PATRICK RAKO (Lettre à Mr HOLLANDE)

 

 


Monsieur HOLLANDE,
Vos chances d’être élu PRESIDENT de la REPUBLIQUE FRANCAISE sont à cette heure sans contestes, ne laissez donc personne ni aucun évènement venir en contester l’exactitude. 
 

A dessein , il vous faudra souvent rappeler que vous êtes professeur en économie , titre , à l’instar de votre statut récurrent de rapporteur au près de la cours des comptes, qui indiquent combien vous n’avez de leçon à recevoir d’aucun en matière de rigueur budgétaire et d’équilibre des comptes, sachant que tous les pays qui furent soumis à la rigueur de l’austère austérité, parce que , avant l’EUROPE, confrontés au problème du remboursement de leur dette souveraine, ne l ‘appliquèrent pas imbécilement, ainsi en AMERIQUE LATINE, où il avait s’agit , pour les politiques socialistes, de consilier le pensable avec le possible et non pas voter l’impossible exclusion programmée de la plupart des concitoyens; en mettant en branle une machine à broyer les individus , leurs économies , selon un réseau d’exclusion réciproque des différentes couches de la société les unes par rapport aux autres. Constat que concéda lui-même, l’inventeur de cette sorte de politique budgétaire, économiste pourtant internationalement reconnu.Oui, il vous faudra dénoncer cette catastrophe d’envergure que promet toute réélection de NICOLAS SARKOZY. Du reste, l’EGLISE CHRETIENNE s’est exprimée publiquement pour en appeler à la cessation de cette régression démocratique envers les exclus. Que faudra-t-il de plus au peuple FRANCAIS pour être convaincu ? Et il faudrait que vous supportiez d’être taxé de laxisme ? Formule dénuée de contenu, qui en appelle à cet électorat , lui comme les autres confronté à l’injustice sociale qui perdure, électorat qui ne pourra que bénéficier de cette même aspiration à la justice , que vous portez au nom du socialisme réformateur des liens sociaux, et économiques qui traversent la société. Ne craignez donc pas de mettre de l’élan, du coeur, du charisme dans vos discours, pour rallumer la flamme. L’opinion ne peut se résoudre ni au dictat de la finance ni à la folie ! Le TAUX d’usure soit la limite au-dèlà de laquelle les taux d’intérêt d’un pret sont illégaux, est une réalité. En Amérique latine la dette pourchassée dans ce qu’elle avait de profondément illégale a pu être réduite. Votre oeuvre , tout en réspectant les accords internationnaux, pourrait être d’en dénicher les failles juridiques, tant à l’echelle du citoyen, de la commune, de la région que de l’état. Faire plier les banques plutôt qu’être plié par elles, ne signifie pas que vous êtes naif quant au financement des entreprises par le canal du crédit, au 2/3 en EUROPE, mais profondément conscient de l’importance de réformer une banque centrale qui crée de l’argent pour les banques sans profits , tandis que celle-ci en cas d’insertitude systémique sont incapables ou de se faire confiance entre-elles , ou de financer les petites et moyennes entreprises , et cela est une vérité historique autant qu’économique, PME seules à même de fournir le plein emploi. Montrez donc, combien vous êtes le patron et n’hésitez pas à dénoncer le chaos juridique dans lequel les a plongé la complication des lois décidées à leur encontre , chaos indigne du plus médiocre des avocats, fut-il président ! Car du bilan de cette dernière présidence, il y a plus d’un mot à en dire : à commencer par le propos sempiternellement vindicatif , même grossier qu’une telle fonction interdit, au risque de déchoir le débat publique en un aboiement de basse cours ! Sur le plan de la politique extérieure ne convenez que d’une demi-réussite : la déstitution de khadaffy, for couteuse mais, certes, riche en enseignements relativement aux dispositions de notre armée. D’ailleurs est-ce parce qu’ils avaient tous été vendus que la France manqua de missile ! Et si l’occasion se présente, comme la campagne s’annonce impitoyable, demandez à l’interressé » qu’on nous en assure, au moins n’était-ce pas pour quelqu’autre financement opaque, à l’image d’une présidence qui aura été sombre de trahisons, et depuis le début non dénuée d’interressement personnel « , quand on augmente sa fonction de 140%, alors même qu’on fait le constat de l’incurie budgetaire, cela se passe de commentaire, sinon à en dire long sur le faux remède qu’on proposera finalement ! Car oui, et plus que jamais , et j’en terminerais ici, Monsieur HOLLANDE, vous incarnez le choix libre de la relance et du renouveau du dialogue entre FRANCAIS, aucun évènement tragique au point d’intérroger les consciences ne doit faire oublier que là comme avant c’est le non-dit , presque toujours l’absence de communication entre les institutions de l’état qui assure le drame , alors même que le médiat informatique existe et que s’il ne peut seul assurer un role de veille sociale, c’est le dialogue entre individu qu’il faut raccomoder et qu’en ce qui concerne les actes fous, la » pénitentiarisation » accrue de la folie, est, faute de moyen mis en oeuvre, mal gérée autant que mal vécue , ne remplacera jamais une politique sociale préventive s’attaquant aux causes bien mieux qu’aux seuls effets. ainsi de la dépression du post-partum chez la femme qui assure d’une génération l’autre, ces 50% de dépression que personne ne soigne comme nombre de maladie mentale dont les causes restent multi-factorielles cependant, ce qu’il faut savoir , encore pour ne pas que prévention soit synonyme là aussi d’exclusion. Comme en période de crise , plus que jamais il faut s’assurer de la bonne condition , à chaque étape de sa vie, de la femme et l’enfant, la période de l’adolescence relevant de la résponsabilité de chacun . Comment en effet croire qu’un adolescent à fortiori un jeune adulte pourra se construire sainement si le monde ne lui répond pas? , étant entendu que la bonne mesure doit prévaloir , tel qu’ainsi l’excès du monde peut provoquer son ignorance, à cet age … .

