Le sommet du G20 qui se réunit en ces moments d’incertitudes quant aux véritables décisions et postures que l’EUROPE se doit de tenir vis à vis du monde industriel et financier d’une part, et de sa population, tous pays membres confondus d’autre part, ne doit pas masquer les enjeux mondiaux dont ce sommet devrait être l’occasion de débattre.

Le taux d’usure, soit la limite au-delà de laquelle les taux d’intérêts d’un prêt fait à un ménage , une entreprises, une commune , un pays même sont illégaux car fixés par une limite définie par la loi des Hommes , et dans son extension :la notion que l’économie néo-libérale vivra à ses dépends à défaut d’ une nouvelle définition de ce qu’est la croissance face à l’entropie naturelle de tous système limité par la croissance d’autres systèmes concurrents, eux-même limités par le taux d’usure, au sens littérale, de la nature elle-même, définition qui interdit de penser comme une certitude la possibilité d’être pérenne de tous modèles économiques non fondé sur l’économie réelle : personne ne doit plus l’ignorer.

La gestion des mégalopoles : de ses infrastructures à la gestion des fonctions et rôles de chacun, soumis aux seules lois de la finances mondiale, qui sait spéculer mais dont le rôle ne peut être de réguler le travail, l’architecture, l’art, les moyens de communications, comme les moyens de productions est aussi bien intenable que non nécessaire,en l’état; pour la raison, qui à chaque dirigeants devrait paraitre évidente qu’elles ignorent comment créer du lien social, fonction dévolue à la loi démocratique; autrement dit, après l’assentiment du peuple , aux hommes et femmes politiques.

Aussi, avant même que le peuple Grecque, refuse le nouveau plan d’austérité qu’on veut lui imposer de force, dans une EUROPE ignorante des fondements antiques de la DEMOCRATIE qui pour les état-cités grecques dépendirent, on y revient, de l’abolitions des dettes collectives et particulières autant que de l’unification par la reconnaissance de la CULTURE et de l’ART , comme vecteur de lien social ; il s’agira , puisque le risque d’un manque de liquidité dans la zone EURO augmentera, dans la mesure où l’effectivité du référendum sera patente, d’avoir établi une BANQUE CENTRALE EUROPEENNE à l’égale de celle qui émet des dollars aux ETATS-UNIS ou du YUAN en CHINE , qui serait une véritable banque centrale venant appuyer le FOND D’INVESTISSEMENT , récemment créé, plutôt qu’une institution , n’en déplaise aux ALLEMANDS , dont le rôle actuel est suranné. Ce réajustement devant être l’occasion d’un acheminement vers une EUROPE fédérale basée sur un socle démocratique commun , impliquant de fait une base sociale et fiscale commune sans laquelle il serait vain ne serait-ce que de songer que les peuples européens dont les revenus moyens sont les plus menacés par l’injuste austérité accepteront d’être autrement qu’indignés et révolté, comme il est de fait que l’élasticité de la demande , soit l’augmentation des prix , comme le taux d’usure répondent à des lois économiques intangibles, dont les institutions doivent tenir , plus que jamais compte, à défaut de voir la loi  juridique démocratique s’auto-détruire .

Cette question du taux d’usure dans l’économie débattue, lors du sommet , il viendra le temps d’évoquer la situation d’un monde multi-polaire où ne peuvent perdurer décemment un déséquilibre entre le DOLLAR , l’EURO , le YEN et le YUAN , dont le taux doit donner lieu à des accords au moins aussi fondamentaux que ce de BRETTON WOOD, car il existe un lien vérifiable entre la désindustrialisation du continent EUROPEEN et l’accroissement du PIB chinois. Une telle distorcion à terme ne sera profitable à personne , d’abord comme elle entretient la suprématie du rôle de la finance mondiale et de son instabilité dans les états occidentaux ne pouvant rivaliser et faisant perdurer un vieux système que le néo-libéralisme entretient : la fuite des capitaux de tous les états dans les paradis fiscaux , de même qu’elle élude aux yeux des décideurs le véritable taux d’usure de la Terre dont le seuil au-delà duquel l’entropie du système d’organisation des sociétés humaines serait définitive, est l’enjeu du millénaire.

En conséquence de quoi, une certitude fait jour, ne serait-il pas temps de renoncer à toutes les DETTES des états, de considérer les ressources indispensables comme l’eau en bien commun de l’humanité sur lequel le profit doit être interdit, et de lier la prochaine conférence d’URBAN lors de laquelle, dans la constitution de tous les états, un statut juridique adapté doit être accordé à l’indispensable arbre, source d’oxigène et reserve de CO2 – à la question du respect du TRAVAIL , selon des normes universelles liées au droit de l’homme , la femme et l’enfant ?

Monsieur le Président de la république, Madame ENGELA MERKEL, Monsieur le PREMIER MINISTRE de GRANDE BRETAGNE, Monsieur BERLUSCONI, et Messieurs et Dame que je n’ignore pas :

Les circonstances économiques défavorables au développement du niveau de vie du citoyen Européen, m’incitent à vous écrire de nouveau afin de vous enjoindre d’être lucides, mais pas sourds aux aspirations des populations Européennes dont la présurisation des revenus ( présurisations du revenu social, présurisation du revenu du travail et présurisation incontrolée des revenus de la propriété)- risque d’autant plus d’être vectrice d’un mouvement révolutionnaire sans précédant que celui-ci aura été nourri par un cynisme politique et financier incapable d’enrayer : le désespoir, le ressentiment, la rage, la haine, puis la fureur qu’engendrera et qu’engendre déjà un système économique où les banques produisent plus d’argent que les industries (  » en 2007, le secteur financier représentait presque 47% de tous les profits des entreprises américaines contre 19% en 1986″)- et de part cette supériorité de leur masse monaitère, banques qui peuvent se passer de stimuler la production. Au plus, répondent-elles durant les mouvements de panique systémique, mais maintenant, plus que jamais elles sucitent des mouvements de panique capables d’obliger les états complices à leur emprunter de l’argent, à seules fins que ceux-ci puissent s’acquitter des intérêts de la dette qu’ils ont contractée envers ces même banques.

Or, ces pratiques réduisent le projet social des états à un simple paramètre d’ajustement, à l’instar du revenu des salariés que les entreprises pensent réductible à l’infini, quitte à délocaliser le travail. Sans savoir que lorsque les états auront, par des mesures de rigueurs incessantes, auront corroder jusqu’à la liberté même des citoyens ( flicage, localisation, gestion), ceux-ci feront un peu plus basculer, par réaction, l’économie dans l’économie informelle ou plutot : souterraine.

Faisant disparaitre l’argent par le bas, après avoir repenser leur mode de participation dans les banques ( crise de 29) qui font plus ou moins 40% de leur benefices avec leurs frais de banques. car les banques aspirent les avoirs des particuliers, accaparé, par ailleurs, par le haut, via l’état, les organismes internationnaux et le tissus financier actuellement dominé par les fonds d’investissements. Dont il convient de mieux limiter et rendre transparante leur capacité à manipuler les risques systémiques à leur profit. Au profit du système banquaire mondiale, par le système d’assurance, pour disparaitre dans des nébuleuses financières, ou être dilapidé à cause de la volatilité des marchés (  » la récession mondiale massive (…) de son point culminant à son point le plus bas, a anéanti plus de 30 000 milliards de dollars d’épargne. » Pour l’Amérique : la dette publique semble devoir passer de 60 % du PIB en 2007, a environ 90 % selon les éstimations du magazine  » problèmes économiques ». L’exemple du Japon dont la dette est détenue par des fonds d’investissement Japonais, étant à considérer à part, même si elle est plus inquiétante que la dette Grecque, car dans ce cas ce n’est pas la Grèce qui est maitre de sa dette)

Or, dans ces nébuleuses financières, il s’y serait accumulé plus de mille milliards d’Euro. En tous les cas: deux à trois fois plus que le bon millier de milliard d’Euros ayant servi aux états et à la banque centrale Européenne pour renflouer le tissus financier, en totalisant avec la crise des fonds souverains. Et je suis loin du compte. il faut considérer que les états ont engagés plus de 3 000 milliards de dollars, avec cette affaire de plus, depuis la crise de 2OO8.

Les états Européens doivent donc mieux soutenir et orienter le remaniement du système financier outre-atlantique. Il y est question de mieux pouvoir tracer l’origine des fonds d’investissement manipulant plus de 100 millions de dollar, en les obligeant à être référencé. Les états Européens doivent obliger les fonds d’investissements , par décrait et à l’aide d’un soutient logistique informatique mis en commun,  à révéler leur localisation, en temps réel. Il participe de leur survie démocratique, qu’ils réussissent à divulguer la masse monnaitère dont il dispose. Est-ce d’une manne de 6OO OOO milliards de dollars, en comptant les fonds d’investissements publiques, dont il est question ?

Car, il ne s’agit pas de dire seulement d’où viennent ces fonds. Il s’agit pour le bien des populations Européennes, de renforcer et de moderniser le fonctionnement de la jutice, afin d’enquéter sur la participation des entreprises dans la constitution de ces fonds, et en taxant ce gain accumulé par l’augmentation constante , depuis les années 80, de leur part sur la VA, au détriment de la part des salariers ; pour évaluer ce que les administrations gouvernementales Europènne  auront à redistribuer.(  » Depuis le milieu des années 80 on observe une tendance à l’abaissement des taux d’impôt sur les sociétés et sur les hauts revenus en Europe et un alourdissement progressif de l’imposition du travail, dans un premier temps, et, plus récement de la consommation » Jean-Paul Fitoussi et Eloi Laurant.)

