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EXTRAIT DU LIVRE BIENTOT PUBLIE SUR LE SITE : " LE MELANGE CONTRARIE DES ANGES"
Chapitre II : argent : 10000 kilogramme par mètre Cube
Il y a une chose Lou, qui d’ici vingt ans devrait encore exister, du moins si ce n’est pas la seule chose qui reste à manger : je veux parler de l’argent, ce fragment de verbe désenchanté dont tout le monde parle aujourd’hui sur terre. Les hommes en sont avides, les femmes friandes, pour la raison que la possession de ces fragments assure un divin statut. Car ils sont ,ni plus ni moins ,que le corps de Dieu : ils permettent d’acquérir, de manger tout ce qu’il a créé, en évoluant parmi d’autres Dieu et Déesses de même niveau. Il est dit dans la bible que les fils de Dieu aimèrent les filles des hommes. Telles que sont devenues les uns et les autres depuis, tu as du te rendre compte que c’est plutôt l’inverse qui est exact. Le fric des Dieux est de la poudre aux yeux ! Ne me dis pas : il faut bien se maquiller… ta moralité m’impressionnerait.
A côté de ces Dieux, maître des instruments de production et de ces hommes esclaves de leurs dettes, se distinguent une troisième catégorie : les héros. Déjà plus des hommes, presque des Dieux ; mieux que des Dieux, encore des hommes- les héros tirent les uns et les autres vers un idéal commun : la célébrité, l’impunité, le fric, le clonage de soi même , et le talent de gérer ces cinq composantes de la légende du héro. J’ignore si ton époque montre d’elle, à la télévision, un résidu de civilisation, un concentré de niaiseries et de crimes – si tu le supporte aussi peu que moi-même ; si malgré tout, les artistes – une catégorie de héros – enchantent ton oreille, régalent ta pensée de mots et de visions suffisamment sublimes pour t’aider à survivre, à bord du rafiot éventré, sans capitaine, rempli d’esclaves qu’est l’humanité moderne ? Peut être es tu sur le ponton, allongée sur un transat, Déesse toi-même en compagnie des Dieux ? Ou perdue en fond de cale, parmi les grouillants esclaves ?
Plus sûrement tu es une jeune fille charmante. Tu chantes quand tu es heureuse. Les garçons, des gredins, se retournent sur ton passage. Tu parts en vacances depuis que tu es petite. Ton expérience de la collectivité t’a dotée d’une confiance en toi certaine. Tu illumines la vie de ton entourage avec tes yeux de vingt ans. Tes parents sont vieux. Parfois, tu te demandes même s’ils ont jamais été jeunes. Ils t’aident quand même à poursuivre tes études ou soutiennent tes ambitions d’artiste. Leur éducation t’a pourvue de l’indépendance des jeunes filles bourgeoise, et dotée de la politesse des gens de classe moyenne. Du reste, tu en connais les limites, en respectes les usages quand cela te sert. Une partie de toi se bat peut-être contre ce réseau de convenances que tu trouves ridicules et les rebelles t’attirent. Ou alors, tu as acceptée de ne pas t’identifier à une fille de mauvais genre et situes ton personnage dans un rêve chic et décontracté … et les rebelles t’attirent quand même. L’esprit naturellement ouvert sur une société multiculturelle : tu connais un garçon que tu fréquentes et il peut être blanc, noir, jaune ou basané, avoir les cheveux verts ça n’a pas d’importances. S’il a les cheveux verts c’est mieux même : c’est à la mode. Une seule chose compte : avec lui prend corps le concept le plus important qui trône dans tes cellules : l’amour. Ce n’est peut-être pas le bon ni le seul, mais enfin tu aimes aimer et être aimée. Ou alors je ne comprends rien à la jeunesse, et l’amour vous emmerde, et il ne reste plus rien de l’amour. Passons… je t’imagine tonique et active comme ta mère, pas molle et paresseuse, ce qui n’est pas un jugement de valeur pour moi ni autre chose qu’une remarque générale.De plus: J’en suis sûr ,ta vivacité d’esprit, servie par un milieu socioculturel favorisé, ajouté à tes nombreux voyages, cela doit rendre ta conversation agréable et intéressante. Ce qui ne t’empêche pas de t’enticher de garçons sans cultures dont on ne sait que faire en position verticale. Des rebelles contemporains sans doutes ? D’un autre côté, ton père et ses quarante paires de chaussures, le fait que tu sois une fille, t’inclinent à aimer les fringues et surveiller particulièrement ton look. Tu parles chiffons et strings aussi bien que de Baudelaire, peut-être mieux. Ce n’est pas grave : Baudelaire aurait rêve porter des strings. Il avait les cheveux teints en vert à un moment : c’est dire combien un dessous de ton époque lui aurait convenu… .