Un dernier mot, pour que soit différé le litige avec l’écologie, sur votre point de vue international et dans le sens de la prochaine conférence d’URBAN : militez pour la reconnaissance d’un statut juridique spécifique accordé à l’arbre pour ne pas que l’accaparement sauvage des titres de propriétés des terrain où perduraient des forêts millenaire, n’engendre les catastrophes d’un futur que la situation en l’état hypothèque comme elle permet aux sociétés actionnaires de disposer des ressources forestières comme elles ont disposée du tissus industriel de l’EUROPE, soit sans discernement ni véritable conscience des enjeux autres qu’immédiats… .

Le sommet du G20 qui se réunit en ces moments d’incertitudes quant aux véritables décisions et postures que l’EUROPE se doit de tenir vis à vis du monde industriel et financier d’une part, et de sa population, tous pays membres confondus d’autre part, ne doit pas masquer les enjeux mondiaux dont ce sommet devrait être l’occasion de débattre.

Le taux d’usure, soit la limite au-delà de laquelle les taux d’intérêts d’un prêt fait à un ménage , une entreprises, une commune , un pays même sont illégaux car fixés par une limite définie par la loi des Hommes , et dans son extension :la notion que l’économie néo-libérale vivra à ses dépends à défaut d’ une nouvelle définition de ce qu’est la croissance face à l’entropie naturelle de tous système limité par la croissance d’autres systèmes concurrents, eux-même limités par le taux d’usure, au sens littérale, de la nature elle-même, définition qui interdit de penser comme une certitude la possibilité d’être pérenne de tous modèles économiques non fondé sur l’économie réelle : personne ne doit plus l’ignorer.

La gestion des mégalopoles : de ses infrastructures à la gestion des fonctions et rôles de chacun, soumis aux seules lois de la finances mondiale, qui sait spéculer mais dont le rôle ne peut être de réguler le travail, l’architecture, l’art, les moyens de communications, comme les moyens de productions est aussi bien intenable que non nécessaire,en l’état; pour la raison, qui à chaque dirigeants devrait paraitre évidente qu’elles ignorent comment créer du lien social, fonction dévolue à la loi démocratique; autrement dit, après l’assentiment du peuple , aux hommes et femmes politiques.

Aussi, avant même que le peuple Grecque, refuse le nouveau plan d’austérité qu’on veut lui imposer de force, dans une EUROPE ignorante des fondements antiques de la DEMOCRATIE qui pour les état-cités grecques dépendirent, on y revient, de l’abolitions des dettes collectives et particulières autant que de l’unification par la reconnaissance de la CULTURE et de l’ART , comme vecteur de lien social ; il s’agira , puisque le risque d’un manque de liquidité dans la zone EURO augmentera, dans la mesure où l’effectivité du référendum sera patente, d’avoir établi une BANQUE CENTRALE EUROPEENNE à l’égale de celle qui émet des dollars aux ETATS-UNIS ou du YUAN en CHINE , qui serait une véritable banque centrale venant appuyer le FOND D’INVESTISSEMENT , récemment créé, plutôt qu’une institution , n’en déplaise aux ALLEMANDS , dont le rôle actuel est suranné. Ce réajustement devant être l’occasion d’un acheminement vers une EUROPE fédérale basée sur un socle démocratique commun , impliquant de fait une base sociale et fiscale commune sans laquelle il serait vain ne serait-ce que de songer que les peuples européens dont les revenus moyens sont les plus menacés par l’injuste austérité accepteront d’être autrement qu’indignés et révolté, comme il est de fait que l’élasticité de la demande , soit l’augmentation des prix , comme le taux d’usure répondent à des lois économiques intangibles, dont les institutions doivent tenir , plus que jamais compte, à défaut de voir la loi  juridique démocratique s’auto-détruire .

Cette question du taux d’usure dans l’économie débattue, lors du sommet , il viendra le temps d’évoquer la situation d’un monde multi-polaire où ne peuvent perdurer décemment un déséquilibre entre le DOLLAR , l’EURO , le YEN et le YUAN , dont le taux doit donner lieu à des accords au moins aussi fondamentaux que ce de BRETTON WOOD, car il existe un lien vérifiable entre la désindustrialisation du continent EUROPEEN et l’accroissement du PIB chinois. Une telle distorcion à terme ne sera profitable à personne , d’abord comme elle entretient la suprématie du rôle de la finance mondiale et de son instabilité dans les états occidentaux ne pouvant rivaliser et faisant perdurer un vieux système que le néo-libéralisme entretient : la fuite des capitaux de tous les états dans les paradis fiscaux , de même qu’elle élude aux yeux des décideurs le véritable taux d’usure de la Terre dont le seuil au-delà duquel l’entropie du système d’organisation des sociétés humaines serait définitive, est l’enjeu du millénaire.