Monsieur Obama, je me suis engagé personnellement pour que vous soyez élu, que le grand peuple dispose d’un président de la couleur du monde que nous cherchons tous à sauver, cela m’a valu des remontrances des plus hautes instances qui dirigent encore à ce jour leur monde, dont celle des mormons, précisions sur laquelle je ne m’attarderai pas puisque depuis il semble que nous ayons fait la paix, quand bien même je ne suis toujours pas convaincu du bien fondé d’une présidence mormone concernant la prochaine élection. Ce que j’ai a vous dire tient en peu de mots. Il ne tient qu’à vous de chercher dans vos lois ce qui rend inconstitutionnel l’usage du stylo electronique, dont le dernier emploi, au mépris de ces inconscients de républicain prépare ni plus ni moins qu’un désastre révolutionnaire peut-être même avant cet hivers. En ces temps d’injure et de cracha sur les personnes de bien, je n’aurai qu’une critique à vous adresser, ne l’ignorez pas, elle est majeure : pourquoi avoir prolongé le statut du terroriste jusqu’en 2014 ? Depuis le temps que je milite pour une paix mondiale et qu’une force inconnue me contraint à déchainer les éléments pour me faire entendre, moi qui n’ai pas d’armée, vous croyez vraiment que je ne peux pas appliquer la stratégie de l’écroulement intérieur définie dans « l’univers des signes, les signes de l’Univers », où m’est donné loisir de désenchaîner les forces psychiques? Quel désastre faudra-t-il au monde pour qu’il comprenne que je veux une économie fondée sur ce plus petit dénominateur commun qu’est le « BITS », que le « BANCORE » doit être la monnaie des pays sans monnaie libre sinon injustement assujettie aux monnaies de leur anciennes colonnies, que nous autres jeunes de notre temps nous croyons possible un trajet philosophique pour la vie de chaque être , lors duquel il s’agirait certe de travailler mais en fin de vie de sortir du circuit infernal de la necéssité de gagner de l’argent, en payant ses achats en « BITS », ceux ci non convertibles en or pour cette tranche d’age et convertible en argent pour le vendeur, car de toutes façon l’argent ne se mange pas et ne sert à rien, quand l’humanité l’apprendra-t-elle enfin ? s’en souvient-on en France et en Allemagne : une démocratie protège ses handicapés, ses artistes, ses réfugiés,n ‘entretient pas les monopoles de la construction d’habitat et nourrit ses bras même quand elle ne les reconnait pas comme les siens, car en cela même réside le secret de la laicité : quand la loi est mauvaise, elle s’auto-détruit…                                                                                                PATRICK RAKOTOASITERA

Lettre envoyée le 4 décembre a l’attention de monsieur le Président de La république

COPENHAGUE LES CITOYENS DE LA TERRE PRIS ENTRE CHIENS ET LOUPS

Copenhague peut-il résoudre ou du moins amoindrir l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère ? Autrement dit l’espèce humaine dont le niveau de conscience s’élève à mesure que pointe le danger, saura-t-elle seule déjouer les conflits de pouvoir qui l’agitent, tel des leurres masquant le profil de l’extinction de masse. Cette dernière nécessaire du point de vue de l’écosystème qui aura recours à tous les stratagèmes (virus, tremblement de terre, tornade…etc.) –extinction de masse indispensable aussi du point de vue MALTUSIEN, celui-ci impliquant la guerre conventionnelle, s’il le faut, ainsi que l’arme bactériologique comme seules étincelles capable de rendre a l’économie un niveau de croissance suffisant pour les aires géographiques dominantes.

Seulement Copenhague doit être le moment essentiel dont les générations futur pourront dire que la est apparu un partage des responsabilités. Et forcement qu’il s’y est joué la : le sort d’un monde non pas lié par des relations économiques ; mais bâillonné par un système d’interdépendances fondé sur la dette publique, système ou l’argent lui-même pollue les âmes, par suite la Terre, jusqu’au ciel lui-même : l’Homme étant réduit à compter l’impossible. Compter chaque goutte d’eau, chaque molécule d’oxygène, chaque gramme d’essence, afin de reformuler un système de valeur sans valeur éthique réelle.

Nicolas, et je vous le dit sincèrement, si vous arrivez à faire se plier aux exigences de la Nature la CHINE d’abord, les Etats-Unis ensuite. Cela ne sera qu’une entrée. L’entrée d’un menu ou contrairement a YALTA il ne s’agira pas de partager le monde entre quelque uns, mais de restituer a chacun un morceau de ciel a dépolluer ainsi qu’un morceau de mer a entretenir, toutes affaires cessantes.

Si personne ne veut financer les systèmes économiques fragiles des pays en voie de développement afin que ceux-ci ne connaissent pas l’effet CO2 propre a toutes croissances male maitrisée : proposez qu’on annule purement et simplement leurs dettes

Si cela est impossible, rappelez que la taxe carbone ne peut et ne doit pas être le protectionnisme de demain : un artifice de plus des pays dominants pour ralentir l’effondrement de leur contrôle sur l’économie mondiale, dors et déjà effectif.

Car quoi ? Est-ce d’un monde a la RICARDO, l’économiste qui prévoyait que chaque pays se spécialiserait, l’un créant de l’huile de palme, l’autre des voitures, l’autre des ordinateurs…etc.Est-ce réellement de ce triste monde dont il faut rêver ?

Non, vous pouvez et devez, tel est le sens de l’alliance de la France avec l’Allemagne, Le BRESIL et l’INDE, considérer voir incarner le rôle du primitif ou homme primordiale qui défend sa foret, chaque arbres volé l’étant au détriment de sa chair et son sang. Renforcer le droit des sociétés primordiale, instituer un mode de compensation carbone, serait ainsi une avancée pour Copenhague. On ne peut pas défricher la foret pour élever du krill (sorte de planton), sous prétexte que la mer devient vide de cette ressource essentielle comme on reporte au lendemain la nécessité d’élever des vers de terre, faune essentielle pour la flore qu’on vient de détruire.

Mais encore une fois le paradoxe est économique, car avant que la rareté des arbres fasse leur cherté, il est indispensable de valoriser la foret mondiale. Autrement dit la taxe carbone doit être le moyen par le quel les états dominants, en expansion, ou en développement s’engagent financièrement pour suppléer aux manquements écologiques des agricultures locales et nationales qui seraient tentées de remplacer la bio diversité de leurs foret par des monocultures. Ici une institution caractéristique par la rapidité de ses moyens d’action serait souhaitable. Non seulement cette institution pourrait être complémentaire du FMI, mais en plus elle devrait jouir d’une totale autonomie financière, ou être dirigée par celui ou celle qu’on pourrait nommer le représentant des sociétés primordiales.

L’autre aspect du secteur primaire que doit prendre en compte l’union des 192 états réunis lors du sommet de Copenhague concerne l’alimentation des masses et plus particulièrement la révolution ou le bouleversement des habitudes nutritionnelles fondées par la tradition. En effet, produire de la viande c’est produire du CO2 plus que de raison dans un monde ou l’uniformisation alimentaire doit être combattue en favorisant le plébiscite de la diversité culinaire. Une part non négligeable mais à quantifier de la taxe sur la production de CO2 doit être dévolue à l’édification des masses consommatrices de l’hémisphère nord, en conséquence. Une autre a la valorisation des traditions culinaires de l’hémisphère sud. Pour être précis les experts doivent pouvoir évaluer le nombre d’arbres qu’il faut pour absorber les rejets de CO2 d’un bovin. De la, en fonction du cheptel mondial déterminer le seuil critique du déboisement mondial.
Toujours concernant le secteur primaire en l’occurrence la : la pêche, les 192 doivent prendre conscience que la détérioration de la chaine alimentaire maritime est indissociable de la fonte des pôles. Et qu’en la matière, le sommet doit être un encouragement non mesuré a l’ensemble des recherches traitant du sujet les quelles doivent être coordonnées par une institution capable de réagir en temps réel. C’est-à-dire être capable de favoriser les actions individuelles ou associatives et disposer d’un pouvoir exécutif supérieur a toutes lois nationale par exemple pour que les interdits fixés par les scientifiques ne soient pas lettres mortes. La plus part des crèmes solaires sont un poison pour l’écosystème marin. Cette institution devrait avoir le pouvoir de les interdire au niveau le plus élevé des aires géographiques. Plus efficace encore : cette institution doit disposer d’une force maritime internationale reconnue par les 192, afin que la mer ne meurt pas sous les assauts répétés des appétits déraisonnés. Car sans qu’il me soit possible de le prouver ici, la destruction ou plutôt l’autodestruction de l’arctique entrainera et la destruction des barrières de corail et l’autodestruction du permafrost dont on sait qu’il emprisonne des réserves insoupçonnées de CO2. Or si les 192 ne s’entendent pas : lors de la prochaine réunion des états pour un développement durable, le ciel ne sera pas seulement saturé de CO2, il faudra aussi combattre des zones géographiques de plus en plus inhospitalière, au cœur des quelles règnera le sulfure d’hydrogène. Cet argument à lui seul doit être déterminant dans la réaffectation des forces de l’ONU qu’il s’agirait de rattacher à cette institution aux lois supérieures.

Le rôle du secteur secondaire dans l’augmentation de la production de CO2 sera d’autant plus minimisée que les 192 développeront ce que l’on pourrait appeler la pédagogie positive du consommateur ou autrement dit comment dégager un budget spécifique servant à payer les avocats des particuliers victimes des industries multinationale. La part de ce budget dévolue a la pédagogie devant permettre de faire évoluer la production en fonction de la consommation. Tandis que cette pédagogie devrait avoir un versant destiné aux entrepreneurs eux-mêmes. A Copenhague, il ne s’agit pas de faire le procès des grandes industries, sans les quelles il n’y a pas de développement. Il s’agit plus tôt d’établir pour et avec des normes de productions, des échéanciers, en augmentant la part de leurs investissements liée a la recherche techno biologique, pourrait-on dire. Je ne m’étendrai pas plus sur le sujet votre savoir faire en la matière est une bénédiction. Pourvu que ce ne soit pas une bénédiction seulement pour les industriels.

Le secteur tertiaire international concerné par la guérison de la Terre, a Copenhague, chaque participants doit en prendre la mesure, est capable, tant la tache est lourde d’implications, de fournir une quantité de travail insoupçonnée. Si les abeilles disparaissent et qu’ainsi 34% des espèces florales sont a poliniser par l’homme a l’aide de pinceaux faits de poils humain, un tas d’autres services à détailler par les experts son envisageables.

Copenhague c’est un petit bout de toit, un petit gout de moi, et la fin du verbe taire. Que ce sommet semble en apparence mort né a cause de la politique Malthusienne des Etats Unis qui pensent encore que la guerre n’est pas finit, ne doit pas entamer notre combativité. Quand j’entends « We have to finish the job » je pense a Bill Clinton qui me demandait de participer a la Traque de Ben Laden et a votre instar je réserve mon élan au franchissement du cap écologique en espérant ne pas avoir à atterrir dans un étang de sang.

Veuillez agréer Monsieur le Président ma profonde croyance en la réussite du pardon que la Terre doit accorder a l’Homme.
PATRICK RAKOTOASITERA www.patrick-rako.nuxit.net

Du signe au symbole du symbole au concept : réflexion 100175
Du sommet européen au sommet de Copenhague, un rêve gâché

Monsieur le président de la république,
Le sommet des chefs d’états européens qui s’annonce doit nous permettre de préparer la conférence de Copenhague. Parce que pour l’instant il ne s’agit que d’une conférence.