Je ne me trompe pas en disant que tu vis dans une société dont prés de la moitié des membres ont grosso modo l’âge de tes parents ou plus, si les données statistiques de vieillissement de la population n’ont pas été inversées d’ici la. Si je peux me permettre un conseil, au delà de la barrière de l’âge, de la condition sociale et religieuse, ton discernement doit être orienté par le degré de connerie. La connerie est universelle et quand à son degré, c’est comme l’alcool : certains ont dépassé les 90 degré et au delà c’est vénéneux. Evidemment : un con ça peut distraire et faire la conne ça peut détendre. Le sachant : trouves toi d’autres distractions et concernant la détente : jamais après minuit, entourée de loup mal fâmés, même s’ils portent des costards : tu serais leur distraction pour le coup. Au sujet du rapport jeunes- vieux, en ta défaveur comme tu fais partie de la catégorie la moins déconfite, généralement celle qui n’a pas le pouvoir – j’ose espérer que tes parents et leur génération se rappelleront les conneries qu’ils ont pu faire, sans avoir à retourner leur veste à l’approche de la cinquantaine, comme il semble que c’est le cas de la génération de ton grand père laquelle – après avoir fait presque la révolution (tu sais, mai 68, les barricades, les grèves, un président dans la panique qui met 60 million de francs de côté histoire d’instituer un gouvernement à l’étranger ) ; après avoir fait allègrement l’amour à quatre pattes dans les champs, le nez dans les champignons rigolos ; après s’être inventée de nouveaux héros : les Dieux du rock’ n’roll, une nouvelle nourriture spirituelle : la nausée d’un monde injuste – génération qui finit, à mon époque, suffoquée par la dite culture jeune qui avait fait son panache et son originalité, et dont elle avait été la première instigatrice – génération qui se révèle érintée de travail ou de chômage, malade, aigrie d’impuissance, pas moins dupée qu’avant la révolte par une machine que les forces de sa jeunesse ont quand même optimisées et que, dans les derniers moments de lucidité de sa vieillesse, elle pense peut-être encore pouvoir diriger autrement que vers le mur… .
Machine éventrée dans laquelle tu es, toi, jeune et belle,encore curieuse de toute cette taule, ces boutons, cette électronique, ces sons synthétiques… Mais, surprise, je crois, par ce mouvement de l’océan agitant la carlingue aménagée pour flotter, décontenancée par une voix inhabituelle venant peut-être des machineries.Ce ne sont pas les turbines, les compresseurs, les visses qui tombent, les poulies, les roues dentées, l’anatomie gastrique du monstre en décomposition qui se font entendre de toi. L’univers sonore ,mécanique , électronique, quantique, antisceptique, t’est familier : écoutes mieux, il s’agit d’autre chose. Depuis les soutes un esclave a crié, et tous les pouilleux se sont mis à hurler cette nuit… .
En bas, on a cru qu’il n’y aurait pas assez de billets de banques pour tout le monde. Pour les contenter, les agents ont recyclés tous les livres en biftons, histoire de leur faire plaisir. Les ballots de frics, en chutant, ont écrasé dix esclaves. Cependant, tous étaient soulagés et le calme est revenu. Sur le ponton, des Dieux affirment qu’on tient le bon bout. Il n’y a qu’à inventer plus de fric ! De toutes manières, ils savent, au fond d’eux, qu’il n’y a pas de capitaine, pas d’itinéraire, pas de retour en arrière, pas d’échouage possible. S’il coule, on dit que le bateau est un sous-marin, point barre ! avance hilare une déesse. Mais l’un des Dieux a levé les bras. Il déclare aux autres combien il est nécessaire d’aimer, même sur un lit de poussière, quand bien même il ferait noir au milieu de l’océan. Tous approuvent cet élan poétique en riant. Les coupes s’entrechoquent. C’est décidé : la prochaine fois les Dieux feront la promotion de l’amour en tablant sur un rabais fédérateur. Il n’est pas question de lâcher un dollar, fut-il faux ! En route vers Macao mes amis !