En conséquence de quoi, une certitude fait jour, ne serait-il pas temps de renoncer à toutes les DETTES des états, de considérer les ressources indispensables comme l’eau en bien commun de l’humanité sur lequel le profit doit être interdit, et de lier la prochaine conférence d’URBAN lors de laquelle, dans la constitution de tous les états, un statut juridique adapté doit être accordé à l’indispensable arbre, source d’oxigène et reserve de CO2 – à la question du respect du TRAVAIL , selon des normes universelles liées au droit de l’homme , la femme et l’enfant ?

Monsieur le Président de la république, Madame ENGELA MERKEL, Monsieur le PREMIER MINISTRE de GRANDE BRETAGNE, Monsieur BERLUSCONI, et Messieurs et Dame que je n’ignore pas :

Les circonstances économiques défavorables au développement du niveau de vie du citoyen Européen, m’incitent à vous écrire de nouveau afin de vous enjoindre d’être lucides, mais pas sourds aux aspirations des populations Européennes dont la présurisation des revenus ( présurisations du revenu social, présurisation du revenu du travail et présurisation incontrolée des revenus de la propriété)- risque d’autant plus d’être vectrice d’un mouvement révolutionnaire sans précédant que celui-ci aura été nourri par un cynisme politique et financier incapable d’enrayer : le désespoir, le ressentiment, la rage, la haine, puis la fureur qu’engendrera et qu’engendre déjà un système économique où les banques produisent plus d’argent que les industries (  » en 2007, le secteur financier représentait presque 47% de tous les profits des entreprises américaines contre 19% en 1986″)- et de part cette supériorité de leur masse monaitère, banques qui peuvent se passer de stimuler la production. Au plus, répondent-elles durant les mouvements de panique systémique, mais maintenant, plus que jamais elles sucitent des mouvements de panique capables d’obliger les états complices à leur emprunter de l’argent, à seules fins que ceux-ci puissent s’acquitter des intérêts de la dette qu’ils ont contractée envers ces même banques.

Or, ces pratiques réduisent le projet social des états à un simple paramètre d’ajustement, à l’instar du revenu des salariés que les entreprises pensent réductible à l’infini, quitte à délocaliser le travail. Sans savoir que lorsque les états auront, par des mesures de rigueurs incessantes, auront corroder jusqu’à la liberté même des citoyens ( flicage, localisation, gestion), ceux-ci feront un peu plus basculer, par réaction, l’économie dans l’économie informelle ou plutot : souterraine.

Faisant disparaitre l’argent par le bas, après avoir repenser leur mode de participation dans les banques ( crise de 29) qui font plus ou moins 40% de leur benefices avec leurs frais de banques. car les banques aspirent les avoirs des particuliers, accaparé, par ailleurs, par le haut, via l’état, les organismes internationnaux et le tissus financier actuellement dominé par les fonds d’investissements. Dont il convient de mieux limiter et rendre transparante leur capacité à manipuler les risques systémiques à leur profit. Au profit du système banquaire mondiale, par le système d’assurance, pour disparaitre dans des nébuleuses financières, ou être dilapidé à cause de la volatilité des marchés (  » la récession mondiale massive (…) de son point culminant à son point le plus bas, a anéanti plus de 30 000 milliards de dollars d’épargne. » Pour l’Amérique : la dette publique semble devoir passer de 60 % du PIB en 2007, a environ 90 % selon les éstimations du magazine  » problèmes économiques ». L’exemple du Japon dont la dette est détenue par des fonds d’investissement Japonais, étant à considérer à part, même si elle est plus inquiétante que la dette Grecque, car dans ce cas ce n’est pas la Grèce qui est maitre de sa dette)

Or, dans ces nébuleuses financières, il s’y serait accumulé plus de mille milliards d’Euro. En tous les cas: deux à trois fois plus que le bon millier de milliard d’Euros ayant servi aux états et à la banque centrale Européenne pour renflouer le tissus financier, en totalisant avec la crise des fonds souverains. Et je suis loin du compte. il faut considérer que les états ont engagés plus de 3 000 milliards de dollars, avec cette affaire de plus, depuis la crise de 2OO8.

Les états Européens doivent donc mieux soutenir et orienter le remaniement du système financier outre-atlantique. Il y est question de mieux pouvoir tracer l’origine des fonds d’investissement manipulant plus de 100 millions de dollar, en les obligeant à être référencé. Les états Européens doivent obliger les fonds d’investissements , par décrait et à l’aide d’un soutient logistique informatique mis en commun,  à révéler leur localisation, en temps réel. Il participe de leur survie démocratique, qu’ils réussissent à divulguer la masse monnaitère dont il dispose. Est-ce d’une manne de 6OO OOO milliards de dollars, en comptant les fonds d’investissements publiques, dont il est question ?

