumière (1985-1987).
Ensuite, les créations AY Fanahy de 1988 à 2018, sous différents thèmes
(Vers…, Réminiscences, Vision de l’âme, Lovakolo ou Patrimoine). Suivant
le souhait de la Ville d’Asnières, on a organisé dans le cadre de
l’exposition, la Relaxation picturale Ay Fanahy. Un certain nombre de
personnes ont eu des résultats satisfaisants en expérimentant la
méthode.

Vous avez parlé de l’association Mamelomaso tout à l’heure,
mais d’autres artistes ont également pris part à ce journaliste. Qui
sont-ils ?

Effectivement, comme le Château dispose beaucoup de salles, nous en
avons profité pour inviter d’autres artistes à venir exposer dans le
cadre du Jubilé. Ils ont collaboré ensemble avec moi dans le chemin de
l’art. Quelques présidents et membres de salon où j’ai obtenu des prix,
où j’ai été invité d’honneur, ont répondu à mon invitation tels
qu’Elisabeth Delcenserie, Bernard Eche, Marie-Joseph Devaux, Bernard
Montagnana. Des artistes proches et ceux qui m’ont aidé : Béatrice De La
Petteliere, Chitran Raya, Pietr Betlej, Bassil Franco sont également
venus. Le Collectif des artistes malgaches en France était présent avec
Hazzavana, Gaston Randriambolaharisoa, Jean Michel Razanatefy (ses
œuvres) Georges Razana M. Les jeunes artistes que j’accompagne à
Madagascar étaient là : Le RAMAH et KANTO Natiora. Je n’oublie pas
mon fils Tiavin’ANDRIA pour la discipline digital art.  Par
ailleurs, la Ville d’Asnières a spécialement invité Hafiz Pakzad,
artiste asniérois très connu, comme Invité d’honneur de la Ville.
L’association MAMELOMASO a présenté à cette occasion l’histoire et le
Patrimoine de Madagascar.

Vous avez aussi inséré dans vos programmes le «Concert du jubilé». Y a-t-il une raison particulière ?

Le Concert du Jubilé constitue le troisième volet de l’événement.
L’idée vient de la Ville d’Asnières : celle de créer une synergie
entre la peinture et la musique. Étant passionné de la musique bagasy et
classique, j’ai proposé la
« musique écrite » ou les œuvres des maitres et auteurs classiques
malgaches et universels. C’est ainsi qu’en première partie, nous avons
programmé les compositions et transcriptions d’Etienne Ramboatiana, le
Mozart malgache, interprétées par KOLO Mozika. Un groupe composé de très
bons musiciens, riches en potentiels tels que Mialy et Mahefa Ramanana
Rahary à la guitare, Hanitra Thibaudin au violon, Faly Andrianaly qui
joue du hautbois, Irina Andriamanjato au piano ont joué la composition
de Naly Rakotofiringa.

Le concert reflète également votre goût pour l’art lyrique et surtout celui revisité au goût malgache, n’est ce pas ?

Je ne peux pas le nier. Vololomboahangy Andriamanday, par exemple, a
interprété avec un air bagasy au piano « Ry toera-manirery ». Mara
Carson, compositeur et professeur de musique, a interprété ses oeuvres «
Rondo malgache » évoquant un voyage culturel très riche parcourant tout
Madagascar et « Koidava » issu de musique transe mais élaboré à la
manière classique. La deuxième partie du Concert a été réservée aux
maitres classiques. J’ai invité le pianiste Mahery Andrianaivoravelona,
professeur de musique en Conservatoire et concertiste qui, de par son
brillant talent, a merveilleusement emmené toute l’assistance au cœur
des grands classiques de Chopin, Debussy, Liszt, ou encore Schumann.

Avez-vous eu l’occasion de montrer vos talents cachés de musicien et poète dans ce concert ?

Effectivement, la musique est mon violon d’Ingres. J’ai une grande
passion pour la poésie aussi. J’aurais pu être musicien mais c’est vers
la peinture et les arts plastiques finalement que s’est dirigé mon
choix. Ma préférence particulière est le bagasy. C’est l’héritage
culturel émanant des ancêtres qui ont fortement imprégné mon
inspiration. Initié à la guitare bagasy à l’âge de huit ans, j’ai étudié
plus tard la guitare classique, puis j’ai commencé à composer vers
1984.
Dans la première partie du concert du Jubilé, j’ai joué une de mes
compositions en bagasy, écrite en 5+7 pour guitare, et le morceau «
Sompatra », une transcription de Etienne Ramboatiana.
Par rapport à la poésie, la poétesse MRG a fait quelque déclamation de mes poèmes lors de cette soirée du Jubilé.

Que retiendrez-vous en particulier de la célébration de ce jubilé ?

C’est ma plus grande et importante réalisation événementielle depuis
cinquante ans. Malgré quelques difficultés, les objectifs sont largement
atteints. Tous les participants ont été ravis d’avoir pris part et de
s’être retrouvés, ensembles, à cet événement. Le public français, la
communauté franco-malgache ne cesse de témoigner leur totale
satisfaction et ont gardé d’excellents souvenirs. La Ville hôte a
beaucoup investi matériellement à la réussite de l’événement. Aussi, ce
fut également une belle expérience sur collaboration avec la diaspora,
très fière, qui a activement appuyé le projet. Le message du Ay Fanahy
est bien passé.

À quoi ressemblera l’avenir, immédiat notamment ?