Mais j’aimerais revenir ici sur une précision économique essentielle.
Si le droit ne réussit pas parfaitement a optimiser tous les effets de levier de la relance économique en butant sur la mise en œuvre du débat que l’adoption de la loi visée implique et n’est au final que l’adoption d’un consensus mou fondé sur la mise en signe du plus petit dénominateur commun. Car il ne s’agit que de cela dans ce qui est en jeu dans l’échec de votre processus communicatif, il demeure que : gouverner est un art qui ne supporte ni la médiocrité ni l’absence de réaction humaine.

Que la situation géopolitique de mars a avril, puis juin a aout dernier vous ai encourage a mettre en avant la production manufacturée complexe de la France en matière de technologie de pointe : la maitrise de l’énergie nucléaire permettant démettre un facteur avoisinant le zéro en matière d’émission de CO2, au demeurant ; pour croire que la réunion A3+ 3 pouvait suffire a maintenir le rôle de la dissuasion comme régulateur des échanges thermonucléaires internationaux ( bien sur je pense a l’Iran) était bien vu.

S’arrêter la en temporisant l’accélération de la productivité ( réduction mondiale du temps de travail par la fragmentation de la V.A en fonction d’un système de référence : l’écosystème dont il n’est pas encore dit que sa capacité actuelle future et passée a fournir le maximum de signe a l’économie de l’univers des signes humains est une certitude) cela revient a ne pas croire dans l’ingéniosité du système monétaire.

Seulement quand le système monétaire favorise des mouvements de spin (terme emprunté a l’astrophysique qui en économie pourraient correspondre a des rotations de signe, positifs quand ils ne participent pas de manière mesurée au taux d’usure de l’écosystème ou a la production de CO2) le système monétaire peut donc être le lieu de spin positifs ou négatifs dont la masse influe sur le calcul du produit national brut. Charge a l’état étant de sanctionner du sceau de l’impôt tout comportement qui engendre des univers de signes fermés, dans les modes de circulation de l’argent des quels, le signe monétaire est inferieur au bien échange. Autrement dit quand pour échanger un bien le client et son fournisseur établissent un prix qui échappe a priori a l’effort de détermination des prix par les états qui ne peuvent influer sur le système monétaire sans prélever la part qui leur revient en vertu d’un droit historique. En la matière ce qui est valable pour l’économie souterraine, l’est pour les banques qui refusent de créer des spins positifs en ne finançant pas les P.M.E

Malheureusement monsieur le Président, il n’est pas bon d’agir sans fonder sa crédibilité sur autre chose que des chiffres. L’empereur POUI était encore l’empereur même si son labeur se résumait a l’entretient cosmique de l’univers, lorsque MAO le relégua jardinier de la cite interdite.

L’economie des états européens ne peut être une collision d’aire géographique multiple et de limites d’ensemble indéterminées

Que votre politique ne face que ralentir l’enlisement mondialisé des états à accueillir un accroissement des populations, en fonction d’un accroissement des signes monétaire en valeur absolu pour financer le projet humain, n’est acceptable que si vous ne restreignez pas les zones de liberté que favorisent les communications multi media. A ce jour, pourquoi fustiger le système informatique en perpétuel formation ? En tant que service a-t-il augmenté le vide juridique fondé par l’incapacité à rémunérer la propriété, celle la plus virtuelle, la propriété intellectuelle et par la :la propriété tout court ? Cela n’est pas forcement négatif et ne représente un enjeu de pouvoir que pour qui prétend maitriser les circulations de signes dessinant la personne.

Le paradigme humain sur lequel repose l’entente Européenne a évolué parce que l’Europe est une réalité aussi historique qu’historiquement conquise sur la mort, le chaos au cœur de l’échange entre les êtres. Du point de vue du droit le paradigme humain de l’entente Européenne est un consensus mou. Les droits de l’homme parce que Hérault des Seychelles est mort avec Danton, avant Robespierre n’a pu rendre compte que des droits de l’Homme, négligeant les droits de la femme et de l’enfant par une acceptation constitutionnelle rependue en Europe selon laquelle l’échange humain est une gestion d’ensemble qui doit protéger le citoyen des reflexes communautaire non favorable a long terme a un juste partage de la valeur ajoutée crée par le travail organisé.
Mais cette constatation n’est pas mécanisable : si les peuples veulent que les bourses s’écroulent à nouveau le droit ne pourra que retarder le phénomène, car la liberté est un phénomène très difficilement mesurable et pourtant immédiatement perceptible dans n’importe quelle aire géographique.
Il ne s’agit que de créer des conditions conceptuelles, juridiques et géographiques ou les rotations des signes soient suffisamment achalandées pour chaque individu.
Vous le voyez bien l’argent est toujours dans les banques, que les réserves d’or sortent d’un lieu vers un autre n’a aucune incidence quand le droit ne cherche pas a récupéré le manque de rotation des zones d’échanges crée par la proximité des zones géographiques ou l’or était stocké, zones ayant tendance à perdre de leur cohérence localement soit la ou l’or n’agit plus parce que situé trop loin de son champ d’action, ces zones sont remplacées par des échanges de signe ou plutôt une économie fondée sur l’erzats. Erzats qui est l’indice de la présence en même temps que le facteur de développement de la désertification : zone économique caractérisée par la présence de signes immédiatement comestible plus ou moins raréfiée.
Il ne s’agit pas de croire naïvement que la pensée américaine pas plus que chinoise va favoriser une refondation du système monétaire qui pourrait compenser l’insuffisance apparente de l’or a opérer dans toutes les aires géographiques en même temps en instaurant un système de relation entre les êtres sur et positif. Il n’y a pas assez d’or créé sur Terre pour permettre cela.

Pour autant l’échange de signe est maximal au voisinage de l’exercice de la liberté humaine, mais la liberté ne s’exprime ni en terme de rotation ni en terme de verticalité. Elle est un signe qui est aussi un symbole. Or un symbole peut avoir différente formes inspirés par l’imaginaire et les possibilités qu’offrent les systèmes de rotation de signes en vigueur. Cependant elle est une constante qui tend vers + l’infini. Raison pour laquelle la pensée marchande cherche à recréer ce système en expansion, mais, la, mu par un système de signes dont on sait l’organiser mais dont on croit qu’il est aussi autre chose que son organisation monétaire.

Cela fonde le prix sur la valeur tandis que la vie n’a aucune valeur en soi. Elle est seulement un ensemble d’équations exceptionnelles qu’on ne peut mettre en système par un repère mathématique en l’état actuel de la mathématique.

Or, avant Copenhague, il ne faut pas minimiser le nombre de vies présentes sur le territoire Européen, en croyant qu’on peut définir ce que sera la vie dans cette aire géographique. Le nombre exact des êtres humains qui vivent sur le sol Européen est approximatif.
Il ne dépend pas seulement du nombre effectif des êtres humains vivant qui le peuple. Car en économie la vie échappe à la localisation. Pour la raison simple qu’une aire géographique peut faire vivre bien plus d’être humain que la zone politique qui la définit n’en récence.
Croire que l’économie et le droit même jusqu’à un certain point se superposent ce n’est pas faire œuvre d’économie car cela entraine une dépense de signe.
La question de ce qu’est un signe n’est abordée par l’économie que par un détour empirique suivant lequel la question de l’être du signe disparaît devant l’importance du signe de l’être.
Si l’économie est une science positive cela vient de ce que le déterminisme de l’être relève d’un champ clos et que plus productif le déterminisme du signe révèle un champ en expansion. Une conque d’abondance a manger du vide.
L’économie du droit que vous pratiquez, a l’envie, ce qui semble beaucoup vous plaire et vous inspirer ne doit pas vous empêcher de percevoir qu’en aucun cas vous risquez de rencontrer des économistes qui nous abreuveraient en équations mathématiques au point que vous soyez en mesure de calculer la masse de A. Du chiffre 1 que l’on rencontre souvent et pourtant qui fait partie des lettres rare (si on compare les voyelles aux consonnes).Mais qu’il y a lieu de toujours démontrer qu’ils font partie des nombres définis.

L’enjeu de l’accélération du processus collectif de l’échange sous la forme d’une réflexion globale doit doter le sujet économique d’une doublure du soi ; ce qui implique de gommer ou rectifier les mouvements de spin négatifs mis en jeu dans la régulation des comportements humains engendrés par la maitrise de la fluctuation des prix.

L’enjeu de Copenhague et avant du sommet Européen des chefs d’état est de permettre de faire converger les forces du droit et de l’économie pour qu’elles s’entrelacent autour du concept de vie afin d’en épouser les directions positives, celles qui ne font pas tendre le concept vers zéro.

Autrement dit, il existe un mouvement particulier des systèmes économiques au cours duquel l’augmentation des prix est une augmentation suffisamment spatialement rependue pour être du a la raréfaction des signes naturels ce qui augmente les chances de faire tendre le concept de vie vers zero, en ouvrant le champ du hasard a d’autres univers, parce que le hasard de l’univers considéré tend formellement du moins , lui aussi, vers la nullité de son imprediction. Et l’aire géographique se dépouille de sa vie complexe pour n’avoir pu être une stratification de signes, dans l’organisation de la quelle la maitrise du hasard est une dépense qui n’a pas d’autre but que la connaissance du concept de liberté

L’Europe doit intégrer la taxe carbone, c’est le chemin par lequel il sera possible de mieux maitriser les inconnues de l’équation : OR, ESSENCE, DOLLAR, EURO, DROGUE. Et répondre ainsi a quelque interrogation essentielle. L’or est une synthèse supérieure, le travail peut-il tendre vers l’imitation de cette synthèse ? L’essence est une énergie géologique obtenue par l’application d’un champ de pression continu sur les sécrétions de la Terre dans des aires géographiques ou la vie complexe tend vers zero, est-il étonnant que la maitrise de l’usage de sa combustion entraine autre chose que l’augmentation des champs de pression a tous les niveaux d’organisation de la vie ?

Le Dollar est l’invention américaine dont la caractéristique principale se devine lorsqu’on entend le mot dans la langue française sans en accepter d’emblé l’orthographe qui le distingue. Mon but n’est ni de la détruire ni de minimiser ce qu’elle peut avoir de gênante. Vivre dans le dollar c’est vivre dans le dos de l’art et risquer pour celui qui est devant l’art de se voir offrir un triste spectacle

Suivant le même procédé d’analyse on peut dire que l’Euro n’est pas seulement le rot d’Einstein c’est également l’indice : soit d’une Europe qui a retrouvé sa jeunesse éternelle. Soit a atteint le stade de la sénilité marqué par le stade E.