Car, il ne s’agit pas de dire seulement d’où viennent ces fonds. Il s’agit pour le bien des populations Européennes, de renforcer et de moderniser le fonctionnement de la jutice, afin d’enquéter sur la participation des entreprises dans la constitution de ces fonds, et en taxant ce gain accumulé par l’augmentation constante , depuis les années 80, de leur part sur la VA, au détriment de la part des salariers ; pour évaluer ce que les administrations gouvernementales Europènne  auront à redistribuer.(  » Depuis le milieu des années 80 on observe une tendance à l’abaissement des taux d’impôt sur les sociétés et sur les hauts revenus en Europe et un alourdissement progressif de l’imposition du travail, dans un premier temps, et, plus récement de la consommation » Jean-Paul Fitoussi et Eloi Laurant.)

Monsieur Obama, je me suis engagé personnellement pour que vous soyez élu, que le grand peuple dispose d’un président de la couleur du monde que nous cherchons tous à sauver, cela m’a valu des remontrances des plus hautes instances qui dirigent encore à ce jour leur monde, dont celle des mormons, précisions sur laquelle je ne m’attarderai pas puisque depuis il semble que nous ayons fait la paix, quand bien même je ne suis toujours pas convaincu du bien fondé d’une présidence mormone concernant la prochaine élection. Ce que j’ai a vous dire tient en peu de mots. Il ne tient qu’à vous de chercher dans vos lois ce qui rend inconstitutionnel l’usage du stylo electronique, dont le dernier emploi, au mépris de ces inconscients de républicain prépare ni plus ni moins qu’un désastre révolutionnaire peut-être même avant cet hivers. En ces temps d’injure et de cracha sur les personnes de bien, je n’aurai qu’une critique à vous adresser, ne l’ignorez pas, elle est majeure : pourquoi avoir prolongé le statut du terroriste jusqu’en 2014 ? Depuis le temps que je milite pour une paix mondiale et qu’une force inconnue me contraint à déchainer les éléments pour me faire entendre, moi qui n’ai pas d’armée, vous croyez vraiment que je ne peux pas appliquer la stratégie de l’écroulement intérieur définie dans « l’univers des signes, les signes de l’Univers », où m’est donné loisir de désenchaîner les forces psychiques? Quel désastre faudra-t-il au monde pour qu’il comprenne que je veux une économie fondée sur ce plus petit dénominateur commun qu’est le « BITS », que le « BANCORE » doit être la monnaie des pays sans monnaie libre sinon injustement assujettie aux monnaies de leur anciennes colonnies, que nous autres jeunes de notre temps nous croyons possible un trajet philosophique pour la vie de chaque être , lors duquel il s’agirait certe de travailler mais en fin de vie de sortir du circuit infernal de la necéssité de gagner de l’argent, en payant ses achats en « BITS », ceux ci non convertibles en or pour cette tranche d’age et convertible en argent pour le vendeur, car de toutes façon l’argent ne se mange pas et ne sert à rien, quand l’humanité l’apprendra-t-elle enfin ? s’en souvient-on en France et en Allemagne : une démocratie protège ses handicapés, ses artistes, ses réfugiés,n ‘entretient pas les monopoles de la construction d’habitat et nourrit ses bras même quand elle ne les reconnait pas comme les siens, car en cela même réside le secret de la laicité : quand la loi est mauvaise, elle s’auto-détruit…                                                                                                PATRICK RAKOTOASITERA

Rage de ne pas réussir à bloquer l’économie là ou ça fait mal, dans le porte-feuille lui même des grands Trésoriers Français.

Rage, parce qu’on a une vie de crédit et que même si l’on n’ignore pas le caractère inique de ce nouveau régime de retraite, on ne peut sacrifier un jour de travail au risque d’être encore si juste en fin de mois.

Rage de voir se répandre dans toutes les entreprises ces techniques de management qui visent la soumission totale du salarié, incitera la haine du collègue et provoquent le dégoût d’un travail déshumanisé, vidé de sa substance socialisante.

Rage que devraient ressentir toutes les femmes, elles, les plus injustement défavorisées par la dite réforme ; ne serait-ce que parce que passé 60 ans : elles sont moins de 10% à être encore en activité, et que passé 40 ans il leur faudra bien du courage pour supporter les 20 ans de précarité salariale qui les attendent, dans la plus part des catégories socio-professionnelles.

Cette rage les collègues de Banlieues l’ont depuis longtemps, se serait-elle communiquée à l’ensemble d’une population dégoutée, désabusée, appauvrie, et maintenue dans les rails d’une vie sans idéal ? 2010 peut-il être un 2005 puissance dix ?

Enfin, rage contre ceux qui décrètent la fin du monde avant l’heure et ne font rien pour contrecarrer l’angoisse ambiante, accentuant la folie religieuse ; folie qui fait mauvais ménage avec la rage, elle consciente et librement déployable.

Rage, ressentiment que les religieux traitent par la foi, mais que moi je traiterais par la haine.