DROLES DE COINCIDENCES
Sans être en mesure de prouver quoi que ce soit, la mésaventure qui m’arriva , après l’écriture de la lettre à FRANCOIS HOLLANDE m’a conduit à considérer d’un oeil interrogateur ce qui s’est produis, toutes proportions gardée, pour le site de CHARLIE HEBDO, au point de ne plus être tout à fait certain, si je l’étais quant à la signature ISLAMISTE de l’attentat dont les locaux avaient été victime , qu’il en fut de même quant au piratage de leur site.
Si mon témoignage peut prêter à caution, étant reconnu fou par la médecine , je suis , en effet, plus qu’un autre enclin aux hallucinations, cependant même que les médicaments en ont estompés tous soubresauts jusqu’à maintenant, et tant que je me conformerai au respect de leur prescription : il est des coincidences étrange qui à posteriori pourraient ne pas en être.
Ainsi, il m’était déjà arrivé alors que j’écrivais des articles sur mon blog , lorsque je désirais les enregistrer , de ne pas y parvenir , sur le moment, ce particulièrement, quand l’actualité de l’article était au moins aussi vérifiable que l’article sans concessions pour l’équipe dirigeante en place. Je me souviens d’un billet d’humeur, lors du déclenchement de l’aide française à la révolution lybienne, qui se voulait sarcastique et suspicieux , relativement au contrat de vente d’arme qui avait eu lieu , quelques mois auparavant : impossible de le publier… du reste , le ton étant vraiment trop véhément je n’ai jamais , par la suite cherché à le rendre publique.
Coincidence, coincidence, quand tu nous tiens …. que ne nous fais – tu pas imaginer. Car quoi penser ? Alors que je décide de ne plus écrire à Nicolas SARKOZY et tente de me « twitter » avec HOLLANDE pour lui faire parvenir le début de ma lettre avec un lien , tout se passait normalement, puis , sitôt inscrit , plus rien, impossible d’accéder à ma messagerie « hotmail ». J’essaie d’avoir un nouveau mot de passe, « hotmail » me fait savoir qu’il enverra les informations vers une messagerie que je ne connais pas. Je signale l’usurpation : ma messagerie n’existe plus me dit l’imbécile ordinateur… Alors coincidence ou non … à vous d’en juger…Et pourvu que je puisse publier cet article , car, décidément et l’affaire « STRAUSS KHAN » , ne risque pas d’épuiser toutes les conjectures de l’assertion suivante : » en période d’élection , la politique , c’est l’art du coup bas , sans en avoir l’air… ».
addendum du 6novembre : ma messagerie est rétablie …. drôle d’histoire !
QUESTIONS ET REPONSES ECONOMIQUES ET SOCIALES
Questions à Monsieur le Président de la REPUBLIQUE FRANCAISE et au futur PRESIDENT de l’EUROPE :
Il a pu être écrit et ceci est faux que la criminalité avait baissé en GRANDE BRETAGNE, en ITALIE, et dans d’autres pays d’EUROPE. A considérer les derniers évènements anglais on en jugera par soi-même : plus qu’on ne le croit les populations EUROPEENNES sont devenues laborieuses et cela n’augure pas que les entités de l’économie souterraines seront stables : la ville a triste mine quand elle est divisée en quartier de pauvres, de très pauvre et de super pauvre, manipulés par des entités invisibles dont les populations acculées à la misère programmée et désertant les programmes d’éducation ne feront que les alimenter en mains industrieuses et prêtes à tout pour quelques bénéfices, que le revenu du travail ne permet plus d’obtenir légalement. Et pour cause, l’unique politique de rigueur budgétaire préconisée par le FMI, pour sortir les états de la crise de la dette, laquelle consisterait à réduire le salaire moyen par la remise à plat des aides étatiques, sans faire participer, comme l’imposerait la gravité de la crise économique, les entreprises faisant le plus de profit et les revenus les plus favorisés par ces profits, va aboutir à un effondrement et une cessation de paiement dans l’aire géographique considérée , si l’endettement des ménages n’est pas pris en compte : par exemple qui aurait l’idée stupide de suspendre les aides pour le logement ou les aides à l’enfance risque de provoquer un effondrement des banques de crédit, ou d’aggraver les tensions sociales à cause des sociétés de recouvrement, comme augmenteraient mécaniquement les situations de non remboursement, sans compter le risque sur le non renouvellement des générations. 60% de la richesse de l’EUROPE provient de sa consommation intérieure,dites-vous, et bien briser cette dynamique par une politique de rigueur augurant une croissance zéro , est suicidaire. Au-delà de toutes considérations écologiques, l’outil de production EUROPEEN n’est pas adapté pour produire moins.