Car les réjouissances de Copenhague, d’un monde ou l’Homme n’userait de sa capacité de calcul que pour vivre en paix avec lui-même et sa Terre, semblent dors et déjà remise en question par la guerre qui s’annonce comme seul moyen de résorber le chômage outre atlantique, dans le cadre d’une guerre ou il n’est plus question seulement de justice, de pétrole, mais bien plus lucratif de cocaïne destinée celle-là au marche Européen, marché si prometteur, comble du malheur, au moment même ou l’Europe ouvre les yeux sur la Terre qui l’entoure.

Mais croyez le bien Monsieur le Président cela ne m’empêchera pas de vous faire savoir secteur d’activité par secteur d’activité ce qu’en qualité de citoyen Je crois utile de voir débattu au sommet de Copenhague.
Patrick rakotoasitera WWW.patrick-rako.nuxit.net

Patrick rakotoasitera (3eme lettre au president de la republique)
3e lettre au Président de la République, ENVOYEE LE 19 MAI 2009 , préfigurant les conceptions économiques à privilégier pour favoriser un meilleur partage de la richesse, que pourrait permettre une politique économique orientée par la prise en compte de l’impératif écologique notamment. A noter que mes réflexions découlent pour partie d’interrogations économiques mais tout autant d’autres domaines des sciences humaines, en l’occurrence du rôle de la COMMUNICATION dans les modalités de la superposition de la « base économique » et des « instances idéologique » comme dans toutes les sociétés des liaisons unissent l’état des forces de la production avec l’état des forces de la communication. Ainsi, la monnaie constitue un univers de signes d’autant plus primordiale qu’il peut quantifier l’univers des signes humains par le biais d’un signe d’autant moins neutre que coupé de sa dimension esthétique il dissimule l’éthique tout en conservant le pouvoir inhérent au concept d’écriture. Pour en débattre vous pouvez consulter les extraits de mon projet de recherche : « L’univers des signes, les signes de l’univers », bientôt mis en ligne dans la rubrique : « sa couleur », qui est le blog de mon site : www.patrick-rako.nuxit.net 

Pour une indépendance idéologique de l’économie

Monsieur le Président,

La simultanéité de deux évènements, éloignés dans l’espace, n’est vraie qu’en fonction du système de référence, soit sur le plan symbolique, selon la théorie de la relativité. Pourtant, l’état doit se maintenir afin d’harmoniser le projet architectural et la reconductibilité du lien social qui le justifie.

Le pouvoir du pharaon dans l’Egypte de l’Antiquité ne peut imposer un état centralisé qui influe sur tout, jusque dans la façon de traiter le commerce des animaux. Si jusqu’à un tiers de l’économie souterraine est mobilisée, quelle part dans l’économie réelle l’est par l’enrichissement du pouvoir dominant grâce au commerce des animaux empaillés ? Pouvoir dominant vendant des signes d’immortalité à ses sujets, comme de l’autre côté de la Méditerranée on pourra vendre des indulgences, lorsque les papes guerriers devront se refinancer.
Car, comme une entreprise qui serait capable de dire à ses employés qu’elle n’a pas obtenue les 1/3 des bénéfices pouvant subventionner l’investissement, donc l’investissement humain, celui, à priori, facteur de liens sociaux, et que par conséquent elle ne peut redistribuer 1/3 des bénéfices de son activité à ses salariés, à moins de fragiliser l’infrastructure de l’entreprise ; le pharaon ne peut ignorer qu’aucune expérience faite dans son système de référence ne permet de dire si le système de référence est immobile ou non. Car en réalité il ne l’est pas, et cette loi est immuable.
L’état est dépendant de l’écriture et des actes d’écriture pour réguler l’échange des biens et des services. Or, l’écriture et son enseignement, sont aux mains des prêtres, et des militaires, de la classe supérieure. Quant à la population dont il est le roi divin, on peut dire, là comme ailleurs, que joue le taux d’usure : stade ultime, ou l’élasticité de la demande, soit la capacité à payer du consommateur, est rendue impossible par la cherté de la vie, ou plutôt son manque de prix. Ce qui impose l’organisation du maintien de la spiritualité de la société dans la visée d’en assurer la cohésion, en accentuant l’aspect totalitaire de l’état.
Là ou l’état en imposant une redistribution des bénéfices par 1/3 aurait pu assurer un rééquilibrage des revenus en réduisant l’écart entre les plus bas salaires et les plus hauts, ce qui aurait contribué à garantir sa pérennité en neutralisant la dépendance de l’état vis-à-vis de la religion.
Dans nos économies, si des entreprises déclarent ne pas pouvoir payer : et les dividendes de leurs actionnaires et les salariés, la part des aides publique dévolue à l’entreprise doit être redistribuée aux salariés ainsi qu’employée à l’investissement, par la loi, afin de pallier les effets du taux d’usure de la consommation, lequel ne soutient plus l’économie, mais en créant du chômage, renforce le chaos des sociétés libérales et l’accaparement des capacités de production par l’économie souterraine. Le manque d’argent disponible, les foyers mis en état d’insolvabilité, grèvant le budget des banques, celles-ci plus sensibles que jamais à la masse monétaire mis en jeu par l’économie souterraine.
Lorsqu’un tiers des bénéfices des entreprises n’est pas redistribué aux salariés, la consommation finit par s’effondrer, par manque de solvabilité du consommateur, et l’organisation des relations commerciales régissant la distribution de produits de première nécessité, dans le sens d’une hausse globale des prix. Ces relations entre les distributeurs de biens de consommation et leurs producteurs pouvant être organisés en dehors du système d’échange de biens et de services. Dans une sphère différente : la sphère politique.
En vertu de quoi, l’homme ou la femme en charge des affaires de l’état, pharaon ou non, doit veiller à accepter le désordre apparent des sociétés, dit-on, s’il veut conserver l’essentiel : la liberté de penser qui favorise la démarche critique et le projet scientifique ; la liberté économique, en créant les conditions d’une organisation optimale du partage des ressources, ainsi que de la division du travail, et l’organisation de la restriction de l’écart entre bas salaires et hauts revenus ; afin d’obtenir une souplesse économique du système de référence, propre à amortir toute survenue de crise économique.
Or, si le 1/3 des bénéfices dévolu aux salariés est toujours maintenu, d’une manière ou d’une autre : intervention de l’état, obligation faite aux patrons d’entreprise : la part du budget des ménages consacrée aux logements n’influerait pas autant sur l’utilisation des revenus, et partant sur la liberté de mouvement, dans la condition ou prenant des mesure à la hauteur de l’évènement en cours, l’état maintient la part des entrepreneurs au 1/3 des bénéfices, en leur faisant supporter les baisses de la part des salariés.
Soit : en distinguant l’entrepreneur qui créé une valeur ajoutée fondée sur la spéculation dont les intérêts sont clairement orientés vers l’économie virtuelle, de celui qui contribue à l’existence des infrastructures, qu’elles soient industrielle ou correspondant à la propriété de biens immobiliers par exemple. Cette dernière catégorie d’entrepreneurs, les propriétaires, devant être celle dont l’engagement pour une meilleure accessibilité au logement doit être motivée. Seuil imposé des loyers en fonction de l’imminence du taux d’usure de la consommation, caractéristique de l’économie entrée en récession.
Car pour maintenir le lien social sans un excessif recours à l’ordre, l’économie doit être indépendante de l’état dans la mesure où c’est le mode de concertation des états entre eux qui doit aboutir à une recherche d’une dimension critique vis-à-vis des intervenants de l’économie, puisque l’économie ne participe que partiellement au processus d’ensemble de recherche libre de la vérité. De même que l’histoire semble ne pas avoir de sens à l’échelle des civilisations, sinon à dire que l’entropie est le caractère inéluctable de toutes activités économiques. Le déroulement de l’histoire pouvant marquer une inflexion des libertés, l’état rejetant la liberté individuelle au nom de la collectivité, et rejetant la liberté de la collectivité au nom d’une démarche philosophique supérieure dont participe son incurie propre. Comme l’entreprise perpétuant l’existence d’un niveau de vie minimal, auprès de ses salariés comme des ses consommateurs… .