Tout d’abord, c’est jusqu’à 5% de la population qui a manifesté son mépris et sa colère. Mais la haine naîtra du manque de communication et de représentation des syndicats, du gouvernement, et dans le pire des cas des manifestants. Mais il faudra bien qu’ils se dévoilent les héros de ces manifestations. Peut-être seront-ils ceux parmi les plus violents, les ultras comme on dit. Mais là encore c’est à la jeunesse que revient la primeur du passage de la colère à la haine contre cette globalité délibitante, eux qui, notamment avec l’afflux des familles auront permis à la rue de gagner la bataille de la légitimité. Et pas dans l’esprit simpliste de la haine du CRS, mais de la haine de la crise récurrente sempiternelle. Rappelons qu’en mai 68, la jeunesse se battait pour plus de libertés. Aujourd’hui, elle a la haine de ce monde froid et balisé par la peur à tous les échelons ; un monde sans issues qui rajoute à la rage le désespoir de la haine.

Mais l’insurrection tant attendue par nos générations de trentenaire peut-elle naître dans la rue ? En tous les cas les étudiants devront assimiler la foi délirante des casseurs pour que la fracture ne soit pas reconduite. Car les 95% des gens qui ne sont pas allé manifester et sur lesquels compte encore le gouvernement seront-ils choqués au point de virer de bord si cela tourne mal ? Bloquer les raffineries ? Le réseau routier ? Ferroviaire ? oui, bien sûr, mais l’insurrection viendra de l’inflation des denrées, de l’écrasement des classes moyennes, des familles mono-parentales ; lorsque les femmes auront retrouvé l’hystérie du pain trop cher… Et que fera t-on des parlementaires ? eux à qui manque ce sursaut révolutionnaire, ce dégoût des méthodes d’impositions injustes qui ne concernent jamais que le capital immobilier et pas financier ; eux qui ne refusent pas que la dette grève le budget des collectivités et menacent par les taxes l’ensemble des particuliers ; eux qui depuis plus de trente ans sont devenus les esclaves des entreprises du CAC 40, auxquelles ils ne refusent rien.

Compatriotes il faut leur faire peur, il faut marcher jusqu’au parlement et plus loin encore…

Revanche du peuple : 2012 ne sera pas la fin du monde prévue par les mayas mais la fin de SARKOZY et du cynisme de sa communication.

Patrick Rakotoasitera.

Lettre envoyée le 4 décembre a l’attention de monsieur le Président de La république

COPENHAGUE LES CITOYENS DE LA TERRE PRIS ENTRE CHIENS ET LOUPS

Copenhague peut-il résoudre ou du moins amoindrir l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère ? Autrement dit l’espèce humaine dont le niveau de conscience s’élève à mesure que pointe le danger, saura-t-elle seule déjouer les conflits de pouvoir qui l’agitent, tel des leurres masquant le profil de l’extinction de masse. Cette dernière nécessaire du point de vue de l’écosystème qui aura recours à tous les stratagèmes (virus, tremblement de terre, tornade…etc.) –extinction de masse indispensable aussi du point de vue MALTUSIEN, celui-ci impliquant la guerre conventionnelle, s’il le faut, ainsi que l’arme bactériologique comme seules étincelles capable de rendre a l’économie un niveau de croissance suffisant pour les aires géographiques dominantes.

Seulement Copenhague doit être le moment essentiel dont les générations futur pourront dire que la est apparu un partage des responsabilités. Et forcement qu’il s’y est joué la : le sort d’un monde non pas lié par des relations économiques ; mais bâillonné par un système d’interdépendances fondé sur la dette publique, système ou l’argent lui-même pollue les âmes, par suite la Terre, jusqu’au ciel lui-même : l’Homme étant réduit à compter l’impossible. Compter chaque goutte d’eau, chaque molécule d’oxygène, chaque gramme d’essence, afin de reformuler un système de valeur sans valeur éthique réelle.

Nicolas, et je vous le dit sincèrement, si vous arrivez à faire se plier aux exigences de la Nature la CHINE d’abord, les Etats-Unis ensuite. Cela ne sera qu’une entrée. L’entrée d’un menu ou contrairement a YALTA il ne s’agira pas de partager le monde entre quelque uns, mais de restituer a chacun un morceau de ciel a dépolluer ainsi qu’un morceau de mer a entretenir, toutes affaires cessantes.

Si personne ne veut financer les systèmes économiques fragiles des pays en voie de développement afin que ceux-ci ne connaissent pas l’effet CO2 propre a toutes croissances male maitrisée : proposez qu’on annule purement et simplement leurs dettes

Si cela est impossible, rappelez que la taxe carbone ne peut et ne doit pas être le protectionnisme de demain : un artifice de plus des pays dominants pour ralentir l’effondrement de leur contrôle sur l’économie mondiale, dors et déjà effectif.

Car quoi ? Est-ce d’un monde a la RICARDO, l’économiste qui prévoyait que chaque pays se spécialiserait, l’un créant de l’huile de palme, l’autre des voitures, l’autre des ordinateurs…etc.Est-ce réellement de ce triste monde dont il faut rêver ?

Non, vous pouvez et devez, tel est le sens de l’alliance de la France avec l’Allemagne, Le BRESIL et l’INDE, considérer voir incarner le rôle du primitif ou homme primordiale qui défend sa foret, chaque arbres volé l’étant au détriment de sa chair et son sang. Renforcer le droit des sociétés primordiale, instituer un mode de compensation carbone, serait ainsi une avancée pour Copenhague. On ne peut pas défricher la foret pour élever du krill (sorte de planton), sous prétexte que la mer devient vide de cette ressource essentielle comme on reporte au lendemain la nécessité d’élever des vers de terre, faune essentielle pour la flore qu’on vient de détruire.