Mais quand bien même : si l’argent des contribuables du monde a permis de supporter le sauvetage du système financier mondial, qui se souvient que leurs revenus ne peuvent être mis à contribution au-delà du seuil révolutionnaire où l’élasticité de la demande n’existe plus ? Qui a soucis de ce que le TRAVAIL , au par avant : valeur cardinale des états-nation , n’est plus qu’un lieu transférable avec une main d’oeuvre sur qui l’on peut exercer des pressions pour dégraisser les effectifs dans le but de payer le minimum d’indemnités de départ, pression allant jusqu’à proposer des reclassement en des pays furent-ils de l’UNION EUROPEENNE impliquant un revenu moins favorable que bien sûr le salarié ne peut accepter ? TRAVAIL qui n’a plus pour fonction sociologique la socialisation de l’individu : service tacite que l’entrepreneur rend aux sociétés d’état de droit ; TRAVAIL et TRAVAILLEURS devenus simples paramètres d’ajustement , en dernier lieu, enchaînés corps et âme par les actionnaires et les fonds d’investissement à un droit que leurs états n’arrivent plus à maîtriser : POURQUOI ? et au profit de qui les ETATS DE DROIT ont-ils intérêt à se déliter de la sorte ?
Lequel des trois est-il le plus influent sur les deux autres : le CAPITAL généré par l’activité de l’ensemble des ENTREPRISES constituant le tissus des échanges intérieurs et mondiaux; et sans qu’il soit vraiment possible de l’en distinguer , le CAPITAL accumulé par les banques et institutions financières; ou le CAPITAL accumulé par les ETATS ; et en dernier ressort : à quels groupements d’individus ou d’états profite cette cacauphonie d’une économie à trois têtes pensantes en conflit ? La tentative d’accaparement du marché des matières premières par les fonds d’investissement est-il une pure manoeuvre spéculative ou une tentative de déstabilisation des états concernés ? » endetter l’état jusqu’à un point de non retour pour le désosser » est-ce la nouvelle utopie du PARTI REPUBLICAIN AMERICAIN ou une stratégie mondiale de grande envergure propre à instituer un ordre nouveau ? et lequel ? et au final qui a augmenté ses gains depuis la crise de 2008 ? Car quoi, il faut être un homme de la rue pour s’en rendre compte : les moyens electroniques de contrôle allant croissants il pèse tout de même une dérive mafieuse dans les grandes aires démocratiques. Les produits chinois illicites se déversent par millier de tonnes et inondent l’EUROPE via l’ITALIE au vues et sus de tous, tous les psychotropes interdits sont plus que jamais accessibles , marijuana, heroine, cocaine, crack et j’en passe : toute une frange de la population vit de ce commerce dont dans les années 60, avec la french connexion, il était de notoriété publique qu’il s’agissait d’un buisiness d’état. Est-ce naîveté que de penser que la situation devrait être autre, ou faut-il conclure que là où faillit l’état à nourrir ses bras, l’économie souterraine le supplante et que le génie humain fut-il cruel, parvient toujours à réintégrer l’économie réelle et légale , qu’il en a toujours était ainsi et que cela n’est pas prêt de changer ? Selon moi, lorsque l’OCCIDENT aura perdu la bataille économique et surtout spirituelle quant à la légitimité d’une liberté de droit et de fait incompatible avec un asservissement économique de ses populations laborieuses, le scénario sera devenu crédible d’un état se maintenant au prix de l’usage croissant de la force, d’une alliance tacite avec les industries mafieuses, afin de restaurer l’ordre publique et renflouer les comptes de l’état, en