Mais Monsieur le Président, vous ne semblez pas vouloir accepter le chaos apparent des sociétés libérales sans pour autant accepter l’indépendance de l’économie vis-à-vis de l’état ; sinon votre mandature ne serait pas autant marquée par une intervention au niveau législatif : l’écriture et le respect des lois garante et levier de l’ordre économique selon vous. Ce qui ne me semble pas une erreur de jugement.
Seulement les outils conceptuels qui sont utilisés dans l’art de gouverner les états, s’ils ont historiquement vu la fin de l’emprise philosophique au profit de la praxis – la philosophie communiste de la troisième internationale, modérée par la quatrième internationale voyant finalement la suprématie de l’économie libérale pratique advenir – laisse croire que la politique économique doit être établie dans la connaissance des principes de conservation d’énergie, régit par l’entropie, soit la disparition irréversible des échanges thermiques. La disparition des ressources de production interdisant l’élaboration d’un modèle économique immuable. En effet, si le modèle libérale a triomphé, c’est au prix d’une stabilité sociale basée sur l’accession du plus grand nombre au standard de la consommation dominante, à l’égalité des droits civiques et des libertés pour tous, selon une justice contractuelle où le marchandage politique et le calcul des lobbies influencent la recherche du profit jusque dans l’invention de nouvelles technologies, pourvoyeuses de travail, et jusque là toujours au rendez-vous de la relance économique des sociétés modernes, ce dans l’ignorance partielle de l’épuisement des ressources naturelles. Ce qui en trente ans aura contribué à la stabilité politique de l’état et de la société a aussi travaillé au détriment de l’écosystème jamais autant sollicité par l’homme depuis l’avènement de la civilisation. Le rêve d’un monde où l’augmentation de la vitesse des moyens de communication imposerait des échanges suivis entre toutes les sociétés, tandis que le tissage économique étant mis en avant là où le lien idéologique a failli, risque d’être mis à mal par une croissance zéro généralisée, interdisant à terme la satisfaction des besoins qu’ils soient nécessaires ou non des populations mondiales.
Or, de même que l’économie dans le calcul de la richesse doit intégrer la notion de richesse négative ou involutive : soit cette capacité de l’homme à s’enrichir alors qu’il détruit la possibilité même de produire. Appauvrissement de la terre, surexploitation des ressources forestières, marines et minérales. Afin d’optimiser l’économie des moyens de production, visée ultime de l’économie : le PNB, Produit National Brut et le produit intérieur brut de l’état doivent pouvoir recenser l’impact de l’activité négative, soit l’impact de l’activité de la production sur la création globale de CO2 et de sulfure d’hydrogène ou de tout élément connu, constitutif de la ressource de production dont l’évolution à la hausse marque l’avènement du taux d’usure de la ressource globale, et de ses répercutions sur la production qui aggrave à terme, ou que révèle le taux d’usure de la consommation. Quand celui-ci n’est pas artificiellement créé par une pratique économique déséquilibrée entre l’économie souterraine réelle et virtuelle. Symptôme d’une mauvaise domination de l’économie réelle ou quand les lois régissant l’offre et la demande sont manipulées par une classe dominante, quelle qu’elle soit. Ce qui, ni plus ni moins, est une subsistance de l’empreinte idéologique sur l’économie. Laquelle entrave la constitution d’une économie indépendante.
Aussi, une fois l’impact écologique de l’entreprise mesuré, impact dont la maitrise doit être le but ultime de la politique économique, l’impôt nouveau sur lequel appuyer une diminution maximale des taxes des collectivités locales pesant sur l’entreprise rendue ainsi capable d’assurer le partage par 1/3 équitables de ses bénéfices entre les salariés, les nécessités de l’investissement , les dirigeant et les actionnaires éventuels – cet impôt qui compense le manque des collectivités locales peut être celui d’une participation de l’entreprise au rééquilibrage de la production de CO2. Impôt qui pénalise l’entreprise irresponsable, et donne les moyens à l’état d’influencer la consommation comme on influence la vitesse sur les autoroutes, en pénalisant là, la production de CO2 générée par chaque produit par un jeu sur la TVA qui lui est appliquée. L’enjeu de la maîtrise de la TVA, devant être recentré au niveau Européen, autour de la notion directrice d’une production la moins involutive possible pour l’ensemble du système économique. Et non influencée par l’instauration de normes sans effets sur la production mondiale de CO2.
Ainsi l’économie performante ne peut plus favoriser le déséquilibre des revenus et des ressources naturelles, si elle ne veut pas que le chaos apparent des sociétés occidentales et de toutes sociétés ne se développe au-delà du point où la rupture du lien social est irréversible. Sinon après une période de relance de l’économie par la guerre. Celle des voies de communication et ressources primordiales. L’eau et l’énergie dominante dans la satisfaction des besoins immédiats et futurs, que la refondation du système économique doit prendre en compte instamment, au risque de voir disparaitre l’idéologie démocratique. Ultime idéologie. Celle qui favorise la démocratisation globale de l’accès aux ressources, freine la guerre en mondialisant les interdépendances économiques entre les pays. Même si jusque là elle a favorisé une guerre larvée. Première étape après laquelle elle doit coordonner l’action des états en fonction d’un partage des ressources obtenu à travers une protection juridique spécifique de la ressource coïncident avec un fonctionnement économique où la valeur ajoutée est rapportée à la valeur ajoutée globale des échanges de biens et de services qui doit correspondre sur un plan théorique comptable au degré de liberté individuelle de chacun généré par l’échange des biens et des services, degré mesuré par l’indice d’espérance de vie en bonne santé de chacun dans l’ère économique considérée, idéal micro et macroéconomique, que pourrait contribuer à améliorer une meilleure coïncidence entre l’état réelle des ressources de production et la liberté des acteurs économiques. Comme il se faut que l’harmonisation des outils économiques contribuent à l’émergence d’une conscience mondiale d’un passé et d’un avenir commun.
Alors une politique économique semblant accentuer les inégalités sociales deviendrait obsolète puisque la redistribution par 1/3 des bénéfices une fois instaurée juridiquement, la rationalisation des actes médicaux, par exemple, ne pourrait plus être envisagée en dehors de l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé, notion qualitative quantifiable dont les facteurs défavorisant peuvent être combattus juridiquement.
Certes, la course générale au lieux de résidence optimisant l’accès à un niveau de vie et d’éducation qualitative persistera, accentuant pour les moins bien lotis l’impact du chaos apparent indissociable du fonctionnement social, mais l’état psychosocial historique des villes et de leurs quartier sera d’autant mieux supporté que le citoyen pourra espérer d’une remise à plat des règles juridiques orientant le fonctionnement économique, une régulation des échanges économiques plus juste et non une énième épuration de l’économie basée sur la réduction des couts de production subit par la majorité pauvre des citoyens.
Car, partout où menace l’inégalité de l’accès à l’éducation et partant au meilleurs postes, charge est due à l’état d’instaurer une discrimination positive. Moins d’enseignants pour moins d’élève c’est logique, mais pas là où le lien social est déjà délité et marqué par l’économie souterraine et la subsistance sous le mode du système D.
Selon le même ordre de priorités, l’autonomie des universités ne doit pas entraver l’autonomie des chercheurs, garant du futur progrès scientifique sur lequel se fondera l’entrepreneur pour créer des emplois.
Et si l’on ne veut pas désespérer la génération montante dont l’inconscient collectif est modelé par l’apprentissage des sciences de la Terre autant que par le désir absolu de consommer, la raréfaction du travail ne doit être tolérée comme une raréfaction des revenus, modérée par la répartition par 1/3 des bénéfices, que si le ralentissement de l’économie est l’instauration naturelle d’une économie des ressources qui s’impose à nous. Dans un certain sens, la réduction du secteur automobile et la limitation de l’accès aux voitures neuves par les jeunes ménages est aussi le signe d’une régulation naturelle de la production de CO2. Instaurer une régulation économique artificielle de la production de CO2 doit donc favoriser la révolution des mentalités et l’adaptabilité aux nouvelles situations économiques que doit prendre en compte, voir prévenir l’intégration du taux d’usure globale dans le calcul comptable.
Ainsi, dans les trente prochaines années, si la Chine se réveille vieille avant d’être devenue riche, le maintient des retraites par les salariés en activités pourrait ne pas être assuré sur le mode de la redistribution ou la retraite par capitalisation. Le coût du maintient des aînés au domicile des jeunes ménages pourrait être allégé suivant un système économique qui envisage l’accès aux biens et aux services par les retraités selon le mode de la gratuité. Soit la nécessité d’élaborer des projets de fin de vie peut-être sur un modèle hybride, communiste et capitaliste, la prise en compte de l’entropie inhérente à l’activité économique et aux conditions de la vie elle-même et le soucis de l’indice d’espérance de vie en bonne santé : soit l’élaboration d’une économie indépendante idéologiquement, pourrait susciter la possibilité conceptuelle d’une régulation des échanges de biens et de services non dans le sens unique d’une course aux profit involutive. En établissant des modèles de développement toujours ajustables à la réalité. En dernière analyse, cela relève de la capacité déterminante de l’économie libérale capable de susciter l’émergence d’une contre-culture, de même qu’elle est mue par une loi capable de s’autodétruire pour se réajuster aux nécessités du moment. L’anticapitalisme serait encore une œuvre du libéralisme, sans contradiction sinon dans les moyens employés avec des mesures visant à restreindre la délocalisation des bénéfices dans les paradis fiscaux ou le circuit spéculatif internationale…

Le coût d’une santé sociale doit être financé par une juste répartition des bénéfices. Si l’on peut concevoir la nécessité de la réduction de la part des salariés en cas de crise, le maintient de la part idéale dévolue à l’investissement, la part des patrons doit être réduite proportionnellement à la part des salariés, afin que les prélèvements n’instituent pas de cercle non vertueux en pénalisant un peu plus la consommation.
Bien à vous. Patrick Rakotoasitéra
NB : mon site de peinture et de réflexion établit sur internet : www.patrick-rako.nuxit.net

ADDENDUM du 16 aout 2009:

un article récent du monde rédigé par le groupe écologiste dont fait partie mr Mammere rappelle fort à propos que ce groupe est à l’origine de la proposition de loi concernant ce que sous le martellement présidentiel j’appelle la taxe carbone et qu’il conviendrait mieux de nommer contribution climat-énergie. Je l’ignorais comme j’ignorais que le coeur de cette proposition était en instaurant cette contribution d’en redistribuer les gains aux foyers dont les revenus sont les plus modestes. bien évidemment cette redistribution si elle était appliquée me semblerait justifiée.

Patrick rakotoasitera (Lettre au president et reponse)
Patrick rakotoasitera (Lettre au president de la republique) 

LA POLITIQUE ET LA POESIE ET VICE VERS CA

La politique est la maitrise de la consequence de ses actes et des actes d’autrui. Pour autant pourquoi s’interresser a maitriser les depenses budgetaires par des mecanismes qui voudraient se reformer, ou du moins reformer un mode de fonctionnement, quand le concernement par lequel on souhaite maitriser la consequence de ses actes, implique l’instauration d’un mode de communication conflictuel, dont on peut se demander s’il ne peche pas dangeuresement vers une politique qui oublit d’aborder la SOCIOLOGIE, celle-ci fondee aussi par la Phenomenologie, apres laquelle on se demande encore pourquoi le COEUR est obnibule par la raison pure, celle-ci qui peut emprisonner pour eduquer ou eduquer pour emprisonner ?

Certes, penser a partager les benefices de l’entreprise par 1/3, est une partie de la solution. Car , comme on l’apprend quand, poursuivit par une dette, on reçoit un avis a tiers detenteur. Ce 1/3 est l’avoir financier de notre etre. Et c’est vrai, cet avoir, tous les avoirs financier, dans le cadre de l’entreprise, pourquoi ne pas les soumettre
a un meme sort reflechi. De telle sorte que pour 1/3, les benefices aillent a l’investicement. Tandis que dans le meme temps seraient synchronises humainement les 100% des salaries de l’entreprise, soit en offrant un support informatique personnalisé permettant la verification des paiement et de l’ensemble des salaries et de la banque elle-même, si l’entreprise est une banque.

Je ne vous cache pas Monsieur le president que vouloir retirer les taxes qui pesent sur l’entreprise et inventer un impot de remplacement, sera difficile a maitre en oeuvre, et pis que ça, risque de desoeuvrer nombre de communes. Les quelles n’auront d’autre choix que d’expliquer a leurs concitoyen qu’il faut manifester… ce d’autant plus que votre discours ne sera fondé philosophiquement.

Dans le meme ordre d’idée, la branche de la MEDECINE Psychiatrique
peut etre perçue comme le lieu d’achoppement de plusieurs disciplines. Or, si des espaces , des hopitaux, lui ont ete consacres, vouloir remodeler la Psychiatrie de secteur, n’est une bonne idee que si les grands complexes Hospitaliers en question, ne sont pas transformés en “prison”, disons le mot. Et comme vous l’a deja dit Madame Royale, qui, si elle pensait integrer des reflexions plus sensibles raisonnait tout de meme avec le coeur: Il n’est pas seulement question d’avoir de la compassion pour autrui, il n’est pas question de ne pas en avoir ! Et je ne parle pas des capacitées de stockage de l’information qui devraient etre devolues a la sociologie et non devenir un instrument de controle et de maintien de l’ordre: c’est le lien sociale qui maintien l’ordre , pas le contraire.