Mais encore une fois le paradoxe est économique, car avant que la rareté des arbres fasse leur cherté, il est indispensable de valoriser la foret mondiale. Autrement dit la taxe carbone doit être le moyen par le quel les états dominants, en expansion, ou en développement s’engagent financièrement pour suppléer aux manquements écologiques des agricultures locales et nationales qui seraient tentées de remplacer la bio diversité de leurs foret par des monocultures. Ici une institution caractéristique par la rapidité de ses moyens d’action serait souhaitable. Non seulement cette institution pourrait être complémentaire du FMI, mais en plus elle devrait jouir d’une totale autonomie financière, ou être dirigée par celui ou celle qu’on pourrait nommer le représentant des sociétés primordiales.

L’autre aspect du secteur primaire que doit prendre en compte l’union des 192 états réunis lors du sommet de Copenhague concerne l’alimentation des masses et plus particulièrement la révolution ou le bouleversement des habitudes nutritionnelles fondées par la tradition. En effet, produire de la viande c’est produire du CO2 plus que de raison dans un monde ou l’uniformisation alimentaire doit être combattue en favorisant le plébiscite de la diversité culinaire. Une part non négligeable mais à quantifier de la taxe sur la production de CO2 doit être dévolue à l’édification des masses consommatrices de l’hémisphère nord, en conséquence. Une autre a la valorisation des traditions culinaires de l’hémisphère sud. Pour être précis les experts doivent pouvoir évaluer le nombre d’arbres qu’il faut pour absorber les rejets de CO2 d’un bovin. De la, en fonction du cheptel mondial déterminer le seuil critique du déboisement mondial.
Toujours concernant le secteur primaire en l’occurrence la : la pêche, les 192 doivent prendre conscience que la détérioration de la chaine alimentaire maritime est indissociable de la fonte des pôles. Et qu’en la matière, le sommet doit être un encouragement non mesuré a l’ensemble des recherches traitant du sujet les quelles doivent être coordonnées par une institution capable de réagir en temps réel. C’est-à-dire être capable de favoriser les actions individuelles ou associatives et disposer d’un pouvoir exécutif supérieur a toutes lois nationale par exemple pour que les interdits fixés par les scientifiques ne soient pas lettres mortes. La plus part des crèmes solaires sont un poison pour l’écosystème marin. Cette institution devrait avoir le pouvoir de les interdire au niveau le plus élevé des aires géographiques. Plus efficace encore : cette institution doit disposer d’une force maritime internationale reconnue par les 192, afin que la mer ne meurt pas sous les assauts répétés des appétits déraisonnés. Car sans qu’il me soit possible de le prouver ici, la destruction ou plutôt l’autodestruction de l’arctique entrainera et la destruction des barrières de corail et l’autodestruction du permafrost dont on sait qu’il emprisonne des réserves insoupçonnées de CO2. Or si les 192 ne s’entendent pas : lors de la prochaine réunion des états pour un développement durable, le ciel ne sera pas seulement saturé de CO2, il faudra aussi combattre des zones géographiques de plus en plus inhospitalière, au cœur des quelles règnera le sulfure d’hydrogène. Cet argument à lui seul doit être déterminant dans la réaffectation des forces de l’ONU qu’il s’agirait de rattacher à cette institution aux lois supérieures.

Le rôle du secteur secondaire dans l’augmentation de la production de CO2 sera d’autant plus minimisée que les 192 développeront ce que l’on pourrait appeler la pédagogie positive du consommateur ou autrement dit comment dégager un budget spécifique servant à payer les avocats des particuliers victimes des industries multinationale. La part de ce budget dévolue a la pédagogie devant permettre de faire évoluer la production en fonction de la consommation. Tandis que cette pédagogie devrait avoir un versant destiné aux entrepreneurs eux-mêmes. A Copenhague, il ne s’agit pas de faire le procès des grandes industries, sans les quelles il n’y a pas de développement. Il s’agit plus tôt d’établir pour et avec des normes de productions, des échéanciers, en augmentant la part de leurs investissements liée a la recherche techno biologique, pourrait-on dire. Je ne m’étendrai pas plus sur le sujet votre savoir faire en la matière est une bénédiction. Pourvu que ce ne soit pas une bénédiction seulement pour les industriels.

Le secteur tertiaire international concerné par la guérison de la Terre, a Copenhague, chaque participants doit en prendre la mesure, est capable, tant la tache est lourde d’implications, de fournir une quantité de travail insoupçonnée. Si les abeilles disparaissent et qu’ainsi 34% des espèces florales sont a poliniser par l’homme a l’aide de pinceaux faits de poils humain, un tas d’autres services à détailler par les experts son envisageables.

Copenhague c’est un petit bout de toit, un petit gout de moi, et la fin du verbe taire. Que ce sommet semble en apparence mort né a cause de la politique Malthusienne des Etats Unis qui pensent encore que la guerre n’est pas finit, ne doit pas entamer notre combativité. Quand j’entends « We have to finish the job » je pense a Bill Clinton qui me demandait de participer a la Traque de Ben Laden et a votre instar je réserve mon élan au franchissement du cap écologique en espérant ne pas avoir à atterrir dans un étang de sang.