instaurant un contrôle social dont la pierre angulaire serait les industries pharmaceutiques, la manipulation mentale à grands coups de psychotropes, illégaux au par avant ; tandis que sera accentué l’implosion de la cellule familiale sous la pression de l’instabilité sociale d’une organisation économique devenue incontrôlable, amorale , accentuant les inégalités, l’accaparement du tissus immobilier par les « super-riches » , l’aggravation des crises systémiques d’un monde financier s’occupant d’aire géographique sans comparaison avec les aires géographiques des anciens états, en somme système financier qui leur serait devenu irrémédiablement extérieur…Mais bien évidemment Monsieur le Président, il y a lieu de se réjouir quand vous annoncez que depuis le « printemps arabe », la vingtaine d’élections qui a eu lieu au cours de l’année, en AFRIQUE, la FRANCE pourvoyeuse de LIBERTE, dispensatrice de l’EGALITE des chances, et recommandant la FRATERNITE entre citoyens et entre peuples, ne devra plus jamais transiger avec ses valeurs et confondre économie et droits intangibles. Quand vous déclarez qu’aucun homme seul ne peut prévoir ni décréter le renversement des régime totalitaire et que la décision revient en dernier lieu au peuple, bien sûr j’acquiesse, même si ma pathologie me fait parfois écrire le contraire…. .
Pour le sommet de CANNE et à l’attention du futur Président de l’EUROPE, je ne saurais trop vous conseiller d’aller encore plus avant dans la refonte du droit financier et économique et d’autre mesures aussi importantes que j’entends défendre ici:
Tout d’abord, le financement des pays EUROPEENS : il est nécessaire de prendre l’argent là où il est , pas dans la poche du citoyen moyen. Prés de 100 milliards quittent le sol FRANçAIS chaque année, pour rejoindre les paradis fiscaux : quelle incroyable fortune , qui, à l’échelle de plusieurs pays, si elle était taxée pourrait rapporter 250 milliards au moins , à nombre de nations ! Préambule au justifié amoindrissement de la figure du banquier et du trader, pourquoi ne pas créer un interpole EUROPEEN du délit financier, est-il si difficile de dissocier informatiquement les paradis fiscaux des banques complices ? EN tous les cas interdire durablement les transactions sur les marchés à découvert est vitale si on ne veut pas voir les fonds d’investissement fondrent tels des oiseaux de mauvaise augure sur n’importe quel pays endetté. IL devrait être, ainsi, hautement recommandé au futur Président de l’EUROPE, de commencer par baliser le système financier de lois qui les reconnectent avec les idéaux de la DEMOCRATIE et de son économie réelle, au lieu que d’en faire les jouets d’une holigarchie financière. Car le système financier actuel encourage le profit rapide, pas la création d’emplois pérenne: une taxe sur les transactions financière des marchés est donc parfaitement justifié, pour peu qu’elle rehausse aussi la fiscalité des sociétés d’assurance et celle de toutes les autres niches fiscale EUROPEENNES , à la source même du dégoût du citoyens envers cette atteinte fondamentale au droit à l’EGALITE de traitement.Mais ce qui semble le plus efficace dans cette remise à plat des prérogatives de ces institutions financières serait de leur interdire de produire de l’argent pour le vendre aux états et de revenir à la situation antérieure où les états de droit avaient le monopole de la création d’argent. Pour le bien de cette réforme la volonté politique se doit d’être sans faille, inflexible, pugnace, et certaine de son bon droit.