Ainsi, le projet architectural de l’hopital psychiatrique ne peut etre balaye par une politique ambigue qui d’une part, rend lisible le devoir des salariés, lequel apparaitrait au gré de votre humeur et de la mentalité manipulée. D’autre part, en faisant appel a la moralisation comme si l’etat ne devait determiner que ce qui est mal, role en l’occurence devolu au peu de medecins qui restent, a moins que ?…

Au sujet, d’une nouvelle régulation des marchés : ceux ci fonctionneront quoi qu’il arrive, c’est donc la masse monetaire mise en jeu d’une bourse a l’autre qui doit etre clairement definie et cela sera certainement le cas si la volonte politique se fait communication.

Dans ma premiere lettre je vous parlais de la necessite de ne pas laisser la JUSTICE entierement aux mains agissantes de la raison pure (lire “lettre aux presidents de la planete” et “lettre a Nicolas Sarkozy”).
Les raisons pures ignorent l’utilisation de la douce rigueur, celle respectueuse de la nature humaine, celle avec qui l’histoire personnelle se confond avec le destin psychosocial de nos societes, ce qui est le premier stade du pardon.

Mais voyez vous, l’art qui a ete integre dans le processus psychiatrique, est menace par votre politique dont l’esthetique semble a priori fondee par la raison pure. Or l’art ou son concept joue un role tres important dans la regulation de la superstructure, vous ne pouvez l’ignorer.

De plus, il est crucial que la TVA sur les produits de premieres necessites et dont l’impacte ecologique est la meilleur, soit abaissee.Cette mesure est si importante qu’en meme temps qu’elle s’inspire de la PYRAMIDE DE MASSE LOW, pourrait réorrienter la machine Europeenne dans le sens d’un progres partage par tous sur une ere culturelle devolue a tous.

Certes me direz-vous, mieux vaut batir que ne rien faire. Seulement le projet architectural n’a de sens que si la population qui le met en oeuvre peut satisfaire ses besoins primaires et culturels. Nourrir son peuple et aussi important que le soigner, ou le divertir en permettant de l’ameliorer.

Or, le progres, il faut le repeter n’est valable que s’il est l’affaire de tous et pas une machine a vous reproduire, comme peut l’etre le blé , d’un autre point de vue, qui nous reproduit.

Si la Terre ne peut pas supporter l’accroissement de ses populations, leurs dirigeant n’offrant comme seule reponse a leur concitoyen que le defrichement des forets, afin (belle utopie) de privilegier l’edification du reel sur une base industrielle; les entrepreneurs, les speculateurs, partant : les assemblée d’homme et de femme qui organisent leur manoeuvre, sont tous a leur niveau responsable de l’inscription dans le reel d’un concept né prematurement et correspondant a celui d’une production coupée de ses sources de production.

Parce que au final, peu importe la marchandise a vendre. Il fallait obtenir des gains de productivite: la valeur ajoutée correspondante devait etre multipliee par des operation de business ou les bourses apparaissaient comme d’Herculeen ressorts, et jeux de circulation des relation monetaire. Rien moins que l’incarnation dans le champ reel de l’effort d’une politique qui croit qu’on eduque quand on emprisonne, efforts tendus a seul fin de renforcer l’attachement de la personne au 1/3 de son identite. En realite, voila bien une stratification sociale d’autant plus rigide et inflammable que la peur est le ciment commun a toutes les strates, laissant tout de meme des failles que seuls les alpinistes chevronnes peuvent escalader.

Pour le commun des mortels le nouveau jeu sera egalement de monter plus haut, afin de mettre a l’abri le contenu de son coffre fort, seul garant de son present, son avenir et revelateur de son passe.

Mais m’objecterez vous, les marchands d’art alimentent eux aussi la speculation ! c’est qu’il s’agit d’une speculation a part entiere, elle, capable normalement de sublimer les pulsions de mort. D’ailleurs si toutes les oeuvres d’artistes cotes ne sont pas envisagees dans le CAC 40, c’est qu’il est plus aise de transporter une toile que des millions d’euro evalue et non pas devalue, aux encheres. Moyen par lequel l’argent sort de la bourse pour penetrer dans la colection publique ou privee, jusqu’au jour d’echec economique ou il faut retransformer cet objet en or.

Mais pourquoi vouloir penaliser la societe parce que les procés se multiplient ? A defaut d’etre enochien ( les PME durent en moyenne 30 a 50 ans), on peut toujours choisir d’investir dans la solidite de ses actifs- et la il vous faudra relire ma lettre sur le taux d’usure (www.patrick-rako.nuxit.net rubrique “sa couleur”); car la relance par l’investissement n’evite pas l’investissement humain. Comme l’investissement pousse a l’investissement.

Vos discours ne laissent, cependant, pas penser que la logique du cumul des gains sera reellement une redistribution. En effet: si 1/3 des benefices vont aux salaries, en sondant un peu cette idee, on se demande qui du cadre ou de l’ouvrier verra son revenu nettement ameliore ?

Car, en definitive, la part du salarie le situe dans la position de l’ecartellement des membres. Ainsi, le chef d’entreprise peut toujours
profiter de la valeur ajoutee créé par l’efficacite de l’ouvrier, tout en repercutant sur les salaires le cout des taxes de l’entreprise, tandis que dans un mouvement en spirale le revenu des salariers se voit grevé par l’impot indirect avec une Taxe sur la Valeur Ajoutée applicable a tous.

Or, quid de l’immobilier? Le proprietaire est un entrepreneur comme les autres: il preleve sa part lui aussi sur les salariers, l’acquisition de bien et de services, se realisant dans le sens d’une farce, puisque le salarié, et votre gouvernement en a pri conscience,ce salarié qui peut tres bien etre proprietaire ne peut que constater l’existence du flux de l’argent.

Alors quoi ? notre corps est au mains de docteurs dont les actes, a l’instar de la fonction politique, doivent etre calcules. Notre infortune aux main des banquiers dont les scrupules n’outrepassent pas leur frais de fonctionnement?

Le role de l’institution banquaire s’inscrit, pourtant, dans la lignée du processus historique de la desacralisation des signes artistiques, parce que d’un point de vue economique, l’art en se democratisant a vu s’elargir ses domaines de competences; ainsi a-t-il pu s’affranchir du mecenat religieux: premier moyen par lequel les 1/3 de la personne dévolu a la spiritualite, etaient mis en vente.

C’est donc soit un sombre calcul, soit un relan de religion mal vecu que de presenter la folie a travers les actes d’un skizophrene. Specialement si on ne s’interresse qu’à cette fraction de la population ultra minoritaire dont les faits divers rendent celebre l’incapacité de la Justice a agir sur la folie.

Mais revenons a notre salarie. Non seulement il doit assurer l’existence de ses pairs, en cotisant pour sa retraite mais, comble de l’humain assisté par l’ordinateur, tandis que son argent alimente le circuit speculatif, et, puisque la logique est a celle d’un profit immediat delesté d’avenir; il se produit l’impensable.

Le salarié a travers les fond de pension, summum de la xenophobie, contraint les entreprise dont il s’est accaparé le capitale, a licencier là, pour relocaliser ailleurs; la où le cou de la main-d’oeuvre peut etre tranché. Autrement dit dans le monde qui ignore la loi des trois tier, le ou la salariée (manipulée) élimine le salarié.

Le salarié n’étant qu’un terme puisqu’un salarié ne ressemble pas à un autre salarié et que c’est cette abscence de lien qui frene l’accaparement des capacités de production par l’etre humain, si tant est que ce geste ne debouche pas sur une nouvelle utopie du soleil.

La fonction de l’etat à priori incapable de proteger les salariés, impose de savoir manipuler les concepts ( pour ma part j’ai cessé d’en inventer); car la capacité à nommer les animaux impartie à Adam et Eve, etait-t-elle destinee a s’accaparer dans un meme mouvement cannibalistique toutes choses et son essence ? meme le dernier de la classe pourrait repondre… .

La monnaie n’est qu’un avatar du verbe divin, pour autant cela ne signifit pas qu’au -dela de sa dimension esthetique, on doive la couper de son ethique.

Les flux financier fonctionnent a la fois de maniere rationnelle et alleatoire et c’est la rationnalité qui optimise l’efficacité de l’aléatoire en le rendant créateur de valeur ajoutée.

Aussi, au moment ou l’aléatoire (jusqu’au prochain coup de dé), semble, grace a la capacité de stocker de la memoire, et par le médiat informatique, capable de tisser un réseau comportant des points fixes et/ou constant: il est primordiale de preserver le revenu de chacun seul capable d’echaffauder des projets de vie authentique, que l’on croit a l’interret du travail ou non.

Par ailleurs, le taux licite au-dela duquel l’interet de la somme pretée est illegal devrait decouler d’une juris prudence, afin de libérer le salarié de sa vie de credit. Ce taux d’usure devrait pouvoir etre calculé pour ce qui concerne l’economie virtuelle. Dans l’economie reelle, le taux d’usure est lui aussi a surveiller puisqu’il a un rapport avec l’élasticité de la demande. En revanche l’économie souterraine dont les avoirs réintègrent toujours l’économie réelle sera peut-etre visée lorsqu’on etudiera les reseaux de collusion qui ont provoqués la crise planetaire.

A dessein de stopper ou plutot fragmenter le mouvement qui resulte de la mise en branle de ce taux d’usure des ressources naturelles, car dans le fond ce n’est pas autre chose que la Terre nous fait savoir: Si les syndicats s’entendent honnetement avec les patrons d’entreprise, si l’Europe abaisse d’urgence la TVA sur les produits de premieres necessite; si Obama donne de la voix pour le bien des population africaines, on peut espérer que le partage equitable de la Valeur Ajoutée mondiale devrait permettre de trouver un equilibre indefini, là ou le desequilibre des castes n’entraine pas la dechirure du tissus sociale manipule par l’accaparement des ressources.

A ce stade de la reflexion, je ne peux que vous enjoindre de ne pas opposer les groupes sociaux par une politique de repression des boucs emissaires.

En effet, le tissus sociale doit etre doux , solide, et suffisamment influance par l’architecture pour qu ‘à son plus bas niveau ou stade de la decheance humaine, l’elasticité de ce tissus humain, tel un trampoline, serait de permettre un retour à la vie sociale.