Veuillez agréer Monsieur le Président ma profonde croyance en la réussite du pardon que la Terre doit accorder a l’Homme.
PATRICK RAKOTOASITERA www.patrick-rako.nuxit.net

ROLE DE LA FRANCE DANS LE CONFLIT IRANO-ISRAELIEN
4EME LETTRE A NICOLAS SARKOZY ADRESSEE LE 4 SEPTEMBRE 2009

MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,

Tout d’abord permettez moi de vous dire que votre désir d’augmenter la masse monetaire de tous les citoyens, selon une logique de redistribution, à vos yeux, équitable : ne laisse pas indifférent. Pas plus que votre admiration pour les entrepreneurs, ces terrassiers du réel, capable de mobiliser le labeur de la multitude.

Pour autant : les circonstance historiques d’un changement d’ère: celle du profit tout azimut, à l’ère de l’alliance de l’état avec la nation, et de la nation avec la Terre, dans le but de contrecarrer le fonctionnement tacite des industries d’état internationnales : ces circonstances ne vous priveront pas d’une trahison.

Et pour cause ! Soit vous trahirez le peuple au nom du devoir qui est le votre de maintenir l’existence des infrastructures, strictement dépendante d’un système internationnale qui survalorise la fonction historique du banquier dans la gestion de la dette des états, ce qui favorise l’existence du chaos au coeur du système libéral, et du fonctionnement géopolitique internationnal- chaos, caractérisé par le statut quo de l’expansion des zones de guerres irrégulières.
Soit vous trahirez les entrepreneurs, banquiers y compris, au nom du peuple; mouvement historique par lequel l’indépendance idéologique du fonctionnement économique est favorisée, en axant la stratégie militaire relativement au concept de relation au détriment du concept de frontière que favorise la politique. Et le scénario catastrophe d’un retour à la guerre conventionnelle généralisée entre états dominants, devra être jugulée par la circonscription des forces inhumaines, reliées entre elles à l’échelle internationnale, par les mécanismes du mensonge, de la trahison, de la corruption, et de la manipulation ou élimination des élites symboliques.

Mais le résultat géopolitique menace de revenir à la même chose. La guerre, si l’homme civilisé ne peut dors et déjà plus manger que son argent, d’après la pensée primitive. Autrement dit si l’écosystème a été surévalué par les scientifiques, et qu’il ne peut plus supporter la présence massive de l’action humaine et que le déploiement stratégique des états, motivé par l’accaparement des resouces énergétiques, nécessaires à son fonctionnement est dors et déjà une perte de temps et une dépense inutile parce qu’illusoire.

Or, cet éceuil sur lequel bute la civilisation depuis le nuit des temps, en motivant l’interprétation religieuse dans le sens de l’émergence de la figure du prophète, doit être intégré par la stratégie économique qui placerait le projet global français sous l’hospice d’un pari universel, seul capable de freiner l’avidité des entrepreneurs, obnubilés par la dialectique du maitre et de l’esclave, mais incapables seuls d’éviter la réalité de la fable du chien qui mange son maitre, faute d’os à ronger.
Comme en définitive, la science archéologique a été incapable juquà maintenant de démontrer l’existence ou la non existence de civilisations arrivées au même stade technologique que le notre, et dont l’histoire de la disparition réfugiée dans la pensée mythique, fait écran à l’accès par la pensée moderne à des informations impossibles à fonder . Les quelles limitent le champ des sciences humaines, et faute d’exemple, empêchent la science de découvrir le code originel régissant les lois de l’univers, dont la maitrise permettrait à l’humain de téléporter autre chose que des ondes, et le soulagerait d’avoir à se battre pour l’énergie thermique afin d’assurer le transport des objets matériels, selon les modalités d’un échange de biens entre les communautés d’être, par ailleurs seul propre à assurer la paix.

La stratégie militaire des parties en présence orientées par le concept de géopolitique hérité de la stratégie militaire allemande doit inciter la France à inventer une nouvelle stratégie militaire, celle-ci, dont les acteurs n’ignoreraient pas qu’on ne peut pas éliminer la pensée en éliminant l’homme qui pense, puisque les idées sont éternelles et que l’homme peut juste orienter les rapports de pouvoir qui régissent leur structuration conceptuelle, s’il veut organiser de manière équilibrée les conditions qui définissent la survie matérielle de son espèce, strictement dépendantes de la coexistence des pensées, et fondamentalement différentes d’une liberté définie par le droit qui serait autre chose que l’acceptation par l’homme de la coexistence sur Terre des deux figures de la femme : Eve et Lilith.

Eve et Lilith dont le combat ancéstral est frère du combat des artistes de tous les continents à faire émerger une conscience mondiale que cherche à protéger la stratégie économique, sans réussir encore bien à la faire coincider avec une stratégie militaire qui s’attaque en priorité aux productions qui maintiennent l’existence de deux mondes, un pour chaque figure de la femme, sans savoir que le monde est un, comme l’humanité une et indivisible.

Vérité idéostratégique que masque la vérité géopolitique en faisant se combattre les cultures entre elles. Au rique d’écraser lémergence de la conscience mondiale seule capable de se contenter d’un partage de la communication, étape transitoire à un partage de la production, manqué par l’humanité au siècle dernier, et immémorialement par toutes civilisations.