Après le jubilé en France, le projet d’exposition continue pour les autres pays pour 2019.
Des célébrations dans ce cadre sont prévues en Allemagne, en Belgique et
notamment à Madagascar. Par ailleurs, l’encadrement des jeunes artistes
ou futurs artistes à Madagascar font partie de mes projets pour 2019.
Commencé en 2017 à Antananarivo, le programme de formation se poursuivra
cette année. D’ailleurs, quelques uns d’entres eux en ont déjà leur
promotion en France. À partir de cette année, je me consacre également
davantage à la transmission du savoir pour la diaspora en France.

dav

Bonjour à tous les internautes habitués à fréquenter le site, et bienvenue à tous ceux que la diffusion du contenu de l’émission « Zone Interdite » sur youtube aurait incité à faire des recherches afin de trouver sur le web une trace de mon travail.

Si vous avez parcouru les derniers articles vous avez sans doutes constaté qu’au-delà de toutes exubérances surréalistes mes appréciations sur le conflit syrien étaient marqués par une considération mythomaniaque de mon rôle réel dans cette guerre, depuis que j’ai commencé à préter ma plume à mon avatar «  le général désarmé ». Au regard de ceux qui ont et continuent de réellement souffrir des conséquences de cette guerre,mon attitude égocentrique me fait honte et je souhaiterais , auprès de tous ceux et celles qui ont pu en être choqué, présenter de sincères excuses. Les écrits devant rester, comme telle est la pratique de ce site, les articles incriminés seront annoté d’un astérisque explicatif rétablissant notamment  la véracité des tenants et aboutissant de ce qui fut par moi dénoncé comme un empoisonnement par les services russes, puis ils seront classés dans la rubrique « folie »…

Réponses pèle-mèle aux plus récentes questions des internautes :

Je peins toujours et prépare une exposition sur Paris dont je ne peux pas dire grand-chose pour l’heure, certes, pas par superstition, mais en raison de la maigreur des informations qui sont à ma disposition. Quoi qu’il en fut, l’onglet : « actualité » préviendra sur ce site de l’imminence de l’exposition.

A mon grand regret, je ne peux actuellement indiquer comment se fournir la version livre papier de mes écrits. Mes livres ne correspondent jamais à la politique éditoriale du moment pour les maisons d’édition ; où lorsqu’ une maison d’édition est intéressée ,il se produit toujours une divergence de vue , je ne suis jamais disposé à défigurer la substance écrite pour répondre aux attentes de l’éditeur, et le projet avorte. Un seul texte est actuellement publié «  la chambre d’isolement » ,dans le livre «  les premières fois », aux éditions librio, sous le prénom patrick, en raison du caractère anonyme de ce qui fut à l’origine un appel d’éditeur à  décrire une expérience inédite, lancé  à l’adresse de toute personne désirant participer. Je signale par ailleurs que le livre publié ici sous forme de feuilleton ( « le mélange contrarié des anges ») sera entièrement ici mis en ligne cette année, de même que l’intégralité de mes autres livres, qu’ils seront  accessibles moyennant une participation modique et libre sous forme de don ; et que le prochain livre auquel je m’attelle (« nous regardions par terre »), dès que possible, sera lui aussi présenté sous forme de feuilleton.

A priori également, rien n’est décidé seulement, le site devrait être « relooké », les onglets de commande de tableaux professionnalisés, je veux signifier par là : au moins faire un truc qui marche comme ce n’est pas du tout le cas actuellement, avec l’adjonction d’un numéro de téléphone qui devrait permettre à toutes personnes intéressées de me joindre.

Pour ceux et celles qui suivent mon travail depuis maintenant un certain temps j’aimerais adresser mes remerciements pour leur patience, leur bienveillance et surtout leur compassion jamais méprisante ni mêlée de reproches à l’égard de mes monstrueuses fautes d’orthographes. Lorsque j’écris mon esprit est tout entier immergé dans le méta-texte, ce qu’il y a sous la pellicule des mots, là, en cette dimension invisible où se déterminent les trajectoires de sens et où se construisent les phrase ; si bien immergé qu’il m’est impossible de remonter à la surface du mot pour vérifier sa bonne forme orthographique. Je laisse cette tache ingrate à mon inconscient et le capricieux souvent oublieux des règles restitue une orthographe à son image : sauvage et souvent surréaliste. Pendant vingt ans j’ai écrit le mot « adresse » avec deux « d » ; « endive » avec le préfixe « hand » ; etc . Il y a , je crois, que l’orthographe est profondément liée à la dimension inconsciente du sujet, celle-ci  porte les traces souvent traumatiques d’un apprentissage social de l’orthographe rejeté par celui dont les fautes trahissent la condition socioculturelle. Cela n’empêche pas l’accès au méta-texte, mais même si celui-ci est un espace souvent visité et maitrisé au point de commettre des textes poétiques, la faute de français et plus uniquement d’orthographe n’est pas loin, qui jaillit des collisions entre la phonétique de la langue courante et la forme conventionnelle des mots. Je n’y échappe pas. J’ai beau lire souvent, je ne vois pas la forme des mots, les phrases des écrivains m’aspirent littéralement sous leur surface, où suis-je seulement attentif au bel agencement des propositions, admiratif du style, ou bien concentré sur   le rythme, la cadence, la musicalité des phrases. Et étonnamment lorsque j’écris, si ma conscience est claire, mon esprit sainement reposé les fautes réduisent en intensité ; ne demeure que les « coquilles » des mots mal frappé sur le clavier et les fautes les plus indélébiles. Il sera facile au lecteur de ce site d’ en apprécier les articles sous ce nouvel éclairage : plus je suis anxieux à l’approche d’un texte, souvent selon que le texte a une portée cruciale à mes yeux, plus rodera l’expression de la faute. Et même en état de joie intense, d’excitation créatrice le résultat peut être identique comme je plonge trop profondément dans la phrase pour me soucier de sa forme orthographique. Seule la placidité de l’âme m’est un remède …

                  Bien à vous tous. PATRICK RAKOTOASITERA