Mais l’amortissement de la souffrance, monsieur le president, doit etre supporté par l’état, si l’on veut voir un jour le tissus des relations sociales racommodé par de jeunes gent, peut etre des psychologue, a la rigueur ayant le soucis de l’efficacité, mais plus certainement oeuvrant: là ou le signe et son objet ont ete separés de leur relation symbolique d’amour par une realité sociale défavorable pour la famille.

Là aussi ou les concepts qui régulent la superstructure sont trop soumis a la delocalisation de leur lieu de rencontre. L’art masquant la religion, la religion masquant la banque, la banque masquant l’exercice du pouvoir absolu: l’état.

Monsieur le president en resumé il est bon de penser avec le coeur et non pas laisser le coeur n’etre qu’une pensee.

En vous souhaitant bien du courage, veuiller recevoir cette fois ci comme il se faut, mes salutation de bonne année.

NB: puissiez vous etre assez clair-voyant pour comprendre que la bataille d’Hernani a eut lieu: la virgule appartient aux artistes. Ainsi les 1/3 des benefices attribués aux salariés, devraient etre le mecanisme par lequel ce qui va au-dela de la decimale appartient a tous , soit ni a la banque, ni a l’entrepreneur; et que par consequent l’exercice comptable devrait toujours etre un nombre rond.

NB2: prochaine étape
” A PARTIR DE QUELLE TAILLE D’ENTREPRISE L’USAGE DES INVESTISSEMENT EST DEVOLU AU SALARIE ?

PATRICK RAKOTOASITERA

Rédigé par : patrick rakotoasitera | le 13 mars 2009 à 17:53

REPONSE RECUE LE 17 AVRIL 2009 DE MR CEDRIC GOUBET Chef de Cabinet du President :

Cher monsieur,

Le Président de la République a bien reçu votre courrier.
Monsieur Nicolas Sarkozy m’a chargé de vous remercier d’avoir souhaité lui adresser votre réflexion à laquelle vous pouvez être assuré qu’il a été porté l’attention requise.

La Vie n’est pas un capital elle est juste capitale pour consommer humainement les fruits de la planète Terre, la considérer autrement que comme un acquis cela revient à nier l’existence du concept de Dieu et la lutte ontologique de chaque homme pour acquérir son épouse et la mettre en floraison dans un monde choisi. Et si l’on ne choisit pas d’être, pour autant, il est malsain qu’on supporte les multiplications de l’aigre vieillesse, elle qui veut pouvoir quand la jeunesse veut savoir. Paradoxe économique résolu si l’étalon international était le BITS, car alors la jeunesse n’aurait plus a payer les fautes de la vieillesse et en entrant dans l’aire de l’offre et la demande, pourrait-elle apprendre à savoir ce qu’elle veut, quand la vieillesse pourrait vouloir ce qu’elle veut une fois affranchie de l’obligation d’utiliser la monnaie sonnante et trébuchante; comme il se faudrait que ses besoins soient assurés en BITS, ceux-ci non immédiatement convertibles en or pour cette tranche d’age.

Pour comprendre le chapitre VII de « L’Univers des Signes les Signes de L’Univers » à savoir celui de la 2eme partie traitant de l’approche de la resolution du conflit ( Rôle de la diffusion de l’écriture et du développement des moyens de communication, dans la stabilité de l’empire romain); il est nécessaire de le confronter avec le VIIeme chapitre de la 3ème partie: La Figure de l’autre, intitulé : La Sorcière et la figure de l’ENFANT; tout en ne perdant pas de vue le VIIème chapitre de la 4ème partie ( Révolution des modes de transmission de l’INFORMATION) dont le titre est: Dédoublement de l’art: L’art totalitaire, et diffusion croissante de l’image-information; ce, si l’on veut comprendre le VII chapitre de la cinquième Partie du projet de recherche ( Montée de la face cachée du monde, dont nous sommes les contemporains), Chapitre s’intitulant: Le projet Architectural et la volonté politique.

En effet, en proposant mon projet de recherche au collège international de philosophie je ne pensais pas ou si peu, que ce projet fondé par l’interrogation du concept d’art servirait de colonne vertébrale aux guerriers des 9 continents, cela m’a valu d’être un temps arbitre international perpétuellement en procès, devenu fou parmi la folie inhumaine, donc clairvoyant et sinon peintre du moins poète, soit un des législateurs méconnus du monde terrestre.

Mais ne perdons pas de vue l’axe de notre projet de recherche du sens de l’art. Souhaitons être encore plongé dans le terreau de la communication de n’importe quelle société sans la dépouiller de sa chair languangière afin que ses fruits fécondent une anciennement nouvelle philosophie de l’art, puisque nous sommes mus par le besoins impérieux de ne plus créer de nouveaux concepts, attitude perpétuant la guerre.

Ainsi, souhaitons que notre démarche n’enferme pas le questionnement philosophique sur lui-même comme ce fut le cas lors de la seconde guerre mondiale, lorsque le nazisme et le fascisme pendant du liberalisme et du communisme voulurent tous en même temps habiller Eve de leurs signes distinctifs en lui proposant ce nouvel homme mi-Dieu, mi-satanique dont seul Lilith, l’Eve au coeur déchiqueté aurait pu espérer vouloir. Eve insatisfaite de Beauté pure qui en la personne de Simone wiel refusera toujours d’enfanter malgré les injonction du conseil israélite déstabilisé par ce membre incapable de s’élever socialement, donc de quitter le travail à la chaine, comme il se fallut que Simone au nom de Dieu refusa d’abandonner ses amis ouvriers, donc esclaves modernes, quand bien même son travail d’écrivain lui aurait permis de briguer les plus fameuses recompenses, elle, être de mumière qui avait tout compris des raisons qui poussèrent Léonard de Vinci à écrire à l’envers. Elle, pion de Freud et point de référence qui lui aurait permis au coeur du mal de chercher le beau, et de mieux s’interroger sur sa laideur. Si et seulement si Freud à l’instar des Surréalistes avait reconnu combien ce n’était pas un hasard si tous les fous l’avait autorisé a regarder le diable droit dans les yeux par l’intermédiaire du miroir psychanalitique propre à considérer l’envers du monde de Dieu et idoine à trouver et retrouver d’autres chemins pour les hommes.

Mais à Vienne, berceau d’une valse des regards s’entrecroisant pour tisser un réel où les sensibilités de chacun se défendaient d’être ramenées à la pensée d’un seul sujet énonciateur, Freud piètre médecin, dont il était de notoriété publique que ses frères maitrisaient verticalement et horizontalement la production de la cocaïne, lui qui tel Caïn mortifié à l’idée d’avoir assassiné son frère héroïnomane, s’était juré et noblement juré d’aller à la rencontre d’autrui et de la matérialité des choses en s’inscrivant dans la lignée de cette intention philosophique caractérisée par une dimension critique vis à vis du langage, telle que l’avait réactualisé Nietzshe, puis plus tard telle que la réactualiseront, aprés la seconde guerre mondiale, Foucault ou Wittgenstein. Mais là, à la différence prés ou à la trop grande ressemblance de qui, ayant mal compris Victor Hugo quand il nous enjoignait de mettre du génie dans notre vie, Freud l’inventeur de la cocaïne, verra dans chacune de ses patientes l’héroïne qu’il faut plonger dans le noir (l’inconscient), de telle manière qu’ainsi aveuglée, elle recherche à travers la brèche du language le point surréel: mi-réel, mi-symbolique, grâce auquel, le discours cesse d’être un motif de dissimulation des mobiles humain, point lumineux qui rayonne dans le coeur de l’homme, étalon de la véritable beauté, la plupart du temps sans rapport, ou plutôt ayant cent rapports avec la beauté de son enveloppe terrestre. Homme que les veines circulatoires de la Terre taillée dans sa chair argileuse, véhicule toujours de la même manière depuis la nuit profonde des premiers temps, tandis que seuls la guerre ou l’art permettent d’inflechir les caprices, (excusez moi du terme),de l’espace temps en se révélant destin ou anti-destin.

Essai macroeconomique :

La definition la plus evidente du terme « economie » provient certainement d’une peur humaine consistant a vouloir prevoir l’angoisse provoquee par un futur incertain, lequel nous contraint a differer la satisfaction de nos desirs les plus hauts au profit de nos besoins fondamentaux journalier et futurs, par une economie des moyens utilisee en vue d’un resultat maximal permettant, grace a cet epargne dans la depense de soi, l’existence du futur, le notre comme celui de notre famille et partant de la societe qui nous abrite.

Ou l’on voit ainsi comment l’economie ou l’epargne vise la maitrise des instincts les plus vils et denote l’existence de valeurs subordonnees ou naturellement hierarchisee par les limites qu’imposent les resources de la nature, laquelle aura toujours le dernier mot en matiere d’architecture.En effet, c’est elle et elle seule qui inspire la mesure, ce quel que soit le nom qu’on lui donne: Dieu ou mere nourriciere.

Mais bien evidemment, plus la nature sera idealisee par un concept masculin plus il y a de chance que l’architecture obeisse a un souci d’eternite et se distingue par l’utilisation vaniteuse de la pierre et des techniques metallurgiques elaboree, tandis que la societe patriarcal au premier stade de son histoire recoure a l’ecriture pour organiser l’echange des biens et des services selon un mode economique de type capitaliste, dont le propre tient dans la capacite a renouveler les instances dirigeantes en fonction de l’appropriation de la masse monetaire. Car cette appropriation releve d’une capacite a reorganiser la hierarchisation des concepts, capacite accessible a tout un chacun en theorie comme en pratique.

Mais comme c’est le cas pour les societes de type matriarcale, la ou la vie economique, du moins dans les premiers temps de son histoire, etait fondee sur la valeur de la naissance et du mariage, naissance de nouveaux concept et mariage ou raprochement entre interet commun, c’est la ressource naturelle qui regit l’edification conceptuelle. Ou l’on voit bien, dans ce cas, pourquoi la communication ne nececite pas forcement le recours a l’ecriture, celle-ci quand elle est separee de sa dimension esthetique, qui augure l’affaiblissement du credit ou fidias en dehors du contrat ecrit, et augure le prelevement sur la masse monaitere de la part de l’instance dirigeante a travers l’impot.