Je n’ai pas besoin de vous en dire plus. Votre intelligence est louable, votre manque de coeur, encore un défaut qui vous empêche de savoir communiquer votre énergie aux peuples, en modérant par la raison l’élan incontrolable de l’éspoir.

Du point de vue de la forme de votre stratégie de communication : je vous encourage à modérer votre familiarité avec l’élite mondiale ce qui vous coupe de la base; en raffermissant le lien entre la pensée française et la superstructure, dont on sait maintenant que sa constitution immatérielle, faite d’idées accessibles à tous, est le véritable enjeu, mis en lumière mais manqué par la dialectique marxiste – en vous confrontant aux métaphores géopolitiques mondiales, sans jamais chercher à en faire vous même, sinon par des reformulations empruntes de critique et de douceur, guidées par la nécessité de décrisper l’individu par un humour bienveillant, jamais moralisateur ou supérieur.

Par exemple quand MAO dit qu’il ne peut pas y avoir deux tigres sur la même colline; affirmez qu’il faut supprimer la colline. Car, là où la pensée considère son futur labeur, le coeur imagine le sein nourricier… Pensée éminamment Confuséenne à rappeler aux chinois eux-même pour éviter que leur revanche sur le monde ne tourne au désastre.

Quand DEGAULLE dit l’Angleterre est une île, pensez que Madagascar est une île et que c’est peut-être l’Angleterre de l’hémisphère sud (sud-est).

La statégie militaire consistant à savoir qu’on avance toujours parce qu’on a toujours quelqu’un derrière le dos, vise à établir des liens d’amour entre les pays, même LAO TSE le sait. ( référence à la déstabilisation de la Chine sur sa frontière ouest et sud en raison de l’activité d’alquaida).

Rappelez donc à Israel que lors de la mandature de votre prédécesseur, qu’on ait échoué à concrétiser le projet global Africain, pas réussi à faire de l’Indonésie les états unis d’Indonésie, pour stabiliser le coeur de la guerre mondiale, corréspondant aux régions historiques où se situent les trones de SATAN, ne signifie pas que l’homme a oublié mon rève, a dit DIEU.

Aussi, si vous voulez favoriser la détermination par le peuple Iranien d’un état original, ni capitaliste, ni monarchique, ni même démocratique dans le sens laique de ce qui est après tout peut-être aussi une utopie, un état religieux démocratique autodéterminé par la conscience mondiale qu’il abrite aussi : ranimez les circuits de la pensée musulmane dont le droit hérité de SOLIMAN LE MAGNIFIQUE établit toujours la possibilité d’un échange entre les intellectuels du monde et l’institution religieuse. (ce droit qui devait organiser les possibilités de sa régénérécence afin de répondre aux ambitions commerciales du royaume safavicide, faute d’une expansion territoriale possible à l’est)

Stratégie de communication adoptée par l’auteur de Kallila et Dimna pour limiter le cynisme politique par la diffusion du livre du même nom, livre à promouvoir, connu dans le Maghreb, et dont le complément ( en dehors de toutes négociation économique) doit venir d’une réflexion plus large initiée autour de la figure du prophète.

Si un prophète se met à tuer, il ne pourra faire l’économie dans son enseignement de la nécessité du pardon, et pour lui-même, et pour ses victimes et ennemis vaincus, au rique d’avoir toujours des ennemis de sa cause, et de ne pas réussir à accomplir l’existence d’un vrai droit, et d’un droit vrai pour la Terre.

La pensée musulmane ( dont l’apport au niveau de l’économie des société fut considérable: le chèque date d’une pratique commerciale musulmane née de l’urgence face au développement des relations économique entre est et l’ouest de ne pas avoir à payer en monnaie sonnante et trébuchante ce qu’au cours d’un autre voyage le commerçant peut obtenir au près de la banque centrale), cette pensée doit en effet expliquer au monde compréhensiblement pourquoi MAHOMMET n’a pas souhaité que le monde futur conserve l’image de sa personne, lui qui devait être un être si beau pour accomplir ce qu’il a accompli.

Car, est-ce à dire que le concept de beauté a des effets dérégulateurs sur la société, lui si inégalitaire relativement à la forme humaine, lui qui naturellement sucite jalousie et enjeu de pouvoir – est-ce que le droit est capable de défaire les liaisons qui l’unissent à l’essence du mal sans abimer la liberté humaine, initialement souhaitée ?

Supprimer ou interdire l’image revient-il à considérer que l’éthique doit diriger l’esthétique dans la création quand on sait que quel que soit la forme ou le style de batiment obtenu, le mécanisme de la pensée produisant le mécanisme de la construction est le même pour une pyramide, une église ou une mosquée ?

L’économie humaine ne pourra faire l’économie du pardon entre les survivants de toutes sortes, bourreaux ou victimes.

Veuillez agréer monsieur le Président de la Republique l’expression de mon encouragement à votre égard.

PATRICK RAKOTOASITERA

NB: Lire L’UNIVERS DES SIGNES LES SIGNES DE L’UNIVERS dans SA COULEUR sur www.patrick-rako.nuxit.net