Par ailleurs, l’équilibre des budgets et l’harmonisation des politiques EUROPEENNES n’a de sens que si l’on ne se trompe pas de politique. Vous n’êtes pas sans savoir que contrairement au système AMERICAIN, en EUROPE , le financement de l’économie est dû au 2/3 par le recours au canal du crédit, or laisser ce canal se tarir en durcissant l’exigibilité des fonds propres suppose que le financement devra basculer vers les marchés : les entreprises qui semblent avoir de plus en plus de difficulté à trouver auprès des banques les sources de leurs financement , la loi doit les y aider , instaurant des quotas de crédit à allouer par les banques. Sinon en pâtira le niveau d’investissement, par ricochet la consommation, comme s’intensifiera le travail temporaire une autre forme de baisse des revenus. Cela s’accompagnera également d’un processus de concentration accru et les marchés futur vainqueur de cette économie de dupe toujours plus virtuelle, réorganiseront sans discernement le tissus industriel EUROPEEN, subdivisant le monde en secteur : l’un où l’on spécule sur la dette publique, l’autre où l’on transfère l’investissement en des secteurs où les prix sont soumis à de fortes fluctuations permettant la spéculation intensive, permettant la main mise sur tous les marchés, ceux des biens manufacturés ou non, ceux des matières premières, comme ceux des services ; sans parler de la réorganisation agricole qui secoue le monde et n’est que l’autre versant d’un projet qu’il faut supposé globale d’accaparement des terres arables et des forêts, projet supporté par les grands groupes d’actionnaires.L’EUROPE, en ce sens , a tout intérêt à surveiller outre-atlantique la réforme AMERICAINE du système financier, sans laisser la GRANDE-BRETAGNE et les ETATS-UNIS concentrer dans leur aire de domination les modalités d’accès au crédit. Car si les ETATS-UNIS limitent le crédit, eux dont le financement au 2/3 est le fruit de l’activité des marchés, l’EUROPE doit peser sur le financement par le canal des marchés , en légiférant, afin de prendre en étaux les institutions et économies survalorisant les paradis fiscaux et la sphère virtuelle , pour , me semble-t-il, n’aboutir qu’à l’hégémonie des complexes agro-militaires et industriels, lesquels s’accomodent de l’économie souterraine, du moment que les masses ne réagissent pas. suite demain
Mardi 2 septembre. Monsieur le Président de l’EUROPE,
Votre sacerdoce est d’envergure, ni plus ni moins, il est question de doter la première économie du monde d’une politique commune, d’un idéal commun et de choisir entre une politique de relance ou le gouffre de la rigueur dont ne peuvent pâtir que le niveau de vie et par suite la croissance, puisque à force d’économiser sur tout même l’essentiel on tue l’économie sans remettre en cause le fonctionnement irrationnel du système financier…
Quatre axes de recherche semble les plus idoines à répondre à l’immense chantier de réforme qui vous attend : l’axe social; la protection ,le développement des entreprises et l’adaptation du tissus industriel;la maîtrise de la multiplication des placements dit à risque; et l’idéal EUROPEEN
l’axe social:
plus que le P.I.B c’est l’indice DAL ( espérance de vie en bonne santé) qui doit préoccuper les chefs d’état, la vérification de la comptabilité , en temps réel, des économies les plus fragiles de la zone EURO doit tendre à gommer tous écarts de niveau de vie par le haut, afin de maintenir la consommation à un seuil attractif pour l’économie mondiale . Harmoniser les politiques de l’EUROPE ne doit en aucun cas être l’occasion d’accentuer l’imposition sur le capital du travail ou de la consommation, l’inflation est injuste quand elle concerne sans discernement toutes les catégories sociologiques. Elle engendre un climat social détestable et hautement conflictuel, à redouter. Aussi, Monsieur le Président vous ne pouvez pas ne pas disposer de prérogatives sur le salaire minimum EUROPEEN, le respect du droit du travail occidental, les conditions de licenciement, et la protection sociale des citoyens pour qu’en EUROPE n’ existent plus des citoyens de seconde zone n’ayant pas accès au droit universel à une couverture santé et à un toit quitte à geler les loyers des pourvoyeurs de sommeil, boulot, dodo.