Alors pourquoi les societes matriarcales comme patriarcale, sont-elles vouee a disparaitre a un moment ou un autre de leur histoire ? Je repondrait que cela tient au fait que les lois de l’economie sont aussi immuables que les lois de l’evolution naturelle. Et que le moment de la crise economique a toujours correspondu a un double evenement. celui de l’epuisement des resources qui implique le deplacement de la tribut vers une terre plus hospitaliere ou les proteines, l’eau et les glucides sont accessibles plus facilement dans le sens d’une economie la plus maximale des moyens employes par l’homme pour se nourrir. Et d’autre part, un avenement dans la hierarchie des concept caracterise par le conflit de pouvoir entre le chef de clan et le prophete dont les intuitions conceptuelle oblige le chef de clan a se reapproprier la parole pour mobiliser autour de lui les ressources humaine en vue de faire la guerre, s’il s’agit d’agrandir le territoire, ou de l’abandonner comme on abandonne le coeur de la foret, afin de trouver le lieu ideale a l’exercice d’une domination culturelle inedite, et a priori incompatible geographiquement avec l’ere culturelle precedante dont le pilier est la figure du chaman, a l’instar de l’artiste, qui frene la mutation architecturale en interposant des signes naturels, et artificiels, si ceux-ci sont charges d’une dimension sacree, propre a offrir une lecture du monde mediatisee par la lecture originelle de celui-ci. Autrement dit par une lecture non pas fondee sur l’ecriture mais la poesie et ses intuisions fulgurante et reparatrice du psychisme humain. Poesie ou action chamanique fondee sur l’economie du delire, a savoir l’hallucination maitrisee et productrice de sens partageable par tout un chacun. A contrario de la lecture fondee sur l’ecriture dont les caracteres a priori immobile sont les pendant d’un intelligence analytique, laquelle suppose un apprentissage lors duquel la pensee se voit limitee par une multitude d’a priori que seuls l’art et plus specifiquement la litterature pourrons inflechir en permettant la rencontre entre les etres vivant ou non, ce par dela la mort.

La crise economique actuelle dont le pendant medical est la depression, le risque: la folie et le regne de l’anarchie des instincts pourchasses par les actions de la raison pure pauvre en discernement quand il est question d’imposer a Dieu la reconnaissance des siens parmi les victimes de son intolerance et son manque de precision.

la resolution de cette crise planetaire, ne se realisera pas sans un retour salvateur des principes economique fondamentaux, et en premier lieu desquels, la subordination de toutes theories economiques aux principes de realite : ainsi la masse monaitere impliquee dans la speculation ne devrait pas exeder un certain montant, celui ci prealablement defini, peut-etre par le FMI d’ailleurs, afin que les concepts de beaute et d’amour qui strucurent les bourses en definitive, en sucitant un decalage chaque jour plus grand dans le differement de la satifaction des besoins vitaux, soient infléchis. Le riz , produit non manufacture comme le ble, avant d’etre livre pour de vrai, objet d’une speculation inconsideree destinee a mettre l’eau a la bouche pourrait-on dire, cette speculation en dehors d’un desequilibre entre l’offre et la demande, est toujours agravee par les relations marquees par la frigidite entre la raison pure et l’acte d’amour sans cesse differe par la presence de la beaute que tous le monde veut, ce qui entraine la speculation sur les produits manufactures quand on a oublie les poemes de l’ecclesiaste, et qu’en definitive on croit que l’argent se mange et qu’on a trop tard compris Moliere quand il dit qu’il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger, action cannibale prouvant l’archaisme des bourses, qui conduira, si vous ne faite rien pour y remedier a vous mettre « en galere », votre reflection en la matiere se reduisant finalement a une autre verite de moliere: « Mais que faisait-il donc dans cette galere ».

bonne journee.

Patrick Rakotoasitera celui qui sait que s’il y a sept soleil dans l’Univers en revanche il ne devrait y avoir que six terre…

DROIT ET DEVOIR, LIBERTE ET RESPONSABILITE?, certes…
Mais avant tout precisons le concept economique.

(extrait de l’univers des signes, les signes de l’univers, traitant de la question: qu’est-ce que l’art?;page 37 a 40, chapitre 4: ART ET AUTRE CONCEPT)

Si cette recherche reussit a dire, a montrer, a faire comprendre ou sentir ce qu’est l’art, le but sera d’evaluer le pouvoir de l’art, illusion ou non, sur le devenir, sur notre devenir.

Creuser les rapports que le concept d’art entretient avec les autres concepts devrait servir cette finalite, en optimisant l’apprehension des limites du concept, et en permettant de comparer les realites qu’il recouvre a des phenomenes comparables.

Ainsi, avons nous constates que lorsque l’artiste cree, sa creation est l’objet d’une perception de la part d’un public. L’oeuvre d’art, la creation est donc le support d’une transmission de message d’un emetteur vers un recepteur. Que le message ne soit pas percu, qu’il ait ete altere, d’une facon ou d’une autre, une communication s’etablit par le biais de l’art. Autrement dit, quel qu’indistinct, que nous apparaisse le concept d’art, il reste que, procedant d’un echange de signes, nous savons que l’art est un phenomene de communication.

Or, c’est en tant que les manifestation d’art usent d’un mode de communication specifique et engendrent des situations de communication comparables a d’autres situations de communication que nous pourrons mieux observer le concept.

Ainsi, quant a ce que nous pourrons considerer comme le dehors du concept, est-il envisageable de determiner les interactions qui lient l’art aux autres « instances de l’economie », jouant un role direct dans la communication des societes considerees. A savoir principalement:
la religion, la morale, la politique et le droit.

Comme nous nous appuyons sur un concept de communication a trois niveaux. Celui de la communication des biens et des services. Celui de la communication (ou circulation) des femmes ( vital pour les societes du neolithique). Et bien sure, troisieme niveau: celui de la communication des messages. Aussi, la mise en perspective de l’art avec la religion ou la politique, devrait nous permettre un appreciation au cours du temps de la maniere dont l’art et les « instances » plus specifiquement ideologiques influent sur la chaine economique de la production, la distibution et la consommation.

Notre recherche sera donc, egalement, l’occasion d’evaluer selon le type de societe consideree, de quelle facon la production domine l’economie, ou plutot comment la communication regit les modalites de la superposition de la « base economique » et des « instances ideologiques »

En effet, si la production de la vie materielle conditionne la vie sociale, la production est en retour strictement dependante de la vie sociale quant a sa perennisation.

La production des moyens de satisfaire les besoins vitaux ne se maintient pas de la meme facon en etat de guerre civile, par exemple.

Or la vie sociale, qui implique la coordination de l’action des individus de la societe, derive forcement du mode de communication d’individu a individu, d’individu a groupe, de groupe a individu et de groupe a groupe.

Ces constatations rapportees a l’univers des signes artificiels des societes, l’on concoit que l’univers des signes articiciels est la designation symbolique, du lieu, de l’espace ou se deploit la communication d’une societe; et qu’il permet presque idealement de rendre compte de la fausse opposition entre la production et les « instances ideologiques ».

Les outils, les techniques, et les produits qui decoulent de leur utilisation y existent en tant que signes artificiels crees par l’homme.

De plus, les echanges et le commerce des biens, et des services de la production participent a la circulation des signes, en ce qu’ils sont aussi un echange et un commerce de signes.

Rien ne sort de l’univers des signes artificiels. En fait , les rapports de force sont motives, de maniere comprehensible, par la maitrise de l’information et de la representation. Car la course a la propriete des moyens de production est egalement une course a l’appropiation d’une partie de l’univers des signes artificiels d’une societe.

Notre recherche, en utilisant l’art a la maniere d’un revelateur, montrera, dans cette optique, comment au fil des siecles, cette « instance de l’economie » a servi la maitrise de l’information, dans le sens d’une adequation, quasi-parfaite,de la propriete des moyens de production et de l’ensemble des signes artificiels.

Et comment en devenant ART, cette « instance » a cherche a se desolidariser des autres « instance ideologiques » pour que la maitrise d’une partie determinee de l’univers des signes artificiels, n’implique pas une maitrise totale de la communication.
extrait de la 5eme partie de l’univers des signes, les signes de l’Univers, intitule: MONTEE DE LA FACE CACHEE DU MONDE: brouillon du dernier chapitre numero 10 : ART ET ALTERNATIVE ( refondation du systeme bancaire et financier internationnal)

Comme on l’a vu dans la 2eme partie de l’univers des signes les signes de l’univers, chapitre II: ECRITURE: INSTRUMENT COMPTABLE ET RELIGIEUX AUX MAINS DES SCRIBES ET DU PHARAON (voir dans la galerie: L’allegorie du secret du pouvoir de l’ecriture), l’utilisation de la monnaie, prolongation du verbe divin aseptise de sa dimention esthetique, tend a etre l’intermediaire entre les echanges de biens et de services, au profit d’une societe pyramidale, dont elle mesure les valeur en se voulant elle meme valeur parmi les valeurs, lorsque le pharaon cherche a s’affranchir de la tutelle economique et religieuse des scribes, defenseurs du secret de l’ecriture et de la cohesion de l’univers des signes.

Or, jadis comme actuellement, c’est l’art qui regule la stabilite de la masse monetaire, ou la masse de l’univers des signes, en se situant a la peripherie de notre univers de signe, la ou il y a echange avec les signes de l’univers qu’il decode dans le sens d’une harmonie entre culture et nature, communication et moyens de production

Et, chaque fois, au cours de l’hitoire, qu’il y a eu un reajustement meurtrie dans l’ordonnance des concepts, cela a coincide avec l’epuisement des moyens de production et une economie ou la transparence de l’offre et la demande est devoyee par le mensonge, l’intrigue et la trahison.

L’equilibre de l’univers de signes humain,retrouvant sa souverainnete par la creation de lois artificielle assez ferme pour, au-dela des idees, des strategies, des illusions et des erreurs des dirigeant, defendre la liberte de l’individu, fut-il le seul a beneficie de cette liberte comme dans le cadre juridique d’une tyranie.

Ainsi, toutes politique economique visant a garantir l’existence effective pour la majorite des etres des valeurs supreme (l’amour, l’amitie, la fraternite) devrait fonder l’assise monetaire sur le plus petit denominateur commun de l’univers des signes.

A ce jour, il me semble a vue de nez que le plus petit denominateur commun de l’univers des signes humain, c’est le BITS, la plus petite unite de valeur de la sphere vituelle dont l’existence aura ete un facteur determinant dans l’eclatement du concept d’economie virtuelle.

Veuillez agreer l’expretion de mes sentiments distingues monsieur le president de la republique.

nota bene: droit et devoirs, liberte et responsabilite, oui mais a la seule condition d’une egalite entre les etres et pour cela la requalification de la notion de personne et la protection du tier de celle-ci, a savoir sa masse monnetaire dont l’ideal serait qu’elle ne soit pas assujetie a la raison pure.