Par ailleurs, et ceci fait parti de mon deuxième axe de proposition, pour les entreprises, l’inflation ne pourra être un moyen de relance des comptes de l’EUROPE que si les entrepreneurs considèrent que partager les bénéfices de l’entreprise par 1/3 : 1/3 pour les patrons, 1/3 pour l’investissement et 1/3 à répartir équitablement entre cadre et ouvrier ou assimilés ; peut rendre l’augmentation des impôts sur le revenu des classes moyennes justifiable , comme l’impôt sur la consommation, tous en assurant la richesses de demain par la stimulation de l’innovation et des brevets, sans bien évidemment que cette imposition aille au détriment du niveau de vie global, comme il s’agit et d’assurer les retraites de demain et de redistribuer au classes les plus démunies. De plus comme ceci doit se faire dans le sens d’un pari écologique mondial, si l’EUROPE et les ETATS , en multipliant les taxes environnementales n’aident pas les entreprises à mieux les connaitre dans le but de réduire leur imposition par une mise aux normes calculée et pas subie, l’innovation en pâtira aussi. Dans le même ordre de priorités, il faut favoriser les entreprises de conseils afin qu’elles aident les entreprises à remplir les critères que mesurent les indicateurs les plus étudiés par les investisseurs, tandis que l’EUROPE doit tendre à faire correspondre ces indicateurs avec les aspirations des populations consommatrices. l’avenir semble dévolu à la spécialisation dans les marchés des produits et services environnementaux. Sur un marché estimé à 1370 milliards de dollars qui devrait doubler en 2020, l’EUROPE peut en être leader et relancer l’idée d’une taxe carbone ou rendre conscient le consommateur de l’empreinte carbone des produits qu’il consomme tout en privilégiant les marchés locaux, peut être une voie à explorer. Relativement au tissus industriel , l’EUROPE a le devoir de l’aider à adapter ses volumes de production pour qu’il ne soit pas plus cher de produire quand la machine tourne à moindre rendement, et elle doit inciter les industriels quand l’EURO baisse par rapport au dollars à ne pas augmenter ses marges sur l’unité produite ou l’abus de la productivité, à dessein de vendre plus en permettant la création d’emplois, afin de réduire les balances commerciales en déficit.
Pour ce qui est de la multiplication des placement à risque, je ne reviendrais pas sur ce que j’ai préconisé plus haut pour circonscrire le système financier sinon d’ ajouter que le développement d’un fond d’investissement étatique EUROPEEN doit servir de complément aux démarches de la banque centrale, permettant d’intervenir directement au coeur du système financier comme arme défensive et offensive, dévolue au seul marché EUROPEEN dont il peut financer les projets les plus ambitieux, favoriser son industrie ( un produit financier dédié serait justifié), et préparer les grandes révolutions mondiale qui attendent le secteur primaire , de même que l’épargnant qui à son niveau peut être incité à placer son argent dans le secteur agricole par la mise en relation des petits investisseurs avec les agriculteurs cherchant à adopter une démarche écologique, instaurant une pratique de partenariat par l’achat d’animaux, par exemple. Je ne reviendrai pas sur la nécessité urgente d’obliger les banques à s’impliquer dans les frais de fonctionnement des P.M.E, comme de leur investissement. Juste insisterai-je sur le rétablissement , par n’importe quel moyen, de la suprématie du droit EUROPEEN prévalant sur celui des banques, quitte à nationaliser celle-ci quand elles font faillite.
L’idéal EUROPEEN ,lui,doit être le corrélaire de sa politique mondiale de diffusion du droit légitime des peuples à s’autodéterminer en fonction du droit universel de l’HOMME, la FEMME et l’ENFANT. Aussi, serait-il judicieux de renforcer la CULTURE EUROPEENNE en réfléchissant à la diffusion d’un manuel d’histoire universelle, bien sûr retraçant l’histoire de l’EUROPE, tandis qu’aucune mesures de rigueur ne doit entraver le développement de l’EDUCATION, fussions-nous en temps de crise. Votre priorité Monsieur le Président me semble être de fédérer les opinions EUROPEENNES sur le consensus d’un NEW-DEAL à l’échelle du continent permettant de pérenniser ce qu’il faudra bien considérer comme » LE BIEN COMMUN » des EUROPEENS , à transmettre aux futures générations. ( patrimoine immobilier, bien culturel, infrastructure, pond, réseau routier, etc, zones de pêche…, système éducatif, administratif…etc)
EN vous souhaitant bonne chance dans vos entreprises Messieurs les Présidents, je vous adresse mes salutations.
patrick rako sur google